L'Astre Tyran

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#17744
-- L'enquête commence à la Thran --

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Xien Skel'En (PNJ)



    Il atterrissait enfin sur Mirial, après une courte escale sur Coruscant, juste le temps de dire au revoir à Isabo et de récupérer les dernières instructions de la Jedi. Cette dernière s’était étonnée de la facilité avec laquelle l’accord avait été négocié : Xien avait accepté sans réclamer de rémunération, sa seule condition était qu’Isabo demeure sur Coruscant pour développer son don de télépathie. Il émit un bref grognement en se remémorant que toutes les informations n’avaient pas été fournies à la mirialan, la jeune télépathe n’avait pas voulu tout dévoiler. Mais ça, ce n’était pas vraiment son problème, il lui fallait trouver sa cible.

    La Jedi à la peau verte lui avait donné l’émetteur de localisation du vaisseau abandonné sur Lotho Minor. Ce petit appareil pouvait révéler beaucoup de choses sur sa trajectoire passée, à condition de le connecter à l’ordinateur qui recense les données concernant les appareils de l’entreprise Thran. Le but de Xien est simple : trouver la console et connecter la balise pour retracer le chemin parcouru par le vaisseau, à condition que les données n’aient pas été effacées après tout ce temps.

    Et c’est là que les complications commencent. La mirialan n’avait pas voulu avertir son oncle de l’arrivée de Xien. Pour Ekki, sa sœur était morte quelque part dans l’espace, à bord du vaisseau disparu. Il n’avait cependant jamais cherché à retrouver ledit vaisseau à l’aide de la balise de localisation. Lorsque Mya avait souhaité se lancer dans cette quête, l’idée avait été mal perçue, mais l’oncle avait tout de même accepté, non sans rechigner. C’est pourquoi la Jedi avait cette fois-ci exclu Ekki de la partie. C’était un bon oncle et un très bon entrepreneur, mais ses qualités s’arrêtaient là. Xien devrait donc éviter de s’afficher en tant qu’envoyé de Mya Tellis, à la recherche du vaisseau disparu.

    Pour atteindre son objectif, le sélonien espère faire simple : se faire embaucher par Thran Enterprise en ventant ses qualités d’électronicien, gagner quelques crédits, explorer les locaux pour repérer l’ordinateur, puis s’y introduire discrètement et brancher l’émetteur. La base de données livrerait alors tous les secrets concernant le HWK290-3, ou le troisième vaisseau de type HWK 290 possédé à l’époque par les Thran.

    Pour l’heure, Xien quitte l’astroport de la capitale mirialan, la chaleur y est pesante pour l’alien quasi-aquatique, mais il faudra s’en accommoder. Ce dernier se met en quête d’un moyen de transport pour se rendre à l’usine dirigée par Ekki Thran, elle ne se trouve pas en ville, mais à quelques kilomètres, non loin de la résidence familiale. Le sélonien repère un petit quai adjacent à l’astroport, des navettes y défilent, elles se rendent dans tous les quartiers de la ville, mais aucune ne semble desservir la destination souhaitée. Xien n’a aperçu aucun vaisseau, aucun cargo de l’entreprise, elle doit donc avoir sa propre plateforme d’atterrissage, ce qui n’est pas un avantage.

    Il poursuit l’exploration des alentours, refusant catégoriquement de demander son chemin. Le sélonien s’éloigne de l’astroport et de la foule qui y transite pour rejoindre les quartiers destinés à la production. Plusieurs petites usines y sont installées, mais également des artisans plus modestes. Les rues sont poussiéreuses, suffisamment pour rendre désagréable le contact avec le sol. Xien émet un grognement sourd, s’apprêtant à faire demi-tour, quand son regard se pose soudain sur un mirialan vêtu d’une veste portant le logo de Thran Enterprise. Il l’interpelle, essayant d’être poli. L’employé se rapproche prudemment, il faut dire que le sélonien mesure un peu moins de deux mètres et dispose de griffes acérées.

      « Comment j’fais pour aller à la Thran ?
      - Il y a une navette, là, à deux rues, qui peut t’emmener dans le coin, répond-il en désignant une direction. »
    Le mirialan s’éclipse ensuite, ne voulant pas demeurer plus longtemps à proximité de l’alien poilu, qui se dirige vers la rue indiquée.
#17755
    La navette en question est une barge disposant de quelques places assises pour les passagers et d'une large plateforme dédiée à de petits containers. Elle est conduite par un employé de Thran Enterprise, et Xien comprend que ce trajet est totalement contrôlé par l'usine. La navette n'est autre qu'une passerelle directe la reliant aux petits producteurs de la ville. Il semblerait que la Thran achète une partie de ses matières premières ici. L'autre partie doit être directement livrée à l'usine.

    Le sélonien se présente à la navette, mais l'accès lui est refusé. Le conducteur et le chargé de sécurité s'opposent catégoriquement au transport d'un non employé de l'usine. Malgré les explications et l'évocation de son envie de travailler pour la Thran, l'interdiction n'est pas levée. Xien grogne avec hargne et s'en retourne, mais il n'a pas fait trois pas qu'un des deux hommes lui lance :

      « Si tu veux bosser là-bas, va te présenter au bureau de recrutement. »
    Sans répondre, le sélonien s'éloigne. Le bureau de recrutement ... Ça ne se trouve certainement pas dans ce quartier. Il lui faudrait trouver le quartier des affaires. Il retourne vers l'astroport, vers les rues moins poussiéreuses. Une fois arrivé, il en profite pour débarrasser ses pattes postérieures griffues de la saleté accumulée aux abords des ateliers.

    Xien scrute les alentours du regard. La place qui se tient devant l'astroport est occupée par de petites échoppes vendant de la nourriture. Il se perd un instant à rêver à du poisson grillé, doré et épicé selon la tradition sélonienne. Le bruit qui s'élève de la foule le ramène à la réalité, et il se met en quête d'un bureau de recrutement. Trois voies prennent racines sur la dite place, trois avenues sur lesquelles véhicules et passants se partagent succinctement l'espace. Les panneaux holographiques indiquent les trois directions dans la langue basique, et Xien choisit l'avenue qui semble mener au quartier des affaires.

    La voie débouche sur une nouvelle place frappée par un fort soleil. La luminosité et la chaleur sont peu supportables, mais le sélonien doit s'en accommoder. À la recherche de nouvelles indications, il manque de bousculer plusieurs passants et s'en fait rabrouer. La situation devient oppressante, et Xien commence à penser qu'il n'aurait pas dû se lancer dans cette mission pauvrement rémunérée. Il aperçoit enfin une pancarte pouvant lui être utile, et suit la direction indiquée : Recrutement Thran Enterprise. Le bureau se trouve dans un large bâtiment par lequel transite un grand nombre de personnes. Le sélonien tente de se frayer un passage jusqu'au guichet.
#17776
    Une mirialan l'accueille avec un sourire forcé.

      « Bonjour, que puis-je faire pour vous ?
      - Je cherche du travail, répond simplement Xien.
      - Très bien, vous avez un domaine de prédilection ?
      - L'électronique. »
    La requête est soumise à l'ordinateur qui retourne directement plusieurs réponses.

      « Vous vous appelez ? »
    Xien émet un grognement. Deux possibilités émergent alors. Soit il n'est pas répertorié, ce qui peut paraître étrange mais peut être expliqué, soit il est répertorié. Et dans ce second cas, le sélonien n'a aucune idée de ce que peut contenir son dossier. Il prend néanmoins le risque de répondre.

      « Xien Skel'En. »
    La mirialan fonce le nez après avoir entré son nom dans la base de données.

      « Je vois que vous avez quelques qualifications ... Vous passerez les tests sur place. Thran Enterprise recrute quelques ouvriers. »
    Un heureux hasard semble pouvoir le mener jusqu'à sa cible. Mais Xien évite toute réaction trop enthousiaste. Il se contente de hocher la tête. On lui explique comment se rendre à l'usine, et on lui confie un badge qui lui permettra d'emprunter la navette et de justifier sa présence une fois là-bas. On le prie ensuite de bien vouloir se présenter le lendemain matin à Thran Enterprise, pour les premiers tests. C'est bon, il peut partir maintenant.

    La première étape est un succès, un succès laborieux, mais un succès tout de même. Le sélonien se met ensuite en quête d'un endroit où passer la soirée et la nuit. Ses maigres crédits peuvent peut-être lui assurer également un repas.
#17853
    La nuit avait été particulièrement désagréable, et Xien n’avait pratiquement pas fermé l’œil. Son séjour sur Mirial commençait mal, et mais il continuait d’espérer qu’il se finirait bien.

    Avant de rejoindre la navette, le sélonien se met en quête d’un petit déjeuner, qu’il imagine copieux mais bon marché. Il déambule un moment dans les ruelles de la grande ville, à la recherche du met le plus attrayant. Au coin d’un carrefour, à quelques rues des ateliers, il finit par dénicher une petite épicerie vendant de nombreuses sortes de poissons. Xien se laisse aller à l’achat de son plat préféré : le poisson grillé. Celui-ci est froid, et trop peu épicé, mais qu’importe, la faim lui fait entendre raison.

    Une fois la collation terminée, l’alien fait l’inventaire de son matériel et de ses possessions, sans oublier la carte électronique qu’on lui a fourni pour accéder à la navette, puis aux tests d’embauche. Il est écrit qu’il postule pour un poste d’ouvrier. Connaissant l’activité de la Thran, Xien imagine qu’il sera affecté au montage des composants sur les cartes. Cependant, l’usine n’étant pas un petit atelier de production, de nombreux robots doivent être en charge des tâches les plus répétitives.

    Le sélonien chasse ses pensées et se présente au quai duquel doit partir la navette. C’est l’employé de la vieille qui l’accueille. Il se souvient de l’alien poilu aux dents pointues et s’apprête à lui faire comprendre une deuxième fois qu’il ne peut pas librement emprunter ce moyen de transport. Mais Xien ne lui laisse pas le temps d’émettre un son, tendant la carte d’accès. L’homme esquisse une grimace et le fait monter. Le départ tarde encore quelques minutes : de petits containers doivent être chargés à bord.

    Le petit vaisseau glisse au ras du sol, soulevant la poussière et le sable sur son passage. Ce trajet est également l’occasion pour Xien de découvrir plus en détail le paysage mirialan. Bien que la navette ne s’éloigne pas de la voie principale, l’on peut tout de même admirer quelques falaises rouges de la planète désertique.

    Les passagers et la cargaison sont finalement débarqués, on indique au sélonien la marche à suivre pour procéder aux tests de compétences. Il se dirige donc vers un bureau, situé dans un bâtiment qui se distingue très bien des deux ateliers et du hangar de stockage. Un humain vient à sa rencontre.

      « Le service de recrutement nous a prévenu que vous deviez arriver ce matin. Bienvenue, venez, je vais vous expliquer. »
    Xien le salue d’un vague grognement et le suit jusqu’à un petit bureau où il a à peine la place de s’asseoir.

      « C’est très simple, vous verrez. Seulement quelques questions, sur votre parcours, puis quelques autres sur vos connaissances. On recherche quelqu’un qui pourrait vérifier le travail des robots à la fin de la chaine de soudure. Ils sont encore en rodage et on préfère une vérification manuelle. »
#17912
    L’entretien débute par une discussion très générale. Xien mentionne sa formation initiale et les diverses occasions qu’il eut de s’en servir. Il passe en revanche sous silence les quelques années qu’il passa à truander en compagnie d’une bande de pirates. Le sélonien évite également les grognements en tout genre et les injures dont il est coutumier. Le recruteur semble satisfaisait de ce premier échange.

    Ce qui vient ensuite est une sorte de test. Il est demandé à Xien de reconnaitre les défauts d’assemblage et de montage sur différentes cartes. Parfois des composants sont manquants, d’autres fois c’est la soudure qui est mal réalisée. L’exercice est assez basique et l’alien poilu ne peut s’empêcher de le trouver stupide, cependant, il n’en dit mot.

    Après avoir attendu encore près d’une heure, seul, dans un bureau annexe, Xien est rejoint par le mirialan qui l’avait accueilli. Ce dernier lui annonce qu’il est retenu pour le poste vacant au bout de la chaine de soudure. Les modalités de paiement sont évoquées : salaire intégralement payé en crédits, ou attribution d’un logement avec versement d’un salaire réduit. Le sélonien choisit la deuxième option. Il pourra investir son minuscule logement une fois les démarches achevées, ce qui ne devrait prendre que quelques heures.

    Pour occuper la suite de la journée, une visite de l’usine est prévue. Les nouveaux arrivants à Thran Enterprise sont réunis pour qu’un employé plus ancien puisse leur présenter les différents ateliers, les entrepôts, les zones de chargement et de déchargement, la cantine, les bureaux qu’ils ne sont pas autorisés à visiter, et ainsi de suite. L’usine dispose d’une salle de contrôle global, qui comprend notamment l’alimentation des générateurs de secours et les dispositifs de sécurité. Ensuite, chaque atelier a sa propre salle pour gérer l’alimentation des machines, l’éclairage et les issues.

    Il y a cependant un bâtiment que le groupe ne visite pas : la salle de contrôle du hangar dédié aux véhicules. La Thran dispose de nombreux vaisseaux, autant pour le transport de marchandises que pour le transport de personnes. Mais l’accès aux commandes est réservé à un nombre très restreint de cadres et d’employés. C’est certainement là que se trouvent les réponses aux questions de Mya. Xien devra s’y introduire, avec ou sans autorisation.
#17919
    La journée touche à sa fin. Il est temps pour Xien de rejoindre le minuscule appartement qu’on lui a attribué et d’y transférer les affaires laissées à l’hôtel. Le tout tient dans un sac en mauvais état, mais c’est la mallette du blaster qui prend le plus de place. Elle est enfouie sous le reste des possessions du sélonien. Ce dernier ne prend même pas la peine de défaire son bagage. La superficie du logement ne laisse de la place que pour un lit, une petite cuisine et une salle d’eau. Xien est déjà lassé de son séjour sur Mirial. Il s’allonge sur le lit trop petit pour lui et se plonge dans ses pensées.

    La console donnant accès à la base de données des vaisseaux doit se trouver dans la salle du contrôle du hangar garage. La seule salle, avec les bureaux administratifs, qui n’a pas été visitée au cours de la journée. La pièce est effectivement verrouillée en permanence si l’employé assigné à sa surveillance n’est pas présent. C’est depuis cet endroit que sont délivrées les autorisations d’atterrissage et de décollage concernant tous les vaisseaux interagissant avec la Thran.

    La solution la plus efficace semble être de voler la clef pour s’introduire dans la pièce pendant une heure creuse, peut-être au cours de la pause déjeuner. Au préalable, il faudra désactiver les caméras de surveillance, si les vidéos sont stockées. Dans le cas contraire, il faudra simplement s’assurer que personne n’est derrière l’écran au moment de la récupération des données. La première étape de la prochaine journée consistera donc à aller inspecter la salle de contrôle générale.

    Xien ne parvient pas à s’empêcher de penser que se faire embaucher en tant qu’ouvrier n’était pas la meilleure des idées. Ils n’ont effectivement pas de responsabilités et aucune raison d’errer dans les coursives extérieures aux ateliers. Une grimace tord les lèvres brunes du sélonien. Il allait passer la nuit à cogiter là-dessus.

    *


    Xien a effectivement tourné le problème dans tous les sens au cours de la nuit. Mais il a finalement arrêté son choix sur la marche à suivre.
#17945
    Avant de rejoindre la chaine de montage qui lui a été attribuée, le sélonien effectue un léger détour par la salle de contrôle global. Elle est située au rez-de-chaussée du bâtiment administratif. Il est encore très tôt mais le personnel est déjà présent. Xien jette un coup d’œil par la porte ouverte pour constater qu’il n’y a ici que deux postes chargé de la gestion des énergies et de la surveillance vidéo. Le fouineur rejoint finalement son poste avec un soupir las.

    La chaine de soudure est dans la pratique totalement automatisée, mais en raison d’une nouvelle installation, l’usine juge nécessaire de faire vérifier les pièces en bout de chaine. Deux opérateurs ont été chargés de ce travail. Le collègue de Xien est un humain de petite taille, qui semble avoir un caractère bien trempé. Il est déjà en place lorsque le sélonien s’installe. Les présentations sont rapides, il s’appelle Vair et vit sur Mirial depuis plusieurs années. L’atelier dans lequel il travaillait auparavant a fermé ses portes, et c’est pourquoi il se retrouve aujourd’hui à travailler pour la Thran, à faire le travail à la place de ces robots. La matinée passe lentement, Vair n’est pas très communicatif, il marmonne sans cesse des choses absolument incompréhensibles. Xien entame finalement une seconde conversation qui, espère-t-il, servira son plan.

      « Ils sont pas un peu parano avec toutes leurs salles de contrôle ? Y a déjà du grillage partout et …
      - Le patron est pas rassuré, le coupe Vair sans attendre, et je crois qu’il surestime un peu la valeur de sa marchandise. Mais tu sais, c’est un peu du flan, y a un des gardiens qui se prend très au sérieux, mais l’autre fait vraiment le minimum. Au final ils sont pas très efficaces, ajoute-t-il avec une grimace.
      - Tu l’aimes pas, le premier.
      - Non, il nous regarde de haut parce qu’il a le pouvoir de nous couper la lumière si ça lui chante.
      - Pourquoi tu vas pas lui éteindre la sienne ? »
    Vair affiche un air dubitatif, puis hoche finalement la tête, déterminé. Il se remet au travail en grommelant, mais Xien croit comprendre qu’il agirait à la fin de la matinée.

    Après quelques heures passées à vérifier les soudures réalisées par les robots, un technicien se présente, il vient vérifier que les machines sont correctement paramétrées. Les deux ouvriers expliquent les défauts observés sur les cartes, et la chaine est arrêtée pour un recalibrage. Ils n’ont qu’à prendre une pause pendant ce temps. Vair s’éclipse donc, saluant le sélonien d’un signe de main accompagné d’un sourire narquois. Xien en profite pour rejoindre son objectif, avoir l’espoir que l’humain sera une distraction suffisante pour les deux gardiens.

    Le sélonien s’assure que les abords du hangar à vaisseaux sont déserts. Il extrait d’une poche de sa ceinture, un petit fumigène inoffensif et se glisse dans le bâtiment par la porte du personnel. Un coup d’œil vers la salle de contrôle lui indique que le gardien ne l’a pas vu. Xien se cache derrière un container, dégoupille le fumigène et le fait rouler sous le vaisseau le plus proche. La fumée qui s’élève alerte le gardien qui quitte sa loge avec précipitation. Il dévale les escaliers et s’approche du véhicule dont provient la fumée. Le sélonien en profite pour l’attraper au passage et l’assommer contre la caisse en métal. Le bruit de l’impact résonne dans le hangar, mais rien ne bouge. Il abandonne donc le gardien à ses rêves et grimpe les escaliers quatre à quatre. La porte est grande ouverte, Xien s’introduit dans la pièce et la ferme.

    Une seule caméra est disposée dans la pièce, l’alien poilu la tourne simplement vers le mur, si Vair a changé de plan, il le saurait bien assez tôt. La console est facilement repérable, c’est un vieil ordinateur qui se détache du reste des appareils par son mauvais état. Elle dispose d’un écran, d’une entrée pour les cartes imprimées par la Thran et d’un terminal pour tout autre branchement. L’insertion de la carte donne directement accès à la base de données. La recherche est rapide, mais la prise d’informations prendrait trop de temps. Xien fait le choix de télécharger une partie des données sur le datapad qui trainait encore hier soir au fond de son sac. Le transfert ne dure pas plus d’une minute, et le sélonien peut quitter le hangar sans désagrément après avoir vérifié que les données du HWK 290 sont bien là.

    Il rejoint rapidement la navette qui le ramène en ville et s’empresse de récupérer ses affaires au logement attribué par la Thran. Xien se rend ensuite à l’astroport, il n’a pas l’intention de s’attarder ici. En attendant le départ, il consulte plus en détail les données transférées.

    -- Terminé --

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