L'Astre Tyran

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By Helera Kor'rial
#32700
Ambiance


On y était. Le moment repoussé, attendu, espéré et finalement rejeté. Le dernier moment avant la fin de l’ordre. Celui qui verrait la destruction de la décadence, du mensonge et des messes basses. Pour la proclamation de la nouveauté, de l’indépendance et de la liberté, la vraie. Cela cependant, n’était pas possible sans du sang versé, sans une once d’amertume déposé au coin des lèvres. Jeny était présente à son couronnement. Le moment ultime de sa création. Celui où elle devait détruire. Ses cheveux noirs dansant le long de son cou et balayant ses épaules et une partie de son dos nu. Les tissus n’étaient pratiquement plus visibles sur son corps, remplacés par des marques, des scarifications et autres sévices qu’elle ou d’autres avaient fait endurer à cette plastique. Juste un bandeau qui tenait fixement loin du regard ahuris des badauds, cachant également son intimité violentée quelques mois plus tôt. Car de son pantalon ne subsistait alors que des reliquats de tissus qui pendaient çà et là à partir de sa ceinture. Pour le reste, pas de chaussures, avançant pieds nus sur un sol totalement fait de métal, véritable lieu de gravité de ses dernières semaines. L’ombre marchait dans les ruelles sombres de cette planète où rien n’avait d’importance. Pas même la vie, bien souvent critiquée, harcelée et détruite. Tout comme ce cadavre de femme qu’elle trainait par le pied, et dont les bras ballants gisaient le long de cette route de puanteur. Les bas-fonds des bas-fonds se révélaient alors être la zone la plus propice à cette destruction calculée. Pour la liberté, toujours. Uniquement pour cela. Rien d’autres ne motivait sa quête désormais.

Alors elle avançait la tête droite, les yeux luisant d’une couleur comme jamais alors. Des phares dans l’obscurité, la lumière contre les ténèbres. L’anti-thèse de sa condition. Elle traina le corps sur plusieurs blocks encore jusqu’à son lieu présumé d’habitation. Un lieu qui ne méritait aucune taxe, puisqu’il n’avait pas de toi. Rongé par l’humidité et les gaz nocifs rejetés dans l’atmosphère, se transformant alors en plus d’acide, cet endroit avait été le lieu de nombreux squatteurs. Puis elle était arrivée, et ils avaient tous été mangés, sans exception. Alors leurs cadavres étaient restés là, disséminés aux quatre coins de la bâtisse, pourrissant en silence, sans gêne et sans honte. Jeny y pénétra et sans un bruit autre que le piétinement de sa peau de pied nue sur ce qu’il restait d’un plancher de plastique, avança jusqu’au fond du couloir et termina son voyage dans une pièce carré dénuée de fenêtre. Pièce dans laquelle étaient pendus plusieurs autres corps. Certains par la main, d’autres par les pieds. Aucun par la tête cependant. Ils étaient disposés en cercle de deux mètres de diamètre environ. D’un geste habile, elle leva le corps et l’accrocha par le talon. Le corps remua et sembla bouger les bras.

« Qu’est ce que … »

« Chut… »

Jeny se pencha à côté d’elle et lui mit la main devant la bouche. L’autre écarquilla les yeux et commença à gémir, se rappelant qu’elle avait été enlevée après avoir été assommée par le pommeau d’une dague. La même dague qui s’agitait désormais sous son regard. Dans un chuchotement, sans vraiment la regarder, Jeny lentement plaça la lame froide sur le front de son homologue.

« J’ai encore besoin de toi, j’ai besoin de carburant, comprends tu. Sois sage s’il te plait. Je n’aimerai pas devoir te lobotomiser avant. »

Elle jeta un regard derrière elle, vers les autres corps bavant. Bougeant par moment un bras ou une jambe dans des spasmes désordonnés. L’autre continuait de gémir la tête à l’envers.

« Mais tu n’es pas différent des autres, hein ? L’es-tu ? »

La fille, qui ne devait pas être plus vieille qu’elle, continuait à gémir et commença à agiter les bras mollement, alors maintenu en partie par la Force de Jeny. La petite posa son regard sur elle et fit une grimace. Elle s’accroupit pour être à son niveau, chercha un morceau de tissu au hasard dont elle fit une boule et lui mit dans la bouche.

« Concentre-toi sur tes sensations. Bientôt tout sera fini, et tu pourras rejoindre la Force. »

Jeny plaça alors ses mains sur les tempes de la jeune fille et ferma les yeux. Elle s’infiltra dans son esprit à la vitesse de l’éclair, sans aucune délicatesse face à un cerveau non entrainé et cassa tout ce qu’il y avait à casser, sans réellement faire le tri. Les gémissements cessèrent quelques secondes après et les yeux de la fille se révulsèrent pour ne plus bouger. Une sorte de béatitude s’échappa d’elle. Jeny resta alors quelques secondes devant ce visage de statut et du bout du doigt appuya sur son front. L’autre eut quelques spasmes et revenue à l’état initiale. La jeune femme roula du regard et se retourna vers le centre de la pièce, au centre de ce cercle parfaitement formé. Enfin elle y était, et la délivrance allait pouvoir commencer. Tous étaient désormais là, plus ou moins consciemment. Elle avait tout fait pour les garder en vie, et surtout sans une égratignure. Jeny bougea ses épaules de sorte à les dénouer fictivement de la tension qui l’accablait. La liberté, il n’y avait que cela. Le seul but, l’ultime. Elle souffla lentement et bougea les mains, puis les plaça sur la tête de deux des pendus au hasard. D’abord, le lien.

ImageS’immergeant dans la Force, elle retrouva facilement ce qu’elle avait évité depuis tout ce temps. Cette espèce de fibre qui traverse l’espace onirique, qui se balade par-delà les confins de la perception des gens normaux. Une tige de l’espace-temps, à la fois composition et périmètre. Un tout indescriptible qui reliait chaque Gris entre eux. Une branche qui devait brûler à son tronc. Ses sourcils se froncèrent tandis qu’elle se fit représentation la plus complète de cet arbre de liaison. Un arbre terriblement fragilisé par le poids de ses branches. La base était là, elle s’effritait. Ce n’était pas compliqué de tout faire sauter, pour qui connaissait le lien. Qui avait vécu jour et nuit et l’avait nourris. De sa personne, de son esprit. La petite grogna et commença à aspirer la vie des deux premiers futurs cadavres. La vie volée s’insinuait en elle et lui donnait une pleine puissance. Elle n’était plus simple tâche, elle rayonnait. Non pas comme une étoile filante en revanche, mais plutôt comme un météore. Un brasier ardent qui prenait naissance dans le rêve, dans la rage sanguinolente. Et par cette destruction, au nom d’elle, le météore fondit sur sa proie, telle un tir de laser percuta de plein fouet la structure entière de l’arbre, se servant de son propre accès au lien comme d’une porte d’entrée face aux protections mentales. Les piliers se mirent alors rapidement en action, elle les sentait, elle les confondait. Juno, le gamin de la première génération, terriblement doué. Jeny grogna, absorba deux cadavres de plus.

« Tu n’es rien, jeune homme. On t’a menti, depuis le début. Oui, laisse-toi envahir par la colère. Elle t’affaiblira et me permettra de te détruire ! »

Une simple pensée pour déstabiliser le plus jeune. Une pensée contraire à ce qu’on lui avait enseigné, qui naissait dans son propre entrainement, contre ce dernier. Assez pour fragiliser la structure entière. Les autres tentèrent quand même de venir à sa suite, en vain. Les étoiles Grises se ruèrent psychiquement pour le soutenir, mais Jenny était déjà dans la place forte. A l’intérieur du nœud de la connaissance, du partage. Elle le voyait tous, apprentis, chevalier et maître. Les sentiments, les personnalités. Tous ensembles, présents dans ce même endroit. Ceux qui furent ses amis, ses professeurs, ses supérieurs et … ses élèves. Tous présents, réunis dans la douleur. Deux nouveaux cadavres aspirés. Elle était là, faible, si faible, perdue au milieu des piliers. Sa lueur n’était plus celle d’antan, réduite à l’état de luciole. Son maître si valeureux, devenue un déchet dans la Force. C’était donc cela ? Cela qu’elle avait toujours voulu affronter ? Une personne devenue rien du tout, inférieur à elle. Trop faible pour la repérer, trop absente pour se plonger dans la Force. Que de désillusions.

« Tu m’as tout appris, Helera. Maintenant, je vais tout détruire. Parce que les Gris sont une erreur. Parce que leur liberté ne peut dépendre de ces chaines de l’esprit. Plonge avec moi, dans la souffrance ! »

Et finalement, elle aspira les quatre derniers cadavres pour emmagasiner assez de puissance pour l’attaque finale. Au centre de toute la formation, elle laissa éclater toute la puissance de sa rage. Les nuages ombreux se répandirent comme une poussière par-delà les branches, dans les feuilles, dans chaque interstice. Tout fut consumé, membre après membre, entité après entité. Jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien que le vide. Jusqu’à ce que le lien fut totalement anéanti. Elle resta là, seule, dans le noir complet. Enfin, la liberté, la délivrance. Pourtant, elle ne ressentait aucune joie et seule restait une boule dans son ventre. La terrible impression d’avoir fait quelque chose de mal, de mauvais. Elle ressortit de cet espace de la pensée alors qu’un froid glaciale traversa son esprit. La solitude. C’était donc la vraie solitude désormais. Autour d’elle, les dix cadavres la regardaient avec une mine affreusement déformés, et ne bougeaient plus. Des yeux révulsés, tombant, plus de muscle, des squelettes qui n’avaient plus qu’une simple pellicule de peau. Le mal de crane s’en suivit rapidement, et elle resta au milieu, la tête plongée entre ses jambes.

« Pourquoi est-ce que j’ai fait ça … »

Elle l’avait murement réfléchi pourtant, mais maintenant que l’acte était achevé, l’amertume résidait dans sa bouche. Jeny n’en voulait pas aux Gris, mais avait souhaité une nouvelle chance de vivre. Loin des mensonges du maître, aussi faible soit-il devenu… Qu’est-ce qu’il s’était passé pour que tout soit rudimentairement différent… Tout était trop simple et ne pouvait pas finir ainsi. Elle se releva et d’un coup de sabre se fit un passage à travers le cercle, dans une giclée sanguine supplémentaire. D’un pas lent, elle se dirigea vers sa zone de rangement, comme elle se l’était nommée en parlant à ses cadavres. Une table de chevet dans laquelle il manquait le dessus du couvercle, rendant l’utilisation du tiroir inutile. Elle en récupéra son communicateur de poignet et activa toutes les fréquences Grises, tout en se dirigeant vers une fenêtre aux verres brisés.

« Identification Khazar. A toutes les unités Grises, a toutes les infrastructures … »




L’onde mentale les avait atteint de plein fouet et les chasseurs avaient rompus la formation. Assez de temps pour permettre à la frégate ennemie de riposter avec toute la force de ses armes. Le tir de barrage devenait insoutenable et ce mal de crane soudain n’allait pas en s’arrangeant. Autour de lui, tout explosait. Le convoi Hutts étaient désormais en feu et seuls les bâtiments militaires de grosses tailles étaient en fonctionnement. Les deux escadrons au combat avaient frappés forts et désactivés ce qui pouvait l’être, sans rien détruire. Pourtant, la frégate amirale les mettait dans une situation soudainement critique. Les membres de l’escadron zigzaguaient entre les tirs rougeâtres lancés contre eux. Il ne les sentait plus, plus personne n’était là, le vide, le noir et cette rage qui l’envahit soudain, né de la peur de perdre ses coéquipiers. Lui ou eux, furent sa seule pensée.

« Feu à volonté sur la frégate », hurla-t-il dans son communicateur.

Les traits violacés des UASER hurlèrent en même temps et comme une série d’aiguille frappèrent l’épine dorsale du vaisseau ennemi, provoquant de multiples explosions à chaque contact. L’autre escadrons arrivant de flanc passa au même moment et déclencha à son tour un feu de tous les diables. Les batteries enragées frappaient sans cesse, les canons ne s’arrêtaient plus. Alek hurlait dans son cockpit tandis qu’en face lui une réaction en chaine était à l’œuvre. La frégate cessa toute attaque et il y eu un silence de lumière, jusqu’à ce que l’incendie atteigne les circuits de refroidissement du réacteur, et s’enflammèrent. L’explosion qui s’en suivit l’aveugla pendant quelques secondes. Des débris furent éjectés dans tous les sens, percutant les vaisseaux civils qui avaient été immobilisés au préalable. Ils explosèrent à leur tour les uns après les autres, tuant tous les passagers sur le coup.

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« Qu’est-ce que … j’ai fait … »

Une perte de contrôle, il avait perdu son calme. Cela ne lui arrivait jamais. Et le résultat était là. Les présences s’étaient éteintes peu à peu pour ne laisser place qu’au vide et aux deux escadrons qui s’étaient rejointes. Ses mains tremblaient et des larmes coulaient de sous ses yeux.

« Rapport d’activité. »

La réponse ne fut pas longue.

« Négatif, il n’y a plus rien. Plus aucun signe de vie. Ils … ils sont tous morts. »

Alek ferma les yeux et laissa retomber la tête contre son dossier. Puis frappa un coup contre la verrière de son cockpit de rage, contre lui-même, contre son acte, son manque de discernement. Tout était de sa faute. Il n’y avait aucun bruit à travers les vaisseaux, car tout le monde savait.

« … déclenchement du code 5. »

La phrase résonna dans son esprit comme un tir de blaster à bout portant. C’était la fin. Il essuya son front plein de sueur et laissa retomber les épaules. Il activa son intercom et chercha ses mots, laissant la neige s’infiltrer dans la conversation.

« Bien, c’est fini. Nous ne sommes plus des Gris. Le code 5 a été déclenché. On rentre à la maison. »




ImageUn couvercle d’égout soulevé, Augure se faufila en dehors de ce trou crasseux et continua dans la ruelle adjacente. La cible qu’elle suivait depuis plusieurs minutes devait selon ses contacts rencontrer un lieutenant d’un baron du crime local, pour une cargaison importante. L’objectif restait d’avoir le lieu de la transaction pour y mêler leur nez. Mission en solitaire, comme toujours. Préférant se fier à elle seule, même si les Gris s’étaient révélés être de précieux alliés. Elle s’arrêta au détour d’une artère principale et attendit que la cible ne la dépasse. Un Zabrak haut en couleur avec une valise en main, typiquement pas ce à quoi l’on pouvait s’attendre. Le lieutenant quant à lui, se croyant en sécurité, orgueil de bandit, attendait bien contre un mur, une cigarette en bouche. Un fin sourire se dessina sur son visage, et elle franchit la route à pas de félin, pour être sur le même trottoir que ses deux souris. Elle se dissimula dans les ombres de la cité ténébreuse et tendit une main vers eux, vers leur esprit, pour y survoler les informations qui s’y échangeaient. Qualité de la marchandise, sécurité … Autant de question débattue tandis que l’être vivant était considéré comme de la marchandise. Dégoutant. Pourtant, quelque chose n’allait pas. Elle lisait les esprits mais sentit autre chose qui s’immisçait, qui venait perturber ce qui était en cours. Quelque chose de terriblement noir, plus noir que tout ce qu’elle avait vu jusqu’à maintenant. L’onde alors la frappa et lui fit fermer les poings, tandis qu’étaient échangés des paroles qui ne lui plurent pas. C’était assez. Elle se leva de son trou et s’approcha d’eux. D’un unique geste, elle dégaina le sabre, l’activa, et fit rouler les deux têtes sur le sol. Elle resta un moment en face des cadavres à terre, puis eut comme un déclic, une prise de conscience, qui anima son visage d’un air d’incrédulité. Elle fit un pas en arrière, regarda les cadavres.


« Non … Qu’est-ce que j’ai fait … »

Augure tomba à genoux tandis que sa pensée alla vers les esclaves qu’elle venait de condamner par son geste égoïste, sa pulsion meurtrière. Les bras ballants, elle ne bougeait désormais plus. Seule vivante au milieu de la ruelle vide de présence. Son communicateur bipa quelques minutes plus tard.

« … déclenchement du code 5. »

Elle ferma de nouveau les yeux et se releva lentement, comme un zombie, laissant derrière elle les deux cadavres. D’un revers de main, elle essuya les larmes qui perlaient sur son visage et laissa ses derniers mots sur le pavé.

« Je suis désolée … »




La journée achevait son terme sur Nelvaan. Juno lisait son datapad tout en avançant dans la neige, résumé de ce qu’il avait appris auprès de Gregor. Un ensemble synthétique sur les composantes de la matière et des points de rupture qui existait dans la liaison entre deux objets. Tout un chapitre sur la répartition des forces et le meilleur moyen pour réparer ou rompre ces dernières. De la physique structurelle en passant par de la mécanique pure, c’était un ensemble intéressant sur la résistance des matériaux. Peut-être fusse à cause de cela qu’il ne la vit pas venir, trop absorbé par son résumé, ou peut-être ne la voyait-il pas comme une ennemie. Pourtant c’est bien elle qui avait percuté de plein fouet la barrière mentale. Il la connaissait pourtant. Jeny ?

« Tu n’es rien, jeune homme. On t’a menti, depuis le début. Oui, laisse-toi envahir par la colère. Elle t’affaiblira et me permettra de te détruire ! »

Juno, jeune garçon de 15 ans, lâcha son datapad et colla ses mains contre ses tempes. Une agression mentale, le lien était attaqué. Cela n’était jamais arrivé auparavant. Il ferma les yeux et se concentra de toutes ses forces pour retenir l’envahisseur, usant de toutes ses capacités pour cela. Jeny avait été comme une sœur pour lui, et pourtant, elle n’était plus vraiment là. C’était autre chose, de plus noir, plus insidieux, qui se déversait dans son esprit. Il l’avait aimé, mais devait la détester désormais. Il tenta de toute sa conviction de repousser cette corruption. Des sensations lui parvinrent, des ressentiments, des images d’un passé peu reluisant, la colère. Comme un renvoi de sort, tout cela lui revint en plein dans la tête. Il tomba à genoux tandis qu’un mal de crane lui tordit la concentration. Il se sentit partir, il la sentit s’infiltrer. Au plus profond de son être, passer par son esprit pour tout détruire. Il la vit au milieu de tout, impuissant face à cette rage, il tendit fictivement une main vers le ciel, en s’écroulant dans la neige. Une larme coula sur ses jeunes joues. La détonation s’en suivit, et les ténèbres l’envahirent.




Il y avait un rêve qui s'appelait l'Ordre Gris...




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Des cris autour, des pleurs, des hurlements. Les Gris succombèrent un à un à la corruption du lien. Les plus avisés s’y éjectèrent, les autres en récupérèrent la rage. Changeant radicalement de comportement, le temps d’une déclaration, d’une bombe, d’un instant seulement. Assez longtemps pour que naissent des batailles, pour qu’une mauvaise décision soit prise. Pour que le regret s’installe dans le cœur de l’ordre. Ce jour-là était marqué comme le plus terrible dans l’histoire des Gris. Il désignait la fin des convictions et des grands principes. Partout dans la galaxie, les quelques dizaines d’apprentis, de chevaliers et mêmes de maîtres furent emprunt à ce phénomène. Tous autant qu’ils sont furent accablés et désorientés. Mais le code fut proclamé, et un rappel des troupes fut demandé. L’ultime décision censée d’une âme en peine, pour sauvegarder les cendres de sa propre destruction. Retourner chez soi. Et ainsi contempler avec horreur, La Fin de l’ordre Gris.
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