L'Astre Tyran

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Planète au climat tempéré et à l'environnement accueillant, Mrisst, le monde natal des Mrissi, a forgé sa réputation grâce à ses prestigieuses académies d'arts et de sciences. Sa position particulière aux portes du Noyau en fait également un monde d'importance stratégique pour la Nouvelle République.
Gouvernement : Confédération des Systèmes Unis
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By Leia Organa
#27286
Avec la scission des planètes des colonies Nord, et la création d'un nouvel Etat dans cette région, distinct de la Nouvelle République, cette dernière perdait une partie de son territoire et gagnait un nouveau voisin.
Fidèle à ses principes de voisinage pacifique, la République ne pouvait absolument laissé s'installer une situation d’indifférence ou de "non-relation" surtout avec des planètes économiquement très liés au Noyau, ce serait fatal pour ce nouvel état, et ce serait contre-dire l'idée même qui avait été à la base de cette scission pacifique... .La relation était nécessaire, surtout pas dans un climat de menace galactique.
L'amitié entre Leia et Maya avait été sacrifiée sur l'autel de ce projet politique, cependant Leia faisait passé le bien commun et ses devoirs avant son bien-être personnel et avant son ressentiment vis à vis de Maya Tega. Tout avait été détruit, qu'il s'agisse des relations entre elles, comme des relations entres ces planètes et la Nouvelle République. Il faudrait donc repartir sur de nouvelles bases, des bases saines et respectueuses.
Aussi une demande de visite fut envoyé à la Confédération des systèmes unis, afin de permettre à Leia de rencontrer le jeune gouvernement et surtout en vue d'établir des relations de voisinage et de coopération viable et pérenne.

L'escorte présidentielle, arriva donc sur Mrisst le moment venue, Leia s’apprêta, elle avait décider de venir sans trop de "délégation" politique pour ne pas ramener à ses négociations des personnes non décidé à repartir sur des bases nouvelles, et désireux de venir faire "payer" à Maya Tega son "ambition".
La rampe d'accès s'abaissa, les quelque gardes républicains précédèrent Leia et elle sortis à son tour...
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By Maya Tega
#27317
On y était. Les Colonies du nord venaient de devenir la Confédération des Systèmes Unis, quittant ainsi de manière définitive la Nouvelle République. Contrairement aux prévisions et aux craintes de beaucoup, la séparation avait été totalement pacifique. La pensée dominante dans les Colonies consistait à faire remarquer à quel point la Nouvelle République avait échoué à réaliser les rêves et les idéaux. Quid des plus démunies ? Quid de cette guerre embourbé dans un marasme sans comparaison ? Oui…La république n’avançait plus, là où le dynamisme des systèmes de la région n’avait jamais été aussi fort.

Alors il avait fallu passer par une case inéluctable : La présidente de la Nouvelle République et la Prima de la Confédération devaient se rencontrer afin de fixer les nouvelles relations qui allaient lier les deux entités politiques. Voilà ce retiendrait l’histoire et le grand public. Pour Maya, les choses seraient totalement autres. Avec d’être la Président, Leia avait été son amie. Une véritable sœur adoptive qu’elle avait appris à aimer en côtoyant le défunt Bail Organa. La Princesse de Chandrila avait vu sa cadette grandir et s’émanciper petit à petit. Ensemble, elle avait tout vécue. Les batailles sanglante comme Kessel, les moments d’insouciances, comme la fête de l’an nouveau sur Merisee, ou bien encore ses moments de douleurs intimes, quand chacune avait vu sa planètes et ses proches disparaître. Oui, elle avait tant partagé. Et pourtant aujourd’hui, leur route semblait se séparer de plus en plus. Elles s’étaient opposées à un point qu’elle n’aurait jamais du atteindre. Le mal était fait, et maya imaginer le gâchis qu’auraient constaté leurs parents, alliés depuis bien avant Yavin, Kessel ou Endor.

Quand arriva le jour de la rencontre, le cœur de Maya se serra. Elle allait revoir Leia, mais plus jamais elle ne pourrait espérer revenir à leur relation passée. Lorsque vint l’heure, elle prit la direction du spacioport flambant neuf, accompagnée d’une escorte de Gardes Chandrilliens, les gardes à tête de phénix. Quand tout fut en place, la rampe s’abaissa, dévoilant la présidente. En bas de celle-ci, les gardes Chandrilliens formaient une haie d’honneur menant à la Prima. Pour l’occasion, la jeune femme portait une simple robe bleue, et en pendentif, un collier symbolique de son mandat chandrillien.

« Bienvenue sur Mrisst Madame la Présidente. J’espère que votre voyage fut bon. »

Comme le voulait le protocole, elle s’inclina en signe de respect. Puis, après avoir écouté son interlocutrice, elle la dirigea vers un speeder qui attendait à proximité. Le trajet fut de courte durée vers le siège du gouvernement, mais donnait une idée de la dynamique des Colonies. Ainsi, après avoir quitté l’astroport vieux d’à peine une année, ils longèrent la Zone Economique, une vaste ruche d’entreprise où commerce, loisir, et travail se côtoyer. Un peu plus loin, se furent les hautes tour du CERG qui accueillir la délégation. S’imaginer que trois ans plus tôt la zone n’était qu’une vaste plaine marécageuse avait un coté irréaliste. Peu après les avoir dépasser, les speeders perdurent de l’altitude pour se posait dans le parc qui entourait le siège de gouvernement.

Maya guida personnellement Leia jusqu’à un salon privé du bâtiment. Le décor simple était composé d’une multitude de bibliothèque en bois, entourant un groupe de fauteuil. Elle invita Leia à s’installer et luis proposa un rafraichissement avant de débutait les festivités. Une fois la présidente servie, elle pris place face à elle.

« Madame la présidente, je suis consciente de la nécessité de rétablir des relations entre nos états. Je souhaite vous remercie de votre venue et vous présenter les respects de notre nation. Puisque vous être en ce jour mon invité, je vous laisses l’honneur d’exposer votre point de vue et votre opinion. »
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By Leia Organa
#27445
Maya conduit Leia dans un salon privé particulièrement agréable, l’accueil était un peu protocolaire comme la situation et les convenances l'exigeaient, et Leia s'en accommoda dans les premiers temps. Elle remercia Maya de l’accueil, et des mots de bienvenus, avec respect.

C'était assez difficile pour elle, elle en voulait à Maya plus qu'a n'importe qui, justement parce qu'elle avait confiance en elle, plus qu'en n'importe qui. L'unité de la République avait été une valeur fondamentale, la stabilité du gouvernement et tout simplement le respect qu'elle s'étaient portée l'une envers l'autre avait toujours été fondamentaux dans leur relation. Mais ce jour au Sénat, durant lequel, Maya incita et proposa aux milliers de représentants galactique de destituer Leia et de faire chuter son gouvernement, fut vécue comme une terrible trahison pour la princesse. Non seulement politique mais surtout du point de vue de leur amitié. Elles s'étaient toujours "couvertes", toujours soutenues, l'une assurant toujours les arrières de l'autre. Et ce jour là précisément, tout cela s'était effondrée pour Leia. Elle n'avait pas imaginé une telle attaque, aussi frontale, aussi humiliante et aussi destructrice pour leur relations et la confiance qu'elle s'étaient toujours portée.
Certes Maya lui avait dit qu'elle n'avait pas apprécié qu'elle tente de sauver Dodona en arrêtant Fanrel, mais de là à provoquer une scission dans toute la République et chercher à éliminer politiquement Leia...
C'était une douleur inversement proportionnelle à l'intensité des liens de confiance et d'affection qui existaient entres elles. Leia n'était pas quelqu'un qui masquait ses émotions, ses ressentis et qui lorsqu'elle était blessée, ne pouvait pas facilement "passer à autre chose" ou ignorer. Elle était une jeune femme entière, qui lorsqu'elle se donnait le faisait entièrement, en amitié, la trahison n'était pas une option, et faire quoique ce soit qui puisse nuire frontalement à l'autre était impensable.
Elle ruminait souvent le soir : A sa place elle n'aurait jamais entrepris de retirer à Maya ce pour quoi elle s'était battu, elle aurait préféré se sacrifié elle politiquement que de voir Maya perdre son engagement et ses responsabilités politique. Trop sentimentale assurément, c'était ce dont on l'avait "taxée" lors du vote de censure. Mais c'était sa personnalité, la distanciation à l'extrême et le calcul politique lui était étranger.

Or ce jour là, la raison d'Etat le lui imposait. La République avait besoin d'assurer des relations pacifiques avec ce nouvel état, et les planètes des colonies Nord, avaient besoin de maintenir des bon rapports avec le Noyau, l’interdépendance économique, culturelle et financière étaient bien trop importante pour s'ignorer mutuellement. Aussi elle avait accepté ce voyage diplomatique, et tenue à le conduire elle-même hors de question de faire preuve de lâcheté en envoyant un ambassadeur.
Une fois installées, et quelque rafraîchissements servis et acceptés avec amabilité, Leia se tourna vers les deux gardes républicains qui les avaient accompagnées...


- Laissez-nous, je vous prie.

Les deux gardes s'exécutèrent, laissant seul Maya et Leia dans le salon, pour la première fois depuis la scission. Leia pris une profonde inspiration, là installée dans un fauteuil en face de Maya, elle entrepris de faire tombée les barrières...

- A huit clos, je te propose Maya, si tu veux bien, de nous passer des "Madame la Présidente", ce serait un peu surfait et se rajouter plus de protocole à une situation déjà bien assez complexes je pense. Je crois que nous nous devons bien ça, nous valons mieux qu'une "courtoisie diplomatique".

Aucun reproches là, évidemment l'une comme l'autre avait scrupuleusement respecté le protocole à l'extérieur et devant des étrangers pour éviter une familiarité difficile à décrypté pour les médias, cependant en aparté, le protocole ne faisait souvent pas bon ménage avec l'efficacité.
Leia bu une gorgée du cocktails doux qu'elle avait pris, comme pour se donner un peu d'élan...


- Je ne te cacherai pas, que pour moi c'est très difficile de venir ici, te voir. Je suis encore très bouleversée par les récents événements et cette scission quoiqu'en dise l'holonet ou l'image que je peux sembler en donner. Mais tu as fait ton choix et je ne vais pas revenir dessus. Nous avons toujours autant de responsabilité envers le peuple, qu'il s'agissent des planètes de la Confédération ou de la République. Et de notre capacité à établir des relations saines entre ces deux entités, dépend leur bon développement et leur survie.

Ce que je souhaite c'est des relations pacifiées, une politique de voisinage sereine, décomplexée. La République a déjà fait l'expérience de la rancoeur avec Elrood sous Mon Mothma, et il est hors de question que nous reproduisions les mêmes erreurs avec les planètes des colonies Nord désormais membres de la Confédération.
Les colonies se sont historiquement développés en fonction et en étroits liens avec le Noyau, le nom même de cette région reflète cette réalité historique. De même que le Noyau à pu maintenir son niveau de développement justement par le soutiens indéfectible des Colonies. Nous pourrions tenter de "remplacer" et de rediriger ces voies d'approvisionnements, ces lignes marchandes vers d'autre régions de la République, mais je n'y tiens pas. Premièrement parce que les coûts seraient plus importants et parce que l'économie de nombre de planètes des colonies Nord, et des planètes républicaine du Noyau dépendent de ces échanges et que nous n'avons pas le droit, c'est là mon avis personnel, d'hypothéquer cette stabilité économique en raison de nos divergences personnelles et idéologiques. Et j'ai la conviction que politiquement une telle manœuvre de "remplacement" serait le principale terreau pour la méfiance et la rancœur. Alors qu'un maintiens au moins partielle des bonnes relations commerciales, économique, financière et culturelle entre ses deux régions, entres ces deux états est une garantie contre ce poison.

Voilà, ça te paraît peut-être inacceptable, ou mon analyse te semple peut-être erronées, je sais que tu ne crois plus ni en la République ni en ses membres et ni en...ces chefs, mais je crois en des relations pacifiées, en la préservation des liens d'amitié sincères qui existent entre ces deux régions et entre les colonies Nord et les autres régions de la République je pense aux colonies Sud, à la région de Kashyyyk et à la bordure extérieure.


Leia posa son verre, attendant la réaction de Maya Tega...
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By Maya Tega
#27649
Maya écouta attentivement la Présidente. Son ancienne amie avait été une adversaire redoutable durant la prise d’Indépendance. Les deux sœurs s’étaient déchirées pour atteindre un point de non-retour, et nul ne pouvait espérer de retour à la normale dans leur relation. Les deux étoiles de la rébellion s’étaient définitivement séparer.

« Je rejoins ton avis sur ce point Leia. Ma volonté n’est pas de crée une fracture entre la Nouvelle République et la Confédération. Contrairement a ce qu’on a pu dire, et ce que tu penses peut être, je ne cherche ni le pouvoir, ni la confrontation. Je cherche la paix et la prospérité. Cette évolution dans notre condition, et l’avènement des Colonies comme un état n’est pas ni un fait égoiste, ni un fait d’opposition. Il s’agit d’une évolution nécessaire à nos yeux pour se donner les moyens de protéger la paix dans cette galaxie. »

Elle marqua une courte pause, poussant un long soupire. Cet entretien n’était pas des plus faciles à mener. Ainsi opposez à celle qu’elle avait vu grandir, à sa petite sœur adoptive.


« Tout ça pour te dire que oui, je veux maintenir ses liens. Nos planètes et nos peuples ont besoins de communiquer et de commercer ensemble. Je veux que notre traité comprennes des garanties sur la liberté de mouvement des personnes, des biens, et des capitaux, afin de ne pas couper les liens centenaires voir millénaires qui lit de multiples planètes. J’aimerai également adjoindre à ce traité des protocoles d’échange culturel, scolaire et universitaire afin d’entretenir l’harmonie entre nos nations. »

La Chandrillienne marque une courte pause. Entre « nos nations ». Deux mots qui sonnaient si étrangement pour elle. Une seule nation était apparemment trop étroite pour elle et leur idéologie, leur philosophie, qui radicalement s’opposait de plus en plus intensément.

« Pour aller plus loin, et rassurait nos peuples et les différents acteurs galactiques, nous pouvons mettre en place un pacte de non-agression, afin d’assurer la paix et la prospérité entre la Nouvelle République et la Confédération. Serais tu d’accord pour mettre cela en place Leia ? »

Elle attrapa son verre afin de boire une petite gorgée. La situation était d’une étrangeté particulière. Habituellement, les deux femmes étaient toujours du même cotés. Pourtant en ce jour, chacun défendrait ses propres intérêts.
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By Leia Organa
#28026
Difficile pour Leia de croire Maya, qui tentait de justifier son geste politique, elle voyait juste en tout cas selon la Princesse, son ancienne amie avait clairement été inspirer et motivé par une quête de pouvoir et d’existence politique très personnelle, au détriment certain de l'intérêt général et de l'édifice républicain que leur pères spirituels leur avaient laissés. Oui Maya avait "recherché la paix et la prospérité", elle avait cherché "Sa paix pour régner sur une région sans avoir de compte à rendre au Sénat, et sa prospérité sans avoir d'impôt à lui reverser", c'était assez dur pour Leia d'entendre que même ça, la chandrillenne n'osait se l'avouer à elle-même, assurément le jour où elle l'admettrait elle vivrait mieux cette fracture qu'elle avait créer au coeur de la République.
Cependant les pensées personnelles de Leia ne devait pas interférer, elle était là pour une mission de paix et de conciliation, il était inutile de rajouter dans les discussions son point de vue très tranché sur la question.

Une chose très encourageante c'était que Maya proposait des relations amicales réellement mutuellement profitable entre les deux Etats, ce qui évidemment allait dans le sens de cette conciliation recherchée...


- Je suis d'accord, un traité d'amitié qui encadre tant les relations de libre-échange, que le maintien de la paix comme valeur suprême, tout en garantissant la poursuite des relations culturelles est la clé d'une diplomatie viable.

Concernant la liberté de circulation des capitaux, dans la mesure où la monnaie, les devises et les tarifs douaniers sont actuellement encore les mêmes, nous pourrions créer une zone économique commune de sorte que les changements politique n'emporteront pas un manque à gagner ou des faillites pour les marchand set commerçants qui jusqu’à présent échangeaient librement et on déjà assez souffert.

En revanche, celà est valable uniquement si toi et les mondes de la confédération n'ont pas un projet éventuel d'adopter une monnaie différente ou celui d'augmenter ou de diminuer le tarifs des douanes extérieures, là dessus c'est à toi de me dire.

Pour la liberté de circulation des personnes et des biens, la condition est bien entendu que nos citoyens respectifs puissent continuer de jouir des mêmes droits et garantis notamment sociale et diplomatique qu'il se trouve sur un monde républicain ou un monde de la confédération, après je pense qu'il n'y aura pas de difficulté particulière sur ce point, la culture républicaine et démocratique des mondes de nos deux Etats sont largement compatible et symétrique, en tout cas pour le moment, si il devait y avoir des changements législatifs majeurs sur ce point nous pourrons toujours ajuster le traité d'amitié.

Cette liberté de circulation pour les citoyens inclus quant à elle la mise en commun ou au moins une collaboration quant à la justice et aux personnes recherchés, de sorte que des criminels de la confédération n'utilisent pas l'espace commun et le traité d'amitié afin d'échapper à votre système de justice en trouvant refuge sur un mondes voisins républicains, l'extradition respectives doit être la règle, ou alors il faut adopté un système de liberté partielle et donc établir des contrôles aux frontières comme avec tout autre état voisins.

Il en va de même pour la libre circulation des biens, pour qu'elle existe nous devons nous engager aussi souvent qu'il est possible et dans la limite bien sûr des éventuelles particularités constitutionnelles, à harmoniser nos législations concernant les marchandises autorisée ou non à circuler dans l'espace économique commun.
De sorte qu'un produit que vous interdisiez ne puisse pas entrer sur votre territoire en profitant de l'espace commun et en passant par une planète républicaine et vice-versa.

Evidemment une totale équivalence législative et réglementaires n'est pas possible sur la question de la circulation des biens et des personnes de même que pour les tarifs de douanes, mais si nos deux organes législatifs font régulièrement l'effort d'une harmonisation cela ne sera que plus profitable et protecteur pour nos échanges et l'équilibre économique entre nos deux états dont dépendent une grandes partie de monde de cette région.

Concernant le pacte de non-agression, c'est une évidence pour moi tu t'en doute, on peut même imaginer une collaboration plus étroite dans le cadre de l'Union (d'ailleurs je te laisse me donner ta position et ta vision sur la question) dans la mesure où nos deux Etat Major se connaissent très bien pour avoir été au sein de l'Alliance et pour disposer de la même culture et tradition militaire.

La collaboration civile et culturelle, demeure centrale, et dépendra je pense beaucoup de notre manière de communiquer autour de tout cela.
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By Maya Tega
#28202
La Présidente de la Nouvelle République et la prima semblait presque sur la même ligne. Elle souhaité retrouvait des relations normalisées entre les deux états. Pourtant, le discours de Leia allait vers une trop grande dépendance de la Confédération envers la République. Ainsi, la réforme financière à venir aller introduire une nouvelle monnaie, un nouveau code de l’impôt et de nouvelles règles commerciales.

« Pour ce qui est de la partie commerciale, nous avons en effet comme projet de changer de monnaie d’ici peu de temps. Toutefois, celle–ci devrait garder un taux relativement proche de la monnaie républicaine, compte tenu du peu de variation de cette dernière. Malgré cela, nous pourrions pourtant mettre en place une zone de libre circulation des capitaux. Il faudrait pour cela que nos banques centrales respectives se portent garantes de taux de changes maximum et minimum. »

Elle marqua une courte pause avant de reprendre.

« La libre circulation des biens pourra se faire grâce à harmonisation de nos législations communes, en effet. Pour le moment, nos règles doivent relativement peu différer. Si cela était le cas, nous pourrions réfléchir à chaque modification à la manière de les intégrés dane le traité. »

Nouvelle pause et son regard se fixa droit dans les yeux de Leia.

« Pour ce qui est de la circulation des personnes, la Confédération se tiendra garant de la sécurité et des droits des citoyens républicains dans notre espace. De même, puisque nous parlons de droit et de garanti, peut être pourrions-nous mettre en place un traité d’extradition et de collaboration dans la lutte contre la criminalité et la piraterie. Ce nous permettra d’être plus efficace dans ses domaines. »

La jeune femme marqua une nouvelle pause. Peu à peu, le traité d’amitié semblait se dessiner.

« Concernant l’accord de non-agression, nous sommes heureux de pouvoir le signer ensemble. Il garantira à tous que nos nations ne s’engagerons pas dans une escalade de haine et de violence. Pour en venir au second point, l’Union, nous sommes bien entendu favorable à un commandement rapproché des armées au seins de l’Union. Nos états-majors ont des liens anciens et fort, mais chacun à désormais pris un chemin différent. Dans le cadre de l’Union, nous participerons au discussion et au prise de décision en temps qu’état indépendant et souverain. Et bien que notre collaboratio sera facilité par les liens qui unissent nos officiers, nous ne pouvons apparaître ensemble comme une alliance dans l’alliance. »

Oui, la Confédération et la République ne devait pas paraître liée dans ses réunions. Non seulement l’interêt de la Confédération n’y était pas, mais celui de l’Union non plus.

« Aurais tu d’autres choses à rajouter ? »
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By Han Solo
#31299
Il en va de la politique comme il en va de l'amour, tout les coups sont permis et les disputes sont souvent sans pitié tout en infligeant de lourds dégâts. Souvent, l'on finit ensuite par regretter tardivement ce qu'on a pu dire ou quels actes on a pu commettre. C'est toujours trop tard qu'on s'en rend compte et on ne peut que regretter ce qui a pu se passer. C'était la situation dans laquelle Leia se trouvait en ce moment, alors qu'elle discutait politique et traité diplomatique avec son ex-meilleure amie et sœur par l'affection et la lutte communes partagées.

Combien elle était triste aujourd'hui de n'avoir pas su deviner que ce moment au Sénat ou sa camarade rebelle et amie sincère était celui de la trahison et la séparation. Éduquée comme une princesse, une diplomate et plus encore, une dirigeante, Leia n'en était pas moins une personne naturellement franche et il fallait l'avouer, émotive. Trop peut-être pour la vie qu'elle menait. Mais après tout, c'était ce qui avait fait d'elle celle qu'elle était, en bien comme en mal et on ne pouvait guère le lui reprocher.

Tout cela n'en rendait pas plus simple cette discussion avec Maya. De la regarder yeux dans les yeux, de lui parler en faisant fi du tremblement dans sa voix lorsqu'elle parlait à la Prima, de tenter de cacher la douleur et la tristesse qui couvaient en elle. Sa jeune vie comportait son lot de regrets et d'erreurs passées, mais s'il en était une à retenir, c'était bien celle de cette amitié sacrifiée sur l'autel de la nécessité politique et de l'ambition.

Il n'y aurait plus cette main qui se poserait sur son épaule, cette voix douce qui la soutiendrait au Sénat, ce sourire complice qui témoignait de leur affection. Il n'y aurait plus que la tristesse, la désillusion, l'amertume de ce qui avait été et n'était plus, la solitude des journées de repos à Cantham ou, lassées, les 2 princesses riraient de ce pauvre C3PO hystérique errant dans la propriété, discuteraient de leurs vies privées sans tabou ni secret, trouveraient du réconfort dans la simplicité de leur relation.

Ces négociations qui amorçaient traité de paix et échanges économiques visaient aussi à notifier la fin d'une époque, celle ou Organa et Tega, seules contre tous, luttaient ensemble pour un monde meilleur. Alors, quand Maya, la regardant sans ciller ni sourire, le visage neutre et parfaitement composé, lui demandait si il y avait autre chose à ajouter, la Présidente laissa passer de longues secondes avant de répondre.

Il y aurait eu tant à dire, elle aurait voulu pouvoir la saisir à la taille, la secouer très fort et lui hurler que tout ce cirque n'était ni nécessaire ni sain pour aucune d'elles, elle aurait voulu pouvoir lui pardonner et lui dire que ça n'avait aucune importance, qu'elles ne pouvaient pas laisser la politique les séparer à jamais, que c'était leur dernière chance de faire la paix. Mais elle n'en fit rien. Parce que sa colère, sa douleur, ses désillusions, tout la forçait à ne pas pouvoir pardonner et passer à autre chose.

Telle était Leia, et c'était un de ses plus gros défauts que de ne savoir passer outre lorsqu'elle se sentait trahie. Sans oublier son attirance pour les hommes impossibles à avoir.

Non, Maya. Il n'y a rien d'autre à ajouter.

Ce qui était un mensonge, il y avait beaucoup à ajouter. Mais ça n'était ni le lieu ni le moment. Peut-être, le temps et les épreuves passant, pourraient-elles se retrouver avant la fin et faire la paix, non pas entre République et Confédération mais entre Princesses. En attendant ce jour hypothétique, il n'y avait plus rien à dire maintenant que les accords préventifs étaient scellés. Simplement échanger les banalités protocolaires d'usage, se souhaiter une bonne journée et continuation, se dire au revoir, remonter dans son vaisseau et repartir direction le Noyau.

Abandonner derrière soi les restes brisés d'une amitié. Et se prendre à espérer que peut-être, cela pouvait encore changer plus tard et revenir à avant tout ce qui les avait conduit ici. On pouvait toujours rêver que les choses s'arrangent après tout. Pourtant, alors que son vaisseau la ramenait direction Coruscant et que ses yeux, posés sur le hublot depuis sa cabine personnelle, se posaient sur le globe de plus en plus lointain de Mrisst, Leia se prit à penser que là, alors que les 2 femmes s'étaient regardées droit dans les yeux, elle aurait dû lui dire qu'elle lui pardonnait.
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