- ven. 25 juil. 2014 19:26
#12664
Tiens. L'homme, faisant preuve d'un comportement des plus cavaliers. Bon, d'accord, sa petite diatribe POUVAIT surprendre. Par pour qui connaissait le bonhomme, mais au mot sith, le commun des mortels attendaient des êtres irréalistes, d'une cruauté et d'une seigneurie rare. L'opposé lorsqu'on rencontrait un sith. La noblesse et la droiture. Aucun des deux comportements ne convenaient à Cal. Irréaliste, bien loin d'un pragmatisme salvateur. Et lorsque l'homme dégaine sa lame, il n'esquisse pas un mouvement. Et se contente de sourire, secouant doucement la tête.
Cal : "A votre place, Gàios, je n'y penserai même pas."
Plus aucune sympathie dans la voix. Il voulait voir du sith, sans doute. Il allait en voir. Mais son apprentie réagit. Et il laisse faire. Les armes se lèvent, la situation se tend. Heureusement, leur chef panique. C'est ça qui est magnifique avec les escouades. Destabilisez la tête, le reste du château de cartes s'effondre tout seul. Ils marquent un temps d'arrêt. Pas vraiment le temps de prendre le thé, vu les armes qu'ils pointent sur Tali, même lui ne parviendrait pas à la sauver. Doucement, il se rapproche de l'homme. Se penche. Et murmure à son oreille.
Cal : "Je n'ai aucune affinité pour les relicats impériaux. Encore moins pour les jedis. Si vos hommes baissent leurs armes, nous pourrons peut-être envisager de discuter plus... Détendu ? Je ne suis PAS un jedi. Et contrairement à eux, je n'hésiterai pas à me servir de vous pour sortir d'ici puis pour vous jeter par le cockpit une fois en orbite. Pas une seconde. Mais je pense que nous avons beaucoup mieux à jouer que ça pas vrai ? Je pense que je peux vous aider dans votre collecte. Contre rien d'autre que l'assurance d'avoir une discussion à tête reposée."
Il lève un doigt en direction de Tali. Regarde l'homme. Réfléchit une seconde. Et pose l'ultime question.
Cal : "Alors ? Une bière tous ensemble, ou nous commençons à nous entretuer pour des clopinettes ?"
Et autour de lui, doucement, il déploie son aura, lourde, pesante et noire. Il voulait avoir du sith. Il l'avait. Il pourrait sentir cela au plus profond de son être. Il pourrait ressentir le côté obscur frôler sa peau, sa chair et ses os. Et il comprendrait que sa vie ou sa mort se décidaient maintenant.
Cal : "A votre place, Gàios, je n'y penserai même pas."
Plus aucune sympathie dans la voix. Il voulait voir du sith, sans doute. Il allait en voir. Mais son apprentie réagit. Et il laisse faire. Les armes se lèvent, la situation se tend. Heureusement, leur chef panique. C'est ça qui est magnifique avec les escouades. Destabilisez la tête, le reste du château de cartes s'effondre tout seul. Ils marquent un temps d'arrêt. Pas vraiment le temps de prendre le thé, vu les armes qu'ils pointent sur Tali, même lui ne parviendrait pas à la sauver. Doucement, il se rapproche de l'homme. Se penche. Et murmure à son oreille.
Cal : "Je n'ai aucune affinité pour les relicats impériaux. Encore moins pour les jedis. Si vos hommes baissent leurs armes, nous pourrons peut-être envisager de discuter plus... Détendu ? Je ne suis PAS un jedi. Et contrairement à eux, je n'hésiterai pas à me servir de vous pour sortir d'ici puis pour vous jeter par le cockpit une fois en orbite. Pas une seconde. Mais je pense que nous avons beaucoup mieux à jouer que ça pas vrai ? Je pense que je peux vous aider dans votre collecte. Contre rien d'autre que l'assurance d'avoir une discussion à tête reposée."
Il lève un doigt en direction de Tali. Regarde l'homme. Réfléchit une seconde. Et pose l'ultime question.
Cal : "Alors ? Une bière tous ensemble, ou nous commençons à nous entretuer pour des clopinettes ?"
Et autour de lui, doucement, il déploie son aura, lourde, pesante et noire. Il voulait avoir du sith. Il l'avait. Il pourrait sentir cela au plus profond de son être. Il pourrait ressentir le côté obscur frôler sa peau, sa chair et ses os. Et il comprendrait que sa vie ou sa mort se décidaient maintenant.