- mer. 11 déc. 2019 12:12
#36571
Enfin ! J’allais quitter Par Shaada, il n’était pas trop tôt. Tout ce que je souhaitais, c’était m’en aller le plus loin possible et surtout ne plus jamais y revenir. C’était un trou à rat. La pègre, les hors la loi, les parias venus de toutes les autres planètes dans lesquelles ils n’étaient plus les bienvenu… Il n’y régnait que le chaos, attisé par les Hutts, qui en plus être parmi les plus grands parrains de la galaxie m’en voulaient personnellement. Il n’y avait aucune raison pour moi d’y revenir et Corellia était une planète suffisamment éloignée pour me convaincre de m’y rendre. D’autant plus que j’allais pouvoir y gagner quelque crédit bien mérité. Ma cale était pleine et la livraison ne demandait qu’à être transmise à son nouveau propriétaire, un Ardenien m’attendant à la Capital.
Je m’installais confortablement dans mon siège et commençait à suivre les procédures de mon nouveau vaisseau. J’avais toujours eu un don pour ce genre de chose. Certes, les Jedi, de par leurs réflexes accrus faisait de bon pilote, mais moi j’aimais ça. Ce n’était pas le cas de tous. Je connaissais les vaisseaux, leurs modèles, leurs particularités et comment les piloter. Ce cargo corellien n’échappait pas à la règle. Je n’avais pas eu de difficulté à le faire quitter le repère de Grakkus et pas plus de difficulté à le faire voler jusqu’au vide sidérale. Je pouvais maintenant apercevoir la planète désertique depuis l’espace. Elle paraissait tellement paisible… Il n’en était rien.
Bien sûr, une main en plus n’aurait pas été de trop sur l’Hermes. Oui, j’avais fait le choix de le renommer ainsi. Quel vaisseau digne de ce nom n’avait pas de nom pour raconter ses exploits ? Et il aurait bien eu besoin d’un copilote pour les accomplir. Je m’en sortais, mais les manœuvre les plus compliqués étaient longues à effectuer seul. Peut-être que quand j’aurais trouvé une situation plus stable j’embaucherais quelqu’un… Non. Ce serait trop risqué. Je ne pouvais pas faire confiance à n’importe qui. Un droïde ferait l’affaire. Dès que j’aurais les crédits suffisants j’y penserais.
Allez. Il était temps de filer. J’actionnais les différents boutons et autres leviers pour activer le réacteurs suppraluminique du cargo. A chaque étape passée, on entendait les composants se mettre en marche, ou les mécanismes s’enclencher. Rapidement, tout fut prêt, même la destination était renseignée. L’Hermes ne demandait plus que l’autorisation de passer en vitesse lumière. Un dernier regard. Un dernier mot ? Non ils ne le méritaient pas. J’actionnais l’hyperdrive et disparaissait dans l’hyperespace, entouré de ces rayons bleus si reconnaissable. « Je t’aime bien ». Je ne m’attendais bien évidement pas à une réponse de la part de mon nouveau vaisseau. J’avais simplement l’habitude de parler à mes machines. J’avais eu de la chance de tomber sur cet engin. Il était en bon état. Rapide. Pratique. J’allais en faire un bon usage. « Quand j’aurais le temps je changerais ta peinture quand même. » Oui, il fallait qu’il soit moins reconnaissable. Les chasseurs de prime à ma poursuite ne devaient pas me retrouver. Et puis cette couleur verte était moche. On aurait dit la bave gluante d’un Hutt. « Bon qu’est ce que je vais faire en attendant d’être arrivé… » Je me levais et sortait du cockpit. Au centre du vaisseau se trouvait l’espace de vie, le salon du cargo. Il n’y avait pas grand chose. Ce n’était pas très propre et très fonctionnelle. Les tueurs à gage à qui je l’avais volé ne se souciait pas trop de cet aspect de leur vaisseau.
Au centre de la pièce se trouvait un holoprojecteur. Je l’allumais visionnant ainsi la distance à parcourir et le temps qu’il me restait avant la sortie de l’Hyper Espace. J’avais largement le temps de faire un peu de nettoyage. Sans plus attendre je me mettais au travail. Entre ramasser les déchets à droite à gauche, nettoyer le sol, retirer les plantes mourantes et les cadavres de bêtes trainants dans les recoins de la cuisine, j’eu de quoi occuper une bonne partie de mon temps. Mais il m’en restait encore beaucoup à disposition.
"Mon Maître m’a dit un jour, que chaque événement, aussi isolé soit-il,
n'est en réalité qu’une infime partie d’une plus grande fresque."
Fiche de Force - PNJ - Inventaire
Meilleur Forceux - Joueur - Rôliste - Membre 2020
Enfin ! J’allais quitter Par Shaada, il n’était pas trop tôt. Tout ce que je souhaitais, c’était m’en aller le plus loin possible et surtout ne plus jamais y revenir. C’était un trou à rat. La pègre, les hors la loi, les parias venus de toutes les autres planètes dans lesquelles ils n’étaient plus les bienvenu… Il n’y régnait que le chaos, attisé par les Hutts, qui en plus être parmi les plus grands parrains de la galaxie m’en voulaient personnellement. Il n’y avait aucune raison pour moi d’y revenir et Corellia était une planète suffisamment éloignée pour me convaincre de m’y rendre. D’autant plus que j’allais pouvoir y gagner quelque crédit bien mérité. Ma cale était pleine et la livraison ne demandait qu’à être transmise à son nouveau propriétaire, un Ardenien m’attendant à la Capital.
Je m’installais confortablement dans mon siège et commençait à suivre les procédures de mon nouveau vaisseau. J’avais toujours eu un don pour ce genre de chose. Certes, les Jedi, de par leurs réflexes accrus faisait de bon pilote, mais moi j’aimais ça. Ce n’était pas le cas de tous. Je connaissais les vaisseaux, leurs modèles, leurs particularités et comment les piloter. Ce cargo corellien n’échappait pas à la règle. Je n’avais pas eu de difficulté à le faire quitter le repère de Grakkus et pas plus de difficulté à le faire voler jusqu’au vide sidérale. Je pouvais maintenant apercevoir la planète désertique depuis l’espace. Elle paraissait tellement paisible… Il n’en était rien.
Bien sûr, une main en plus n’aurait pas été de trop sur l’Hermes. Oui, j’avais fait le choix de le renommer ainsi. Quel vaisseau digne de ce nom n’avait pas de nom pour raconter ses exploits ? Et il aurait bien eu besoin d’un copilote pour les accomplir. Je m’en sortais, mais les manœuvre les plus compliqués étaient longues à effectuer seul. Peut-être que quand j’aurais trouvé une situation plus stable j’embaucherais quelqu’un… Non. Ce serait trop risqué. Je ne pouvais pas faire confiance à n’importe qui. Un droïde ferait l’affaire. Dès que j’aurais les crédits suffisants j’y penserais.
Allez. Il était temps de filer. J’actionnais les différents boutons et autres leviers pour activer le réacteurs suppraluminique du cargo. A chaque étape passée, on entendait les composants se mettre en marche, ou les mécanismes s’enclencher. Rapidement, tout fut prêt, même la destination était renseignée. L’Hermes ne demandait plus que l’autorisation de passer en vitesse lumière. Un dernier regard. Un dernier mot ? Non ils ne le méritaient pas. J’actionnais l’hyperdrive et disparaissait dans l’hyperespace, entouré de ces rayons bleus si reconnaissable. « Je t’aime bien ». Je ne m’attendais bien évidement pas à une réponse de la part de mon nouveau vaisseau. J’avais simplement l’habitude de parler à mes machines. J’avais eu de la chance de tomber sur cet engin. Il était en bon état. Rapide. Pratique. J’allais en faire un bon usage. « Quand j’aurais le temps je changerais ta peinture quand même. » Oui, il fallait qu’il soit moins reconnaissable. Les chasseurs de prime à ma poursuite ne devaient pas me retrouver. Et puis cette couleur verte était moche. On aurait dit la bave gluante d’un Hutt. « Bon qu’est ce que je vais faire en attendant d’être arrivé… » Je me levais et sortait du cockpit. Au centre du vaisseau se trouvait l’espace de vie, le salon du cargo. Il n’y avait pas grand chose. Ce n’était pas très propre et très fonctionnelle. Les tueurs à gage à qui je l’avais volé ne se souciait pas trop de cet aspect de leur vaisseau.
Au centre de la pièce se trouvait un holoprojecteur. Je l’allumais visionnant ainsi la distance à parcourir et le temps qu’il me restait avant la sortie de l’Hyper Espace. J’avais largement le temps de faire un peu de nettoyage. Sans plus attendre je me mettais au travail. Entre ramasser les déchets à droite à gauche, nettoyer le sol, retirer les plantes mourantes et les cadavres de bêtes trainants dans les recoins de la cuisine, j’eu de quoi occuper une bonne partie de mon temps. Mais il m’en restait encore beaucoup à disposition.
Modifié en dernier par Dashel Nelievar le mer. 11 déc. 2019 13:18, modifié 1 fois.
n'est en réalité qu’une infime partie d’une plus grande fresque."
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