- sam. 13 mars 2021 19:16
#39237
Pengalan IV. Une planète désertique oublié de beaucoup de monde. Quelques villes ici et là avec une faible population, en grande partie immigré. Et une mine. Une mine de Phobium qui avait été saisie par l'Administration Régionale des Colonies du Nord à la Sorosuub suite à l'affaire qui avait opposé la compagnie industrielle à l'état. A cette époque qui semblait si lointaine, ne pas payer le fisc et le revendiquer n'était encore punie que de saisie et de sanction commerciale et non de peine d'emprisonnement, voir de mort. Un laxisme que la Prima avait veiller à corriger depuis son accession au pouvoir.
Mais depuis cette affaire, Pengalan IV était resté dans l'ombre des planètes phares de la Confédération. Malgré des plans d'aides ambitieux, le monde poussiéreux n'avait jamais su atteindre la prospérité. Taanab, sa voisine la plus proche, lui avait volé toute la lumière. La belle avait grandit et c'était imposé comme une planète majeure des Colonies Septentrionales, au point même d'en devenir la capitale régionale. Pendant ce temps, la désertique avec stagné, voir même, reculé. Les affaires n'avait jamais su devenir florissante.
La population elle, était resté relativement faible. Les industries avaient bien amenés avec elles des immigrés mais cette populace peu nombreuse avaient établie des villes dortoirs en bordure des industrie. Les locaux eux s'établissait soit dans ses villes, soit dans des villages peu nombreux et peu peuplé, un peu partout sur la planète. Une vie archaïque, loin des standards galactiques. Ses natifs tenait presque des arborigènes. Une culture éloigné de la culture commune, un mode de vie à des années de ce que connaissait le reste de la Confédération, et quasiment aucune organisation. Les nouveaux venue avait quelquefois craint ces indigènes que l'on disaient violent, arriéré, voir complètement fou.
Voila ce qu'était Pengalan IV. Un monde que l'on avait tenté de faire émerger mais qui était resté dans son marasme initial. On avait tenté de faire des indigènes des modernes mais en vain. Un fossé c'était crée avec les nouveaux venus et les entreprises étaient au final devenu les seules réelles voix de ce monde. Tout aurait pu en rester là. Jamais plus alors nous n'aurions entendu ce nom en dehors de barbant rapport administratif. Mais la nouvelle Prima en avait décidé autrement.
Elle avait retrouvé dans les archives de sa mère un rapport d'exploration du monde établit pour la Sorosuub au tout début de son implantation. S'ils avaient trouvé de la Lomite et un gisement moyen de Phobium, ce n'était pas tout ce qu'ils avaient détecté. A l'époque, la compagnie avaient également identifié un phénoménale filon de Phobium. L'on pouvait se demander ce qu'un gisement de minerai pouvait avoir d'important au yeux d'une dirigeant galactique. La réponse se trouvait dans les livres de comptes de la Confédération. Les mines actuelles permettaient de réduire substantiellement l'entretiens de la flotte confédéré en alimentant à moindre coût les générateurs énergétique. Alors la jeune Prima n'avait eu aucun doute quand à l'effet que pourrait avoir un gisement bien plus gros.
Bien sûr, elle avait lu un peu partout dans le rapport que les natifs s'étaient opposé à toute exploitation. Un millier d’irréductibles indigènes, qui avaient opposé une fin de non recevoir à toute les propositions de la Sorosuub, même les plus juteuses. La compagnie sullustéenne avec alors fait machine arrière sur le dossier et s'était contenté d'un gisement plus modeste, gisement que la Confédération exploitait aujourd'hui pour le plus grand bonheur de ses comptables.
Alayna le savait donc, les solutions diplomatiques avaient été utilisée. Ne rester alors plus que la violence et la force. La vie d'un petit millier d'indigènes qui ne se considéré même pas comme des confédéré n'était au final qu'un faible prix comparé à la protection que ce sacrifice pourrait apporter par ses revenus commerciaux. Alayna avait entrepris de faire filtrer le réseau Holonet émis depuis la planète. Même si les indigènes n'avait guère accès à tout cela, la Prima se voulait prudente. On décréta la zone cible comme interdite suite à de soi-disant radiation émise par un réacteur de l'une des mines gouvernementales proches. On évacua les travailleurs par précautions, leurs donnant quelques jours de congés. On édicta des consignes strictes pour les astroports des industriels. Aucun départ de natif n'était toléré. Les indigènes présent dans les villes dortoirs devaient y rester pour le moment, à l'écart des immigrés. Ceux présent dans les villages éparses seraient à présent surveiller par l'agence Confédérée. Tout ce beau monde était observés, écoutés et espionnés. Les natifs étaient sous un dome de verre les séparant du monde extérieur. Et ce n'était pas les immigrés qui venaient pour la plupart trimé quelques mois contre une juteuse paie avant de repartir vers de cieux plus accueillant que se soucierait de la chose.
« La Prima le permet. »
Depuis son bureau de Mrisst, la Princesse de Chandrila avait décidé que le bien commun devait triomphait. Elle avait décidé que le feu s’abattrait sur ceux qui n'était pourtant pas ses ennemis. Sans préavis. Sans discussion. Sans rien pour laisser le temps aux indigènes de s'organiser. Bientôt, dans le secret le plus grand, la Confédération connaîtrait le premier acte de guerre de sa folle Prima. Sur son propre sol, le sang allait couler. En son cœur, un massacre allait être perpétré. Après tout, rien n'était trop beau pour la prospérité.
Mais depuis cette affaire, Pengalan IV était resté dans l'ombre des planètes phares de la Confédération. Malgré des plans d'aides ambitieux, le monde poussiéreux n'avait jamais su atteindre la prospérité. Taanab, sa voisine la plus proche, lui avait volé toute la lumière. La belle avait grandit et c'était imposé comme une planète majeure des Colonies Septentrionales, au point même d'en devenir la capitale régionale. Pendant ce temps, la désertique avec stagné, voir même, reculé. Les affaires n'avait jamais su devenir florissante.
La population elle, était resté relativement faible. Les industries avaient bien amenés avec elles des immigrés mais cette populace peu nombreuse avaient établie des villes dortoirs en bordure des industrie. Les locaux eux s'établissait soit dans ses villes, soit dans des villages peu nombreux et peu peuplé, un peu partout sur la planète. Une vie archaïque, loin des standards galactiques. Ses natifs tenait presque des arborigènes. Une culture éloigné de la culture commune, un mode de vie à des années de ce que connaissait le reste de la Confédération, et quasiment aucune organisation. Les nouveaux venue avait quelquefois craint ces indigènes que l'on disaient violent, arriéré, voir complètement fou.
Voila ce qu'était Pengalan IV. Un monde que l'on avait tenté de faire émerger mais qui était resté dans son marasme initial. On avait tenté de faire des indigènes des modernes mais en vain. Un fossé c'était crée avec les nouveaux venus et les entreprises étaient au final devenu les seules réelles voix de ce monde. Tout aurait pu en rester là. Jamais plus alors nous n'aurions entendu ce nom en dehors de barbant rapport administratif. Mais la nouvelle Prima en avait décidé autrement.
Elle avait retrouvé dans les archives de sa mère un rapport d'exploration du monde établit pour la Sorosuub au tout début de son implantation. S'ils avaient trouvé de la Lomite et un gisement moyen de Phobium, ce n'était pas tout ce qu'ils avaient détecté. A l'époque, la compagnie avaient également identifié un phénoménale filon de Phobium. L'on pouvait se demander ce qu'un gisement de minerai pouvait avoir d'important au yeux d'une dirigeant galactique. La réponse se trouvait dans les livres de comptes de la Confédération. Les mines actuelles permettaient de réduire substantiellement l'entretiens de la flotte confédéré en alimentant à moindre coût les générateurs énergétique. Alors la jeune Prima n'avait eu aucun doute quand à l'effet que pourrait avoir un gisement bien plus gros.
Bien sûr, elle avait lu un peu partout dans le rapport que les natifs s'étaient opposé à toute exploitation. Un millier d’irréductibles indigènes, qui avaient opposé une fin de non recevoir à toute les propositions de la Sorosuub, même les plus juteuses. La compagnie sullustéenne avec alors fait machine arrière sur le dossier et s'était contenté d'un gisement plus modeste, gisement que la Confédération exploitait aujourd'hui pour le plus grand bonheur de ses comptables.
Alayna le savait donc, les solutions diplomatiques avaient été utilisée. Ne rester alors plus que la violence et la force. La vie d'un petit millier d'indigènes qui ne se considéré même pas comme des confédéré n'était au final qu'un faible prix comparé à la protection que ce sacrifice pourrait apporter par ses revenus commerciaux. Alayna avait entrepris de faire filtrer le réseau Holonet émis depuis la planète. Même si les indigènes n'avait guère accès à tout cela, la Prima se voulait prudente. On décréta la zone cible comme interdite suite à de soi-disant radiation émise par un réacteur de l'une des mines gouvernementales proches. On évacua les travailleurs par précautions, leurs donnant quelques jours de congés. On édicta des consignes strictes pour les astroports des industriels. Aucun départ de natif n'était toléré. Les indigènes présent dans les villes dortoirs devaient y rester pour le moment, à l'écart des immigrés. Ceux présent dans les villages éparses seraient à présent surveiller par l'agence Confédérée. Tout ce beau monde était observés, écoutés et espionnés. Les natifs étaient sous un dome de verre les séparant du monde extérieur. Et ce n'était pas les immigrés qui venaient pour la plupart trimé quelques mois contre une juteuse paie avant de repartir vers de cieux plus accueillant que se soucierait de la chose.
Depuis son bureau de Mrisst, la Princesse de Chandrila avait décidé que le bien commun devait triomphait. Elle avait décidé que le feu s’abattrait sur ceux qui n'était pourtant pas ses ennemis. Sans préavis. Sans discussion. Sans rien pour laisser le temps aux indigènes de s'organiser. Bientôt, dans le secret le plus grand, la Confédération connaîtrait le premier acte de guerre de sa folle Prima. Sur son propre sol, le sang allait couler. En son cœur, un massacre allait être perpétré. Après tout, rien n'était trop beau pour la prospérité.