- sam. 30 déc. 2017 00:53
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Jack Crypston a écrit :| Début de l'enregistrement Holocomm |Salut mon beau, ici Jack ! Aujourd'hui est un gran...
Une voix monotone coupa soudainement la phrase de JackUn grand jour qu'est aujourd'hui, c'est se que vous alliez dire monsieur ?
Jack regarda dépitée, le grossier droïde qui l'avait interrompu. La prise était pourtant parfaite, il fallait que ce maudit tas de boulon gâche tout, encore... Ça en devenait lassant.Harold rappelle moi, pourquoi tu es toujours là quand je fais mes enregistrements sur mon Holojournal ?Car c'est à cette heure que je fais le ménage dans votre bureau, monsieur et je vous avoue que c'est très dégradant , j'ai été programmé pou...
A son tour Jack coupa HaroldHarold tu entend ?Mes capteurs audio ne détectent rien, monsieur.C'est très bien tu sais pourquoi ? Parce que tu l'as fermé, maintenant retourne bosser Harold !C'est enfantin monsieur.Re-tou-ne Bo-s-s-er !
Harold n'ajouta rien, il baissa simplement la tête, il savait très bien quand il pouvait discuter avec son maître, et quand cela ne servait à rien.Bien, ceci est mon second rapport...
Jack fusilla du regard Harold, prévoyant à l'avance toutes autres interruptions, mais Harold ne semblait pas vouloir le corriger, pour une fois.Mon second rapport je disais donc, la situation est (il hésitait un peux, en réalité même en étant honnête avec lui, il ne savait pas si la situation était convenable ou catastrophique, dans le doute il valait mieux resté nuancés) Tout va pour le mieux Jack du futur, tous c'est passé comme prévu, j’attends plus que le courrier annonçant mes petites charges et tous sera réglé Ah...ah...ah (cette fois ci même un sourd comprendrais qu'il se forçait de rire). Aujourd'hui je vais pouvoir rendre visite aux potentiels investisseurs, j’ai put feuilleter le carnet et je peux t'assurer Jack du futur que tous va aller pour le mieux, bientôt nous serons de nouveau en course, allez je te laisse j'ai un passé à faire fructifier.
|Fin de l'enregistrement Holocomm |
Quelle fin débile, si j'avais le temps suffisant, j'aurai relancé un nouvelle enregistrement, malheureusement c'était bien la seule chose qui me manquais, sa et plusieurs millions de crédits... sa faisais deux choses, je m'en sortais pas si mal. Dans la liste des bonnes nouvelles je pourrai ajouter que j'avais fini de retaper 4 des 7 droïdes de sécurités défectueux, et que je planchais enfin sur la création d'un œil bionique, à force de temps et d'effort je pourrai à nouveau voir de mes deux yeux. Le petit carnet recensé bon nombre de noms de potentiels investisseurs, mais après de brèves recherche plus des trois quarts de ces personnes étaient morte, c'était assez peux étonnant quand on voyait que certaines des personnes listés étaient naît avant même que son grand-père ne marche sur ses quatre pattes. À la fin d'une seconde session de recherche peut fructueuse, seul un nom ressortit du lot la BDC (banque durable des colonies). Je ressentis une étrange sensation vaguement familière, la même que celle que j'ai eu quand je suis rentré voir le notaire, et sa ne me plaisais pas du tout. Je ne laisserais que deux droïdes de sécurités en plus d'Harold. Je préférais me déplacer en toute sécurité, je sélectionna les 4 droïdes de combats parmi les 6, sélectionnant les plus tapes à l'œil dont je disposais. Je m'habillerai de la même façon que la dernière fois et je sortis, cette fois-ci le trajet fus plus court. Je ne fis même pas attention aux habitants effrayés, jusqu'à se qu'un gamins des rues faillisse me frôler. À cette instant précis les 4 droïdes braquèrent l'enfant et l'un d'eux lâcha un funeste avertissement.Un pas de plus et nous seront obliger de vous abattre !
L'enfant apeuré s'enfuit en pleurant aussi vite qu'il put, stupide gosse il aurait put me salir. J’accélérais le mouvement, je ne me sentais pas en sécurité à l'extérieur, seuls les murs de 3 mètres d'épaisseurs en plastacier de mon usine pouvais me rassurer. J'arrivais enfin aux portes de la BDC, je venais tous juste d'y arriver et pourtant je sentais qu'en entrant dans le bâtiment, j'entrais dans la gueule du Devaronien, je me décida finalement et je rentra dans la BDC. C'était un lieu à part bien différent de la préfecture, tout était plus grand, plus lumineux, mais pas une lumière aveuglante non une simple lumière agréable et paisible. Ici tous respirait le bonheur et la joie de vivre, les employés semblaient sourire a tous les clients avec un air niai et joviale. C'était confirmé, je détestais cette endroit, les employés n'étaient pas surmenés, les clients ne semblaient pas le moins du monde stressé ou pressé, cette endroit le dégoutait, tout était faux. Au premier coup d’œil tous semblait beau, magnifique un pseudo "lieu paradisiaque". Mais en regardant bien, alors qu'il n'avait qu'un seul œil valide cette pseudo gentillesse des employés qui souriaient aux clients n'était en aucun cas dénué d’intérêt, un patron attentifs pouvait facilement voir leurs supérieurs derrière leurs comptoirs, les épiant et vérifiant qu'ils traitent les clients selon leurs rangs, en s'y prenant bien, le sourire niais des employés n'était qu'un sourire crispé et tendu futilement masqué, quant aux clients ils ressemblaient plus a des moutons allant a l’abattoir, qu'a des gens heureux, ce n'étaient que des imbéciles complètement lobotomisés par le système. Cela ne me dérangeais pas, mais tenté de le camouflé, sa j'aimais pas.
Mon entré avais fait forte impression, tous me regardais, je scruta les alentours je discernas rapidement 2 types de réactions, soit les gens étaient méfiant, après tout qui était cette énergumène arrivant avec 4 droïdes de combats, telles étaient les réaction des différents clients et des jeunes employés, les cadres eux me regardait plus d'un air intrigué me voyant plus comme un riche excentrique, une sorte de gros benêt. Je ne m’attarderai pas, je rejoins le comptoir le plus proche, et... mauvaise pioche c'était une alien qui me fit face, je passe outre souris et dis.Bien le bonjour, je suis venu ici pour obtenir un emprunt.Bien sur monsieur, quelle genres d'emprunt , vous faudrait-il, nous avons différent types d'emprunt, prêt immobilier, pour vaisseaux ou...
Jack coupa court a la ce flot d'information dérisoire qui l'ennuyait déjà.Je suis la pour un emprunt pour mon entreprise.Oh et bien nous...Un emprunt de 20 millions de Crédits nette.
L'alien lui fit les gros yeux se questionnant si cette homme ne se moquait pas d'elle , au bout d'un moment voyant que l'homme semblait être sérieux dans ses propos elle fut prise aux dépourvues.Et bien je.. nous proposons,un service de crédit avec un taux de 1,5% pour un emprunt immobilier avec un seuil maximum de 4,5 millions de Cr c'est un bon début po...1,5% ? je préfèrerais avoir un taux négociable, et c'est 20 millions de Cr pas 4 et des poussières. Voyez-vous j'ai besoin de cette somme pour relancer une fonderie de droïde de guerre.
Je voulais jouer franc jeux, et j'en avais aussi marre de passer par les intermédiaires, cette fois-ci j'allais passer directement par le patron.J'ajouterai que je voudrais les 20 millions de Cr en liquide.
La pauvre Alien ne savais plus quoi répondre, elle venait à peine de commencer sa journée et elle tombat sur cette Homme borgne, accompagné de droïdes de combats, lui demandant l'emprunt d'une somme colossale en liquide. Des centaines de questions vrombissaient dans sa tête, mais plus un mot sortît de sa bouche, abasourdi par l'absurdité de la scène.
Rapidement l'un des cadres situés derrière les comptoires, qui avait sans doute observer l'affaire du coin de l'œil s'approcha et lui demanda.Y at-il un problème monsieur ?Oui votre employé semble avoir un trouble mental, ou quelques choses dans le genres, je lui ai posé une question simple, avec des mots simple et votre alien d'employé n'a pas été capable de me répondre.
Jack avait lâché le "alien d'employé" pour souligner au supérieur que les aliens n'étaient que des bon a riens de son point de vue, c'était inutilement méchant mais c'était très défoulant.
Le supérieur ne se laissa pas déstabiliser, il enchaîna par.Et qu'elles informations lui avait vous demander monsieur ?
Je souris, du même sourire carnassier que celui que mon notaire m'avais adressé le jour de ma déposition de Bilan.Une chose des plus claires pourtant, je demande simplement un emprunt de 20 millions de crédits en liquide, avec un taux négociable, pour pouvoir relancer ma fonderie de droïdes de guerres.
Le pseudo self-control du cadre, fut balayer d'un seul coup, il regarda Jack avec la même expression que l'employé, il ne réussit qu'à baraguiner un.Euh.. je... c'est une plaisanterie
Jack donna le coup de grâce, les 4 droïdes de combats se rapprochèrent dans un geste synchronisée, s'approchant d'un pas lourd et brutal du comptoir, entourant de chaque côté leur maître. Avec se sombre cortège là moindre banalité sonnerait comme une menace, et pourtant Jack employa la voix la plus funeste et lugubre possible, tout en continuant de fusiller du regard le pauvre cadre.Ai-je vraiment l'air de plaisanter ?Je... que... et... bi...
L'homme n'arrivait même plus à aligner le moindre son audible. Jack continua malgré tout ses assauts.Vous savez mon temps est précieux, chaque minute perdu ici me coûte beaucoup, au vu de votre incompétence, j'aimerais parlé à votre supérieur hiérarchique.Il... il est parti... il est en déplacement...Sérieusement ? Eh bien très bien, je m'entretiendrai directement avec le fondateur de la BDC.
Presque comme un glapissement, une sorte de râle, le cadre bondit sur place et répondît presque en crachant tous ses mots à la fois.Mais... mais vous ne pouvez pas faire sa...Tututu, cest trop tard maintenant il faut subir les conséquences de son incompétence, appelé moi le fondateur de BDC je ne ferais affaire qu'avec lui.Mais...Maintenant !
L'homme fit un pas en arrière comme repoussé par mon rugissement, tous s'étaient retourner alerter par le hurlement. Le cadre pâlit, et s'exécuta rapidement. J'étais surpris de pouvoir m'adresser au fondateur de la BDC aussi facilement. C'était presque trop simple, avec 4 robots un costume et en tappant du poing, j'avais réussi à contacter, le fondateur de l'un des plus grands groupes bancaires de la galaxie. L'homme revint rapidement un Holocomm en main, il me fit signe de le suivre, l'homme m'amena,dans une petite salle à la décoration austère, il me donna l'Holocomm d'une main tremblante, il esquiva maladroitement mes droïdes, et referma la porte. Le vrai challenge commençait, Jack se sentait près. Et soudain l'image holographique surgit.
Tout le monde pense être le héros de sa propre histoire...