- dim. 24 déc. 2017 15:32
#30915
Jack Crypston a écrit :… IDENTITE ...
Nom : Jack Crypston
Espèce : Humain
Profession : Ancien programmeur nouvellement Directeur d'Entreprise de droïde
Âge : 34 ans
Planète d'Origine : Télos
Faction : Neutre, appartient au Secteur Corporatif
Arme : Prototype de pistolet a ion avancé pouvant faire passer son rayon à travers de fine surface (30cm environ), il a aussi un mode blaster classique
Équipement : Jack porte des vêtements décontractés, mais il a toujours une veste de costard par-dessus, un œil cybernétique, prototype pouvant recevoir des améliorations dans le futur, et une prothèse raffinée pouvant elle aussi être améliorée dans le futur.… PHYSIQUE ...
Jack est un homme au corps svelte, d'une bonne taille à la carrure typique des négociants hors pair. Ses yeux sont dépareillés l'un d'eux vert émeraude, le second d'un bleu cristallin presque irréel. En réalité, l’œil bleu est un œil cybernétique habilement dissimulé. L'un de ses bras est une prothèse finement sculptée. Le gris métallique de l'objet est marqué de légère tige d'or formant des symboles, dont le sens est connu seulement du maître qui a fabriqué cette pièce de premier choix. Ses cheveux toujours coiffés de manière impeccable, d'un simple brun clairsemé de quelques mèches blanches. Son visage toujours marqué par un sourire provocateur.… PSYCHOLOGIE ...
Jack est un homme qui par les épreuves qu'il a endurées, lui valurent un comportement cynique, arborant toujours un sourire provocateur, charismatique, beau parleur, extravagant avec un certain ego. Mais sous ce masque de faux-semblant, Jack est en un jeune enfant qui n'a jamais eu l'attention de qui que ce soit, abandonné par tous. Il s'est toujours battue pour obtenir l'admiration et la reconnaissance des autres, Jack tentera toujours de se faire passer pour un homme qui ne peut faillit à l'image des héros d'holofilms. Mais Jack n’est qu'un homme qui a enfoui ses réels sentiments sous un voile de mensonge. Se refusant de montrer sa personnalité profonde à autrui, il ne se morfondra jamais sur son sort en face d'autres personnes, préférant encaisser que céder à ses sentiments, avant de fondre lorsqu'il sera seul.Son père profondément toxique lui transmit en partie cet héritage empoisonné, Jack prend plaisir a taquiner les individus incompétents, et a regarder avec méfiance ceux qui lui sont égaux.
Jack n'a que peux de considération pour ses employés, les considérants comme des crétins incapables de faire autres choses que de lécher des bottes. Jack a aussi la fâcheuse tendance de donner des coups de pied dans les droïdes trop lents. Il n'est pas le meilleur guerrier de la galaxie, mais est un réel génie pour ce qui est de conserver sa personne, trouillard comme pas deux ne tournant le dos à personne, Jack ne s'engage presque jamais dans un combat qu'il est sûr de perdre, en cas de problème la fuite est souvent la solution à préférer, mais une fuite avec classe ! Et lorsqu'il est contraint à se battre en mauvaise posture, c'est toujours avec l'assurance de posséder un atout décisif lui conférant un avantage déloyal et un sourire tapageur d'extérieur un colosse sans faille, dans sa tête un colosse aux pieds d'argile foutrement sur le point de s'éclater sur le sol. Jack a déjà tout perdu, il est donc prêt à presque tout pour récupérer ce qui lui revient de droit gloire, fortune et tout le tintouin qui va avec... Mais sans prendre le risque de perdre sa vie dans l'opération... D'une détermination de fer Jack n'hésitera pas de se salir les mains s'il le faut, mais si on peut faire salir la main du voisin plutôt que la sienne ça sera pas de refus, il ne reculera devant rien, même s'il doit commercer avec l'empire un jour, le lendemain vendre à la République et le soir même graisser la pègre pour qu'elle attaque ses propres convois pour pouvoir jouer sur l'assurance. Il le fera et au diable les répercussions seules le résultat compte. Jack est un homme qui n'a qu'un seul objectif, le profit, rendre la monnaie de sa pièce aux Secteur-Corporatif qui a broyé sa vie et sa survie avant tout !… HISTOIRE ... |Début de l'enregistrement Holocom|
Une voix robotique et monotone répondit.
Je m'attardai à observer, la machine, qui venait de me répondre nonchalamment étudiant son comportement, une idée trottais dans mes pensées " Est-ce que ce tas de ferraille est en train de se payer ma tête ?" Je n'y prêtai pas plus de temps, me concentrant sur mon enregistrement.
Je commence cet enregistrement, pour marquer mon entrée dans le monde des affaires, car aujourd'hui est mon premier enregistrement en tant que directeur de mon entreprise ... Euh, j'avoue ne pas avoir réfléchi à un nouveau nom d'entreprise pour marquer le coup, garder l'ancien pourrait m'être... Préjudiciable me semble être le mot le plus adapté" »
Bon bon réfléchis Jack réfléchis...
Je me tenais la tête l'air songeur oubliant presque l'enregistrement, un long silence brisé seulement par les bips réguliers des différentes machines qui parsème le nouveau bureau, mon nouveau bureau.
Le droïde se retourna rapidement son maître venait de l’appeler par son numéro de série et non pas "tas de boulon", c'était surprenant surtout qu'il connaissait le cynisme de son maître. Il répliqua d'un ton monotone.
Je répliquai sèchement.
Le droïde marqua un temps d'arrêt, comme s'il cherchait ses mots, une telle chose était tout bonnement impossible. Le droïde de protocole avait un processeur suffisamment rapide et puissant pour traiter plus de 33 conversations différentes simultanément, répondant à l’instant même où le locuteur avait fini de parler. Ici, il n'était pas question de problème de calcul, mais bien de prudence, le ton froid qu'avait utilisé son maître lui faisait bien entendre que répondre à sa question l'ennuyait. Au bout d'un instant qui semblait interminable, le droïde posa sa question.
Je foudroyai du regard la machine, serrant mon poing, pris un moment puis répliquai simplement
Aucune réponse n'était attendue, c'était une simple question rhétorique. Pourtant dans mes pensées je connaissais la réponse à sa question Nostrom Company... Nostrom était le titre d'un nanar qui passait toujours sur la chaîne Télosienne, son héros était une sorte de super entrepreneur du futur qui se battait pour sauver la veuve et l'orphelin tout en engrangeant un tas de crédits, c'était le film que je préférai et de loin, mais les autres n'avaient pas à le savoir...
Je donnai une simple tape sur la machine. Qui malgré tout, resté stoïque face à ces menaces, se ravivant de toute protestation, ou commentaire. Après tous Harold sonné tout de même mieux que tas de ferraille, je me rappelai soudainement d'un petit détail, l'Holojournal lui enregistré encore.
J'avais frappé violemment mon bureau comme pour appuyer mes propos, ma main en était devenue et ça faisais plutôt mal à vrai dire. Et à nouveau un calme plat, et pesant s'installa dans la salle.
Je me pris ma tête entre mes mains, "qui voulait-il trompé, à part lui-même" Je me redressa et regarda mon bureau. Celui qui appartenait à mon père il y a encore quelques jours, il était poussiéreux, sombre, usé... Tout comme moi. Sans un mot, je pointai la porte au droïde, j'avais besoin d'être seul. Harold s'exécuta, seul le bruit de la porte qui se referme brisa le silence pesant de la salle. Je contemplai mon Holojournal, je le coupai et jetai l'appareil avec dédain sur mon bureau.|Fin de l'enregistrement Holocom|
Je me mis à laisser traîner ma main le long du meuble qui me faisait face avant de m'arrêter sur un interrupteur dissimulé. Un coffre s'ouvrit, dedans de nombreuses factures contracté par mon père et sa réserve personnelle de boisson, je me saisis de la première bouteille à ma portée, avant de la bouchonner nonchalamment, et je me servis un verre. Je reposai la bouteille de verre sur mon bureau. Avant de m'asseoir dans mon fauteuil. Je me sentais seul, en vérité j’étais seul... Terriblement seul, je cherchai à me remémorer, le déroulement des derniers événements, tout était allé vite, si vite... beaucoup trop vite.
Je me souvenais de ce qu'on m'avait dit, au tout début bien avant ma naissance, mon entreprise s'appelait la Crypston Corp. Elle était une entreprise de longue date, fondée par mon arrière arrière arrière arrière grand-père. Elle n'était à ses débuts qu'une petite boîte un simple magasin indépendant, Crypston Corp ne fabriqué à l'époque que des pièces de rechange pour droïdes, et petit à petit au fil des générations, la petite entreprise avait grandi, pris de l'ampleur, elle était devenue l'une des plus puissantes entreprises de Télos, se dressant au-dessus des nombreuses entreprises qui parsemaient le sol de Tèlos. La Crypston Corp s'était élargie et elle ne vendait plus de simples pièces détachées, mais des droïdes protocolaires avancés, des blasters en tout genre allant de la simple arme à ions aux canons Phantom de classe 01, des droïdes de sécurités, des modèles de pilotages et même récemment des droïdes de combat lourd avancés.
Chaque Crypstons développé une nouvelle gamme, une nouvelle branche agrandissant inexorablement l'entreprise familiale chacune avait amené quelque chose à l'entreprise. Enfin presque tous, Harold Crypston, son père lui était le mouton noir. Quand Harold récupéra l'entreprise familiale et son héritage, il ne développa rien, il préféra vivre du travail de ses paires, dépensant à outrance la fortune familiale ne se refusant aucun excès. Se moquant éperdument du devenir futur de la Crypston Corp, qui avais essuyer une lourde défaite sous le temps de mon grand-père et qui on subissait encore les retombées, pourtant mon père ne changea rien à son train de vie débauché. Si l'on devait me demander de dresser un portrait d'Harold Crypston, le méchant d'un holofim de série B racolerait à une telle description, il était dépensier, orgueilleux, sans scrupule, il commanditait la neutralisation... souvent définitive aux personnes qui lui tenait tête. Violent et impulsif...
Même s'il était odieux, on avait vu plus sympathique, avec les personnes qu'il ne connaissait pas, il était bien pire avec sa femme et plus important encore son jeune fils... C'est-à-dire moi et l'autre là c'était ma belle-mère. L'autre nous battait, histoire de rester dans l'originalité, histoire de passer ses nerfs. La belle-mère disparue d'un coup de club de golf, un jour où mon père était dans une colère noire. Alors que j'étais à peine âgée de cinq ans, une personne était morte devant moi sous les coups d'une belle enflure, j'étais le sang de ça cher, je grandis avec un assassin, je vous passe les résumés sur l'ambiance que c'était à l'heure du soupé... Si y'avait bien une chance qui n'avait pas changé après ça c'était bien l'autre,mon "père" qui dépensait la fortune familiale, en à peine quelques années une entreprise forte de génération entière de travail, fut réduit à néant à cause d'un seul homme. À mes quinze ans, mon père m'amena loin dans une des villes sinueuses de Télos. Ces jours-ci fut le tournant de l'histoire, avec un grand H je vous prie, quand nous fumes loin des regards indiscrets, il m'abandonna, en me disant simplement :
Et avant même de pouvoir répliquer quoi que se soit, il me laissa là, sans même m'adresser un quelconque regard. Il m'avait abandonné, dans la rue... Seul ... Sans le moindre remords... Quelle espèce de tocard dirai ça a un gamin de quinze piges, non qu'elle espèce de déchet consanguin bilatéral dirait ça a son propre fils avant de l'abandonner... Je ne compris jamais la raison de cette décision si extrême... Pendant les premières années, j'étais perdu et pourtant je survécus, j'appris à vivre avec les règles de la rue, apprenant à mes dépens à me battre, à survivre... Ou plutôt à vivre aux dépens des autres, une leçon de vie enseignée par l'ASC. Pourtant, je nourrissais l’espoir qu'un beau jour, je reprendrai les reines d'une entreprise comme les héros des holofilms corporatiste luttant contre les vilains parasites. J’appris sur le tas, et avec quelques malfrats plutôt débrouillards, le b à bas de la programmation du slicing, à mes trente ans jetait devenu suffisamment compétent pour pouvoir me confectionner un faux diplôme et une fausse identité, de quoi procrastiner dans de grandes entreprises. Je choisis de revenir dans la Crypston Corp. Il me fallut peu de temps pour me faire recruter, l'entreprise n'était plus que l'ombre d'elle-même, il ne restait plus que l'usine principale et l'usine auxiliaire couplée d'un pauvre laboratoire de recherche attaché à l'usine principale, la Crypston Corp était revenue à son état presque originel, une pauvre boîte oubliée de tous, murmurait son nom revenait à convoquer un fantôme du passé...
Je pris quelques précautions pour éviter d'être reconnu, je pris l'acronyme de John Stoncrip, c'était peux subtil et pourtant jamais on ne me reconnut, pas même mon père, qui semblait avoir oublié qu'un jour, il eut un fils. Déterminer de reprendre les reines, je m’efforçai de monter les échelons, en sacrifiant tout ce qui me restait mon temps et ma santé malheureusement plus je montais et plus l'entreprise coulait dans un abîme qui semblait sans fond. Ce n'est que lorsque j'atteins le poste de conseiller, que l'entreprise avait atteint un stade de non-retour. Il fallait agir vite, si je voulais récupérer l'entreprise, c'était maintenant, après il serait trop tard. Et ce sera lors de ma première réunion, que j'agirais cette réunion était une opportunité rare, mon père ne participait jamais aux réunions, mais celle-ci était une réunion d'états d'urgence. Il sera obligé d'y participer. C'était la première fois que je reparlerai à mon père et ça sera la dernière... Je ne suis pas un combattant hors pair, je pouvais être froid manipulateur et un peu lâche sur les bords, mais je ne suis pas un meurtrier, je n'avais jamais tu même quand j'étais seul dans la rue, je n'ai jamais eu à tuer quelqu'un. La vie ne m'a jamais fait de cadeaux, mais elle m'a au moins appris qu'il fallait être impitoyable pour obtenir ce qu'on voulait... Alors me dégoûtant moi-même de ce que j'allais devoir accomplir, je me mis a la rechercher du plus puissant poison que je pourrai trouver, comme quoi la vie dans la rue m'avait apporté beaucoup plus que mon paternel.
Comme le fait de connaître pas mal d'endroits louches, je dus faire tout de même faire usage de tout mon réseau pour pouvoir me procurer ce que je voulais. Mon plan ne brillait pas pour sa complexité, j'empoisonnerai le verre de tous les convoqués, ainsi, il n'y aura aucun témoin... La nuit quelques heures avant l'heure fatidique, je m’infiltrai dans l'usine auxiliaire, je déverrouillai le bureau de mon père. Petit mon père caché ses boissons dans un coffre dérobé, et le bouton pour le déverrouiller étaient, situé sur le meuble d'en face(seul le clic du coffre rompit le silence), je ne me compliquai pas la tache, les nombreuses boissons dans le coffre... Et Bingo ! Les boissons étaient toujours entreposées là certaines étaient vide, d'autres à moitié pleine, mais peux m’importer, je les empoisonnai toutes, je refermai le coffre, et je croisai les doigts, misant sur l'alcoolémie de mon père. La réunion se déroulera dans une grande salle, il n'y avait personne tous les employés étaient partis. La réunion commença plus tard dans la nuit, l'usine et le laboratoire étaient déserts. Tous les convoqués avaient une mine grave, même mon père avait dans ses yeux une lueur de détresse. Tous dans cette salle avaient conscience que la fin était proche, l'entreprise avait perdu tant, plus de la moitié a été vendue aux plus offrants pour pouvoir rembourser les dettes contractées par mon père, et pourtant, c'est un détail que personne ne précisa craignant trop pour leurs postes, et le reste a été saisie pour fautes d'impôt impayé. Cette scène était pour moi un parfait exemple de l'incompétence des hommes enfin plutôt des organiques, un seul homme a été capable de détruire le travail complet d'une génération qui avait tous sacrifiés pour que l’entreprise ait un jour un tell essor, mais les conseillés tout autour de moi n'étais que des abrutis qui étaient toujours du côté du patron. La réunion fut barbante de nombreuses discutions abordant divers plans, pour tenter de renflouer l'entreprise, c'était beaucoup de parole en l’air cela n’aboutit à rien et pourtant mon père trinqua pour cette réunion inutile, il trinqua pour sa dernière fois, tous tombèrent le poison avait fait son office, il m'avait coûté très cher, mais le résultat restait sans appel... J'avais réussi, se fut si simple une étrange sensation naquit en moi, ce fut presque plaisant...
Presque, je me sentais coupable d’avoir eu de telle pensée, chassant ces idées macabres de la tête, le bâtiment était vide, la scène, c'était déroulé en quelques instants, l'adrénaline montée en moi. Et maintenant que faire des corps, aucune idée ne me vint en tête... Au bout d'un long moment, je me décidai, cette usine allait brûler et les corps avec... Je courus vers la machinerie, je connaissais les codes d'accès, je mis tout en surtension dans quelques minutes l'usine ne sera plus qu'un tas de cendres... Je courus aussi vite que je pus. Mais pas assez vite la détonation me toucha je perdu mon œil droit et mon bras gauche. Ma peau avait été brûlée, et là confusion régnait dans mon esprit, qu’avais, je fais... À l'arrivée des secours, j’étais inconscient, mais toujours vivant. À mon réveil quelle ne fut pas ma surprise de ne voir le monde qu'à moitié. Je restai dans cet état pitoyable pendant des mois. Puis la rage de combattre revint en moi, j'avais réussi le plus facile, maintenant, il fallait faire valoir mes droits sur l'entreprise. J’étais le digne héritier des Crypstons, la tâche fut plus simple que prévu, je compris à mes dépens pourquoi, personne d'autre que moi n'avait revendiqué ses droits sur l'entreprise. L'accident de l’usine auxiliaire était le coup de trop pour la Crypston Corp, c'était la faillite. Tout ce que j'obtiens fut un droïde protocolaire en à peu près bon état, quatre des droïdes prototypes de combats encore fonctionnels et sept défectueux, un pistolet blaster à ions innovants, et un vaisseau Cargo Léger Ghtorc 720 en plus de l'usine principale dans un piteux état. Plus aucun employé, et avec la totalité des dettes impayées par le paternel tout était à refaire c'est à vous en donner envie de vous tirer le rideau...
Je me mis a parler a voix haute alors que j'étais seul, est-ce que j'étais entrain de perdre l'esprit ?
Je saisis mon verre, buvant d'un coup le contenu. Je me retiens de tous recracher c'était beaucoup trop fort...
Je me saisit du pistolet blaster sur sa table, je tournai un petit levier et désactiva la sécurité, je respirai un bon coup et posa l'arme sur ma tempe, mes yeux étaient clos. Je les ouvrit scrutant une dernière fois mon bureau, le balayant de mon regard cherchant quelque chose dans cette sombre pièce, je n'y trouvai qu'un vieux portrait celui de mon père... Les minutes défilaient. Je refermai les yeux serra les dents...
Un coup de feu retentit
La main tremblante, je lâchai mon arme et rouvris les yeux... J'avais fait un joli carton le portrait de mon père était criblé d'un tir unique entre les deux yeux. Il se détacha tout doucement du mur avant de tomber au sol avec fracas.
Je me relevai brusquement , cherchant quelque chose dans le petit coffre dérobé, jetant au sol les bouteilles et les factures,qui s’écrasaient dans un bruit sourd. Enfin... Le voilà, au fond du coffre se trouvai un vieux carnet un sourire se dessina sur mon visage... Le carnet des Crypstons, et en parfait état, je m'en étais rappelé, mon père en avait parlé un soir où il avait trop bue. Ce carnet contient, tout ce dont j’avais besoin, bon nombre de plans de droïdes trop ambitieux pour l’époque, des noms des différents fournisseurs de Télos, de potentiels investisseurs, des clients. Il y avait encore de l'espoir... Télos n’a pas encore fini d'entendre parler de Jack Crypston !
NB: les dettes de Jack Crypston s’élèvent actuellement à zéro crédit galactique
Modifié en dernier par Jack Crypston le mar. 2 mars 2021 21:18, modifié 16 fois.
Tout le monde pense être le héros de sa propre histoire...
