- lun. 17 oct. 2016 22:38
#24287
Il l’avait fait ! Il avait osé ! Jusqu’au bout Nico lui aura laissé le bénéfice du doute mais 676 n’avait pas hésité à les trahir. Quand la décharge résonna sur la passerelle de commandement, Nico savait qu’il n’y avait plus qu’à sauver ce qui pouvait l’être, faire le dos rond le temps que la tempête passe. Les dégâts semblaient minimes, du moins avant que le tas de ferraille ne décide d’ouvrir un trou dans la baie en transparacier vers l’extérieur. La dépressurisation se fit ressentir brutalement et ne cessa qu’une fois que Iala eut le temps de déployer son bouclier et d’ordonner des réparations d’urgence.
676 avait déjà fui lâchement vers une horde de ses semblables qu’il avait alerté depuis le sol. Il n’y avait qu’une chose dont les Luxiens pouvaient se réjouir : leur agresseur n’avait sûrement pas prévu qu’il ne les verrait plus une fois sorti du vaisseau. En effet, les croiseurs luxiens bénéficiaient d’un système de furtivité par défaut qui les rendaient invisibles aux senseurs et donc inciblable par des armes automatisées. Ils étaient bien visibles à l’œil nu pour compenser mais encore fallait-il être un maudit organique pour les voir !
Nico savait qu’ils gagnaient un peu de temps mais que leur défense n’était pas forcément inviolable pour une machine avec les capacités de 676. Il fallait réagir vite alors il donna à son tour des ordres.
- Donnez les données sur le signal émis à Pent, si ce foutu droïde a pu activer ses copains, il y a peut-être un moyen de faire l’effet inverse ! Et qu’on m’apporte les fameuses analyses de l’atmosphère pour que je prépare mon plan B dans le même temps !
Iala avait prévu les réparations et la remise sur pied de l’équipage, il lui revenait de préparer la contre-attaque. La solution technologique que pouvait apporter Pent pourrait éventuellement leur permettre d’isoler 676 mais il fallait se préparer à l’éventualité qu’ils ne puissent résoudre le problème en finesse alors Nico avait pensé à quelque chose de plus… radical. L’atmosphère de Taxiode était composée principalement de gaz nocifs et parmi eux, nombre devaient être inflammables. Il s’agirait pour lui de concentrer les poches proches autour de l’amas de droïdes assemblés et d’y mettre le feu via sa combustion.
Nico prit le temps d’en informer les personnes qui auraient à réagir selon le cas.
- Si Pent ne réussit pas à envoyer un contre-signal, qu’il se charge de l’analyse des émissions entrantes et sortantes vers ce fameux temple. Dans ce cas, je projette d’enflammer l’atmosphère de la planète pour cramer ces saletés de machines gênantes. Si les flammes s’approchent trop de nous, concentrez la puissance vers les boucliers.
Alea jacta est.
*****
Sur Iego la situation était des plus compliquées aussi. Gyom n’avait pas trop de moyens d’information à disposition vu qu’il était trop loin. Par chance il était connecté aux caméras à l’intérieur et pouvait espérer zoomer sur le fameux symbole sur les capes des mandaloriens pour identifier leur clan ou appartenance. Le chef d’expédition était resté en retrait, c’était aussi l’occasion d’entrer en contact sans trop forcer la chance. Par précaution il s’approcha d’abord discrètement de la corvette afin d’y placer quelques explosifs capables de neutraliser le vaisseau en cas de danger et permettre à des renforts de venir. Une fois qu’il eut fini d’identifier les mandos et piéger la CR90, l’homme de Nico se chargea d’approcher le Chevin.
- Bonjour, je suis Gyom, un mercenaire mandalorien engagé dans le coin, puis-je savoir ce qui vous amène sur cette planète isolée ?
Les meilleures approches étaient parfois les plus simples. Face à un adversaire unique il devrait pouvoir au moins fuir si ça se passait mal, déclencher ses explosifs et rejoindre son chasseur pour quitter la planète.
676 avait déjà fui lâchement vers une horde de ses semblables qu’il avait alerté depuis le sol. Il n’y avait qu’une chose dont les Luxiens pouvaient se réjouir : leur agresseur n’avait sûrement pas prévu qu’il ne les verrait plus une fois sorti du vaisseau. En effet, les croiseurs luxiens bénéficiaient d’un système de furtivité par défaut qui les rendaient invisibles aux senseurs et donc inciblable par des armes automatisées. Ils étaient bien visibles à l’œil nu pour compenser mais encore fallait-il être un maudit organique pour les voir !
Nico savait qu’ils gagnaient un peu de temps mais que leur défense n’était pas forcément inviolable pour une machine avec les capacités de 676. Il fallait réagir vite alors il donna à son tour des ordres.
- Donnez les données sur le signal émis à Pent, si ce foutu droïde a pu activer ses copains, il y a peut-être un moyen de faire l’effet inverse ! Et qu’on m’apporte les fameuses analyses de l’atmosphère pour que je prépare mon plan B dans le même temps !
Iala avait prévu les réparations et la remise sur pied de l’équipage, il lui revenait de préparer la contre-attaque. La solution technologique que pouvait apporter Pent pourrait éventuellement leur permettre d’isoler 676 mais il fallait se préparer à l’éventualité qu’ils ne puissent résoudre le problème en finesse alors Nico avait pensé à quelque chose de plus… radical. L’atmosphère de Taxiode était composée principalement de gaz nocifs et parmi eux, nombre devaient être inflammables. Il s’agirait pour lui de concentrer les poches proches autour de l’amas de droïdes assemblés et d’y mettre le feu via sa combustion.
Nico prit le temps d’en informer les personnes qui auraient à réagir selon le cas.
- Si Pent ne réussit pas à envoyer un contre-signal, qu’il se charge de l’analyse des émissions entrantes et sortantes vers ce fameux temple. Dans ce cas, je projette d’enflammer l’atmosphère de la planète pour cramer ces saletés de machines gênantes. Si les flammes s’approchent trop de nous, concentrez la puissance vers les boucliers.
Alea jacta est.
Sur Iego la situation était des plus compliquées aussi. Gyom n’avait pas trop de moyens d’information à disposition vu qu’il était trop loin. Par chance il était connecté aux caméras à l’intérieur et pouvait espérer zoomer sur le fameux symbole sur les capes des mandaloriens pour identifier leur clan ou appartenance. Le chef d’expédition était resté en retrait, c’était aussi l’occasion d’entrer en contact sans trop forcer la chance. Par précaution il s’approcha d’abord discrètement de la corvette afin d’y placer quelques explosifs capables de neutraliser le vaisseau en cas de danger et permettre à des renforts de venir. Une fois qu’il eut fini d’identifier les mandos et piéger la CR90, l’homme de Nico se chargea d’approcher le Chevin.
- Bonjour, je suis Gyom, un mercenaire mandalorien engagé dans le coin, puis-je savoir ce qui vous amène sur cette planète isolée ?
Les meilleures approches étaient parfois les plus simples. Face à un adversaire unique il devrait pouvoir au moins fuir si ça se passait mal, déclencher ses explosifs et rejoindre son chasseur pour quitter la planète.