L'Astre Tyran

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Planète volcanique d'où les sullustéens sont issues, Sullust fut l'un des Mondes fondateurs de l'Alliance Rebelle. Paradoxalement, si la planète est profondément républicaine elle choisie de ne pas rallier la Nouvelle République à la chute de l'Empire et poursuis depuis sa marche vers l'avant à la tête d'un des secteurs les plus riches du dédale de Rimma.
Gouvernement : Neutre - Petites affinités avec Nouvelle République
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By Volthaïr Sovv
#9749
Une fois de plus, la SoroSuub cherchait à ce maintenir à la pointe de la technologie galactique. Le Centre de Recherche de Sulon, sous la direction du Professeur Octraf, allait une fois encore permettre à la méga-corporation d'effectuer de nouvelles recherches.

Pour l'heure un contrat avec la planète Rodia demandait l'amélioration des bulles-champs que cette dernière utilisait pour maintenir les citées et complexes agricoles à des températures décentes. Les rodiens étaient habitués à supporter plus que d'autres espèces, mais une limite semblait avoir été atteinte.

Le Professeur Octraf ce dirigea vers une solution relativement simple. On savait refroidir l'eau. Ce genre de procédé était à la portée de n'importe qui, pratiquement.
L'idée fut donc de concevoir une tour haute d'environ 30m, pourvue d'un système de refroidissement mais de l'air cette fois. D'ordinaire s'était l'eau qui était refroidis par l'air. Ici ce n'était pas possible aussi on décida de refroidir l'atmosphère locale de la bulle champs par un gaz refroidissant. Comme de la carbonite par exemple.
L'air chaud ce trouvant en haut, le haut de la tour aspirait l'air ambiant (avec un filtre pour éviter de stupides accident) lequel était alors envoyé dans la tour vers le bas par un système de machinerie simple.
Dans la tour, un réseau de tuyau relativement gros canalisait alors l'air capté et passait dans des réserves de carbonites. A la sortie, l'air était refroidie.

La dernière touche étant de définir une température de sortie de l'air. Inutile de revenir à l'air glacière dans la bulle champs. On opta pour une température de 25°C soit pratiquement deux fois moins que ce que les rodiens auraient à subir sur place.

Il faudrait certes un peux de temps pour développer cette technologie, mais personne ne doutait de sa faisabilité...
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By Créativité
#9798
L'idée Sullustéenne était excellente, cependant deux choses posaient problème.

La première, une bulle champ faisait plusieurs kilomètres de diamètre, aussi à cette échelle, 30 mètres de haut, cela ne garantissait pas d'avoir l'air le plus chaud de la bulle. Aussi, l’approvisionnement en énergie pour maintenir une structure de cette taille demandait beaucoup de surface. Une tour de refroidissement de 30 mètres était loin d'être suffisante, mais en prenant une tour de 300 mètres de haut, on pouvait parvenir à des résultats conformes à ce qu'attendaient les demandeurs sullustéens.

L'autre problème, c'est que cela coûterait très cher, et que des tours, il en faudrait plusieurs par bulle champ, car pour refroidir des millions de mètres cubes d'air, un seul conduit ne suffisait certes pas, à moins d'aspirer l'air à une vitesse supersonique, ce qui causerait des dégâts très dommageables également. Un système qui coûterait très très cher, pour un gain somme toute assez maigre, car dans les bulles champs de bonne qualité (celles à 45° sont de mauvaises qualités), la température était déjà de 30°. Il faudrait apporter des modifications au projet en l'état, qui ne fonctionnait tout simplement pas, cependant les chercheurs promettaient parvenir à un résultat satisfaisant en modifiant les bons éléments. Restaient à savoir lesquels. Ils voulaient savoir quoi. Eux s'occuperaient de comment.
#9891
Octraf travaillait dure pour résoudre les problèmes qui survenaient. Hors ces problèmes laissaient apparaître un problème qu'il ne serait pas aisé de compenser.
Les rodiens avaient déjà des bulles-champs efficaces. Hors celles qu'on devait améliorer étaient de qualités moindres.
Donc on pouvait chercher à améliorer simplement ce qu'on nous proposait initialement.

L'idée vint d'un jeune chercheur adepte des nouvelles technologies, euphémisme je sais, une sorte de jeune à peine sortie de l'adolescence et toujours au courant du dernier joujou à la mode des hologeekspaces.

Ainsi donc il proposa d'installer des refroidisseurs à carbonite de plus petites tailles, sur support antigrav!

La nouvelle idée était de continuer à refroidir l'atmosphère de la bulle champs, mais cette fois en répartissant la charge de travail.
D'une part si une entité de refroidissement tombait en panne, elle serait facile à remplacer, d'autre part on pouvait ajuster sa position en fonction des conditions climatiques.
Seul bémol le carbonite utilisé devrait être changé régulièrement, mais là encore face à une système sur antigrav, il suffisait d'en prévoir un petit stock par avance pour procéder à des changements réguliers et rapide. De plus on diminuait le coût unitaire pour l'entretiens. Du moins on l'espérait.

Deuxième idée de notre petit malin, installer une interface "bulle/planète" destinée à effectuer des purges et connections extérieurs. Ceci afin de filtrer l'air ambiant efficacement. Certes cela existait déjà, mais là on en plaçait une à système de carbonite de même.
Si l'air ambiant devait être changé, on pouvait rapidement l'envoyer en extérieur et pomper de l'air extérieur. Ce dernier serait forcément moins chaud tandis que le premier serait refroidis à sa sortie pour ne pas bouleverser l'équilibre de la planète...
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By Créativité
#9979
Refroidisseurs à carbonite sur support anti-grav, ça promettait!

Les chercheurs se lancèrent dans la réalisation du projet d'arrache-pied.

Une semaine après, de gros problèmes se posaient à eux. Les barges pour soutenir de tels engins devaient être énormes. Quant au poids d'une tour de refroidissement mobile, c'était du costaud.

Quant au prix, à l'entretien plus élevé, aux aller-retour continus. Cela faisait beaucoup.*

Les chercheurs l'avouaient, la solution marchait, mais donnerait des coûts très chers, de l'ordre de deux fois le prix actuel des bulle-champ, et un entretien trois à quatre fois plus élevé que les bulle-champs de mauvaise qualité. Hors le but justement pour les Rodiens était de faire des bulle-champs à très bas prix. Alors oui, pour améliorer la chaleur, il fallait faire monter un peu le prix, mais l'idée était de rester malgré tout dans quelque chose de très peu cher et facile à mettre en place.

On tournait en rond, il fallait trouver une solution facile et peu coûteuse. Peut-être que la solution n'était ni dans la mobilité, ni dans la hauteur. Il devait bien y avoir un moyen de refroidir autrement? Non?


Solution fonctionnelle mais trop cher par rapport à la qualité.
Les chercheurs conseillent de repartir à zéro sur une nouvelle base, quelque chose de plus rationnel, facile à construire et pourtant efficace.
#10169
Avait on cherché plus compliqué que nécessaire?
Surement! En effet les bulles champs existaient déjà depuis belle lurette. La SoroSuub ne gagnerait surement pas grand chose à tenter de percer sur ce marché avec sa propre gamme.
Toutefois proposer un pack de conversion et amélioration de bulle champs pouvait s'avérer bien plus profitable.

Ces dernières étant fermées, il ne fallait "que" réduire la température.

Aussi les chercheurs ce dirigèrent ils vers des refroidisseurs à carbonites, cette idée là était maintenue, mais intégrés aux système de régulation climatique que les bulles devaient d'ors et déjà détenir.
Ainsi on allait augmenter la capacité de régulation climatique sans chercher à ré-inventer les bulles champs!
#10321
Lorsque le professeur Octraf revint voir son équipe, les chercheurs étaient satisfaits. Les premiers tests à échelle réduite fonctionnaient bien, et de plus, en contrôlant le flux de carbonite, on pouvait contrôler la température et la faire fluctuer un peu (pas grand chose, mais c'était toujours ça). Ainsi donc, les bulles-champs bon marché étaient opérationnelles et offraient des températures descendant jusqu'à 32°. Une réussite totale. Bien que cela restait au-dessus de la température que l'on pouvait trouver dans les bulle-champs classiques des Rodiens, celles-ci étaient beaucoup moins chères et coutaient moins d'entretien!

Une fois le projet définitivement classé "terminé", les chercheurs sabrèrent le champagne et s'en allèrent dormirent bienheureux. Restait à la SoroSuub de faire fructifier ça.


Récapitulatif :

- Bulle-champs bon marché : 20 millions chaque unité, température 32°minimum à 45°maximum, air de bonne qualité, bulle de 5 à 12 km de diamètre (chaleur plus difficile avec une taille plus grande, à moins de payer plus cher), 2 semaines de construction, 2 millions d'entretien.
- Plans opérationnels, prêts à utilisation.
#10323
HRP: Si tu veux pas prendre la suite créa fait moi signe, je demanderais un autre MJ/ME


Octraf pouvait être fier de lui et de son équipe, car grâce à eux le quotidien de citoyens rodiens allait grandement s'améliorer. La SoroSuub était d'ailleurs satisfaite et offrait une prime d’intéressement de 10 000 crédits à toute l'équipe. Généreux patron non?

Mais après le champagne, venait la suite du travail! En effet la SoroSuub voulait demeurer à la pointe du progrès, et ce dans tout les domaines. On bâtissait un laboratoire de recherche adjoint au Complexe de Sulon sur Karideph en ce moment même, mais en attendant le travail demeurerait important.

Ainsi la SoroSuub chargea cette fois l'équipe du Professeur Octraf de revoir intégralement les plans du Croiseur Lourd Dauntless.
Dérivé du Paquebot de Luxe Dauntless pour les besoins de la Guerre Civile Galactique, le Gouvernement Sectoriel voulait à présent disposer d'un croiseur de combat dédié 100% à ce dernier et pas simplement un vaisseau civil reconvertis.

Trois impératifs étaient à respecter: premièrement ce passer du Paquebot de Luxe pour la conception du nouveau vaisseau, secondement améliorer la conception et troisièmement demeurer au maximum d'un mois de production pour demeurer compétitif avec les croiseurs MC-90 calamariens.

Le travail de Octraf était facilité par le fait que les plans des deux vaisseaux étaient disponibles sans problème. On avait même les schémas de conception...
L'amélioration quand à elle passait par un blindage de combat "dans la masse" et non plus seulement ajouté par dessus l’ancienne coque civile.
L'armement quand à lui était revue, dans son positionnement comme son choix, pour faire face à la nouvelle génération de vaisseaux de guerres lourds. Le nombre était légèrement augmenté, la moindre capacité d'emport en troupe permettant de caser davantage d'armes à bord.
La propulsion était revue de même avec les puissants moteurs ioniques "Boav II" auxquels on allait ajouter le récent système de refroidissement au carbonite. Pas de quoi aller fondamentalement plus vite, mais de quoi ajouter à la marge de sécurité.
L'hyperpropulseur était un Griffyn/Y2TG, lui aussi de manufacture SoroSuub et d'ors et déjà produit en quantité.
Le bouclier déflecteur n'était pas en reste, constitué de trois "pièces", différentes pour un surplus de protection.


Croiseur Lourd Dauntless MK II:
Taille : 1380 mètres
Armement : 30 Turbolasers lourds, 40 turbolasers, 24 Batteries Ioniques lourdes, 24 canons lasers jumelés, 6 lances torpilles à protons, 4 rayons tracteurs
Emport : 750 Soldats, 48 chasseurs/navettes
Hyperespace : X 1.0, X 6.0 de secours
Cout en Crédit : 30 millions
Maintenance : 7 millions
Temps de Production : 1 Mois IRL
#10620
SoroSuub, département Recherche et Développement, antenne de Karideph

Quelques heures à peine après l'inauguration officielle du laboratoire SoroSuub de Karideph, ce dernier entamait une première phase de recherche concernant le secteur...civil! En effet si le militaire était cool, le civil vendait carrément mieux. De plus une stratégie particulièrement machiavélique sous tendait ce projet de recherche-ci. Ha les complots sullustéens...

S'appuyant sur les récentes découvertes en refroidisseurs au carbonite pour les bulles-champs de Rodia, la SoroSuub mit l'équipe de Karideph au travail pour intégrer cette technologie aux moteurs de speeders. Différents critères étaient à respecter.

D'une part il fallait créer un moteur utilisable sur l'ensemble de la gamme de Speeders SoroSuub afin de pouvoir effectuer des modifications sur les anciens speeders de l'entreprise (et donc faire fonctionner le SAV pour toujours davantage de crédits).

D'autre part le moteur devait être aussi compacte que possible avec la possibilité de voir plus grand au besoin.

Et enfin que le moteur soit plus performant que les anciens sur le plan économique...et écologique! Le carbonite étant là pour effectuer un refroidissement global du moteur mais également de ses échappements afin de réduire l'empreinte écologique de l'appareil.

Dans l'idéal, l'entreprise voulait voir trois projets voirs le jour. Une classe 3 pour les motojets et autres petits modèles, une classe 2 pour les speeders civil et une classe 1 pour les appareils à usage militaire.


Répulseur à Carbonite SoroSuub Mk1:

Classe 3: Petits moteurs très compacte, sacrifiant la vitesse pour une plus longue autonomie et une empreinte écologique moindre.

Classe 2: Moteur moyen, plus grande autonomie, empreinte écologique au minimum absolue et puissance augmentée.

Classe 1: Redondance sécuritaire au niveau du moteur, plus grande autonomie, puissance augmentée et empreinte écologique moindre.



Mais on n'allait pas s'arrêter là! Le Centre de Recherche de Sulon étant complètement pris par les travaux concernant le futur croiseur de combat de la SoroSuub, celles concernant son lanceur de missiles tactiques allaient avoir lieux sur Karideph.
Une partie du laboratoire fut ainsi réservé pour concevoir les plans visant à modifier le croiseur de fret Quasar Fire pour en faire une plate-forme lance missile.
L'idée était relativement simple: sacrifier tout ou partie de sa capacité d'emport en chasseurs pour les adjoindre à la place un système lance missile dernière génération. Mieux encore, les lanceurs devaient être facilement modifiables pour s'adapter à tout types de missiles.


Croiseur lance missile Quasar Fire
Taille : 350 mètres
Armement : 2 Canons Lasers
Équipage: 96 hommes d'équipage, 14 artilleurs, 140 techniciens
Emport : 18 lances missiles (tout types de missiles), une navette
Soutes: 4.000 tonnes métriques
Hyperpropulsion : X 2.0
Coût en Crédit : 1.500.000 Cr
Maintenance : 150.000 Cr
Temps de production : 1 Mois IRL
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By Honneur
#10712
La Sorosuub avait décidé d'investir sur une version complètement militaire du Dauntless pour en faire une réelle alternative au MC-90. Si globalement le contrat semblait bien engagé, l'engin serait moins performant sur plusieurs points, à savoir l'emport de chasse, le système de boucliers qui restait une spécialité mon calamari que Sullust ne pourrait égaler qu'à coup de longues et dispendieuses recherches si c'était le but et euh... le prix tout simplement. D'un autre côté le Dauntless avait une puissance de feu légèrement supérieure à son homologue de Dac et surtout une polyvalence pour répliquer aux agressions. Les qualités de voyage hyperspatial étaient aussi comparables, ce qui était une satisfaction manifeste aussi.

Coût en recherche: 60 millions de crédits
Coût en construction pour le prototype: 30 millions de crédits.
(Pour la fiche du vaisseau c'est ok)


La carbonite avait la cote du côté de Sullust en ce moment, en dépit de son prix élevé. L'argument de l'impact écologique était assez amusant vu qu'il y avait bien moins cher pour largement non polluant. Mais bon Sullust voulait jouer le tout carbonite alors c'était parti !

Recherche pour le moteur classe 3: 1.5 millions
Coût d'un moteur classe 3: 15.000 crédits à la fabrication, 3500 crédits d'entretien

Recherche pour le moteur classe 2: 2 millions
Coût d'un moteur classe 2: 20.000 crédits à la fabrication, 5000 crédits d'entretien

Recherche pour le moteur classe 1: 3 millions
Coût d'un moteur classe 3: 30.000 crédits à la fabrication, 7500 crédits d'entretien


Enfin on avait planifié la modification du croiseur quasar fire pour remplacer son emport de chasse par un rôle de lance-missile comme le tenait la Broadside côté impérial. En soit la modification n'était pas vraiment bien compliquée ni lourde. Cependant le vaisseau n'était toujours pas mieux taillé pour le combat. Lent et avec des boucliers et une structure assez faibles, il devrait garder ses distances pour ne pas être détruit trop facilement. En cela l'usage plus offensif qui avait été pensé tirait partie du meilleur de l'engin.

Recherche pour la configuration porte-missile: 4.5 millions
Tests et construction du prototype en chantier: 1.5 millions
(fiche proposée ok avec 540 missiles en râtelier plein)
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By Volthaïr Sovv
#13403
Après quelques semaines de vacances bien mérités, l'équipe du professeur Octraf ce remis au travail, car la SoroSuub avait bien des projets à réaliser!
En effet la puissante corporation pensait déjà au futur, mais pour accéder au futur il fallait ce maintenir dans le présent. Hors quoi de mieux que de remettre au gout du jour un appareil déjà existant, pas encore dépassé, et ayant fait ses preuves?
Le chasseur de patrouille Cutlass-9 était un appareil conçu quelques temps avant la Guerre des Clones et qui y avait connus ses heures de gloires...dans les deux camps. Suite à l'avènement de l'Empire Galactique, l'Alliance Rebelle avait vue ses effectifs gonflés dans ses premiers temps par quelques dizaines de ces appareils, avant que les modèles de série ne prennent le relais, à l'instar du vénérable Z-95 de chez Incom.


Ancien modèle


Le professeur Octraf n'avait, pour cette fois, pas beaucoup de travail pour créer la version 9.1, et dernière, du chasseur de patrouille Cutlass.
On ne recherchait pas davantage de puissance de feux, ni à modifier l'emport de l'appareil. Le design initial demeurait le même, ne changeant guère la maniabilité de l'engin.
En revanche on allait utiliser les toute dernières avancée SoroSuub en matière de moteur ionique, le fameux Boav-II, pour en faire une version pour chasseur. Le Boav-IIb. Le but recherché étant d'atteindre une vitesse quelque peux supérieur, 1000Km/H en atmosphère, et d'inclure un hyperpropulseur de classe militaire, sortie tout droit du catalogue SoroSuub le Griffyn-XTG qui ne demanderait qu'une légère adaptation.
En remettant au gout du jour les commandes, les alliages de la coque et le bouclier, on arrivait à un très bon appareil de combat, à l'entretiens inférieur à 10.000 Crédits.
Du moins étais ce là les objectifs de la SoroSuub...


Nouveau modèle



Et tandis qu'on confiait cette tache au laboratoire de Corellia, après tout autant en profiter, le centre de recherche de Sulon débutait la conception d'un tout nouveau vaisseau. Le Luxury 5000...
Comme son nom l'indiquait, on visait là le marché des grands de cette galaxie, capables de dépenser des fortunes dans un vaisseau de grand luxe, parfait pour sillonner l'espace dans le plus grand confort.


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