- mer. 28 févr. 2018 21:40
#31927
Alayna était là, à genou. Son regard troublait par les larmes, elle arrivait à peine à fixer la tête de l’homme qui se trouvait que sol. La mare de sang se trouvait à quelques dizaines de centimètres devant elle, s’écoulant lentement vers sa tunique. La Chandrillienne, elle, ne se sentait pas la force d’avançait du moindre yota. Sa sœur accourut et vint s’agenouiller à côté d’elle, l’entourant de ses bras. La chaleur de Jeny eut un effet libérateur sur la Politicienne. Des larmes couleurs et elle cacha son visage au creux de l’épaule de la grise.
Doucement, elle sentit des doigts froids serrer sa main qui souffrait de quelques brulures légères. Sur l’épaule accueillante de sa sœur, Alayna se laissait bercer par la respiration rassurante de Jeny. C’était fini. Ils n’étaient plus un danger. Tout allait s’améliorer. Bientôt, tout reviendrait à la normale. C’était la promesse que lui faisait la grise. Et apeurée, perturbée, Alayna n’avait qu’une envie : Croire à tout cela. Croire même qu’il ne s’agissait que d’un rêve.
La bienveillance de sa sœur l’entourait, l’enivrait, et bientôt, les larmes arrêtèrent de couler sur les joues que la jeune fille. Oui, elle se souvenait d’Arkania. De ses instants, elles gardaient des souvenirs resplendissant. C’était là, dans la neige de la planète du nord qu’Alayna avait rencontré pour la première fois sa grande sœur. Avant même ce jour, elle ignorait tout de celle-ci. La guerre lui avait en effet effacée une large partie de ses souvenirs d’enfances, et la révélation de l’existence de Jeny avait été comme une renaissance pour elle.
Ses plaines de neiges, elles y étaient restées allongées durant de longues heures. Dans ses instants, elles se retrouvaient seules, se calmant l’une et l’autre respectivement. Dans ses moments de calme, il n’y avait pas de Chandrila, de Confédération et de politique. Juste elles, deux sœurs vivants en parfaite harmonies. Se souvenir de ses instants était à la fois plaisant et douloureux. Il lui calmait sa blessure du jour pour en ouvrir une autre, au doux gout amer. La nostalgie.
Doucement, la Chandrillienne sentit la main de sa sœur passait dans sa poche pour prendre la pilule qu’elle y avait elle-même glissait. Elle la jeta au loin sans demander à l’héritière son avis. Alayna avait toutefois tranché, jamais elle ne toucherait à ce qui semblait être de la drogue. Elle profita des derniers instants de proximités avec sa sœur pour lui murmurer quelques mots.
« Merci Jeny…Je t’aime… »
Sur les lèvres de la politicienne, un sourire avait repris place. Dans ce dernier instant, elle sentait la chaleur de sa sœur l’irradié, comme une source diffuse de protection et de bienveillance. Doucement, Jeny se recula et se releva. Elle aida Alayna à se relever et Cryus vint à ses côtés pour l’aider à marcher. Marchant doucement, la Politicienne remarqua la blessure de son ancien amant. Sa sœur alla vers l’homme à qui Alayna avait retiré la main pour le relever et l’emmener avec eux. La Chandrillienne ne mit guère longtemps à comprendre qu’un interrogatoire aller vite arriver.
Le groupe avança doucement dans le couloir qui menait à la planque de Cryus. Une salle sombre, poussiéreuse, presque crasseuse. Une odeur de renfermer saisissait à la gorge aussitôt rentrait. Jeny installa alors le mercenaire sur une chaise. Elle prit la parole assez rapidement, présentant la bande en arrachant un sourire à la Chandrillienne. Les paroles de Jeny et la présence de Cryus lui avait donné une nouvelle consistance, et elle semblait de nouveau prête pour l’action. Ses émotions étaient toujours là, à se battre, mais l’héritière essayait à présent d’en tirer le meilleur pour mener à bien sa mission.
« Elle là-bas, le bon ? C’est elle qui ma tranchait ma main, la garce ! »
Mauvaise réponse.
« Un conseil, reste bien sage si tu ne veux pas que je coupe autre chose que ta main. »
Alayna s’approcha doucement de l’homme, s’avançant légèrement par rapprt à sa sœur.
« Commençons simplement, comme à demander la brute… »
Elle se tourna rapidement vers sa sœur, l’air joueuse.
« Tu m’en veux pas, mais tu t’es toi-même présenter comme ça... »
Non, Jeny ne lui en voudrais pas, c’était certain.
« Qui t’envoie donc ! Dis-nous qui voulait nous faire la peau ! »
« Je te dirais rien espèce de cinglée. Ils me tueraient. »
« Oh, voyez-vous ça… »
Alayna se tourna de nouveau vers sa sœur.
« On dirait que notre invité à besoin d’aide pour s’exprimait. »
Doucement, elle sentit des doigts froids serrer sa main qui souffrait de quelques brulures légères. Sur l’épaule accueillante de sa sœur, Alayna se laissait bercer par la respiration rassurante de Jeny. C’était fini. Ils n’étaient plus un danger. Tout allait s’améliorer. Bientôt, tout reviendrait à la normale. C’était la promesse que lui faisait la grise. Et apeurée, perturbée, Alayna n’avait qu’une envie : Croire à tout cela. Croire même qu’il ne s’agissait que d’un rêve.
La bienveillance de sa sœur l’entourait, l’enivrait, et bientôt, les larmes arrêtèrent de couler sur les joues que la jeune fille. Oui, elle se souvenait d’Arkania. De ses instants, elles gardaient des souvenirs resplendissant. C’était là, dans la neige de la planète du nord qu’Alayna avait rencontré pour la première fois sa grande sœur. Avant même ce jour, elle ignorait tout de celle-ci. La guerre lui avait en effet effacée une large partie de ses souvenirs d’enfances, et la révélation de l’existence de Jeny avait été comme une renaissance pour elle.
Ses plaines de neiges, elles y étaient restées allongées durant de longues heures. Dans ses instants, elles se retrouvaient seules, se calmant l’une et l’autre respectivement. Dans ses moments de calme, il n’y avait pas de Chandrila, de Confédération et de politique. Juste elles, deux sœurs vivants en parfaite harmonies. Se souvenir de ses instants était à la fois plaisant et douloureux. Il lui calmait sa blessure du jour pour en ouvrir une autre, au doux gout amer. La nostalgie.
Doucement, la Chandrillienne sentit la main de sa sœur passait dans sa poche pour prendre la pilule qu’elle y avait elle-même glissait. Elle la jeta au loin sans demander à l’héritière son avis. Alayna avait toutefois tranché, jamais elle ne toucherait à ce qui semblait être de la drogue. Elle profita des derniers instants de proximités avec sa sœur pour lui murmurer quelques mots.
« Merci Jeny…Je t’aime… »
Sur les lèvres de la politicienne, un sourire avait repris place. Dans ce dernier instant, elle sentait la chaleur de sa sœur l’irradié, comme une source diffuse de protection et de bienveillance. Doucement, Jeny se recula et se releva. Elle aida Alayna à se relever et Cryus vint à ses côtés pour l’aider à marcher. Marchant doucement, la Politicienne remarqua la blessure de son ancien amant. Sa sœur alla vers l’homme à qui Alayna avait retiré la main pour le relever et l’emmener avec eux. La Chandrillienne ne mit guère longtemps à comprendre qu’un interrogatoire aller vite arriver.
Le groupe avança doucement dans le couloir qui menait à la planque de Cryus. Une salle sombre, poussiéreuse, presque crasseuse. Une odeur de renfermer saisissait à la gorge aussitôt rentrait. Jeny installa alors le mercenaire sur une chaise. Elle prit la parole assez rapidement, présentant la bande en arrachant un sourire à la Chandrillienne. Les paroles de Jeny et la présence de Cryus lui avait donné une nouvelle consistance, et elle semblait de nouveau prête pour l’action. Ses émotions étaient toujours là, à se battre, mais l’héritière essayait à présent d’en tirer le meilleur pour mener à bien sa mission.
« Elle là-bas, le bon ? C’est elle qui ma tranchait ma main, la garce ! »
Mauvaise réponse.
« Un conseil, reste bien sage si tu ne veux pas que je coupe autre chose que ta main. »
Alayna s’approcha doucement de l’homme, s’avançant légèrement par rapprt à sa sœur.
« Commençons simplement, comme à demander la brute… »
Elle se tourna rapidement vers sa sœur, l’air joueuse.
« Tu m’en veux pas, mais tu t’es toi-même présenter comme ça... »
Non, Jeny ne lui en voudrais pas, c’était certain.
« Qui t’envoie donc ! Dis-nous qui voulait nous faire la peau ! »
« Je te dirais rien espèce de cinglée. Ils me tueraient. »
« Oh, voyez-vous ça… »
Alayna se tourna de nouveau vers sa sœur.
« On dirait que notre invité à besoin d’aide pour s’exprimait. »