By Sarah Aka’spai - mar. 5 oct. 2021 13:07
- mar. 5 oct. 2021 13:07
#39858
La vision de la fiole quitter les doigts de l’homme horrifia la zeltronne. Elle voyait son remède, son antidote, se diriger vers le sol. Ça n'a même pas duré une seconde, mais pour elle ça semblait une éternité. Une éternité où elle ne pouvait agir contre. Pourtant, aucun son ne sortit de sa bouche. Elle regardait juste les morceaux de verre par terre, dans une petite flaque formée par le contenu. L’homme ne l’avait pas laissé tomber par inadvertance, et ne cherchait même pas à le faire croire. Au contraire, il l’a bien écrasé avec son pied. Mais pourquoi ? Pour l’énerver encore plus ? Pour lui faire peur ? Peut-être était-ce son unique flacon en sa possession actuel, mais que d’autres flacons se trouvaient dans son lieu de travail, d’habitation ou ne sait-elle encore. Peut-être voulait-il prendre d’autres mesures de sécurité, afin d’éviter que la zeltronne ne s'empare par la force de ce flacon et ne l’utilise.
Il désire récupérer quelque chose en la compagnie de Jessa ? Serait-ce pour ses capacités ? Il cherche la zeltronne ? La mandalorienne ? Non, il a parlé de contacts. Mais pourquoi les siens spécifiquement ? Des “bons” contacts ? Mais elle ne connaissait que quelques anciens mercenaires, des gérants de bars, des marchands et quelques chasseurs de la Guilde mais…
Son sang ne fit qu’un tour. Cet homme, cherchait-il des informations sur Sareth ? Mais avant de pouvoir y réfléchir, elle fut ramenée au monde des vivants par son tortionnaire.
Donc ce “poison” n’était autre qu’un vulgaire tranquillisant… Si cela semblait être la révélation de la soirée, ce qui étonna le plus Jessa ce fut son propre manque d’étonnement vis-à-vis de l’information. Mais au final, était-ce si étrange ? Un léger sourire en coin, Jessa prit enfin la parole.
“- Et quoi ? Je suis censée réagir comment ? Me réjouir ?”
Si ce n’était que du tranquillisant, alors la douleur devait être psychologique. Le stress sans doute. Tant mieux, elle sera vite totalement rétablie. Jessa regarda la main de son hôte, puis leva son visage vers le sien.
“- Bien, je ne suis pas en position de force, le "tranquillisant" fait toujours effet.”
Jessa se releva, debout face à l’homme. Le regard sévère, le ton sec.
“- Que cherches-tu chez moi ? Tu as parlé de mes contacts, qui te dit que j’ai des contacts intéressants ? Des ex mercenaires ? Il y en a des centaines. Des membres de la Guilde ? Tu peux aller à n’importe quel bâtiment de la Guilde et en trouver. Et ça m’étonnerait que tu t’intéresses à des barmans, des danseuses, ou des petits marchands locaux. Tu parles de subtilité et de profondeur, mais tu dis ça comme si tu connaissais ma relation avec ces “contacts”. Donc si tu connais si bien mes contacts, pourquoi ne pas aller les voir toi-même ? Tu t’en doutes, je vais avoir une tonne de question, dont une fondamentale: Qu’est ce qui te rend assez confiant pour m’avouer que ma vie n’est pas entre tes mains, sans prendre le risque qu’à la première occasion je te tues ou prenne juste la fuite ?”
Il désire récupérer quelque chose en la compagnie de Jessa ? Serait-ce pour ses capacités ? Il cherche la zeltronne ? La mandalorienne ? Non, il a parlé de contacts. Mais pourquoi les siens spécifiquement ? Des “bons” contacts ? Mais elle ne connaissait que quelques anciens mercenaires, des gérants de bars, des marchands et quelques chasseurs de la Guilde mais…
Son sang ne fit qu’un tour. Cet homme, cherchait-il des informations sur Sareth ? Mais avant de pouvoir y réfléchir, elle fut ramenée au monde des vivants par son tortionnaire.
Donc ce “poison” n’était autre qu’un vulgaire tranquillisant… Si cela semblait être la révélation de la soirée, ce qui étonna le plus Jessa ce fut son propre manque d’étonnement vis-à-vis de l’information. Mais au final, était-ce si étrange ? Un léger sourire en coin, Jessa prit enfin la parole.
“- Et quoi ? Je suis censée réagir comment ? Me réjouir ?”
Si ce n’était que du tranquillisant, alors la douleur devait être psychologique. Le stress sans doute. Tant mieux, elle sera vite totalement rétablie. Jessa regarda la main de son hôte, puis leva son visage vers le sien.
“- Bien, je ne suis pas en position de force, le "tranquillisant" fait toujours effet.”
Jessa se releva, debout face à l’homme. Le regard sévère, le ton sec.
“- Que cherches-tu chez moi ? Tu as parlé de mes contacts, qui te dit que j’ai des contacts intéressants ? Des ex mercenaires ? Il y en a des centaines. Des membres de la Guilde ? Tu peux aller à n’importe quel bâtiment de la Guilde et en trouver. Et ça m’étonnerait que tu t’intéresses à des barmans, des danseuses, ou des petits marchands locaux. Tu parles de subtilité et de profondeur, mais tu dis ça comme si tu connaissais ma relation avec ces “contacts”. Donc si tu connais si bien mes contacts, pourquoi ne pas aller les voir toi-même ? Tu t’en doutes, je vais avoir une tonne de question, dont une fondamentale: Qu’est ce qui te rend assez confiant pour m’avouer que ma vie n’est pas entre tes mains, sans prendre le risque qu’à la première occasion je te tues ou prenne juste la fuite ?”
Attention mes RP contiennent des scènes explicites ou des sous-entendus de nature à choquer .