- dim. 18 oct. 2015 20:55
#20247
AAAAIl retournait dans un lieu où il n'avait plus mis les pieds depuis plusieurs années. La cantina de Mos Esley, repère de truands, de malfrats et de contrebandiers en tout genre. Et il allait justement y voir un individu louche, mais avec qui Jarog avait sympathisé. "Narlink" s'était expatrié dans le coin pour d'obscurs raisons et il voulait voir le Vaathkree.
AAAAIl entra dans la cantina et scruta la salle. Les conversations cessèrent rapidement, puis reprirent une fois que la grande créature fut entrée. Il était en avance, il se dirigea donc vers le comptoir où la serveuse lui fit un grand sourire. Il n'était pas revenu depuis longtemps mais elle l'avait apparemment reconnu. Jarog ne se souvenait plus du nom de la demoiselle, mais il la salua avec assez d'entrain pour ne pas la vexer. Après un bref échange de banalités, il s'en fut trouver une table. Il ne doutait pas que sa présence serait enregistrée mais il n'y avait probablement plus personne à avertir.
AAAAAprès une vingtaine de minutes d'attente, le nautolan entra dans la cantina et se dirigea vers la table du Vaathkree. Après les salutations d'usage et la commande de boissons, "Narlink" entra dans le vif du sujet.
- Si je t'ai demandé de venir, ce n'est pas pour rien. Mais ça je pense que tu t'en doutes. Passons aux choses sérieuses: il me faut une rallonge. J'ai eu des soucis avec les autorités et j'ai dû partir un peu rapidement.
- Je vois. Dit un chiffre et je vais voir ce que je peux faire. Sinon j'ai une autre solution: bosses pour moi. Tu aura un salaire, un endroit où dormir et une couverture en cas d'autorités trop entreprenantes. En plus j'ai quelques amis qui travaillent avec moi qui peuvent te protéger et te donner accès à tous les réseaux que tu voudra. Jarog jouait là son va-tout, mais il avait besoin de "Narlink".
- Pour la rallonge, 15'000 crédits. Quand tu parles de salaire, on parle de combien?
- Disons que 3'000 crédits sont un bon début. Nourri logé et blanchi, bien entendu.
AAAAAprès plus d'une heure de négociations, ils convinrent d'une somme et des clauses du "contrat". Puis "Narlink" partit chercher ses affaires. Jarog resta dans la cantina en attendant, n'ayant rien de mieux à faire sur cette planète semi-désertique.
AAAAIl entra dans la cantina et scruta la salle. Les conversations cessèrent rapidement, puis reprirent une fois que la grande créature fut entrée. Il était en avance, il se dirigea donc vers le comptoir où la serveuse lui fit un grand sourire. Il n'était pas revenu depuis longtemps mais elle l'avait apparemment reconnu. Jarog ne se souvenait plus du nom de la demoiselle, mais il la salua avec assez d'entrain pour ne pas la vexer. Après un bref échange de banalités, il s'en fut trouver une table. Il ne doutait pas que sa présence serait enregistrée mais il n'y avait probablement plus personne à avertir.
AAAAAprès une vingtaine de minutes d'attente, le nautolan entra dans la cantina et se dirigea vers la table du Vaathkree. Après les salutations d'usage et la commande de boissons, "Narlink" entra dans le vif du sujet.
- Si je t'ai demandé de venir, ce n'est pas pour rien. Mais ça je pense que tu t'en doutes. Passons aux choses sérieuses: il me faut une rallonge. J'ai eu des soucis avec les autorités et j'ai dû partir un peu rapidement.
- Je vois. Dit un chiffre et je vais voir ce que je peux faire. Sinon j'ai une autre solution: bosses pour moi. Tu aura un salaire, un endroit où dormir et une couverture en cas d'autorités trop entreprenantes. En plus j'ai quelques amis qui travaillent avec moi qui peuvent te protéger et te donner accès à tous les réseaux que tu voudra. Jarog jouait là son va-tout, mais il avait besoin de "Narlink".
- Pour la rallonge, 15'000 crédits. Quand tu parles de salaire, on parle de combien?
- Disons que 3'000 crédits sont un bon début. Nourri logé et blanchi, bien entendu.
AAAAAprès plus d'une heure de négociations, ils convinrent d'une somme et des clauses du "contrat". Puis "Narlink" partit chercher ses affaires. Jarog resta dans la cantina en attendant, n'ayant rien de mieux à faire sur cette planète semi-désertique.