L'Astre Tyran

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Après l'explosion de l'étoile Démophon en supernova, toutes les planètes aux alentours dont Enarc furent réduites en poussière. La planète autrefois prospère n'est plus aujourd'hui qu'un amas de roches où de nombreux criminels et pirates ont élu domicile, la zone étant désormais complètement à l'abandon de tout passage hyperspatial.
Contrôle : Nouvelle République
#5139
Cyniosis partit de son coté, ecnie de ces soldats, toujours devant, ils avançaient, ils avançaient. Cyniosis eut un mauvais pressentiment, quelques secondes plus tard, des portes incrustaient dans les murs s'ouvrirent laissant voir des esclavagistes prêts à en découdre avec eux. Le jedi ne perdit pas de temps, il utilisa de toute sa vitesse pour briser l'élan de l’ennemi avant qu'ils ne fassent trop de dégâts. Il eut la chance de voir qu'il n'était pas seul, d'autres personnes vinrent se joindre à eux leur permettant d'en finir en vitesse avec les esclavagistes. Il reconnaissait la personne en tête, il avait déjà vu son visage quelque part.
"Majesté, c'est un honneur. Il faut dire que vous arrivez à pic, vous nous avez empêchez des pertes."
Il leva la tête et vit d'autres personnes débouler. Nombres d'entre les hommes déjà sur place braquèrent leurs armes sur nouveaux venus.
"Ne tirez pas, C'est Marnus."
Il laissa le soldat venir vers lui. Les propos de celui-ci lui donnèrent satisfaction.
"Bon boulot commandent. Vous avez fait vite, aller continuons, nous ne pouvons nous permettre de trainer."
Il prit les devants des troupes en compagnie de Kalgar et du roi. Ils couraitn dans les couloirs. Cyniosis avait un mauvais pressentiment, un très mauvais pressentiment. Ils devaient faire vite.
#5451
Le Falleen l’avait conduit jusqu’à une petite salle tout près de l’arène. Elle était sombre, mais dès que les deux individus furent entrés dans la salle, les lumières s’allumèrent toutes seules, laissant le temps à Kanjis d’observer le décor. Elle semblait avoir été conçue comme une chambre secrète derrière un mur, qui servait à abriter un poste de commande autonome. Au centre de la pièce, plusieurs consoles étaient installées, positionnées en carré. Les dernières lumières s’allumant, le Cathar put voir un vaisseau au fond.

« C’est ici que vous…habitiez… Comment vous comptiez partir, il ne semble pas y avoir de sortie pour un tel engin. »

« Hé… Tu crois pourquoi j’ai construit ça au milieu de la station. »Il tendit un doigt en direction du plafond au-dessus du vaisseau, en effet, Kanjis put constater une trappe qui pouvait surement s’ouvrir, assez grande pour laisser passer le yacht du type Baudo. Il se dirigea ensuite vers les consoles suivit de près par le Falleen titubant.

De l’autre côté de la station, Kean croisa la route d’une troupe impériale, faisant la grimace il faillit les descendre et à vrai dire eux aussi. Le Miraluka avait trouvé un groupe d’esclave qu’il avait amené avec lui. Toujours accompagné du très vieux T7, il braquait avec ses nouveaux amis la troupe du Moff, avant de réaliser qu’il semblait plus enclin à descendre des l’esclavagistes. Baissant son arme et tendit une main, paume vers l’avant en signe pour calmer le jeu.

« La station va bientôt imploser. Il faut évacuer, je crois que nous sommes l’un des derniers groupes. »

Les toutes les personnes présentes purent entendre le message de Kanjis communiqué depuis la salle secrète.

« La station va bientôt exploser, évacuez tout le monde, ceux qui sont près de l’arène, j’ai un moyen de quitter la station, mais il est limité, dépêchez-vous ! Terminé ! »

« Qu’est-ce que vous faites, non, non, vous ne pouvez pas les laisser partir. »Le professeur Falleen prit alors l’avant-bras de Kanji qui s’était retourné en direction du vaisseau.

« Lâchez-moi. » Il le bouscula et celui-ci tomba par manque d’équilibre.

Il laissa le pauvre vieux derrière et se dirigea vers le Baudo. À mi-chemin il repéra une sorte de salle annexe, enfin, un compartiment séparé du reste par des rideaux souvent installés dans des hôpitaux. Sa curiosité piquée à vif, fronçant les sourcils il se dirigea en direction de cette étrange installation. Le vieux lui cria d’arrêter mais il ne l’écouta pas. Là, en écartant les rideaux l’odeur lui souleva l’estomac, il s’écarta et se retint de vomir. Puis, jeta un nouveau coup d’œil. Devant lui se trouvaient au moins une cinquantaine de cadavres, charcutés, posés soit sur des tables, soit sur des brancards, voir, par terre, d'autres dans de sorte de cubes, enfin ce qui en restait.

« C’est vous… Vous ne faisiez pas que vous vengez que… vous prépariez autre chose ! »

Le Falleen avait enfoncé une vibrolame dans la chaire du Lion Gris. Celui-ci sentit une vive douleur dans son dos, pendant que le vieux fou riait et pleurait en même temps. Le cri du Cathar ressembla plus à un rugissement qui effraya le frêle humanoïde. Il envoya voler le fou d’un coup de revers de sa main et s’écroula, gravement blessé. Sonné, mais toujours vivant, le Falleen se releva. Kanjis n’avait mis au final que très peu de puissance de son coup.

« Mon maître ne va pas être content…ho non … Il ne faut pas que vous sachiez, il dit que cela devait rester secret oui… Je peux être sacrifié ce n’est pas grave, non, je le veux....pas grave. »

Sanglotant, il lécha la lame maculée de sang. Il fit parcourir le sang dans sa bouche de la même manière qu’un testeur de vin ferait et se lécha les lèvres « Vous auriez été parfait pour mes expériences...pour ses expériences ! »

À ses mots, il s’approcha d’un faible Kanjis, déjà fatigué par le combat dans l’arène puis ceux dans la station, cette blessure l’avait gravement affaibli. Alors que son corps entier donnait des signaux de partout, il essaya de puiser ses dernières forces pour se relever mais cela ne le fit que plus souffrir. Alors il se rappela de ses méditations, de ses étranges phénomènes. Il était à deux doigts de la mort, il ne pouvait seulement espérer. Il essaya donc de se mettre dans le même état de méditation qu'à l'accoutumée, mais le mal était fort, et le Falleen était tout proche, s’avançant boitant un peu plus que tout à l’heure...

Kanjis ferma les yeux. Là, des images étrange lui parvint, ses parents d’abord, puis de lui enfant, très jeune, et là un homme, un médecin vu sa tenue, il parlait à ses parents, sa mère pleurait, son père était en colère, quand le médecin bougea, Kanjis put voir un petit kit de test sanguin, puis tout s’arrêta. À cet instant quelque chose explosa ou plutôt se libéra en lui, c’était comme un verrou qui venait d’être brisé. Et là instinctivement guidé par quelque chose, il leva le bras en direction du Falleen, celui-ci croyant voir sa proie supplier d’arrêter fut bien surpris quand il se fit projeter en arrière par une force inconnue. Atterrissant contre le vaisseau, Kanjis put entendre les frêles os se briser au contact du duracier. Épuisé, il savait qu’il n'avait que très peu de temps. Il essaya alors de se traîner vers le vaisseau malgré sa blessure, mais à vrai dire il n’avait que très peu de chances d’y arriver, à moins que quelqu’un vînt l’aider, mais cela était très peu envisageable… non .
#5506
Exploser ? La station allait exploser ? Comme ça ? Boum ? Un truc aussi grand et aussi connu serait donc réduit en cendre en un rien de temps ? Ce n'était pas quelque chose de commun et, en lutant contre les esclavagistes qui venaient aux côtés d'un Jedi, le Roi Coynite se posait des questions. Des comment, des pourquoi. Comment la faire exploser ? Un gros explosif ? Un système d'auto-destruction ? Mais surtout pourquoi ? Une telle station rapportait beaucoup et, ce n'était visiblement ni les impériaux, ni les républicains qui avaient enclenché ce processus. Les esclavagistes ne tenteraient pas ça ... Il devait y avoir quelqu'un d'autre, une autre entité ...
Qu'importe. Il fallait fuir.

« Soldats ! Retournez au vaisseau, je connais cette station, je vous retrouverais dehors. C'est un ordre. »


Pas de discussion chez les Coynites, extrêmement bien disciplinés, qui firent demi-tour en portant les éventuels blessés et les esclaves qu'ils trouvaient. La liberté serait bientôt leur, mais il fallait sortir avant tout.

De son côté, le Roi Im'Toral avait commencé à courir dans les couloirs de la station. Il était venu de nombreuses fois sur cette dernière et savait donc où était la salle de contrôle et de communication. Mais il n'y trouva rien. Perdu. Il continua alors à courir pour se rendre vers les hangars lorsqu'il vit, de loin, le Miraluka gladiateur et un droide astromécano. Bingo ! Derrière eux, les portes étaient ouvertes et le mèneraient sans doute directement ... À l'arène ?
Une arène qui, outre le fait qu'une jeune fille semblait tétanisée, était différente de ces souvenirs ... Cette salle, elle n'avait jamais été là !
Non.
Il ne l'avait jamais vu. Nuance. La clef devait être là.
Saisissant la fillette dans ses bras forts, l'humanoïde de plus de 2 mètres se dirigea ensuite vers cette cache secrète où il vit un spectacle pour le moins ... Surprenant. Un Faleen volant. Oui, volant. Et qui vint s'exploser contre le mur du fond. Le Coynite restât interdit quelques dixièmes de seconde avant de bouger à nouveau. Le Cathar était là.

« Cette salle m'est inconnue, mais je suppose qu'il s'agit de notre porte de sortie. »


Il désignait le petit vaisseau au centre de la pièce. Il déposa la jeune fille à côté, lui ordonnant de monter, avant de se diriger vers le gladiateur. Blessé. Et il n'avait pas de poche de bacta sur lui.

« Amiral, préparez une chambre de soin, nous avons des blessés. »


Et puis, il tendit la main au Cathar, sans le lâcher des yeux.

« Un guerrier sait quant il doit fuir. Mais il n'abandonne jamais ses frères d'armes. Debout, Kanjis ! »
#5654
"Faites de même, commandent Kalgar ramenez les troupes sur le croiseur. je reste ici."
Quand il vit le roi partir seul sans l'attendre, le jedi put remarqué que celui-ci ne s'était joint à lui que par mesure de sécurité. Cyniosis n'aimait pas ce genre de comportement. Il le suivit en silence tout en restant à bonne distance. Quand celui-ci déboucha dans l'arène, Jugo attendit. Il put voir lui aussi le faleen exploser contre le mur du fond. Il rejoignit le roi qui porté le Kathar blessé. Il le pris lui aussi par une épaule et ensemble ils le soulevèrent.
"Nous allons l'emmener sur un croiseur Mon calamari, nos équipes médicales pourront s'en occuper, ensuite nous nous poserons sur Naboo."
Ils furent au vaisseau en plus de temps qu'il n'en fallait pour le dire. Il s'installa au poste de pilote et s'empressa de décoller.
#5679
Aux mots du général, le commandant Kalgar ordonna le retrait de ses troupes. Sans perdre un instant mais toujours dans l'ordre et la discipline, le commando s’exécuta tout en restant en formation à fin de parer à toutes éventualités. Les soldats arrivèrent enfin au point d'exfiltration, la troupe qu'il avait laissé pour assurer une retraite sûr avait tenu bon.

L'escouade retranché aperçu leur commandant arriver d'un pas presser. Il semblait être préoccupé par quelque chose de très important. Effectivement, la station était sur le point de s'auto detruire et il fallait la quitter au plus vite. A peine arrivé devant les vaisseaux qu'ils allaient prendre pour retourner au croiseur, Kalgar sonna la retraite immédiate.

Tout les hommes en soutien, en une formation en tiroir, effectuèrent une retraite en toute sécurité. Ils s'appuyèrent mutuellement en direction des navettes. Une fois le dernier monté, Marnus ordonna aux pilotes de rejoindre le croiseur du général au plus vite. Quelques secondes avaient suffit pour quitter la station et quelques minutes pour regagner le croiseur.

Une fois posé sur le croiseur, Marnus fit l'appel au sein de ses troupes pour voir s'il n'avait perdu personne. Aucun homme ne manquait à l'appel, ce qui réconforta le commandant.

Il se dirigea vers la passerelle du vaisseau afin de communiquer au général son compte rendu de mission.


Commandant Kalgar : Officier de pont ?! essayer de contacter le général et prévenez moi dès que vous l'aurez eu.

Officier de pont : Reçu commandant Kalgar, je vous ferai quérir dès que j'ai des nouvelles.


Le commandant retourne auprès de ses hommes pour prendre la température de la situation.
#5681
La mort s'accumulait aux pieds d'Emsar petit à petit. Pas un n'échappait à la lame courbe de L'homme en colère qui en valait douze. La mort aux trousses, Emsar se dirigea vers la prochaine salle. L'éclat d'un soleil lointain éclaira la salle par sa baie vitrée, occasionnant un autre Meurtre au soleil. Puis, sur le côté, Le Miroir se brisa, révélant une sorte de grande salle avec un Cathar en son centre. Le Cathar au Coeur de Dragon était à côté d'un Falleen qui ne semblait pas en état. Un Coyn vint avec ses Brigades du Tigre pour venir chercher le Cathar, alors qu'Emsar s'y dirigeait aussi. Le Magnifique leva les mains bien haut pour montrer qu'il n'était pas un ennemi, mais il ne broncha pas quand il prit sur lui la bête blessée.

La station s'ébranla, et une alerte à la bombe retentit dans La Chose qui formait l'arène. Alerte !

[font=Georgia]« Vite, Il est Revenu ! Il se dirige vers le hangar, rapatriez les esclaves et abandonnez la station, exécution ! »[/font]


Les ordres furent données, et Le Champion s'élança devant le groupe, voyant Cyniosis pour la deuxième fois.

[font=Georgia]« On va sûrement en croiser d'autres, j'ouvre la ligne, on se retrouve Un Pont trop loin ! »[/font]


Et Emsar partit en direction des navettes qui faisaient les derniers voyages, entassant les derniers esclaves, et les soldats pour deux voyages maximum... Décidément, ça aurait été Le Jour le plus Long de la semaine...

A bord de sa navette, à donner l'Ordre et la Morale, il fit le compte des victimes : aucune. Les esclaves seraient libres pour fêter leur Long Dimanche de Fiançailles tranquillement, après avoir reçu les soins minimum.

[font=Georgia]« Soldat, ordonnez au capitaine Schindler d'établir la liste des destinations souhaitées pour les esclaves, et mettez-nous en relation avec l'officier républicain, et le Coynite pour que le peuple complet décide d'une seule voix pour le Jour d'Après... Amenez un porte-parole de notre équipage libre, pour entendre ensemble le Discours d'un Roi cathar. »[/font]


Et un quart d'heure après, on lui présentait la Liste de Schindler, ainsi que le porte-parole des anciens esclaves libérés en ce jour. Il Était une fois dans l'Ouest de la galaxie... La libération d'esclaves par une force conjointe de l'Empire et de la République. Espérons que la république n'oublie pas ce geste, sinon, l'affront sera lavé par un V pour Vendetta.

Chaud. Qui dit mieux qu'un titre de film par phrase ?
#5859
Qu’est-ce qui l’avait affaibli comme cela ? Peut-être un peu le tout, mais là il fallait avouer qu’il était dans un sale état, un état déplorable au point qu’on devait le porter. Qui ? Et bien tout d’abord le Coynite, la légende. Accroché à son épaule, ils évoluèrent tous deux vers le vaisseau quand un autre bras vint le soutenir. L'homme semblait être républicain, mais il remarqua une chose, ce n’était pas un soldat, il avait un habille diffèrent. Arrivé dans le vaisseau, le républicain se mit au poste de pilotage pendant que Im’Toral le conduisit sur une couchette. Et là comme une étincelle il réagit inquiet, paniqué.

« La fille… il y avait une petite fille qui… »

Elle apparut à côté de lui, souriante, muette. Le Lion gris soulagé sourit alors à son tour. Il sentit le vaisseau décoller. La porte positionnée au-dessus de lui le laissa passer verticalement. L’espace était juste pour ce type de vaisseau et passa en frolant les parois. La montée prit largement deux bonnes minutes, interminables, ébranlant le vaisseau.

Dans les entrailles du gouffre, un énorme cylindre n’arrêta pas de sifflet oui, comme si quelque chose essayait de sortir dû dis cylindre en forçant le couvercle. Ce qu'il voulait en sortir n’était rien d’autre que de l’énergie concentrée. Les valeurs étaient dans le rouge, rien ne pouvait arrêter le déluge. Dans les couloirs de la station, dans les salles, au milieu de l’arène tout était vide, mais à part les cadavres abandonnés. La station tremblait, c’était sa fin.

Alors que la plupart des vaisseaux étaient hors de portée, un était encore en chemin pour se mettre à labrit, moteur à fond le Baudo crachait ce qu’il avait dans la carcasse et c’était plutôt pas mal à vrai dire.

C’est alors qu’une lumière vive brisa en deux la station, dans un silence effroyable, puis, deux millisecondes après les deux parties, partir également enfumées. Le yacht fut secoué de partout, la fillette s’agrippa au torse du Cathar de peur. Le pilote dû s'agripper au manche pour tenir le cape, à vraie dire tout le monde du s'agripper à quelque chose. Quand le vaisseau sorti du rayon d’action de l’explosion, tout revint calme. Laissant derrière eux qu’un amas de débris et carcasse d’une station obscure qui sentait encore le mystère à plein nez.

Un bref sourire s’afficha sur le visage de Kanjis qui essaya de se redresser.
« On dirait que vous allez devoir trouver un autre terrain de jeu altesse... »
Il essaya de se mettre debout dans un petit râle étouffé.

« Il faut rejoindre les autres, je veux savoir si ils sont tous libérés.. Je veux les voir. »
#6049
Le Coyn grogna un bon coup à la venue du Jedi. Il appréciait ces hommes et femmes en tant que combattant digne. Pas en tant que politicien. Et celui-ci venait de confirmer cet apriori. Brutaux et décisionnaires. Ils imposaient leur choix sans chercher à discuter. Bien loin du grand maître Qui-Gon.
En bref, il faudrait leur apprendre la diplomatie. Une 30 ans à se battre et voilà que l'on en oublie les bonnes manières.

« Le Prosperity dispose d'une unité médicale déjà prête à intervenir, Jedi. Et les hôpitaux de Merisee sont bien plus performants que ceux de Naboo. Au vu de ses blessures, il serait plus judicieux de l'y amener. Mais ce choix lui revient. »


Puis, il se tourna vers le blessé et lui fit les premiers soins rapidement. En gros, cela se résumerait à enlever la balle et faire un bon gros garrot avant de chopper une poche de bacta dans les réserves de tous vaisseaux. Qui allait croire que ce Fallen allait partir sans avoir prévu cela. Ainsi, il l'appliqua et le rassura.

« Cette fillette est brave. Elle a dû en voir par ici, mais a, semble-t-il, une certaine estime pour vous. C'est une chose rare de nos jours. Faites attention à elle. »


Les humains n'avaient pas cette notion de dette de vie, mais pour le Coynite, en ayant sauvé la fillette, le Cathar s'était placé en tant que protecteur. Il devrait en prendre soin, l'éduquer et lui permettre de vivre une bien meilleure vie qu'avant.
Et puis il y eut l'explosion. Une énorme explosion.
Et un sourire sur le visage du blessé. Un sourire que lui rendit le non-humain.

« Je ne l'ai jamais apprécié, et tous mes passages étaient faits pour libérer quelques personnes. Mais à présent elles le sont toutes. C'est une bonne chose.
Vous devriez passer sur Coyn lorsque vous serez rétablis, je suis sûr que vous y trouverez votre compte ! »


Et puis il répondit à sa dernière demande.

« Ce ne sera pas simple de voir toutes ces personnes libres. Elles sont dispersées entre les vaisseaux de trois entités aux objectifs différents, parfois opposés. Je vais contacter mon amiral, vous aurez un appel holographique avec chacune des personnes à qui vous avez offert une nouvelle vie. »


Et ce fut fait.
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