- mar. 5 juin 2018 01:25
#32846
IDENTITE
Nom du Personnage :Mesiro Kylns
Race : Anzati
Âge : 123 Ans
Planète d'origine : Anzat
PROFIL
Métier : Padawan
Faction : Neutre
Description : Mesiro est un Anzati, un extraterrestre ressemblant a un humain. Mesiro mesure un mètre quatre-vingt-trois, plus grand que la moyenne de son espèce.
Il a un corps musclé et svelte, du a son entraînement intensif. Meriso s’entraîne sans relâche depuis son enfance, comme le veulent les coutumes Anzati. Les anzatis doivent cette rumeur au besoin de combler leur ''faim''. Mesiro doit se nourrir grâce à ses tentacules cachés dans de petites poches dans les joues.
Mesiro à des cheveux longs et noirs, qu’il attache en partie derrière sa tête. Il a une cicatrice le long de son nez et de sa joue, cadeau de son père lors de leurs entraînements. Il a une barbe plus claire que c’est cheveux et il la taille avec soin lorsqu’il le peut. C’est yeux son d’un pourpre sombre et les sourcils épais.
Son visage est prédominé par son nez trapu, signe caractéristique des anzatis. Il porte généralement une veste de cuir et des pantalons brun et kaki doublé pour le protéger des températures trop froides.
Histoire : Je suis Mesiro Kylns. Mon histoire commence il y a longtemps, soit cent vingt-deux ans plus tôt. J’ai grandi sur Anzat. Une planète rocheuse couverte de brume. J’y ai vécu avec mon père et ma mère. Ferros et Yanuto Kylns. Notre maison était située au sommet de l’une des nombreuses montagnes, qui composait notre planète. Toute mon enfance reste assez floue, mais mon père m’a entrainé au combat, comme tout anzati, dès l’âge de treize ans pour me préparer à la faim. Ainsi il m’a formé au maniement de toute sorte d’armes; de la plus simple dague au fusil laser. J’étais doué, mais je détestais utiliser les blasters. C’était trop simple, trop malsain dans un certain sens. Un jour Fearos m’apporta une épée à deux lames monomoléculaire. L’arme était longue, mais étonnamment maniable. Il m’avait toute même pris plusieurs années pour la maîtriser, une arme avec deux lames de longueur différente n’était pas très habituelle. Mon père fier de me voir voltiger et tournoyer telle une tempête mortelle souriait. C’est à mes vingt-cinq ans que j’ai rejoint la garde de l’ordre. Une unité créée pour peaufiner l’entraînement des jeunes recrues. On patrouillait dans rues pour maintenir l’ordre sous le commandement d’un officier militaire à la retraite. Ça nous discipliné, mais durant les nombreuses années passer dans la garde, rien d’exceptionnel c’était passé. Ma vie à continuer tranquillement jusqu’au jour ou mon père est mort, assassiné. J’étais impuissant et j’en étais fou de rage, mais après quelques jours, on avait retrouvé le criminel. Le procès n’avait pas été bien long puisqu’il avait avoué son crime.La sentence fut l’exécution. C’était un lâche et sa mort m’avait réjoui. Après quoi, la seule chose d’on je peux me souvenir, c’est que j’avais décider de partir. La vie y était morne et la seule chose qui m’attendais sur cette planète, étais de devenir un assassin pour le compte du gouvernement et ainsi assouvir la faim. Mais je ne supportais pas l’idée de tuer d’autres personnes seulement pour me nourrir et tous anzatis talentueux étaient formés à l’art des assassinats et cela me répugnait. Je déteste l’extrémiste. Parfois, il faut tuer par nécessité, mais aussi faut-il pardonner. Je me nourrirais autrement...
Ce qui nous mène a mon voyage vers Kashyyyk. Je n’ai pas spécialement choisi cette planète, j’ai simplement embarqué dans un vaisseau de contrebande comme mercenaire.
Et Kashyyyk était notre première escale. Lorsque l’on a atterri pour se réapprovisionner, j’ai senti une force ou plutôt une voix. Une voix calme, douce et sereine. Elle m’appelait, je dirais même qu’elle m’envoûtait. Je me suis dirigé vers la forêt, ou plus tôt la jungle, sans même me soucier de mes « partenaires ».
Plusieurs heures plus tard, j’étais dans la jungle, entouré d’arbres gigantesques. J’étais émerveillé, Anzat était recouverte de toundra et voir autant de vert était fabuleux. La voix était de plus en plus forte, me guidant à travers la végétation luxuriante de Kashyyyk. Même la faune semblait calme et sereine dans cette partie de la forêt. La voix était omniprésente! Elle résonnait sur les arbres et elle était magnifique, immuable, sage et... D’un coup, ma vision était floue, je ne ressentais plus rien. Peu à peu j’ai sombré dans les ténèbres et j’ai perdu connaissance...
Lorsque je suis revenu à moi je me retrouvais dans une hutte. Plusieurs visages grossièrement poilus se tenaient au-dessus de moi. Les créatures s’exprimaient à l’aide de grognement guttural. Il m’était impossible de les comprendre. J’ai aussi remarqué que j’étais attaché au lit ou je me trouvais. Je n’ai pas paniquer, mon père m’avait toujours dit que les autres races craignaient les anzatis et avec raison. Leurs discussions semblaient animées, ils me regardaient troubler, mais ils n’avaient pas l’air d’avoir peur. Après quelques minutes ils sortirent de la hutte et me laissèrent seul. J’avais un mal de tête intense, ils ont dû m’assommer par-derrière lorsque j’étais envoûté par la voix. D’ailleurs elle était à peine audible à ce moment...
Plusieurs jours passèrent et les grandes créatures m’apportaient de l’eau et des morceaux de ce qui semblait être de la viande séchée. Je pouvais l’eau, mais la viande étais affreuse. Je leur disais que j’avais faim, mais ils ne comprenaient pas. Un jour, j’étais fiévreux, l’autre paniqué et finalement mes forces
m’abandonnait peu à peu. Devant ma mauvaise mine, les créatures semblaient inquiètes. Ils sont partis pour revenir peu de temps après, accompagné d’une personne. C’était une femme, elle prête une grande toge grise et la voix semblait émaner d’elle. Elle avait un visage doux, lisse et blanc. Elle se pencha au-dessus de moi et ma faim s’apaisa. Ses yeux étaient d’un bleu étincelant comme deux cristaux finement ouvragés. Elle me chuchota à l’oreille:
Et elle me détacha. Une fois sorties de la hutte, les créatures me regardaient intriguer. Jarysu m’expliqua qu’ils étaient les wookies. Le peuple natif de Kashyyyk. Ils seraient des créatures paisibles qui ne cherchent qu’à vivre en paix. Elle m’expliqua aussi qu’elle habitait avec eux et qu’elle était pour eux une sorte de voyante et guérisseuse. Un peu comme le shaman d’une tribu primitive. Jarysu me mena hors du village des wookies, pour cela il nous a fallu quelques heures, les wookies habitaient aux cimes des arbres pour échapper aux diverses créatures vivant dans la forêt. Nous avons marché pendant plusieurs heures en silence. La jungle alentour semblait calme. Comme si seule la présence de Jarysu suffisait à apaisant le monde alentour d’elle. Cette sensation de paix était très agréable. Ma faim n’était qu’une vague sensation. Pour une fois, j’étais réellement heureux et paisible, j’en ai même oublié mon arme...
Au bout de trois autres heures, nous étions arrivés à une éclaircie. Une petite hutte se trouvait là, sur le bord d’une petite rivière qui s’écoulait doucement. Jarysu brisa le silence:
C’est ainsi qu’avait commencé mon entraînement à la maîtrise de la force. C’était un apprentissage long et exigeant. Jarysu a commencé par me montrer comment entrer en contact avec la force, pour ainsi combattre ma faim. Grâce à la méditation, la faim était moindre, mais parfois je devais me nourrir réellement. Donc je chassais des animaux durant mes temps libres. Ce n’est certes pas des cerveaux d’être intelligent, mais c’était un bon complément. Ensuite, elle m’apprit à utiliser mes pouvoirs autrement; faire léviter des objets, sauter beaucoup plus haut, courir extrêmement vite, c’était extraordinaire. Jarysu m’instruit du code des jedis gris. Le code nous guide vers l’équilibre. Elle me dévoila aussi l’existence des jedis et de leurs buts. Qu’ils étaient les protecteurs de la paix, mais ils se cachent derrière l’ignorance. Jarysu me parla aussi des siths. Ceux qui succombèrent à leur plus bas instinct de tueur et utilisent la Force d’une manière destructrice. Et nous, on est les Gris. Ceux qui protègent l’équilibre de la Force et qui l’utilisent dans sa totalité.
Puis un jour, Jarysu me montra comment fabriquer mon sabre laser. Elle m’avait donné un cristal orangé. Il était magnifique. Alors, je suis entré en transe et à l’aide de la force j’ai construit mon sabre. J’en étais fière! Jarysa semblait ravie. Elle me forma donc au maniement de base du sabre laser. J’ai appris le Shii Cho, la base du combat au sabre. Il m’a fallu très peu de temps pour le maîtrisé du a l’entraînement incessant de mon enfance, même Jarysu était étonné. Elle a donc décidé de pousser mon apprentissage à la forme de l’Ataru. Elle disait que cela allait me permettre de faire qu’un avec la force. Je me suis entraîné durant plusieurs années, mon apprentissage était ralenti pour que Jarysu puisse m’informer du monde extérieur que je connaissais à peine...
Et puis un jour, je me suis réveillé en plein milieu de la nuit. Je ne sais pas pourquoi, mais un sentiment de mort m’envahissait. J’ai accouru pour retrouver mon maître. Elle était assise à l’extérieur, en position de méditation. C’est à ce moment qu’un doute s’éleva en moi:
C'est à ce moment que la faim revient, elle était forte, mais pas meurtrière. J'ai accepté, mais... Je ne préfère rien dire d'autre.
Je suis resté sur Kashyyyk, pendant cinquante-sept ans, a vivre de la forêt et a troqué avec les wookies. Et j’ai réussi à passer un marché avec les wookies. Je soignais leurs blessés et ils me laissaient leur mourant pour un autre usage. À l’aide de la Force je réussissais a tissé des liens avec certains animaux, cela m’aidait a me sentir moins seul. J’y ai vécu paisiblement pendant longtemps avant que la planète soit envahie par les impériaux. Ils étaient venus réduire en esclavage les wookies. Mais j’ai réussi à trouver refuge avec une petite tribu dans la jungle. Nous étions à la limite de la zone qui était sécuritaire. Nous avons vécu cachés, jusqu’à qu’au moment au la République réussie a libéré Kashyyyk. Aujourd’hui, j’ai 123 ans et j’ai décidé de trouver un but, une raison de continuer, autre que de survivre. J’ai brisé ma promesse, mais Jarysu m’a montré l’équilibre. Je veux donc trouver d’autres confrères peut-être qu’ils auront un but à me donner.[/b][/color]
Psychologie : Calme et posé, Mesiro passe facilement pour un pacifiste chez ses congénères anzats. Mais ne vous laissez toute même pas avoir, il c'est entrainé toute sa vie au combat, il est discipliné, forgé par l'enseignement a obéir a son maître au doigt et à l'œil. Mesiro n'est pourtant pas soumis. Il respecte simplement l'autorité de ses supérieurs. Généralement, les anzats doivent se nourrir constamment de la force vitale d'autre espèce intelligente. Mesiro quant à lui, a réussis a surmonté cette faim grâce a son entrainement de jedi gris et réussi a seulement se nourrir d'animaux. Il ne désire pas enlever la vie à autrui, encore moins les faire souffrir. Dans les cas où la violence est la seule solution, il se battra à contrecœur, mais avec détermination. Pour lui tout est dans l'équilibre, le mal et le bien, la colère et la sérénité... Peut-être faut-il tuer par nécessiter, mais il faut savoir pardonner...
INVENTAIRE
Crédits : 2000 Cr
Arme : Sabre laser simple à lame orange
Equipement : Vêtements simples rembourés
Nom du Personnage :Mesiro Kylns
Race : Anzati
Âge : 123 Ans
Planète d'origine : Anzat
Métier : Padawan
Faction : Neutre
Description : Mesiro est un Anzati, un extraterrestre ressemblant a un humain. Mesiro mesure un mètre quatre-vingt-trois, plus grand que la moyenne de son espèce.
Il a un corps musclé et svelte, du a son entraînement intensif. Meriso s’entraîne sans relâche depuis son enfance, comme le veulent les coutumes Anzati. Les anzatis doivent cette rumeur au besoin de combler leur ''faim''. Mesiro doit se nourrir grâce à ses tentacules cachés dans de petites poches dans les joues.
Mesiro à des cheveux longs et noirs, qu’il attache en partie derrière sa tête. Il a une cicatrice le long de son nez et de sa joue, cadeau de son père lors de leurs entraînements. Il a une barbe plus claire que c’est cheveux et il la taille avec soin lorsqu’il le peut. C’est yeux son d’un pourpre sombre et les sourcils épais.
Son visage est prédominé par son nez trapu, signe caractéristique des anzatis. Il porte généralement une veste de cuir et des pantalons brun et kaki doublé pour le protéger des températures trop froides.
Histoire : Je suis Mesiro Kylns. Mon histoire commence il y a longtemps, soit cent vingt-deux ans plus tôt. J’ai grandi sur Anzat. Une planète rocheuse couverte de brume. J’y ai vécu avec mon père et ma mère. Ferros et Yanuto Kylns. Notre maison était située au sommet de l’une des nombreuses montagnes, qui composait notre planète. Toute mon enfance reste assez floue, mais mon père m’a entrainé au combat, comme tout anzati, dès l’âge de treize ans pour me préparer à la faim. Ainsi il m’a formé au maniement de toute sorte d’armes; de la plus simple dague au fusil laser. J’étais doué, mais je détestais utiliser les blasters. C’était trop simple, trop malsain dans un certain sens. Un jour Fearos m’apporta une épée à deux lames monomoléculaire. L’arme était longue, mais étonnamment maniable. Il m’avait toute même pris plusieurs années pour la maîtriser, une arme avec deux lames de longueur différente n’était pas très habituelle. Mon père fier de me voir voltiger et tournoyer telle une tempête mortelle souriait. C’est à mes vingt-cinq ans que j’ai rejoint la garde de l’ordre. Une unité créée pour peaufiner l’entraînement des jeunes recrues. On patrouillait dans rues pour maintenir l’ordre sous le commandement d’un officier militaire à la retraite. Ça nous discipliné, mais durant les nombreuses années passer dans la garde, rien d’exceptionnel c’était passé. Ma vie à continuer tranquillement jusqu’au jour ou mon père est mort, assassiné. J’étais impuissant et j’en étais fou de rage, mais après quelques jours, on avait retrouvé le criminel. Le procès n’avait pas été bien long puisqu’il avait avoué son crime.La sentence fut l’exécution. C’était un lâche et sa mort m’avait réjoui. Après quoi, la seule chose d’on je peux me souvenir, c’est que j’avais décider de partir. La vie y était morne et la seule chose qui m’attendais sur cette planète, étais de devenir un assassin pour le compte du gouvernement et ainsi assouvir la faim. Mais je ne supportais pas l’idée de tuer d’autres personnes seulement pour me nourrir et tous anzatis talentueux étaient formés à l’art des assassinats et cela me répugnait. Je déteste l’extrémiste. Parfois, il faut tuer par nécessité, mais aussi faut-il pardonner. Je me nourrirais autrement...
Ce qui nous mène a mon voyage vers Kashyyyk. Je n’ai pas spécialement choisi cette planète, j’ai simplement embarqué dans un vaisseau de contrebande comme mercenaire.
Et Kashyyyk était notre première escale. Lorsque l’on a atterri pour se réapprovisionner, j’ai senti une force ou plutôt une voix. Une voix calme, douce et sereine. Elle m’appelait, je dirais même qu’elle m’envoûtait. Je me suis dirigé vers la forêt, ou plus tôt la jungle, sans même me soucier de mes « partenaires ».
Plusieurs heures plus tard, j’étais dans la jungle, entouré d’arbres gigantesques. J’étais émerveillé, Anzat était recouverte de toundra et voir autant de vert était fabuleux. La voix était de plus en plus forte, me guidant à travers la végétation luxuriante de Kashyyyk. Même la faune semblait calme et sereine dans cette partie de la forêt. La voix était omniprésente! Elle résonnait sur les arbres et elle était magnifique, immuable, sage et... D’un coup, ma vision était floue, je ne ressentais plus rien. Peu à peu j’ai sombré dans les ténèbres et j’ai perdu connaissance...
Lorsque je suis revenu à moi je me retrouvais dans une hutte. Plusieurs visages grossièrement poilus se tenaient au-dessus de moi. Les créatures s’exprimaient à l’aide de grognement guttural. Il m’était impossible de les comprendre. J’ai aussi remarqué que j’étais attaché au lit ou je me trouvais. Je n’ai pas paniquer, mon père m’avait toujours dit que les autres races craignaient les anzatis et avec raison. Leurs discussions semblaient animées, ils me regardaient troubler, mais ils n’avaient pas l’air d’avoir peur. Après quelques minutes ils sortirent de la hutte et me laissèrent seul. J’avais un mal de tête intense, ils ont dû m’assommer par-derrière lorsque j’étais envoûté par la voix. D’ailleurs elle était à peine audible à ce moment...
Plusieurs jours passèrent et les grandes créatures m’apportaient de l’eau et des morceaux de ce qui semblait être de la viande séchée. Je pouvais l’eau, mais la viande étais affreuse. Je leur disais que j’avais faim, mais ils ne comprenaient pas. Un jour, j’étais fiévreux, l’autre paniqué et finalement mes forces
m’abandonnait peu à peu. Devant ma mauvaise mine, les créatures semblaient inquiètes. Ils sont partis pour revenir peu de temps après, accompagné d’une personne. C’était une femme, elle prête une grande toge grise et la voix semblait émaner d’elle. Elle avait un visage doux, lisse et blanc. Elle se pencha au-dessus de moi et ma faim s’apaisa. Ses yeux étaient d’un bleu étincelant comme deux cristaux finement ouvragés. Elle me chuchota à l’oreille:
-Bienvenus. Ne t'en fais pas je ne te veux aucun mal.
Ça me semblait évident, mais elle était rassurante tout de même.
-Je m'appelle Jarysu, je suis ce qu'on appelle une utilisatrice de la force ou jedi si tu veux, même si je ne suis pas lié à eux.
J'étais perplexe, quelle cette force? La voix ? Et qu’est-ce que les jedis? Pourquoi n'en fait-elle pas partie?
Devant mon visage plein de questions, elle s'esclaffa:
-Vien avec moi je te pris.
Et elle me détacha. Une fois sorties de la hutte, les créatures me regardaient intriguer. Jarysu m’expliqua qu’ils étaient les wookies. Le peuple natif de Kashyyyk. Ils seraient des créatures paisibles qui ne cherchent qu’à vivre en paix. Elle m’expliqua aussi qu’elle habitait avec eux et qu’elle était pour eux une sorte de voyante et guérisseuse. Un peu comme le shaman d’une tribu primitive. Jarysu me mena hors du village des wookies, pour cela il nous a fallu quelques heures, les wookies habitaient aux cimes des arbres pour échapper aux diverses créatures vivant dans la forêt. Nous avons marché pendant plusieurs heures en silence. La jungle alentour semblait calme. Comme si seule la présence de Jarysu suffisait à apaisant le monde alentour d’elle. Cette sensation de paix était très agréable. Ma faim n’était qu’une vague sensation. Pour une fois, j’étais réellement heureux et paisible, j’en ai même oublié mon arme...
Au bout de trois autres heures, nous étions arrivés à une éclaircie. Une petite hutte se trouvait là, sur le bord d’une petite rivière qui s’écoulait doucement. Jarysu brisa le silence:
-Nous y voilà! Ma modeste demeure. C'est sobre, mais deux personnes peuvent facilement y vivre.
-Euh, vous voulez que je reste avec vous? Pourquoi?
-Tu ressens bien que ta faim c'est amoindris jeune anzati?
-Comment vous ?
-Je connais bien des choses... Et j'ai ressenti que tu étais à la recherche d'une nouvelle vie et d'un moyen de combattre tes instincts... un peu ''sauvage''.
-Oui tout à fait, mais comment pouvez-vous m'aider?
-Je peux t'enseigner la voix du jedi gris, tu seras mon padawan.
-Jedi? Padawn? Pourquoi cherchez-vous un apprenti?
-Les utilisateurs de la Force, tu y es sensible et je souhaite t'aider à devenir ce que tu veux être.
-Et pourquoi moi?
-Je sens en toi un désir de ramener l'équilibre en ce monde, mais surtout en toi. Et les jedis gris sont les protecteurs de cet équilibre...
-Euh ... et bien d'accord! Mais je souhaite en connaitre plus !
C’est ainsi qu’avait commencé mon entraînement à la maîtrise de la force. C’était un apprentissage long et exigeant. Jarysu a commencé par me montrer comment entrer en contact avec la force, pour ainsi combattre ma faim. Grâce à la méditation, la faim était moindre, mais parfois je devais me nourrir réellement. Donc je chassais des animaux durant mes temps libres. Ce n’est certes pas des cerveaux d’être intelligent, mais c’était un bon complément. Ensuite, elle m’apprit à utiliser mes pouvoirs autrement; faire léviter des objets, sauter beaucoup plus haut, courir extrêmement vite, c’était extraordinaire. Jarysu m’instruit du code des jedis gris. Le code nous guide vers l’équilibre. Elle me dévoila aussi l’existence des jedis et de leurs buts. Qu’ils étaient les protecteurs de la paix, mais ils se cachent derrière l’ignorance. Jarysu me parla aussi des siths. Ceux qui succombèrent à leur plus bas instinct de tueur et utilisent la Force d’une manière destructrice. Et nous, on est les Gris. Ceux qui protègent l’équilibre de la Force et qui l’utilisent dans sa totalité.
Puis un jour, Jarysu me montra comment fabriquer mon sabre laser. Elle m’avait donné un cristal orangé. Il était magnifique. Alors, je suis entré en transe et à l’aide de la force j’ai construit mon sabre. J’en étais fière! Jarysa semblait ravie. Elle me forma donc au maniement de base du sabre laser. J’ai appris le Shii Cho, la base du combat au sabre. Il m’a fallu très peu de temps pour le maîtrisé du a l’entraînement incessant de mon enfance, même Jarysu était étonné. Elle a donc décidé de pousser mon apprentissage à la forme de l’Ataru. Elle disait que cela allait me permettre de faire qu’un avec la force. Je me suis entraîné durant plusieurs années, mon apprentissage était ralenti pour que Jarysu puisse m’informer du monde extérieur que je connaissais à peine...
Et puis un jour, je me suis réveillé en plein milieu de la nuit. Je ne sais pas pourquoi, mais un sentiment de mort m’envahissait. J’ai accouru pour retrouver mon maître. Elle était assise à l’extérieur, en position de méditation. C’est à ce moment qu’un doute s’éleva en moi:
-Maître? Est-ce que ça va?
-Oui... je vais simplement quitter ce monde.
-QUOI?!
-Hahaha... ne t'en fait pas. Je suis simplement vieille et je suis prête. Mais je te demande une chose...
-Qu’est-ce que c'est?
-Nourris-toi...
J'étais abasourdi. Elle voulait que je la consume? Pour quelle raison?
-Mais maître, je me suis juré de ne jamais siphonner une personne! Encore moins vous!
-Oui, je sais bien, mais malgré ta promesse et ton nouveau régime, tu ne pourras pas totalement arrêter. Ton corps a besoin de ça, tu as l’air plus vieux que moi!
Il est vrai que je me sentais plus lent, plus fragile et mes sens étaient émoussés. Elle a raison, je ne peux pas complètement arrêter. Devant mon visage anxieux, Jarysu chuchota:
-Vas-y, tu ne me feras pas mal et je serais toujours là, parmi la Force.
C'est à ce moment que la faim revient, elle était forte, mais pas meurtrière. J'ai accepté, mais... Je ne préfère rien dire d'autre.
Je suis resté sur Kashyyyk, pendant cinquante-sept ans, a vivre de la forêt et a troqué avec les wookies. Et j’ai réussi à passer un marché avec les wookies. Je soignais leurs blessés et ils me laissaient leur mourant pour un autre usage. À l’aide de la Force je réussissais a tissé des liens avec certains animaux, cela m’aidait a me sentir moins seul. J’y ai vécu paisiblement pendant longtemps avant que la planète soit envahie par les impériaux. Ils étaient venus réduire en esclavage les wookies. Mais j’ai réussi à trouver refuge avec une petite tribu dans la jungle. Nous étions à la limite de la zone qui était sécuritaire. Nous avons vécu cachés, jusqu’à qu’au moment au la République réussie a libéré Kashyyyk. Aujourd’hui, j’ai 123 ans et j’ai décidé de trouver un but, une raison de continuer, autre que de survivre. J’ai brisé ma promesse, mais Jarysu m’a montré l’équilibre. Je veux donc trouver d’autres confrères peut-être qu’ils auront un but à me donner.[/b][/color]
Psychologie : Calme et posé, Mesiro passe facilement pour un pacifiste chez ses congénères anzats. Mais ne vous laissez toute même pas avoir, il c'est entrainé toute sa vie au combat, il est discipliné, forgé par l'enseignement a obéir a son maître au doigt et à l'œil. Mesiro n'est pourtant pas soumis. Il respecte simplement l'autorité de ses supérieurs. Généralement, les anzats doivent se nourrir constamment de la force vitale d'autre espèce intelligente. Mesiro quant à lui, a réussis a surmonté cette faim grâce a son entrainement de jedi gris et réussi a seulement se nourrir d'animaux. Il ne désire pas enlever la vie à autrui, encore moins les faire souffrir. Dans les cas où la violence est la seule solution, il se battra à contrecœur, mais avec détermination. Pour lui tout est dans l'équilibre, le mal et le bien, la colère et la sérénité... Peut-être faut-il tuer par nécessiter, mais il faut savoir pardonner...
Crédits : 2000 Cr
Arme : Sabre laser simple à lame orange
Equipement : Vêtements simples rembourés
Modifié en dernier par Mesiro Kylns le ven. 8 juin 2018 18:50, modifié 4 fois.