- dim. 24 août 2014 15:49
#13302
Mais qu’est ce qu’il faisait ? Il … dormait ? En plein soleil ? La maladie du désert l’avait saisie, c’était certain. Au lieu de cela, il se redressa et lui lança un grand sourire de bienvenu. Il lui expliqua son altercation avec l’homme des sables et comment cela se faisait qu’il était étendu. La créature n’était pas morte. Il essayait de combler les vides laissé par le silence de la jeune femme. En réalité, elle était plongée dans son esprit. Il ne fallait pas oublier qu’il n’était qu’un mercenaire, rien de plus, que ce qui le motivait était l’argent et rien d’autre. En d’autre terme, la confiance qu’elle avait en lui ne signifiait rien. Cependant, malgré cela, elle sentait qu’il n’était pas comme les autres. Son esprit était tourné vers le passé, vers la jeunesse. Fuyait-il un futur incertain, ou simplement il avait choisis d’oublier un passé douloureux en s’enfermant dans les sphères de la jeunesse. Quoi qu’il en soit, elle resta plantée là pendant qu’il essaye de remplir le silence. Le vent qui fouettait les dunes de sable tentait de lui venir en aide, mais sa trop faible intensité ne produisait qu’un sifflement difficilement audible. Juxen essaya alors de le réveiller par des moyens plutôt brutaux, voir même inhumain.
Cela aura au moins eu le mérite de réveiller la bête. Il gémit et Juxen entama un interrogatoire qu’il arrêta aussitôt quand il entendit les gloussements du pillard. Il venait de le traiter de chair de Bantha, ou de défection, quelque chose dans le genre. Sauf qu’elle n’avait pas réellement envie de rigoler. Helera garda Juxen dans le coin de l’œil, ne sachant pas s’il était de son côté ou s’il cherchait le profit, à voir. Elle prit le Pillard par le col et le souleva du sol.
-Où est ton camp ?
L’autre laissa échapper un gloussement similaire à un rire. La jeune femme le lâcha et se releva, le dominant de toute sa hauteur. La colère montait comme la lave d’un volcan, prêt à exploser. Ses mains crépitèrent d’un bleu céleste et elle plaça sa main face au Tusken qui arrêta presque aussitôt de rire. La foudre picota sa peau, traversant l’épaule, puis le bras et se canalisant dans la main. Il se déversa ensuite en un flot continu sur la bête qui gémit de douleur. Pendant plusieurs longues secondes, elle déversa la rage qu’elle avait en elle dans cette seule attaque. Puis elle stoppa, laissant la créature gémir dans sa propre fumée. Helera se pencha sur lui et lui redemanda, en appuyant bien tous ses mots.
-Où est ton camp ?
Il leva difficilement la main et la laissa pendre vers une direction. Même s’il mentait, elle ne pourrait pas le savoir. Ils devraient marcher dans l’inconnu, en espérant que le camp ne soit pas trop loin. Elle se releva puis se dirigea dans la direction indiquée.
-Faites ce que vous avez à faire avec lui. Dans tous les cas, on ne peut pas l’emmener.
Cela voulait bien dire qu’il devrait le supprimer, ou le porter. Dans le dernier cas, il se tuerait lui-même. La jeune femme était trop énervé pour prendre des décisions rationnelles et le côté obscure l’avait envahit, tout en la laissant dans un semblant de calme. Le seul qui lui permettait de laisser Juxen encore en vie.
Cela aura au moins eu le mérite de réveiller la bête. Il gémit et Juxen entama un interrogatoire qu’il arrêta aussitôt quand il entendit les gloussements du pillard. Il venait de le traiter de chair de Bantha, ou de défection, quelque chose dans le genre. Sauf qu’elle n’avait pas réellement envie de rigoler. Helera garda Juxen dans le coin de l’œil, ne sachant pas s’il était de son côté ou s’il cherchait le profit, à voir. Elle prit le Pillard par le col et le souleva du sol.
-Où est ton camp ?
L’autre laissa échapper un gloussement similaire à un rire. La jeune femme le lâcha et se releva, le dominant de toute sa hauteur. La colère montait comme la lave d’un volcan, prêt à exploser. Ses mains crépitèrent d’un bleu céleste et elle plaça sa main face au Tusken qui arrêta presque aussitôt de rire. La foudre picota sa peau, traversant l’épaule, puis le bras et se canalisant dans la main. Il se déversa ensuite en un flot continu sur la bête qui gémit de douleur. Pendant plusieurs longues secondes, elle déversa la rage qu’elle avait en elle dans cette seule attaque. Puis elle stoppa, laissant la créature gémir dans sa propre fumée. Helera se pencha sur lui et lui redemanda, en appuyant bien tous ses mots.
-Où est ton camp ?
Il leva difficilement la main et la laissa pendre vers une direction. Même s’il mentait, elle ne pourrait pas le savoir. Ils devraient marcher dans l’inconnu, en espérant que le camp ne soit pas trop loin. Elle se releva puis se dirigea dans la direction indiquée.
-Faites ce que vous avez à faire avec lui. Dans tous les cas, on ne peut pas l’emmener.
Cela voulait bien dire qu’il devrait le supprimer, ou le porter. Dans le dernier cas, il se tuerait lui-même. La jeune femme était trop énervé pour prendre des décisions rationnelles et le côté obscure l’avait envahit, tout en la laissant dans un semblant de calme. Le seul qui lui permettait de laisser Juxen encore en vie.