- dim. 15 janv. 2017 11:37
#25656
La réponse laconique de Teodrh avait eu le mérite de faire remarquer à Volthaïr tout le mordant de sa propre répartie. Certes le sullustéen avait toute les bonnes raisons du monde et de l'univers d'êtres énervé par la situation, mais son invité n'avait pas besoin de subir son courroux comme un exutoire à ce qu'il tentait d'expliquer aux politiciens républicains!
N'ayant toute fois guère élevé la voie, hormis la table même de Volthaïr nul n'avait entendu ce que ce dernier avait exprimé. Ce fut la Princesse Sidonas qui prit le relais tandis que Volthaïr prenait sur lui:
"-N'ayez crainte Conseiller. Volthaïr est quelque peu...démonstratif dans ses propos. Cela fait maintenant plusieurs semaines qu'il tente d'expliquer à la Nouvelle République combien la situation est d'une part ridicule, et d'autre part dommageable pour les deux parties. Mais il semble que le Sénat demeure sourd à nos demandes tandis que l'Exécutif continue d'exiger son départ de notre Gouvernement comme condition à la levé du blocus. Nos options s'amenuisent à mesure que le temps passe et que le Peuple de tous le secteur souffre inutilement. Nous sommes des démocrates et convaincue en la République telle que l'incarnaient jadis de grands nom de l'Ancienne République. Nous ne nous engagerons pas dans une guerre à la légère....et il n'est certainement pas question de chercher à entraîner arkania dans le conflit.
Mais nous espérons toutefois pour nos deux entités politiques et populaires combien une bonne entente ainsi que des accords en divers domaines seraient bénéfiques.
Nous réglerons nos problèmes par la voie diplomatiques avec la Nouvelle République. Si elle refuse néanmoins, nous avons déjà envisager une façon de lui expliquer clairement la situation et la pousser à revenir à la table des négociations."
Le ton de la princesse se voulait apaisant. Elle avait posée une main juste à côté de celle de Teordh. S'il avait été un ami, elle l'aurait touché afin d'appuyer son propos. Mais la chose était hors de question ici. Néanmoins, si son ton était apaisant, elle semblait tout aussi déterminée à faire passer un message clair: le secteur sullustéen était indépendant et ne se laisserait pas compter indéfiniment par le silence républicain et sa réponse en forme de non recevoir en plaçant des vaisseaux de guerre à la périphérie du système.
Volthaïr reprit alors la parole, ayant entendue les propos de Cynthia.
"-En effet nous avons une solution. La Nouvelle République ne peut pas interférer en nos affaires, bien qu'elle le tente déjà, de façon légale si elle veut suivre sa propre Constitution. Seule la Princesse Présidente Organa est aux commandes concernant ce blocus. Nous demeurons un peuple libre et entendons bien défendre cette liberté.
Nous allons donc la confronter avec elle même...en envoyant des vaisseaux commerciaux de part la Galaxie. Non en territoire républicains, mais ailleurs. Si la Nouvelle République décide de s'interposer, ses flottes devront nous en empêcher et donc commettre un acte de guerre. Comme nous ne sommes pas fous, nous userons de vaisseaux soigneusement choisis a cette fin et préparerons un repli afin de ne pas engager le combat, sauf ultime nécessité.
En définitive, le Sénat devra prendre position. Soit choisir de soutenir la Présidente, et donc entrer en guerre en étant l'agresseur, soit reculer et revoir sa copie.
Je regrette de vous annoncer cela ainsi. Nous sommes peut être à l'aube de nouvelles relations entre Arkania et notre Secteur...et je vous donne toute les bonnes raisons d'y mettre un terme en attendant que nous réglions nos problèmes. Mais la Galaxie n'arrondira pas ses angles pour nous...et pour arkania non plus. Nous avions, et avons toujours, de très grands projets pour nos deux peuples. Mais nous ne pouvons simplement les abandonner par ce qu'une forme de tyrannie nous oppresse et tente de nous museler par ce que nous avons une façon de pensée différente.
Cette invitation informelle est également une occasion pour moi de vous demander si Arkania supporterait d'avoir des traité avec nous, en connaissance de cause. Ceci afin d'éviter un refus officielle embarrassant potentiellement les deux partis. Nos projets commun ne concerne pas la Nouvelle République et nous serions heureux de les initier et voir jusqu'où nous pourrions aller dans un avenir mutuellement profitable...S'il vous plairait de les entendre avant la rencontre officielle avec notre Présidente?
N'ayant toute fois guère élevé la voie, hormis la table même de Volthaïr nul n'avait entendu ce que ce dernier avait exprimé. Ce fut la Princesse Sidonas qui prit le relais tandis que Volthaïr prenait sur lui:
"-N'ayez crainte Conseiller. Volthaïr est quelque peu...démonstratif dans ses propos. Cela fait maintenant plusieurs semaines qu'il tente d'expliquer à la Nouvelle République combien la situation est d'une part ridicule, et d'autre part dommageable pour les deux parties. Mais il semble que le Sénat demeure sourd à nos demandes tandis que l'Exécutif continue d'exiger son départ de notre Gouvernement comme condition à la levé du blocus. Nos options s'amenuisent à mesure que le temps passe et que le Peuple de tous le secteur souffre inutilement. Nous sommes des démocrates et convaincue en la République telle que l'incarnaient jadis de grands nom de l'Ancienne République. Nous ne nous engagerons pas dans une guerre à la légère....et il n'est certainement pas question de chercher à entraîner arkania dans le conflit.
Mais nous espérons toutefois pour nos deux entités politiques et populaires combien une bonne entente ainsi que des accords en divers domaines seraient bénéfiques.
Nous réglerons nos problèmes par la voie diplomatiques avec la Nouvelle République. Si elle refuse néanmoins, nous avons déjà envisager une façon de lui expliquer clairement la situation et la pousser à revenir à la table des négociations."
Le ton de la princesse se voulait apaisant. Elle avait posée une main juste à côté de celle de Teordh. S'il avait été un ami, elle l'aurait touché afin d'appuyer son propos. Mais la chose était hors de question ici. Néanmoins, si son ton était apaisant, elle semblait tout aussi déterminée à faire passer un message clair: le secteur sullustéen était indépendant et ne se laisserait pas compter indéfiniment par le silence républicain et sa réponse en forme de non recevoir en plaçant des vaisseaux de guerre à la périphérie du système.
Volthaïr reprit alors la parole, ayant entendue les propos de Cynthia.
"-En effet nous avons une solution. La Nouvelle République ne peut pas interférer en nos affaires, bien qu'elle le tente déjà, de façon légale si elle veut suivre sa propre Constitution. Seule la Princesse Présidente Organa est aux commandes concernant ce blocus. Nous demeurons un peuple libre et entendons bien défendre cette liberté.
Nous allons donc la confronter avec elle même...en envoyant des vaisseaux commerciaux de part la Galaxie. Non en territoire républicains, mais ailleurs. Si la Nouvelle République décide de s'interposer, ses flottes devront nous en empêcher et donc commettre un acte de guerre. Comme nous ne sommes pas fous, nous userons de vaisseaux soigneusement choisis a cette fin et préparerons un repli afin de ne pas engager le combat, sauf ultime nécessité.
En définitive, le Sénat devra prendre position. Soit choisir de soutenir la Présidente, et donc entrer en guerre en étant l'agresseur, soit reculer et revoir sa copie.
Je regrette de vous annoncer cela ainsi. Nous sommes peut être à l'aube de nouvelles relations entre Arkania et notre Secteur...et je vous donne toute les bonnes raisons d'y mettre un terme en attendant que nous réglions nos problèmes. Mais la Galaxie n'arrondira pas ses angles pour nous...et pour arkania non plus. Nous avions, et avons toujours, de très grands projets pour nos deux peuples. Mais nous ne pouvons simplement les abandonner par ce qu'une forme de tyrannie nous oppresse et tente de nous museler par ce que nous avons une façon de pensée différente.
Cette invitation informelle est également une occasion pour moi de vous demander si Arkania supporterait d'avoir des traité avec nous, en connaissance de cause. Ceci afin d'éviter un refus officielle embarrassant potentiellement les deux partis. Nos projets commun ne concerne pas la Nouvelle République et nous serions heureux de les initier et voir jusqu'où nous pourrions aller dans un avenir mutuellement profitable...S'il vous plairait de les entendre avant la rencontre officielle avec notre Présidente?