- jeu. 4 mars 2021 10:11
#39138
Je suis actuellement confortablement installée dans le fauteuil de mon vaisseau. Honno est là, assise à côté de moi, prenant enfin un petit moment de pause. La Bith n'est plus si jeune et pourtant elle est capable d'une énergie qui me surprend toujours autant. Elle vient de finir de me rassembler toutes les informations qui allaient m’être nécessaire pour mener à bien cette rencontre. Je lisais mon datapad tout en sirotant un concentré vitaminé.
Chacune à notre manière, nous nous étions préparées à la rencontre qui allait bientôt survenir : Un rendez-vous organisé avec Oryel Dagon III, qui allait beaucoup compter pour nos affaires, mais aussi et pour une raison évidente, pour moi. Honno avait fait une étude de risque, fait tourné ses algorithmes complexes et élaborés pour évaluer différents scénarii. De mon côté j’avais fait des études de marché, vérifié plusieurs fois mes chiffres, fait des projections et trouvé divers scénarii d’optimisation de flux d’argent.
J'étais habillée de riches tissus de soie aux motifs rouges sang et or, un dragon brodé courait de bas en haut de mon kimono, avec je porte un hakama de la même couleur et en dessous une combinaison de coton rose pâle. J'avais prit soin de m’asperger d'un peu de mon eau de parfum et m'étais faite maquillée avec la précision et la perfection habituelle. Dans le chignon formé sur le dessus de ma tête, une broche d'or était disposée, la poignée représentant un félin lové.
Une fois mon vaisseau, Les Deux Roses, posé à Adascopolis, nous partîmes avec Honno en direction de notre lieu de rendez-vous. Honno était chargée de mes dossiers et mes diverses autres affaires, plus ou moins indispensables. Ce qui représentait tout au plus une mallette un peu épaisse, mais rien de démesuré. Bien entendu, nous nous déplacions en transport individuel et privé, il n’était pas question de partagé mon espace vital avec n’importe qui.
C’est donc après quelques temps que nous étions déposé auprès de notre lieu de rendez-vous. Je fis signe à Honno de nous annoncer, pendant que j’observais le paysage de cette planète, sur laquelle je n’avais jamais prit le temps de poser les pieds. C’était une belle occasion de découvrir de nouveaux horizons. C’était lors de ces moments que je me sentais la plus vivante, je me sentais jeune femme pleine de vie, prête soulever les montagnes, à conquérir les mondes. C’est donc avec une fougue restaurée que je m’avançais quand finalement on me le proposais.
Chacune à notre manière, nous nous étions préparées à la rencontre qui allait bientôt survenir : Un rendez-vous organisé avec Oryel Dagon III, qui allait beaucoup compter pour nos affaires, mais aussi et pour une raison évidente, pour moi. Honno avait fait une étude de risque, fait tourné ses algorithmes complexes et élaborés pour évaluer différents scénarii. De mon côté j’avais fait des études de marché, vérifié plusieurs fois mes chiffres, fait des projections et trouvé divers scénarii d’optimisation de flux d’argent.
J'étais habillée de riches tissus de soie aux motifs rouges sang et or, un dragon brodé courait de bas en haut de mon kimono, avec je porte un hakama de la même couleur et en dessous une combinaison de coton rose pâle. J'avais prit soin de m’asperger d'un peu de mon eau de parfum et m'étais faite maquillée avec la précision et la perfection habituelle. Dans le chignon formé sur le dessus de ma tête, une broche d'or était disposée, la poignée représentant un félin lové.
Une fois mon vaisseau, Les Deux Roses, posé à Adascopolis, nous partîmes avec Honno en direction de notre lieu de rendez-vous. Honno était chargée de mes dossiers et mes diverses autres affaires, plus ou moins indispensables. Ce qui représentait tout au plus une mallette un peu épaisse, mais rien de démesuré. Bien entendu, nous nous déplacions en transport individuel et privé, il n’était pas question de partagé mon espace vital avec n’importe qui.
C’est donc après quelques temps que nous étions déposé auprès de notre lieu de rendez-vous. Je fis signe à Honno de nous annoncer, pendant que j’observais le paysage de cette planète, sur laquelle je n’avais jamais prit le temps de poser les pieds. C’était une belle occasion de découvrir de nouveaux horizons. C’était lors de ces moments que je me sentais la plus vivante, je me sentais jeune femme pleine de vie, prête soulever les montagnes, à conquérir les mondes. C’est donc avec une fougue restaurée que je m’avançais quand finalement on me le proposais.