- ven. 22 janv. 2021 10:47
#38830
Les travaux dans la boutique avançaient lentement. Depuis cette acquisition, nous avions pu commencer sa rénovation. D’abord en nettoyant. C’était le plus simple. Ce que nous pouvions faire tous les deux. Les quelques crédits que nous avions en poche nous avez permis d’acheter le stricte minimum pour nettoyer en profondeur ce taudis. Ca avait été long. Mais nous allions pouvoir attaquer la destruction d’une bonne partie du local pour reconstruire par dessus. Détruire, ça aussi nous en étions capable. Entre mes bras en duracier et la force du Dowutin, ce n’était pas trop un problème. Le problème, allait être la reconstruction. Nous n’avions ni le matériel, ni les crédits pour en acheter. Nous étions ruiné à dire vrai. La boutique, c’était une chose. Mais je ne savais même pas comment j’allais m’y prendre pour entretenir mon propre corps. Oui, ce corps avaient de nombreux avantages, mais il coutait cher. Sans compter que nous avions un vaisseau à entretenir également.
Je m’arrêtai de briser le faux bois de l’ancien comptoir de la boutique et me redressai. J’aurais dû être trompé de sueur. J’aurais dû avoir mal un peu partout même. Les courbatures auraient dû ralentir mon travail. Pourtant je ne ressentais rien d’autre que de la fatigue mentale. C’était la seule chose qui me ralentissait. Depuis que j’avais un nouveau corps, je ne ressentais plus la fatigue si je continuais de m’alimenter. C’était un peu mon carburant qui faisait circuler correctement tout ce dont j’avais besoin dans mes organes d’origines et synthétiques également. Mais mes muscles de métal ne ressentait plus la fatigue et le travail acharné. Je me demandais même si je pouvais ressentir de la douleur tout court. J’avais déjà eu mal dans ce corps. Mais je ne savais pas si cela faisait parti de ses fonctions, ou si mon esprit me jouait des tours, imaginant cette douleur de part ma vie passée.
Je laissais donc mon ami terminé ce qu’il avait commencé. Ca me faisait du bien de sortir de ce taudis pour m’aérer. Si on pouvait réellement le faire des les bas fonds de Nar Shaddaa… Et puis il était déjà tard. J’avais quasiment rien mangé ce midi. Le soleil commençait à décliner. Mon ventre devenu incapable de gargouiller, m’indiquait pourtant que j’avais besoin de me nourrir. Des endroits où manger et trouver des crédits il y en avait des milliers sur la planète. Les cantina n’étaient pas ce qu’il manquait à Nar Shaddaa. Et je savais exactement où j’avais envie d’aller.
Les travaux dans la boutique avançaient lentement. Depuis cette acquisition, nous avions pu commencer sa rénovation. D’abord en nettoyant. C’était le plus simple. Ce que nous pouvions faire tous les deux. Les quelques crédits que nous avions en poche nous avez permis d’acheter le stricte minimum pour nettoyer en profondeur ce taudis. Ca avait été long. Mais nous allions pouvoir attaquer la destruction d’une bonne partie du local pour reconstruire par dessus. Détruire, ça aussi nous en étions capable. Entre mes bras en duracier et la force du Dowutin, ce n’était pas trop un problème. Le problème, allait être la reconstruction. Nous n’avions ni le matériel, ni les crédits pour en acheter. Nous étions ruiné à dire vrai. La boutique, c’était une chose. Mais je ne savais même pas comment j’allais m’y prendre pour entretenir mon propre corps. Oui, ce corps avaient de nombreux avantages, mais il coutait cher. Sans compter que nous avions un vaisseau à entretenir également.
- - Dis Grifingr. On a nettoyé, maintenant on fait de la place. Super. J’avoue même que je peux comprendre pourquoi tu voulais cet endroit. Mais avec quoi on va payer ? Tu y a pensé ?
- T’inquiète Kaal. Je peux faire la plupart des travaux moi même.
- Ça je le sais. Mais avec quoi tu vas les faire ces travaux ? On a aucun matériel, on a à peine les outils nécessaires. Je sais que tu aimes agir sur des coups de tête mais là…
- C’est bon Kaal. Imagine ce que ça va donner une fois fini. Ca pourrait être une bonne opportunité pour nous deux.
- On ne deviendra pas riche du jour au lendemain…
- Il faut bien commencer quelque part. Ne sois pas comme ça Kaal.
Je m’arrêtai de briser le faux bois de l’ancien comptoir de la boutique et me redressai. J’aurais dû être trompé de sueur. J’aurais dû avoir mal un peu partout même. Les courbatures auraient dû ralentir mon travail. Pourtant je ne ressentais rien d’autre que de la fatigue mentale. C’était la seule chose qui me ralentissait. Depuis que j’avais un nouveau corps, je ne ressentais plus la fatigue si je continuais de m’alimenter. C’était un peu mon carburant qui faisait circuler correctement tout ce dont j’avais besoin dans mes organes d’origines et synthétiques également. Mais mes muscles de métal ne ressentait plus la fatigue et le travail acharné. Je me demandais même si je pouvais ressentir de la douleur tout court. J’avais déjà eu mal dans ce corps. Mais je ne savais pas si cela faisait parti de ses fonctions, ou si mon esprit me jouait des tours, imaginant cette douleur de part ma vie passée.
- - Hey Kaal ! T’es parti où ? Tu vas bien mon pote ?
- Désolé. J’étais dans mes pensées. Je vais m’arrêter là Grif.
- Hein ? Mais on a encore du travail.
- T’inquiète pas. Je n’abandonne pas. J’ai juste l’impression que je serais plus utile ailleurs. Tu peux te charger de ça sans moi. Je vais essayer de nous trouver quelques crédits. Ca te va ?
- Tu n’as peut être pas tord… Bon. Je te fais confiance. Tiens moi au courant. Moi je continue ici.
- Ca marche.
Je laissais donc mon ami terminé ce qu’il avait commencé. Ca me faisait du bien de sortir de ce taudis pour m’aérer. Si on pouvait réellement le faire des les bas fonds de Nar Shaddaa… Et puis il était déjà tard. J’avais quasiment rien mangé ce midi. Le soleil commençait à décliner. Mon ventre devenu incapable de gargouiller, m’indiquait pourtant que j’avais besoin de me nourrir. Des endroits où manger et trouver des crédits il y en avait des milliers sur la planète. Les cantina n’étaient pas ce qu’il manquait à Nar Shaddaa. Et je savais exactement où j’avais envie d’aller.