- mer. 13 mai 2015 08:38
#17744
-- L'enquête commence à la Thran --
Xien Skel'En (PNJ)
Xien Skel'En (PNJ)
Il atterrissait enfin sur Mirial, après une courte escale sur Coruscant, juste le temps de dire au revoir à Isabo et de récupérer les dernières instructions de la Jedi. Cette dernière s’était étonnée de la facilité avec laquelle l’accord avait été négocié : Xien avait accepté sans réclamer de rémunération, sa seule condition était qu’Isabo demeure sur Coruscant pour développer son don de télépathie. Il émit un bref grognement en se remémorant que toutes les informations n’avaient pas été fournies à la mirialan, la jeune télépathe n’avait pas voulu tout dévoiler. Mais ça, ce n’était pas vraiment son problème, il lui fallait trouver sa cible.
La Jedi à la peau verte lui avait donné l’émetteur de localisation du vaisseau abandonné sur Lotho Minor. Ce petit appareil pouvait révéler beaucoup de choses sur sa trajectoire passée, à condition de le connecter à l’ordinateur qui recense les données concernant les appareils de l’entreprise Thran. Le but de Xien est simple : trouver la console et connecter la balise pour retracer le chemin parcouru par le vaisseau, à condition que les données n’aient pas été effacées après tout ce temps.
Et c’est là que les complications commencent. La mirialan n’avait pas voulu avertir son oncle de l’arrivée de Xien. Pour Ekki, sa sœur était morte quelque part dans l’espace, à bord du vaisseau disparu. Il n’avait cependant jamais cherché à retrouver ledit vaisseau à l’aide de la balise de localisation. Lorsque Mya avait souhaité se lancer dans cette quête, l’idée avait été mal perçue, mais l’oncle avait tout de même accepté, non sans rechigner. C’est pourquoi la Jedi avait cette fois-ci exclu Ekki de la partie. C’était un bon oncle et un très bon entrepreneur, mais ses qualités s’arrêtaient là. Xien devrait donc éviter de s’afficher en tant qu’envoyé de Mya Tellis, à la recherche du vaisseau disparu.
Pour atteindre son objectif, le sélonien espère faire simple : se faire embaucher par Thran Enterprise en ventant ses qualités d’électronicien, gagner quelques crédits, explorer les locaux pour repérer l’ordinateur, puis s’y introduire discrètement et brancher l’émetteur. La base de données livrerait alors tous les secrets concernant le HWK290-3, ou le troisième vaisseau de type HWK 290 possédé à l’époque par les Thran.
Pour l’heure, Xien quitte l’astroport de la capitale mirialan, la chaleur y est pesante pour l’alien quasi-aquatique, mais il faudra s’en accommoder. Ce dernier se met en quête d’un moyen de transport pour se rendre à l’usine dirigée par Ekki Thran, elle ne se trouve pas en ville, mais à quelques kilomètres, non loin de la résidence familiale. Le sélonien repère un petit quai adjacent à l’astroport, des navettes y défilent, elles se rendent dans tous les quartiers de la ville, mais aucune ne semble desservir la destination souhaitée. Xien n’a aperçu aucun vaisseau, aucun cargo de l’entreprise, elle doit donc avoir sa propre plateforme d’atterrissage, ce qui n’est pas un avantage.
Il poursuit l’exploration des alentours, refusant catégoriquement de demander son chemin. Le sélonien s’éloigne de l’astroport et de la foule qui y transite pour rejoindre les quartiers destinés à la production. Plusieurs petites usines y sont installées, mais également des artisans plus modestes. Les rues sont poussiéreuses, suffisamment pour rendre désagréable le contact avec le sol. Xien émet un grognement sourd, s’apprêtant à faire demi-tour, quand son regard se pose soudain sur un mirialan vêtu d’une veste portant le logo de Thran Enterprise. Il l’interpelle, essayant d’être poli. L’employé se rapproche prudemment, il faut dire que le sélonien mesure un peu moins de deux mètres et dispose de griffes acérées.
La Jedi à la peau verte lui avait donné l’émetteur de localisation du vaisseau abandonné sur Lotho Minor. Ce petit appareil pouvait révéler beaucoup de choses sur sa trajectoire passée, à condition de le connecter à l’ordinateur qui recense les données concernant les appareils de l’entreprise Thran. Le but de Xien est simple : trouver la console et connecter la balise pour retracer le chemin parcouru par le vaisseau, à condition que les données n’aient pas été effacées après tout ce temps.
Et c’est là que les complications commencent. La mirialan n’avait pas voulu avertir son oncle de l’arrivée de Xien. Pour Ekki, sa sœur était morte quelque part dans l’espace, à bord du vaisseau disparu. Il n’avait cependant jamais cherché à retrouver ledit vaisseau à l’aide de la balise de localisation. Lorsque Mya avait souhaité se lancer dans cette quête, l’idée avait été mal perçue, mais l’oncle avait tout de même accepté, non sans rechigner. C’est pourquoi la Jedi avait cette fois-ci exclu Ekki de la partie. C’était un bon oncle et un très bon entrepreneur, mais ses qualités s’arrêtaient là. Xien devrait donc éviter de s’afficher en tant qu’envoyé de Mya Tellis, à la recherche du vaisseau disparu.
Pour atteindre son objectif, le sélonien espère faire simple : se faire embaucher par Thran Enterprise en ventant ses qualités d’électronicien, gagner quelques crédits, explorer les locaux pour repérer l’ordinateur, puis s’y introduire discrètement et brancher l’émetteur. La base de données livrerait alors tous les secrets concernant le HWK290-3, ou le troisième vaisseau de type HWK 290 possédé à l’époque par les Thran.
Pour l’heure, Xien quitte l’astroport de la capitale mirialan, la chaleur y est pesante pour l’alien quasi-aquatique, mais il faudra s’en accommoder. Ce dernier se met en quête d’un moyen de transport pour se rendre à l’usine dirigée par Ekki Thran, elle ne se trouve pas en ville, mais à quelques kilomètres, non loin de la résidence familiale. Le sélonien repère un petit quai adjacent à l’astroport, des navettes y défilent, elles se rendent dans tous les quartiers de la ville, mais aucune ne semble desservir la destination souhaitée. Xien n’a aperçu aucun vaisseau, aucun cargo de l’entreprise, elle doit donc avoir sa propre plateforme d’atterrissage, ce qui n’est pas un avantage.
Il poursuit l’exploration des alentours, refusant catégoriquement de demander son chemin. Le sélonien s’éloigne de l’astroport et de la foule qui y transite pour rejoindre les quartiers destinés à la production. Plusieurs petites usines y sont installées, mais également des artisans plus modestes. Les rues sont poussiéreuses, suffisamment pour rendre désagréable le contact avec le sol. Xien émet un grognement sourd, s’apprêtant à faire demi-tour, quand son regard se pose soudain sur un mirialan vêtu d’une veste portant le logo de Thran Enterprise. Il l’interpelle, essayant d’être poli. L’employé se rapproche prudemment, il faut dire que le sélonien mesure un peu moins de deux mètres et dispose de griffes acérées.
- « Comment j’fais pour aller à la Thran ?
- Il y a une navette, là, à deux rues, qui peut t’emmener dans le coin, répond-il en désignant une direction. »