L'Astre Tyran

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By Luna RedMoon
#37484
Fiche :

Nom et prénom : Luna Évangeline RedMoon / Surnom : Lyn
Age : 21 ans
Planète d'origine : Naboo

Profil :

Métier : Apprentie
Faction : Confédération des Systèmes Unis

Description :

Physique :

Taille moyenne (1 mètre 68)
Peau blanche comme la neige et douce comme quand on caresse un plaid
Yeux bleu turquoise piquetés de petites étoiles rouges
Châtains clair, cheveux longs jusqu’au bas du dos mi bouclés aux reflets dorés : souvent tressées pour représenter les êtres qui me sont cher (mon père et ma mère)
Cicatrice sur le bras droit lors de ma première tentative d'évasion / cicatrice sur le sourcil gauche datant de mon enlèvement à 5 ans
Marque en croissant de lune sur le bas du ventre à droite / marque de naissance sur le bas ventre à gauche en forme d’ailes d’ange
Je porte un bracelet de mon père tressé offert à ma naissance et le collier de ma mère avec une photo de nous trois avec moi bébé
Hygiène idéale

Caractères : Forte, courageuse et déterminée, audacieuse, sociable

Tic : Entortiller souvent une mèche de mes cheveux quand je suis stressée / mordillement de la lèvre inférieur lorsque je suis intimidée et le rouge me monte facilement aux joues dans ces moments là

Vêtements :Une tunique simple, blanche, ceinture noire faite avec mon foulard, une cape noire soyeuse et des bottes à talons noir corbeau

Passion : Ecrire dans des carnets tout ce que je vois et apprends (voir dessin) / Danser / Escrime

But : je souhaite retrouver mes parents et l’homme qui nous a enlevé. Mais je souhaite aussi trouver une stabilité dans vie, un endroit où j’aurai ma place

Peur : Je ne contrôle pas la force qui est au fond de moi
Désir : Je ne me refuse pas à trouver l’amour et quelqu’un pour veiller sur moi

Rapport au monde : très sociable
Façon de vivre : j’ai toujours vécu dans la peur malgré mes moments de joie mais je commence tout juste à m’épanouir et à montrer celle-que je suis : positive, enjouée et joueuse
Façon de penser : SURVIVRE

Défaut : Trop peu confiance en moi / je dis la vérité sur ce que je pense et ce qui me passe par la tête / impulsive
Qualité : Très habile avec les gens, je sais les cerner et savoir ce dont ils ont besoin pour les rendre heureux

Mes habits préférés : des tuniques moulantes / toujours des talons notamment des cuissardes. Dans l’intimité j’adore porter des robes soyeuses et des escarpins
J’adore avoir les cheveux détachés ou en chignon avec quelques mèches qui dépassent

Histoire :

Enfance :

Mes parents habitant de Naboo cultivaient des plantes permettant de créer des remèdes et des médicaments rares pour faire avancer la médecine et les nouvelles techniques d’accouchement d’urgence par exemple. Ils protègent les rares espèces en voie de disparition sur notre planète. Mais un jour ils se sont faits mandatés par un homme, dissimulant toujours son visage derrière un masque gris argenté avec une voix grave qui restera gravée dans ma mémoire. Ils ont eu pour mission de trouver un remède à base de plantes rares pour rendre les Hommes immortels : créée des dieux comme disait mon père dans son journal de bord précieusement gardé auprès de moi. Ils ont dû commencer les travaux mais un événement arriva dans leur vie qui était inattendu : ma naissance. Lorsque que je venue au monde mes parents ont voulu me protéger de la terreur qu’ils pourraient créer avec ce remède. Ils ont senti une force en moi. Ils ont commencé à vouloir travailler dans les fermes pour fuir cet homme masqué. Pendant mes cinq premières années de vie, je passais une vie insouciante loin de me douter de ce que mes parents subissaient en réalité. Je m’épanouissais et il m’arrivait de jouer avec mon ami John Hartley dans les champs. Même si nous étions enfants nous nous amusions bien à jouer à cache-cache dans le champ. J’appris vite à marcher mais j’appris à mes dépens que ma force, que mes parents appelaient « don », grandissait avec moi. En effet, tout se passait bien jusqu’au jour où je me suis élevé dans les airs pour attraper une pomme dans un arbre parce que j’en mourrais d’envie. Mes parents ont craint qu’on me repère trop facilement et m’ont expliqué que le don que je possédais devait rester cacher et que je ne devais pas en parler ni même en jouer ou nous pourrions tous se voir séparer. Alors je restais sagement auprès de mes parents les aidants comme je le pouvais tout en commençant à parler et à apprendre les plantes que mes parents avaient mises à jour sur leur journal mais cela n’a pas suffi…
Un jour, alors que mon père était parti faire des emplettes, ma mère et moi étions restées à la maison pour faire un exercice de méditation sensé me canaliser quand je ne tenais pas en place. Un attroupement a tapé violement à la porte :

- « Ouvrez ! C’est un ordre Madame Evelyne RedMoon ! »

Ma maman m’a fait signe de me taire alors que je commencer à paniquer et à trembler de tout mon corps et m’a indiqué prudemment de monter dans ma chambre et de fermer les yeux et de méditer calmement. Ma mère s’est approchée de la porte :

- « Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ? »
- « Madame veillez sortir immédiatement et amener le produit commandité par notre seigneur ou il en coûtera à votre mari. »

Ma mère a pâli et ouvert légèrement la porte :

- « Nous n’avons pas pu créer cette commande et nous avons arrêté de travailler pour vous. Je vous prie de nous laisser tranquille avec mon mari »

Quant à moi j’écoutais en silence dans ma chambre que ma maman retrouve mon papa en serrant Sarah, ma poupée. Soudain je sentis fondre sur moi une forme de force rampant vers moi. Je l’observais comme je pus du haut de mes cinq ans. J’entendis un murmure : « enfin… te voilà ». Brutalement une main invisible s’abattit sur ma bouche. Je me mis à me débattre furieusement et à vouloir crier tant et si bien que je fis casser un vase déposer sur ma table de chevet en donnant de coups de pied à la masse invisible.
Ma mère claqua la porte et se précipita à l’étage en entendant mes bruits. Le groupement défonça la porte principale. Je luttais intérieurement pour que cette force me lâche et je le répétais si fort dans ma tête que soudainement la main disparue et que je me précipitais dans les bras de ma mère.

- « Maman que se passe-t-il ? Il y a une forme bizarre ! »
- « Tout va bien se passer mon ange je te le promets »

Elle me l’a promis mais elle pleurait. Je compris bien assez vite que tout allait changer dans notre vie. Et le groupe de soldats masqués fondit sur nous deux et nous apporta à l’extérieur ou un vaisseau amiral était déjà appareillé prêt à décoller. L’homme au masque gris fit un signe vers moi et m’apporta directement à lui avec une telle force que je ne connaissais pas jusqu’alors. J’entendis ma mère crier mais ce qui m’a le plus marqué ce sont ces yeux. Je me souviens de ces yeux, ces yeux noirs translucides piqueté par endroit de pailletés verte qui m’ont sondé et soudainement plus rien : ce fut le vide total et je m’évanouis dans ses bras…

L’autre vie… une vie d’esclave :

Je me suis réveillé difficilement attachée par les poignets à un mur dans une maison que je ne connaissais pas avec une simple robe tachée et éliminée jusqu’aux genoux, mes yeux me faisait mal à cause de la lumière. Heureusement j’avais toujours le bracelet de mon cher père et le collier de ma mère surement que mes ravisseurs avaient cru que ce n’était pas quelque chose qui avait de la valeur. Je les sentais sur moi. Un homme est apparu dans mon champs de vision rapidement mais j’eu du mal à comprendre tout ce qu’il me disait car je venais seulement d’émerger :

- « Alors petite : on se réveille ?! Ce…trop tôt, on a bien besoin…pour récurer la maison »
- « Pardon ? Vous parlez trop vite... Je ne comprends pas… je ne suis pas à vous... je veux mes parents »

Soudain j’ai eu une claque violente à la joue droit qui me fit cogner la tête sur le mur. Je me mis à sangloter sous le poids de la douleur.

- « Tu as intérêt à obéir sale petite GARCE. Là tu m’entends bien ou faudra-t-il que je te cogne une nouvelle fois ?! »

Je secoue la tête pour faire signe que j’avais compris puis il me força, en me tirant par mes chaines, à aller dans la cuisine ou une dame, sa femme je pense, me montra la liste de mes futures corvées. Mais moi je voulais savoir ou été mes parents et ou je me trouvais :

- « Où sommes-nous ? Ou sont mes parents ? Je ne me souviens de quasiment rien »

La femme me répondit mauvaisement :

- « Tu n’as pas à savoir ça : tu es à nous maintenant Luna et tes parents tu ferais mieux de les oublier ils sont morts et enterrés, fallait pas jouer avec le feu. Estimes-toi heureuse que ces bons seigneurs ne t’ont pas déjà tué pour l’abomination que tu es »

Mes parents ? Morts ? Je ne pouvais pas le concevoir c’était tout bonnement impossible. Le don que j’avais en moi. Ce don me disait que mes parents étaient vivants quelque part. Mais je réfléchis : moi ? Une abomination ? Etais-je un monstre ? C’était pour ça que mes parents m’avaient cachée ? Je ressentis un vide soudain en moi comme si ces mots allaient et venaient en moi pour me convaincre que j’étais mauvaise. Une voix obscure me murmurait déjà à l’oreille que j’étais mauvaise et que je le resterais toute ma vie. Sentant une vive colère en moi je me mis à trembler de rage et je me répétais de ne pas écouter les mauvaises voix, que je n’étais pas un monstre mais quelqu’un de bien. Cette voix ne m’a pas quitté pour autant pendant les 5 ans que je vécus avec cette famille horrible, si on pouvait appeler ça une famille.

L’homme me donnait sans cesse des coups, la femme me mettait autant de fois à terre pour me donner des coups de bâtons et des coups de ceinture. Les coups de ceintures étaient les pires. Le claquement du cuir sur ma peau…je ne l’oublierais pas. Une fois l’homme que j’appeler « maitre Jacob » m’a accolé au mur et a pris son couteau de chasse fermement car j’avais refusé de m’humilier devant lui et de lui donner raison : il voulait que je me mette à genoux et que je dise haut et fort que j’étais une monstre, un être qui n’aurait pas dû venir au monde. Il m’a alors approché le couteau de mon visage et fait glisser la lame sur mon sourcil gauche assez fort pour me marquer mais pas assez pour m’en taillader de trop au point d’avoir des points de suture :

- « Si tu rouspète encore une fois un de mes ordres, tu subiras encore des punitions. Et quand je te dis de baisser les yeux, tu le fais sinon à la prochaine je te les crèverais. Tu as bien compris ? »

Il m’avait alors salement jetée au sol et j’étais restée prostrée quelques minutes avant de me relever et d’aller rincer mon visage dans la source d’eau voisine. Mon reflet me montrait le visage d’une petite fille triste, avec de grands yeux bleus, les cheveux sales, pas peignés, les lèvres séchées et une cicatrice encore rouge sur le sourcil gauche. Désormais je savais que si je voulais survivre dans la vie je devais obéir aux règles.
Je vécu un enfer, j’avais si faim car je n’avais le droit qu’à leurs restes et j’étais si fatiguée mais, pendant qu’ils dormaient à poing fermé je m’exercer à méditer et écouter cette voix obscure qui me chuchotait de me défendre, que je pouvais les éliminer : elle me disait que je pourrais facilement le faire si je le désirais. Je me répétais les mots de ma mère et de mon père en caressant mon bracelet et mon collier les seules choses précieuses à mes yeux. Bien sur que j’avais tentée de m’évader et ce, dès mes huit ans mais autant dire que ce fut souvent des échecs parce que je refusais d’écouter ma voix intérieure qui voulait que je me serve de mon don. Une fois elle a même très mal tourné : j’ai voulu escalader la montagne ou j’allais rechercher de l’eau pour mes « maitres » mais au lieu d’user de mon don je me suis laisser entrainer par la peur quand j’ai atteint quasiment le sommet et je suis tombé. Je suis ouvert le bras droit du poignet jusqu’au coude en tombant près d’une pierre tranchante. Ils ont été furieux et m’ont à peine mis un pansement. Je n’avais le droit qu’au pain sec et à l’eau et je devais dormir dehors pendant au moins un mois. J’ai compensé avec les quelques plantes que je connaissais mais cela s’est juste fermer ainsi, je la garderais à vie.

Mais un jour le premier drame c’est produit, alors que je découpais les légumes pour le potage dans la cuisine, mon « maitre » vient à moi et m’arrachât mon collier :

- « On va le vendre pour avoir plus de nourriture ! Cela ne donne pas de mine mais ça nous ramènera quelque chose vu que je ne peux pas vendre une fille aussi immonde que toi »

Je fus prise d’une violente crise de nerf et je ne pouvais même plus contrôler mes gestes :

- « Rendez-moi immédiatement mon collier ! »
- « Et sinon quoi ? Tu ne me fais pas peur, tu n’es qu’une abomination ! »

Je fis un sourire en coin. Un sourire malicieux que je ne me connaissais pas comme si une autre moi s’emparer de mon corps et mon esprit :

- « Je crois que vous me sous-estimer et ce sera à votre grand malheur »

D’un geste net et précis je le fusillais du regard et le projetais contre le mur d’une main. J’allais le faire payer. Il n’avait aucun droit de me retirer une des seules choses qui me tenait à cœur. Je le maintins au mur assez fortement et je vins à lui, me pencha délicatement et lui murmura à l’oreille :

- « Tu contestes un de mes ordres alors c’est à moi de te corriger »

Je fis doucement glisser la lame tout en le gardant immobile contre le mur sur son sourcil gauche vers son œil :

- « Œil pour œil, dent pour dent »

Toutefois au moment ou je voulu stopper mes gestes, je remarquai vite que j’en étais incapable. Prise de panique j’ai voulu lâcher le couteau mais au lieu de ça il alla se planter directement dans sa carotide et je me mis à crier très fort. J’avais commis un geste en dehors de ma volonté. La force me quitta soudainement et Jacob tomba au sol. Je repris rapidement mon collier et je me précipitai en dehors de la maison tremblant de peur. Sauf que sa femme était justement rentrée du marché et elle me courut après. Il ne fallait pas qu’elle me rattrape. D’une, je ne voulais pas la tuer et de deux je voulais m’enfuir de cette vie horrible et de ce que j’avais commis. Sauf qu’elle n’était pas seul, un chasseur de prime me sauta dessus et je me mis à crier prise dans ses filets.

- « Lâchez moi pitié ! Je suis un danger, je ne dois pas rester ici ! LAISSEZ-MOI TRANQUILLE »

Le chasseur de prime ne me laissa aucun choix et m’administra une dose de paralysant si bien que je pouvais entendre, voir mais pas bouger. Je le regardais complètement paniquée me parler doucement

- « Tout va bien, on va juste te changer de famille ou je crois que tu vas te faire tuer petite. Evite de trop résister et fais-moi confiance »

Auprès du chasseur de prime :

En me réveillant je fus agréablement surprise d’avoir seulement des menottes qui me bloquaient uniquement les mains en les recouvrant. Je remarquai vite le chasseur de prime. Il s’appelait : Thomas. Il m’expliqua bien vite que les règles ici étaient qu’il allait m’apprendre à chasser et qu’il ne fallait pas que je me serve de mes dons dans le but de ne pas me faire repérer par l’Ordre Jedi. Il me conta ce que je ne savais pas : comment l’Ordre de Jedi avait évolué, comment fonctionnait-il et comment il cherchait des jeunes de mon âge ayant des aptitudes dévouées à la force. Il m’expliqua ce qu’étais pour lui la force : quelque chose d’extrêmement beau, difficile à maitriser et qui pouvait présenter de grand danger et dont je me devais de canaliser pour éviter les incidents. La seule règle qu’il m’imposa fut de ne pas lui poser des questions sur le coté obscur de la force et sur les raisons qui le poussaient à vouloir me protéger et me prendre sous son aile. J’en fus dérouté mais je préféré rester avec lui que seule dehors. Au départ je fus très méfiante vis-à-vis de lui. Pourquoi m’aidait-il ? Je l’ignorais totalement mais une chose est sûre il n’allait pas me traiter comme une esclave. Ainsi et ceux jusqu’à mes 14 ans il m’apprit comment me débrouiller à la chasse sans utiliser la force, comment faire un feu, comment viser et utiliser un pistolet laser. Mais avant tout, il m’a aidé à savoir faire taire la force qui me poussait à agir de manière obscure. Cela me rassurait et m’apaisait. Je lui finis par lui raconter mon enfance : mes parents, leurs métiers, combien je les aimais et qu’ils me manquaient. Il m’avait promis de m’aider à les retrouver mais il m’a bien expliqué qu’avant je devais contrôler toutes les parts de la force en moi, que je devais apprendre à me canaliser. Pour la première fois depuis mon enlèvement quelqu’un prenait soin de moi. Quelqu’un autre que mes parents ne me prenait pas pour un monstre. Pour mon treizième anniversaire il m’offrit même une perle blanche, il me fit une tresse au travers de mes cheveux que je considérais plus comme du foin et fixa la perle en me disant ses paroles qui resteront gravées en moi :

- « N’oublie pas : tu n’es pas mauvaise, tu fais des choix et la vie t’amènera toujours à faire des choix mais au fond de toi tu dois te rappeler ceci : tu es unique, tu es spéciale et tu es importante »

J’avais pleuré de joie et ce soir là on avait fait un câlin dont je me souviendrais toute ma vie. Mais comme tous les moments heureux : ils ne peuvent durer éternellement. Un jour, je ne vis pas Thomas rentrer à la maison alors qu’il aurait dû déjà être rentré : je pris un de ses pistolets laser et une cape et je parti à sa rechercher là où il aurait dû faire la chasse. Mais quel ne fut pas ma surprise quand je vis arriver deux hommes semblant bienveillant vers moi, tout de blanc cassé vêtu. Je pointai directement le pistolet dans leur direction essayant de masquer ma peur et de prendre confiance en moi :

- « Qui êtes-vous ? »

Un des deux hommes me sourit et s’avança vers moi. Je vis que deux sabres pendaient à leurs ceintures respectives. Les Jedis. Non ça ne pouvait pas arriver j’avais été si prudente ils ne pouvaient pas m’avoir trouvé à moins que… :

- « Je sais qui vous êtes. Vous êtes des jedis et personne ne pouvait savoir ou je me trouvais si cela n’était celui que je considère comme mon père adoptif Thomas : ou est-il ? »

L’un des deux hommes leva la main et me fit baisser mon pistolet par la force ce qui me perturba c’est que je ne voulus pas répliquer. Quelque chose me poser à ne pas bouger :

- « Calmes-toi, nous venons de la part de Thomas je t’assure. Tu n’as pas à avoir peur regardes par toi-même »

Il me projeta à travers l’esprit un souvenir : Thomas assis avec eux en train de discuter de…de MOI… Mais pourquoi Thomas aurait fait ça ?
Dans le souvenir Thomas menaçait les deux autres hommes de savoir ce qu’ils comptaient me faire. Ils lui répondirent qu’ils voulaient m’amener avec eux au temple des jedis sur Coruscant pour m’apprendre à mieux maitriser la force. Ils lui expliqueraient que la force ne cesse pas de grandir et elle peut être destructrice si on ne la maitrise pas bien et que je serais en plus ample sécurité si je partais avec eux. Thomas avait alors réfléchi mais avait finalement acceptée. Le souvenir se dissipa. Je ne pouvais pas y croire ! C’était surement de la machination pour me retourner le cerveau. Soudain les larmes me montèrent aux yeux quand je vis Thomas arriver près de moi :

- « Ma puce s’il te plaît écoute moi, tu dois aller avec eux, je refuserais de te voir tomber entre les mains de quelqu’un de mauvais et je veux avant tout ta sécurité. Je te promets, je viendrais te voir souvent et puis là-bas tu auras des amis alors qu’ici tu es toute seule quand je ne suis pas là. S’il te plaît fais ça pour moi »

Je comprenais sa volonté de me protéger mais au fond je ne voulais pas encore partir avec des inconnus je ne voulais pas que Thomas soit loin de moi. Mais je me suis reprise en main grâce aux paroles de Thomas et j’ai séché mes larmes.

- « D’accord, j’irais Thomas mais tu dois venir voir ta sauvageonne, promis ? »
- « Oui, promis »

Il rit et m’ébouriffa les cheveux avant de me conduire aux deux jedis : l’un maître Ludovicos et son apprenti Nicolas. Je les suivis à bord du leur vaisseau et fut transporté directement de Coruscant au temple Jedi.

Mon apprentissage auprès des jedis :

Les jedis se présentèrent à moi lors d’une ronde mais je me sentais un peu à part de mes camarades. Comme si je n’étais pas vraiment à ma place ici. Une très gentille Jedi : Séraphina m’aida à m’acclimater au début et je me plongeais dans les livres et manuels pour rattraper mon retard. J’adorais particulièrement m’exercer au maniement du sabre laser et au sport de combat en tout genre. J’avais au fond de moi trop de sentiment de solitude et le sport de combat me permettait de retirer tout sentiment négatif. Ma chambre me plaisait beaucoup : j’avais des livres par dizaine et un lit si moelleux que je posais toujours dedans pour travailler. J’avais un grand bureau rien que pour moi avec plein de carnets ou je pouvais noter tout ce que je voulais et tout ce que j’apprenais.

Toutefois je préférais être seule dans ma chambre plutôt qu’en groupe tant et si bien que Séraphina voyant que je ne sentais pas à l’aise avec du monde avait organisé pour mes 15 ans une petite fête dans la salle commune. C’était la première fois que je m’amusais depuis très longtemps. On pouvait discuter, manger autant de gâteaux et de bonbons autant qu’on le souhaiter mais ce que je préférais par-dessus tout c’était la danse et la musique. Mais je ressentais toujours ce décalage entre moi et mes camarades. D’ailleurs personnes ne faisait vraiment attention à moi et ceux même pendant ma fête d’anniversaire. Thomas venait souvent me rendre visite et commenter ma montée de poussée de croissance. Il disait que je grandissais trop vite et il constatait mes beaux progrès tout en me demandant si la voix obscure me parler encore. Ceux à quoi je lui répondis que je ne l’avais plus entendu depuis le jour où j’avais dérapé et que je me sentais beaucoup plus en confiance grâce à mes apprentissages. Toutefois je lui contai combien j’aurai préféré rester juste lui et moi dans notre petite maison. Ici je me sentais tellement à l’écart et différente…J’avais besoin d’autre chose et je le ressentais.
Un jour alors que je m’entrainais face à mon miroir sur des mouvements pour manier le sabre, je surpris mon regard. Je vibrais de la puissance que m’apporter cet exercice. Comme si je concentrais toute ma force dans mes gestes et que je pourrais même survivre rien qu’avec une arme si je le désirais. Je clignais des yeux étonnés de retrouver comme des petites paillettes rouges au fond de mes yeux. Cela ne me ressemblait pas. J’avais obtenu l’âge « de raison » : 21 ans. Je me sentais effectivement grande, forte et je pensais avoir confiance en moi. Mais j’avais tort…Un moment de relâche de ma part sur ma méditation profonde et je pouvais tout faire basculer. Le verre de mon miroir se brisant quand je serai le poing. En tremblant, je me posai au sol et pris une grande inspiration afin de retrouver le calme en moi. Je peux le faire, je peux le faire…je ne dois pas céder à mes pulsions. La voix tenta de reprendre contact avec moi mais je me bouchai vite les oreilles. Non. Je suis plus forte que ça. Je ne dois pas me laisser faire par cette voix. Je sais me débrouiller seule.

Petit à petit j’eu peur de ne plus me contrôler en présence de mes camarades et je ne viens plus au cours ni aux entrainements en m’enfermant dans ma chambre. J’écrivais les murmures que j’entendais, ce que je ressentais et multipliais les séances de méditation pour ne pas me laisser happer par ce que je ressentais tout au fond de moi. Parce que oui je ressentais une part d’ombre mais je ne voulais pas la toucher de peur de ce que je pourrais provoquer. Je la dessiner dans mes carnets de dessin : une volupté noire piqueté de rouge. Elle paressait si douce. J’avais envie de la laisser s’enrouler autour de moi et d’arrêter tout ses exercices qui me semblaient de plus en plus dur. Tout était trop calme ici. J’avais besoin d’action et de mettre mon énergie dans quelque chose qui me donnerait du cœur. Une nuit, je rêvai encore d’elle me murmura de partir à la quête de mon propre destin. De ne plus me préoccuper de contrôler mes émotions. Elle me tendait la main, elle voulait que je vienne à elle pour que je me retrouve en paix. Elle me voulait peut-être du bien après tout. Et si tout ce que je savais était faux ? Si finalement cette voix n’était pas ma voix intérieure à suivre ? Celle qui me ferait réellement devenir celle que je veux être. Une femme forte, belle et qui a confiance en elle et qui n’aurait plus peur de rien. Je me suis réveillée en sursaut et en sueur. Je pris quelques minutes à rassembler mes esprits et je serai les poings. J’allais écouter cette voix, partir d’ici. Je récupère mes affaires rapidement : mes carnets dans un sac en toile, ma cape bleu foncé préféré et j’enfila mes bottes. Je vérifie que mon collier, le bracelet que mes parents m’avaient offert et que la perle de Thomas était toujours sur moi et j’ouvris la fenêtre. Il fallait que je le fasse. Je ne devais pas avoir honte de moi ni de celle que je pouvais être dans le fond. Je sorti dans la nuit en courant m’éloignant de tous. Je voulais trouver ma place dans ce monde et je n’allais pas la trouver en restant avec les jedis.

La fuite :

J’errais d’abord sur Coruscant. Je rechercher à tout prix à m’enfuir d’ici. Je ne voulais blesser personne. C’étaient eux qui avaient commencé à me chercher. J’allais directement me renseigner auprès des vaisseaux qui partaient dans l’espoir qu’un d’eux pourrait me permettre de monter avec eux et de tout recommencer. Je finis par trouver un vaisseau qui partait dans une direction que je ne connaissais pas du tout le cœur meurtri mais avec une détermination sans faille : il fallait que je m’en aille coûte que coûte. Je souris et m’adressais poliment au capitaine du vaisseau :

- « Bonjour ! Est-ce que je peux monter sur votre vaisseau, je souhaiterais partir pour démarrer une nouvelle vie s’il vous plaît ? »

Voyant l’homme sceptique je le fixe directement dans les yeux en tentant de le persuader mentalement d’accepter de monter. Il me fit monter à bord comme un robot et je le remercier. J’étais fière d’avoir pu le convaincre mentalement et souris intérieurement de tout ce que je pourrais me permettre de faire dorénavant pour survivre et de trouver peut-être qui j’étais réellement.


Inventaire :

- Crédit : 2000
- Arme : aucune
- Equipement : vêtements simples
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By Peur
#37490
Bonsoir et Bienvenue sur Swor !

Alors, pour commencer, c'est une fiche assez détaillé. Tu as choisi d'éclater l'habituelle description psychologique en plusieurs champs, ça fonctionne. La description physique est peut être un peu courte, mais elle suffit pour se faire une image du personnage.

Passons maintenant à l'histoire. Globalement, on comprend la montée en puissance progressive de l'obscurité chez Luna. Ici et là, il y a quelques maladresses dans l'utilisation des temps et quelques erreurs d’inattention. Mais l'histoire et intéressante et on finit la fin de la lecture avec une compréhension du personnage, de sa personnalité et de son mal-être. Je te valide donc ! Tu peux commencer le Rp et te pencher sur ta fiche force !
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