L'Astre Tyran

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By Scott Knox
#17760
Au siège de la Coyn Shipyard, le service des commandes reçut une demande de la part du Conseil, au sujet d'un chasseur...qu'il n'avait pas !

Une réponse standardisée concernant cette demande que le catalogue ne pouvait fournir faillit partir mais après tout, il était temps que la Coyn Shipyard montre qu'elle pouvait relever le défi. Aussitôt le département ingéniérie fut informé et les équipes de designers, techniciens commençèrent à y réfléchir, les comptables aussi d'ailleurs parce que les exigences souhaitées étaient à des années-lumière de ce que la Coyn pouvait actuellement produire mais son dirigeant Joseph Camprica allait saisir le "vaisseau au vol".

Pourquoi ? Parce que dans le milieu des affaires, on avait bien accueilli
les mesures d'exonérations fiscales prises récemment et en plus, le gouvernement encourageait fortement les entreprises à améliorer leurs outils de productions, tout en faisant la chasse au gaspillage, cela ne que convenir à des dirigeants appréciant l'ordre, la discipline et l'efficacité, comme lui.

Et puis ce chasseur permettrait d'améliorer la sécurité des axes commerciaux, il fallait donc se "retrousser" les manches !

Joseph fit un mémo à l'intention de tous les enjoignant de donner le meilleur d'eux-mêmes car des civils, des proches pouvaient être concernés par ce gain de sécurité, ce qui motiva davantage les équipes de travail ! Quand il se pencha sur le design et les performances demandées (exigées), il savait que s'il voulait un jour percer à l'exportation, il faudrait aussi "rogner" sur les marges et heureusement que Daniel Stingray de la F.M.C était son partenaire principal pour les matières premières. Le coefficient de vente passa donc de 2 à 1.5 et le premier client serait la Fédération !

Chasseur Multi-Usages d'Elrood
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Nom : Crache-Feu (ou SpitFire)
Longueur : 12 mètres

Armement : 4 Canons lasers lourds (tirs par salves rapides de 2 vs chasseurs ennemis)
ou par volées de 4 (objectifs plus lents ou au sol) > cadence de tir ralentie mais dégâts supérieurs

Emport multi-usages (10 points d'attaches)
Missiles à concussion (1 à 4 projectiles)
Torpilles à proton (1 à 4 projectiles)
Réservoirs de carburant largable(s) (1 à 2)

Hyperpropulsion : x 0.7 (souhaitée) : x 1 (maximum) ; secours x 5

Coût en Crédit : 90.000 Cr à la production, 144.000 Cr pièce à l'achat (coeff 1.6)
> recyclage des anciens chasseurs et apport des matières premières à prix coûtant grâce à la F.M.C

Dispositif(s) de série(s)

Fluidifieur
Type : Système électronique et mécanique pour améliorer la manœuvrabilité d’un vaisseau.
Manœuvrabilité : + 160%
Taille requise : 0


Lanceur anti-missiles (rechargeable, interne à la coque)
Mini-barillets contenant les leurres éjectables par des trappes escamotables.

- 4 Thermique (fusées émettant une intense chaleur pour dévier les missiles attirés par la température des propulseurs)
- 4 Anti-radar (capsules contenant des bandelettes métalliques (déchets de production spatiale) pour former un nuage de débris et attirer les missiles attirés par la masse métallique de l'appareil)
Taille requise : 0

Total pièce : 144.000 Cr



Dispositif(s) optionnel(s)


FURTIF
Masque de senseurs
Type : Brouille les radars ennemis pour approche furtive.
Fonctionnalités : 95% d’efficacité
Taille requise : 1
Coût : 150.000 Cr


2 gammes

Formule "Défense à tout prix" : 144.000 Cr (Fluidifieur + lanceur anti-missiles)
Formule "All-in" : 294.000 Cr (Fluidifieur + lanceur anti-missiles + masque de senseurs)



Acquisition et verrouillage des cibles relayée sur la visière des pilotes.

Missiles et bombes dotées d'un système de guidage intégré "tir et oublie" :
soit à la chaleur, détection radar ou par imagerie (sur cible fixe ou mobile)

Maintenance : 9.000 Cr
Temps de production : 1 Mois IRL

Caractéristiques souhaitées : Vitesse 100 MGLT à 120 MGLT), bouclier déflecteur (50 à 70 SBD), coque moyenne à bonne (20 à 35RU), très adapté au dogfight grâce à ses tuyères et volets de poussée vectorielles.


Il répondit au gouvernement en lui disant que, bien que le produit n'était pas sur le catalogue, lui et son équipe ferait le maximum pour satisfaire le Conseil puis il valida l'ordre de recherche.

Au département ingéniérie et scientifique de la CoynShipyard

L'ingénieur en chef faillit avaler son beignet de travers quand il valida l'alerte l'holo concernant le nouveau chasseur :
- Oh tous, venez voir ça ! Ca a de la gueule ! Il se nomme "SpitFire" ou "Crache-feu", joli nom de baptême ! Qui en as eu l'idée ?

Personne ne répondit...

Un collègue : - Ah pas mal du tout, ça nous changera de nos trottinettes spatiales poussives à 4.0, on veut du 0.7 ??? Rien que ça ?? Mais ils nous prennent pour qui ?? Ca va ruiner tous mes plans de W.E pour les prochaines semaines !

- A ton avis, tu es payé pour quoi, là ?

*Silence gêné*

- Fini la glandouille, tirez vos doigts et mains d'où je pense et cogitez, la FéDé compte sur nous ! On part sur ce qu'on connaît déjà et si vous êtes à court d'idées, allez ressortir tous les projets qui n'ont pas vu le jour sur l'amélioration de nos X-Fire, on les a déjà poussé à 2.0 grâce aux derniers financements reçus mais là, y nous faut une autre structure, moteurs et générateurs, allez zou !

Une goutte de sueur perla tout de même sur le front de l'ingénieur en chef, ça lui rappelait aussi quand il était encore un jeune ingénieur avant que Coyn ne s'encroûte et s'emmerde faute d'argent frais mais là, on tenait du sérieux ! Il sortit sa table de modélisation 3D et commença à faire des simu entre les deux ossatures, l'ancienne et la nouvelle.

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En fonction du cahier des charges demandées, le département ingiénérie et scientifique de la CoynShipyard se mit au travail, tandis que de leur côté, le département administratif et financier, faisaient eux aussi leur quote-part, dont voici ci-dessous, les différentes étapes :

De la taille "medium" au "XL"

En comparant les deux modèles, le "Spit" était plus long (bon point) de 3 mètres, ce qui voulait dire une coque plus grande, des moteurs et générateurs plus puissants. Il avait une envergure plus large d'au moins 3 mètres de plus mais offrant une vue de face difficile à atteindre parce que les ailes n'avaient pas le même profil.

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De la vitesse !

Dans cette optique d'optimisation, on sacrifierait la place du second passager humain pour un hyperdrive "à la hauteur" , c-a-d du 0.7. Pour atteindre cette vitesse, on choisit avec soin les composants, notamment les catalyseurs de champ opérant la collecte de rayons gamma pour fournir l'énergie nécessaire au saut et un motivateur d'hyperdrive de dernière génération. Cet ordinateur complexe, contrôlant les hyperpropulseurs fut programmé par toute une tripotée d'informaticiens, chapeautés par notre "Furious Genious" FéDéral.

Et toute une batterie de tests en commençant par des simulations pointues permirent de descendre d'un coeff. x1 à 0.7 minimum. On ne put pour des raisons de stabilité, aller plus bas, ce qui était déjà un soi un record !

Pour assister le pilote, un astromec prendrait place "en interne" sans être exposé aux tirs adverses, juste derrière le pilote, faisant ainsi barrage de son corps de métal "au cas où".

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Un oiseau très maniable !

Une fois que la configuration et de puissance fut résolue grâce au gain de place et par la conception d'une nouvelle structure, il fallait résoudre le problème de la maniabilité.

On dût partir de ce qu'on connaissait pour aller...plus loin ! Reprenant un concept d'ailerons-propulseurs mobiles qui avait fait fureur (en son temps) sur un modèle Corellien, le Hawk 290, les ingénieurs visionnèrent différents films promotionnels reprenant les caractéristiques du Hawk afin d'extrapoler sans copier celui-ci (question de respect des brevets industriels)...C'est là que le talent des ingénieurs se révéla. Dans chaque ingénieur se cache, à un moment donné, un savant fou, auquel on ne donne pas toujours l'occasion de s'exprimer.

Dans toute entreprise, il y a parfois, des génies malheureux, incompris, la Coyn avait deux spécimens du genre, les frères jumeaux Ramirez (Pippo et Bimbo). Devant leurs idées parfois trop extravagantes, la direction avait plus d'une fois baissé les bras, ils faisaient le désespoir des administrateurs, notamment ceux de la compta' mais cette fois-ci, on les écouta, on les laissa travailler tout en les canalisant bien sûr !

Insérer des "fluidifieurs", c'était une solution mais permettre une orientation et une déviation de la poussée par des bouts d'ailes mobiles, ça, c'était une innovation des deux frères jumeaux !

Le modèle étant conçu autour d'un axe semi-mobile, comme une articulation humaine, souple avec cependant une limite mais ici, c'est tout l'ensemble de ce "bout d'aile", légèrement en retrait de la coque, pouvant pivoter de + 135° à - 45° (d'après les tests).

Ce qui donnerait une fabuleuse esquive, voir même la possibilité de voler "à reculons" ou de se déplacer tel un crabe, de manière transversale, en "dérapant" mais cette fois-ci, grâce à des volets mobiles au bout des tuyères mais les déplacements spectaculaires se feraient plus sur des axes verticaux et horizontaux que sur les côtés (on ne peut pas tout avoir !). Les futurs adversaires allaient cependant devoir s'accrocher à leur joystick !!

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Exemple de tuyère (à volets) mobile(s)


Rien n'est plus désagréable que de dépasser un adversaire et de se retrouver sous son feu, c'est ce qu'on appelle un "overshoot" ! (avec "shoot" au bout !)

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Armement

On dut repenser à l'electronique de bord et à la partie informatique, les talents de "Furious Genious" furent mis à contribution pour permettre la synchronisation des canons en fonction de ce qui était détecté par le radar de tir.

Pour gagner en aérodynamique, les canons lasers lourds, ne seraient découverts qu'en phase de combat, sinon, ils seraient protégés par une plaque de blindage pour éviter tout frottement aérodynamique sauf si le pilote les armait à sa convenance.

- Cible aérienne/Spatiale/ très mobile > Le logiciel de tir feraient alterner les canons lourds par paires de 2 pour permettre une cadence élevée malgré leur calibre, rappelant les salves rapides d'un célèbre chasseur "X" pour saturer une zone de tir.

- Pour les cibles au sol, une décharge de 4 salves iraient directement s'écraser au contact donc...

Si un pilote privilégiait l'interception d'un convoi et n'avait pas le temps de charger des projectiles, son armement embarqué ferait l'affaire, il devrait peut être alors passer plusieurs fois sur l'objectif pour atteindre plusieurs cibles.

Le chasseur remplirait donc deux rôles : interception pure/dogfight + appui au sol. Ce qui éviterait l'emploi de bombardiers plus lourds et moins maniables.


Les armements sont chargés dans la structure même du chasseur, les missiles et les bombes, sont arrimés à des racks, qui émergent d'une trappe de dessous la coque, quand l'appareil est en phase d'attaque. Sinon, la trappe reste fermée.

Défenses

La furtivité est possible grâce à un masque de senseurs (chose courante aujourd'hui) et on renforce les capacité de survie de l'appareil grâce à des dispositifs de riposte en cas de danger missiles.

L'ordinateur de bord identifie la menace (thermique ou masse) et largue les contre-mesures adéquates.

20 millions furent débloqués dans le budget de la T.I.M.E dès qu'on aurait les résultats de la première estimation !

Atouts

Commande (sûre) gouvernementale
Marché exclusif intérieur (pas de concurrent)
Fournitures de matières premières à prix coûtant et baisse des coûts grâce au recyclage des anciens chasseurs
Partenaires solides financièrement
Fonds immédiatement disponibles


Financement.

Quand le projet fut soumis à validation, évidemment tout le monde fut réuni, des départements d'ingéniérie, scientifique et jusqu'au service comptabilité.

L'option d'un centre de recherches avait été évoqué car le coût initial serait tout de même important mais les frais engendrés par l'entretien d'un tel centre ne pouvaient être justifiés que si les recherches étaient constantes et ici, on parlait de plusieurs millions par mois (entre 5 à 8) qui seraient plus utiles pour payer les premières tranches de travaux donc ce serait un "one shot".

L'entreprise (la Coyn) et son partenaire/fournisseur (la F.M.C) seraient prêts à payer en x1 ou sans frais, le montant des frais de conception et construction. Déjà, les ingénieurs étaient impatients de démarrer les chaînes de production MAIS pas avant d'en avoir reçu l'aval financier bien sûr !

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Qualité des matières premières


Les problèmes d'échauffement et d'usure furent solutionnés grâce à des alliages spéciaux et on ne contenta pas d'utiliser des matériaux courants dans ce type de construction navale mais grâce à la F.M.C, les denrées minérales rares furent disponibles. Celle-ci était partenaire de la Coyn donc elle comptait bien récupérer son investissement !

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Modularité

A l'exemple des principes d'ingéniérie Corelliens, l'entretien, la maintenance et les réparations du chasseur pouvaient être agencées sur différentes parties, séparées en plusieurs blocs modulables, de même que la connectique fonctionne sur le même principe.

Explication : Entre les blocs, des prises relais (munies d'une sécurité) peuvent être déverouillées, comme un plug-in ordinaire mais d'un gabarit plus important. Quand la sécurité est enclenchée, la connectique est opérationnelle entre les deux blocs, à moins d'être endommagée par des tirs externes perçant le bouclier, le blindage protecteur et la coque.

Blocs modulaires

- Bouts d'ailes et tuyères mobiles
- Moteur (2 réacteurs) munis de tuyères mobiles
- Cockpit


La méthode R.A.N.G.R.E est évidemment appliquée !

    Ranger
    Améliorer
    Nettoyer
    Gagner (l’excellence)
    Rester rigoureux
    Evoluer (Continuer d’apprendre)

But :
    - Diminution de pannes
    - Amélioration de la productivité
    - Gain de temps
    - Réduction des risques
    - Détection des défaillances
    - Economies réalisées

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Le fait que chacun des Elroodiens pouvaient être un jour, être confrontés à des pirates, diminuèrent grandement les craintes des personnels en question quant à un refus éventuel, quitte à faire des heures supplémentaires pour que ce chasseur voit le jour. Certaines planètes du secteur souffraient encore de ce fléau, bien que Tifnyl avait été libérée.

D'après les chiffres officiels et de ce qui se disait dans les salons d'affaire, 1 vaisseau sur 10 était encore arraisonné, sur certains axes, il fallait que cela cesse !
Modifié en dernier par Scott Knox le mar. 18 août 2015 20:13, modifié 1 fois.
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By Scott Knox
#19329
Quand les premières ébauches subirent les premiers tests de faisabilité et bien...Tout le monde dut revoir sa copie !

On avait vu trop grand, trop vite et trop lourd ! Par ex., l'ajout d'un hyperpropulseur de secours ne pouvait être monté sur un petit véhicule de cette taille, au minimum, un cargo ! Si on le laissait tel quel, on allait perdre tout le gain en maniabilité, accroissant le poids de l'engin.

Le coût raisonnable des débuts devrait être revu à la hausse, le "spitfire" devrait être plus long d'au moins 3 bons mètres pour éviter une miniaturisation à outrance, ce qui fait que les ingénieurs de la Coyn reprirent leur planche à dessin virtuelle.

La Coyn se remit au travail avec un savoir-faire qu'elle maîtrisait sur de nombreux domaines, néanmoins, l'expertise de la F.M.C quant aux contraintes techniques des métaux et alliages allaient se révéler précieux, voir indispensable et complémentaire.

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Design de la coque / Ergonomie

Pour sa silhouette, on repartit de "zéro", essayant plusieurs formes aérodynamiques mais les critères de sélection firent émerger qu'une forme triangulaire allongée, présentant une "face" la plus discrète possible était le bon choix et rendrait la tâche difficile à un adversaire de contrer un assaut frontal.

Quant à la prise de connaissances des besoins des pilotes, on fit venir les éléments les plus expérimentés. On leur posa des questions sur leurs desideratas, les besoins et difficultés rencontrées lors de leur missions, on tint donc un rapport à jour qui permettrait aux ingénieurs de guider leurs travaux outre les aspects techniques, ici, l'ergonomie et l'importance des fonctionnalités étaient tout aussi vitales car les pilotes engageaient leur vie et les ingénieurs se devaient de préserver celle-ci autant que ce peut et bien sûr, leur donner donner l'outil pour réussir leur(s) mission(s) !

On recruta plusieurs pilotes d'essai volontaires et après les tests d'usage, on commença les simulations. D'abord dans une salle où un espace virtuel leur "montrait" leur futur poste. Les pilotes apportaient leurs modifications en direct suivis de celles des ingénieurs qui changeaient sous les yeux des premiers, la disposition des manettes, écrans, longueur de siège...Chaque détail fut soigné : que ce soit le type de commandes que le pilote voulait retrouver au bout de ses doigts pour réagir en un éclair ou comment actionner l'éjection de la cabine en cas d'urgence.

Ici, ce n'est pas le pilote qui quittait son chasseur mais le poste de pilotage qui quittait le corps du chasseur endommagé par un système de boulons explosifs comme une nacelle de sauvetage se détachant d'un navire en perdition, une fois que l'ordinateur avait fait le diagnostic irrémédiable.

Evidemment, il valait mieux être proche d'une planète habitable ! Cette mini-capsule ne disposait que peu de carburant pour donner une poussée initiale et procéder à son atterrissage.

On chronométra aussi leur temps de réaction en fonction de l'ergonomie optimale. Pour être sûrs, plusieurs dizaines de candidats (eux aussi, pilotes militaires) sélectionnés, essayèrent diverses combinaisons ergonomiques.

Ce qui en résulta, fut de connaître avec précision où les différents éléments devaient prendre position dans le cockpit et renseignant les ingénieurs sur ses dimensions réelles. Ne restait plus qu'à correctement extrapoler avec précision, les dimensions finales de l'engin mais déjà, pour se donner une marge de manoeuvre, de 12m de long, on passa à 16.

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Composition de la coque

Diverses combinaisons d'alliage furent testées pour obtenir les meilleures performances en termes de résistance, légèreté, qualité et Heureusement que le savoir-faire combiné des deux entreprises (Coyn Shipyards et la F.M.C) put s'ajouter à leurs domaines respectifs.

Les ingénieurs de la Coyn approfondirent leurs connaissances quant à la résistance des minerais transformés en métaux, utilisés, quant à ceux de la F.M.C, ils purent voir et examiner toutes les étapes du traitement des matières premières ainsi fournies, dans le milieu aérospatial, ce fut extrêment enrichissant des 2 côtés.

La principale difficulté fut d'assurer à la fois, une résistance éprouvée et éviter tout "surpoids"...On passa en revue les différents alliages existants et après plusieurs tests, les ingénieurs de la Coyn et de la F.M.C, validèrent ensemble, un alliage duracier + chanlon, réunissant ainsi les propriétés de ces deux métaux aux caractéristiques pointues pour un tel usage.

Le duracier (meleenium, de neutronium et de zersium ) allié au chanlon, allaient apporter tous leurs avantages à la nouvelle coque, lui fournissant durabilité, dissipation de l'énergie cohérente grâce au zersium, qualité par le meleenium et surtout résistance avec le chanlon. L'inconvénient de la densité de ce métal fut compensé, non pas par l'ajout d'une couche, prisonnière du duracier, mais par son emploi conçu comme un treillis au sein même du duracier, diminuant ainsi la quantité du métal nécessaire pour toute la coque.

Les équipements conjoints des deux entreprises permirent de savoir exactement quel pourcentage de chanlon adjoindre au duracier pour tirer profit de ce métal et éviter de pénaliser la vitesse à atteindre de 120 MGLT et une résistance de 35 RU. La verrière du cockpit est, elle, composée en transpacier opacifiant et filtrant.

Sur le schéma proposé, elle peut-être recouverte d'un blindage composé de plaques escamotables, comme une sorte de "protège-nuque intégral", protégeant le pilote lors de la phase finale d'une approche pour un bombardement mais limitant sa perception visuelle de son environnement. Ce blindage peut être découvert/recouvert à volonté suivant la situation de combat.

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Aménagement de la structure interne

Passer d'un chasseur de 12 mètres à 16m, allaient permettre aux équipes d'ingénieurs de mieux travailler et de bien penser à l'aménagement de l'espace indispensable pour les moteurs, les générateurs, l'hyperpropulseurs, le câblage nécessaire, l'armement.

En outre, cette augmentation de la surface disponible offrit des espaces dédiés aux équipements d'habitude optionnels qui furent ainsi ajoutés.

Notamment un fluidifieur et un lance-leurres dédiés à contrer les missiles thermiques et réagissant à la masse métallique du vaisseau en mouvement, ceux-ci étant rechargeables par les équipes de maintenance d'armement sous la forme de "barillets" chargés et prêts à l'emploi.

Le chasseur dispose aussi de plusieurs points d'emports externes lui permettant de remplir des missions aussi variées que possible, bien que son point fort soit : le dogfight

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Hyperpropulsion x1

Peu de technologies ou de peuples étaient capables de baisser le coefficient d'hyperpropulsion inéfrieur à 1 pour un véhicule de cette classe.

Au final, la Coyn allait devoir investir plus d'argent et de recherches pour descendre en dessous de "1" mais que cela ne tienne ! Pour le moment, elle conçut un motivateur d'hyperdrive de dernière génération, avec les meilleurs composants, programmé par les meilleurs informaticiens de la Coyn, dirigés par celui qui avait renforcé la sécurité informatique du réseau FéDéral : Furious Genious.

Pour les moteurs

La Coyn abordait ici, un champ nouveau, c'était vrai mais
[i]des efforts initiaux avaient déjà permis de passer d'un coeff 4 à 2
puis quand on aborda le "1", les estimations durent être reprises puisque la construction de nouveaux moteurs s'avéraient indispensables donc...Ici, on rentrait parfaitement dans ce cas de figure avec :

- L'étude d'un nouveau chasseur
- Une cellule plus longue permettant l'ajout de moteurs et d'un hyperdrive + puissant

- Des recherches au préalable effectuées, message du 22 Avr 2015, 01:29

Ce n'était plus qu'une question de temps et d'argent !

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Armement, protection, défense

L'accroissement du volume disponible signifiait aussi de meilleurs générateurs pour les canons, le bouclier sans oublier de conserver l'avantage majeur de la vitesse et la capacité de donner au pilote, la possibilité de moduler sa force d'impact en fonction de objectifs à détruire (chasseur > tirs en rafales ; navires, objectifs terrestres > tir en salves) par le biais de canons lasers lourds.

Le gain de puissance des générateurs fourniraient ainsi une protection atteignant les 65 SBD, ce qui correspondait au cahier des charges (entre 50 à 70 SBD)

Les armements chargés dans la structure même du chasseur, les missiles et les bombes, sont arrimés à des racks, qui émergent d'une trappe de dessous la coque, quand l'appareil est en phase d'attaque. Sinon, la trappe reste fermée.

Emport multi-usages (10 points d'attaches)
Missiles à concussion (1 à 4 unités)
Torpilles à proton (1 à 4 unités)
Réservoirs de carburant largable(s) (1 à 2 unités)

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Quant au recyclage

La F.M.C ajoutait son savoir-faire technique de retraitement des métaux aux méthodes de la Coyn qui connaissait par coeur, les schémas de montage de ses chasseurs "old school". Les pièces étaient donc au préalable, démontées, triées pour faciliter le travail de collecte de la F.M.C. D'après les estimations, cette opération ferait baisser de 1/2, le coût de production, on s'en sortait plutôt bien après la hausse initiale dûe à une cellule plus grande, c'était plutôt de bonne augure.

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Mesures de précautions en matière de sécurité

Le personnel est invité à se taire même envers les médias, leur entourage, amis et proches. C'est une question de sécurité sectorielle. Des protocoles sont mis en place, le dossier des personnels travaillant sur place sont "épluchés", toute personne non-fiable sur ce plan est écartée du projet (sans perdre son emploi mais est dirigée vers un autre projet utile mais inoffensif) jusqu'à ce qu'il soit achevé.

La sécurité externe est renforcée par des contingents droïdes et vautour autour du centre de recherches constitué. Il est demandé à "Furious Genious" de constituer un pôle de cybersurveillance.

Après que le Conseil eût reçu les modificiatons en cours et des mesures prises, Jean Dagger prit contact avec l'émissaire Chiss pour initier la coopération évoquée dans le traité dans les articles 5 et 6

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Financement

20 millions ont été débloqués pour lancer le processus.

La décision du lancement d'un centre de recherches a été validée pour accélérer la mise au point du chasseur.

Au vu de la taille du complexe, bien d'autres projets annexes liés aux domaine de l'astronautique, de la robotique et de l'électronique sortiront de celui-ci.


Coût : Plus de 40 millions
Coût mensuel : 20%
Temps de construction : 8 semaines
Capacités de recherche : Les centres de test et d'expérimentation sont à eux seuls d'imposantes cités implantées dans le décor de leur environnement. Ils sont indépendants et ont parfois sous leur tutelle des laboratoires plus petits pour effectuer des émargements de leurs recherches. Ce sont eux qui créent de nouvelles technologies et innovent les marchés en relançant de nouveautés. Ils sont tellement imposants que leurs recherches priment sur toutes les autres. Par comparaison à titre d'exemple, les laboratoires qui ont inventé le super-laser de l'Étoile Noire sont ceux qui leurs correspondent le mieux. Estimation à environ 45 millions de crédit la recherche.


AU MJ Honneur : Dois-je encore éditer quelque chose ou cela te permet-t-il de valider la création et mise en service de ce chasseur, pour ensuite l'ajouter à l'inventaire général pour la "FéDération" ?

Fiche éco. éditée !
Modifié en dernier par Scott Knox le dim. 16 août 2015 18:48, modifié 1 fois.
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By Scott Knox
#19392
Le département comptable des 2 entreprises en question eut l'agréable surprise de recevoir un pactole de 25 millions chacun. Ce qui motiva grandement les personnels conjugués, impliqués dans ce projet sectoriel. Du sommet au plus humble des executants, tous ne pensèrent plus qu'à une chose : donner le meilleur d'eux-même sans compter leur temps.

Ils savaient qu'ils travaillaient pour que leurs familles, amis et proches puissent un jour parcourir les cieux FéDéraux, en toute sécurité et ça, ça n'a pas de prix !
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By Honneur
#19444
La Coyn avait désormais les moyens de atteler à cette commande particulière émanant des instances gouvernementales de la Fédération. Le centre de recherche flambant neuf était maintenant fonctionnel pour entamer les recherches voulues. Certes il avait coûté cher (40 millions à la construction et 8 millions d'entretien mensuel hors coût des recherches) mais il n'en fallait pas moins pour concrétiser les ambitions du secteur.

Le développement du modèle de chasseur pressenti ne partait d'aucune base, pas même de la sous-traitance de pièces détachées. Il reviendrait donc à cher lui-aussi mais la production ne souffrirait d'aucune dépendance extérieure de ce fait. L'équipe lança ses premières simulations concernant la réalisation du projet et les besoins en financement purent ainsi être chiffrées ainsi que les résultats concernant le cahier des charges initial.

La conception de la coque était assez élaborée. Il fallait qu'elle soit assez légère pour garder une bonne maniabilité mais pour autant on avait voulu équiper le chasseur de systèmes élaborés et d'équipements nombreux qui allaient jouer sur son allure. On essaya de trouver le meilleur compromis possible, à savoir un chasseur de supériorité assez puissant et résistant qui garderait une vitesse et une maniabilité assez bonne pour être tout de même adapté au dogfight. Certes il ne serait pas aussi performant que les intercepteurs du marché dans ce rôle, mais les exigences voulues par le client ne permettaient pas de tout faire. L'idée de la capsule de survie avec éjection était bien perçue malgré les inconvénients qu'elle posait sur d'autres critères. Le pilote s'il en avait le temps pourrait ainsi essayer de sauver sa vie si son appareil était sur le point de le lâcher mais il faudrait qu'il soit dans le champ d'attraction d'une planète habitée s'il ne voulait pas prendre le risque d'errer dans l'espace.

Développement de la coque 35 RU: 8 millions de crédits

Les équipements n'étaient pas en reste. La conception d'un hyperpropulseur de classe 1 revenait à concevoir ce qui se faisait de mieux sur le marché des chasseurs et constituait un premier défi pour l'équipe. Il en était de même pour les moteurs et l'armement.

Hyperpropulseur classe 1: 2 millions de crédits
Moteurs compacts pour chasseurs: 3 millions de crédits
Bouclier déflecteur 65 SBD: 3 millions de crédits
Canon laser lourd coynite: 500.000 crédits
Lance missile à concussion (4 tirs):1.5 millions de crédits
Lance torpille à protons (4 tirs): 1.5 millions de crédits
Lance leurre: 100.000 crédits
Systèmes de navigation: 1.5 millions de crédits
Système de guidage des armements: 1.5 millions de crédits
Système de survie: 1 million de crédits
Ajustements divers: 1.4 millions de crédits

L'équipe prévoyait des tâtonnements et des échecs au cours de la réalisation mais l'enveloppe budgétaire finale était évaluée à 25 millions de crédits avec l'assurance que la réutilisation future des pièces développées réduiraient le coût d'un futur projet de ce type et en bonus on comptait que 5 prototypes opérationnels verraient le jour avec les essais. Le seul écart perceptible avec les attentes initiales étant la vitesse de pointe de l'appareil qui ne pouvait égaler les intercepteur à cause de sa configuration et de son équipement trop polyvalent.

Fiche technique finale:

Spitfire
Taille : 16 mètres
Armement : 4 Canons lasers lourds, 1 Lances-Torpilles à protons (4 torpilles), 1 Lance-missile à concussion (4 tirs)
Hyperpropulsion : classe 1.0
Coût en Crédit : 200.000 Cr à la production
Maintenance : 20.000 Cr
Temps de production : 1 Mois IRL
Caractéristiques : Bonne vitesse (100 MGLT), adapté au dogfight, maniabilité moyenne, bouclier déflecteur (65 SBD), bonne coque (35 RU), système d'éjection et de leurres pour projectiles.
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By Scott Knox
#19462
Les experts Coynites alliés au savoir-faire des ingénieurs métallurgistes de la F.M.C firent des merveilles bien que les budgets de départ aient été explosés mais on n'a rien sans rien, n'est-ce pas ? Passer d'un chasseur de vitesse 4.0 à 1.0, c'était comme passer le mur de la lumière des millénaires plus tôt et les pilotes FéDéraux allaient devoir subir des centaines heures de simulation avant de pouvoir grimper à bord des "Spit" mais le Conseil allait rendre ça possible très vite !

Sur sa plate-forme panoramique, Joseph Camprica, pdg de la Coyn regarda les plans finaux


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Fiche technique finale : Spitfire

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Taille : 16 mètres

Armement :
2 autoblasters
1 canon laser lourd
1 lance-torpilles à proton (4 torpilles)
1 lance-missiles à concussion (4 missiles)

Hyperpropulsion : classe 1.0

Prix de vente client (coeff 2.2) : 352.000 Cr
Maintenance : 16.000 Cr

Temps de production : 1 Mois IRL

Caractéristiques :
Bonne vitesse (100 MGLT)
Adapté au dogfight
Maniabilité moyenne
Bouclier déflecteur (50 SBD)
Coque standard (15 RU)
Système d'éjection et de leurres pour projectiles.



Un mince sourire parcourait ses lèvres et tout absorbé à sa tâche, il n'entendit pas Daniel, son homologue de la F.M.C, venir derrière lui :

Image


- Alors Joseph ? Comment as-tu transformé mes matières premières ? Mes ingénieurs te donnent-ils satisfaction ?

Joseph se retourna : Ah Daniel, tu as failli me surprendre mais ta respiration t'a trahi tellement tu étais sûr de me surprendre ! Mais rapproche-toi de la baie vitrée blindée et admire ! Ce projet n'aurait pas été possible sans ton aide, la FéDération te doit beaucoup !

Daniel lui mit une main sur l'épaule : Notre aide, Joseph, la nôtre...Nous allons débarasser notre espace des pirates qui l'infestent mais nos pilotes doivent se familiariser avec ce nouveau chasseur, comment l'avez-vous appelé ?

Joseph : "Crache-feu" ou "Spitfire", ses performances et armement lui permettront de s'attaquer de l'échelle d'un chasseur à un vaisseau capital. Nous avons un peu perdu en vitesse mais nous avons gagné en polyvalence, on ne peut pas tout avoir !

Daniel : Ah j'ai bien reçu le virement du Gouvernement, ils sont impatients de le voir à l'oeuvre et comme mes résultats ont été excellents, je te transfère ce que j'ai reçu ! Tu en as plus besoin que moi, Joseph !

Les deux hommes se regardèrent, en un clin d'oeil, un lien au-delà du respect mutuel de deux hommes d'affaires se créea. au cours des mois écoulés, ils avaient appris à travailler ensemble et avaient oeuvré pour un projet commun et Daniel le surprit par son extrême générosité, une fois de plus !

Joseph :
- Pourquoi Daniel ? Nous sommes partenaires, pas de même taille mais à part égales dans la T.I.M.E, j'ai encore les moyens de régler mes factures ! Dit-il d'un ton amusé mais le geste de Daniel le déconcertait, il se comportait plus comme un mécène que comme un pdg...Quoiqu'il en soit ! Les 25 millions allaient lui faire du bien bien qu'il culpabilisa un peu puisque Daniel avait fourni les matières premières, le savoir-faire unique de ses ingénieurs métallurgistes, la conception des alliages...Et il lui répondit :

- Daniel, tu as investi beaucoup de temps, d'argent et d'hommes, par contre, s'il y a des ventes à l'export, ce sera 50/50 et je te lâche un bataillon de comptables s'il y a le moindre centime d'écart dans les registres de vente !

- Marché conclu, Joseph, 50/50 sur les ventes ! Et on a déjà un client : Le Conseil ! Par contre, en dehors, le contexte politique est tendu surtout avec nos voisins du sud galactique.

- Oui la situation est préoccupante, il va falloir faire très attention à nos savoir-faire ! Si tu veux investir 25 millions dans notre système de protection informatique, je ne suis pas contre, au contraire !

- Très bien Joseph, je vois que tu as fini par céder, je vais faire le necessaire ! Pour nous 2 ! Pour l'instant, ce qui nous sauve, c'est notre cloisonnement mais il serait peut-être temps de prendre des contre-mesures, du moins des défenses adéquates.

Depuis sa tablette, Daniel ordonna l'investissement de 12.5 millions dans la protection informatique de ses systèmes et 12.5 millions sont consacrés à la protection informatique de la Coyn Shipyard. Une fois cela fait, Joseph reprit :

- Bien j'avertis le 1er Conseiller que les Chasseurs, du moins les prototypes vont être fabriqués, les premiers tests de pilotage sur simulateurs vont être lancés et parmi les pilotes qui ont eu les meilleurs résultats, nous allons y puiser nos pilotes d'essai.

Au M.J :

- La F.M.C partage son investissement avec la Coyn pour revoir leurs défenses informatiques et les rehausser de plusieurs niveaux.
- Les tests de sélection sont lancés pour les pilotes et ensuite, les prototypes vont être construits.
- Les phases de test sont faites par étapes successives (coque, moteurs, navigation, interface armements, pilotage, essais armes/défenses, évaluation en vol etc...)
- Le Conseil d'Eskyrt est averti de l'avancée des travaux et des précautions prises
Modifié en dernier par Scott Knox le ven. 21 oct. 2016 13:21, modifié 6 fois.
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By Scott Knox
#19605
Quand au sein, des forces de défense d'Eskyrt, parmi les pilotes principalement, on sut que la Coyn Shipyard avait dressé une liste de volontaires pour tester les nouveaux chasseurs, ce fut l'effervescence !

L'Etat-Major fut submergé de demandes d'affectation aux essais et malheureusement pour tous ces candidats, les 2 principaux maîtres d'oeuvres, avaient fait le necessaire notamment dans la phase de pré-tests quand on demandait à ces candidats comment ils voyaient le futur cockpit, l'aménagement des commandes, les capacités offensives/défensives ou l'avionique...Ce furent eux, choisis parmi les meilleures escadrilles qui furent dédiés à cette tâche.

Très vite, les simulations débutèrent, les pilotes devaient perdre d'anciens reflexes et en acquérir de nouveaux, notamment s'habituer à une vitesse hyperluminique 4 fois plus grande et des possibilités étendues, bien connaître les différents commandes à leur disposition, bien utiliser l'interface de tir coordonnée avec leur regard...mais ce n'étaient pas des bleus mais bien des experts et très vite, verrouiller un missile sur une cible rapide ou lui décocher instinctivement une volée de lasers lourds ne fut plus un secret. Les pilotes apprécièrent d'avoir un outil de travail à la hauteur de la dangerosité de leur(s) tâche(s).

Les tests continuèrent jusqu'à ce que l'appareil n'ait plus de secrets pour eux, en terme de navigation, manoeuvres, tir, esquive, autonomie ainsi que les phases d'évacuation d'urgence. La Coyn et la FMC se mirent au travail pour récolter leurs ressentis et conçurent une autre tenue spatiale adaptée au cockpit du SpitFire, qui permettrait d'être connecté au chasseur. Depuis son interface visuelle en tête haute, le pilote pouvait ainsi gérer de paramètres secondaires si ses mains, jambes et pieds étaient occupés par le feu du combat ou de leur mission.

A l'issue de plusieurs semaines de simulations virtuelles, les essais grandeur nature commençèrent...Au sol...En soufflerie où on recréea dans le centre de recherches, les conditions du vide spatial, de différentes atmosphères même les plus corrosives ou agressives, c'est là, qu'on se rendit compte de l'excellence des matériaux fournis par la F.M.C et de leur application à un domaine pointu que l'ingiéniérie spatiale par la Coyn Shipyard.

Les pilotes avaient hâte d'allumer les moteurs et de vouloir s'envoler, 4 fois plus vite que prévu !! Mais ils durent encore potasser les nouveaux registres techniques au cas où si un jour, ils se retrouvaient coincés sur une planète loin d'Elrood, apprendre à fabriquer les pièces ou les composants essentiels et pendant ce temps, après la coque, les moteurs furent testés...Ainsi de suite...Chacun d'entre eux allaient devenir des experts puis, ils seraient chargés de former leurs homologues et subordonnés !

Les équipes de maintenance des bases (militaires) spatiales d'Elrood prirent connaissance des manuels techniques, des composants utilisés, de toute la nomenclature à suivre en cas de panne et de leurs résolutions. Oui, ce fut un travail complexe et une oeuvre de patience mais on put réduire ainsi le temps de maintenance à un rapport de 1:1, ce qui tenait déjà de l'exploit !

Evidemment, étant donné que le matériel était "sensible" et de nature militaire, ils étaient tenus au secret, tout comme les pilotes. Et si on leur posait des questions, ils devaient dire qu'ils volaient encore sur des chasseurs dépassés, si l'interlocuteur insistait, à eux de retenir l'interlocuteur en question et de contacter les autorités afin qu'elles appréhendent "le curieux".

La Coyn fit donc son rapport au Conseil sur l'avancée des tests et précautions prises, celui-ci ne put que s'en féliciter !
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By Scott Knox
#19677
Au sein de la FMC et de la Coyn, les équipes et personnel furent motivées et animées d'une saine émulation, à savoir : concevoir et livrer les premiers prototypes en temps et en heures, ne comptant pas leur énergie.

Ce qui donna pour effet que tous avaient de l'avance sur les plannings, la direction des deux entreprises décida, d'un commun accord, de relâcher la pression sur les équipes. D'adopter un état d'esprit artisanal, celui d'être conscient de fabriquer un objet unique et très vite parmi les contrôleurs des tâches, le taux d'erreur(s) baissa de 10%. Mieux encore, la Coyn et la FMC instituèrent des périodes de siestes récupératrices, histoire de recharger ses batteries neuronales, nerveuses et musculaires et firent aménager des salons de relaxation avec des masseurs professionnels, ce que tous apprécièrent !!

Ainsi reposés, les corps et les esprits pouvaient de nouveau, donner le meilleur d'eux-mêmes ! Et c'est ce qu'ils firent !

Daniel et Joseph constatèrent qu'un personnel en forme, considéré à sa juste valeur, représentait la véritable trésorerie de leurs entreprises. Eux-mêmes constatèrent à quel point, les idées, projets, capacités de concentration avaient augmenté en eux, tout leur semblait possible !! Déjà, les deux hommes se projetaient loin, très loin et ils ne manquaient pas de guetter la moindre occasion géopolitique afin qu'elle serve leurs intérêts de développement.

Après quelques jours, les prototypes furent enfin prêts, effectuant leurs premiers vols dans des zones isolées de tout regard indiscret. Là, les tests grandeur nature furent executés et tout fut passé au crible ! Les enregistreurs de vol transmettaient en temps réel les réactions des premiers Spitfire, puis on passa aux phases de manoeuvre aux facteurs de tolérance extrême, qui se révélèrent excellents, vinrent les essais de vitesse, d'autonomie avec/sans réservoirs largables, les essais de tir air/air, air/espace, air/sol, sur différentes cibles (fixes, mobiles, avec bouclier, sans bouclier...), l'utilisation des leurres, la seule chose qui fut testée en dernier fut l'éjection de la cabine.

Pour cela, on utilisa une réplique construite au sol, on déclencha des centaines de fois, la procédure de séparation d'avec la coque...Bref, tous les essais étaient concluants et accomplis sans retard sur le programme car la conception initiale fut bonne !

Après la validation des 5 premiers prototypes, on envoya ceux-ci en combat simulé dans toutes les escadrilles affichant les meilleurs résultats au combat. Le Spitfire ne s'avouait vaincu qu'à 5 contre 1, ce qui voulait dire, qu'il pouvait affronter 4 fois plus d'adversaire et en sortir indemne (ou presque) mais contre 5...

Pour conclure, on équipa ces prototypes de masques de senseurs et leur taux de réussite au combat grimpa à 95% , les adversaires voyant leur challenger trop tard, celui-ci les surprenait et les arrosait de traits explosifs ou déversait sa cargaison mortelle sur l'objectif défendu...C'était une victoire totale !

La F.M.C et la Coyn reçurent les rapports validant les ultimes tests dont ceux des masques de senseurs, ils signèrent les autorisations pour les production en série. Pour les masques de senseurs, cela ne pouvait se faire que "sur commande", ils transmirent donc leur rapport final au Conseil d'Eskyrt en précisant le prix d'achat pour la FéDération au coeffficient d'1.5, ce qui était un prix correct, on ne pouvait pas descendre en-dessous !

Par ailleurs, la Coyn demanda si le "SpitFire" pourrait être disponible à l'export...autre question épineuse !

Joseph reçut une réponse ultérieurement, cela se ferait "au cas par cas", ce qui n'était pas une réponse négative mais pas vraiment positive non plus, cependant comme le Conseil restait le seul client pour l'instant, il achetait les "Spitfire" au coefficient d'1.65 au lieu d'1.5, ce qui était une excellente nouvelle ! Un virement de 66.000.000 CR venait d'être crédité sur les comptes de la Coyn, aussitôt, Jospeh fit un virement de 33.000.000 à la F.M.C, comme prévu !!
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By Scott Knox
#19946
Une note prioritaire arriva au Centre de Recherches, une nouvelle demande du Conseil !

Toute demande de celui-ci transita d'abord par le pdg, Joseph Camprica,qui la répercuta immédiatement à ses subordonnés.

Quand l'ingénieur en Chef la lut, il fronça quelque peu les sourcils :


- Mesdames et Messieurs, le Conseil a besoin "d'yeux et d'oreilles", en l'occurence, d'éclaireurs automatisés de reconnaissance, sortez vos planches à dessin virtuelles et au boulot ! On compte sur nous !

Un petit plaisantin osa :

- Euh, Chef, on part d'une base ? On a déjà fait quelque chose de ce type ? Un quelconque projet avorté ?

Et le Chef répondit :
- Nous ne partons pas "de zéro", nous disposons des plans de tous les plans de construction des droïdes à notre disposition, du moins, ceux qui sont fabriqués dans l'espace FéDéral donc, nous ne sommes pas démunis !

Regardez les possibilités de manoeuvre des buzz, la finesse des scanners des droïdes hunter killer modifiés, les capacités de projection de bouclier de MK 2, la configuration aérodynamique de nos "Vautour"... Et pour rappel, que construit-on ici ?


Des vaisseaux, répondit un subordonné

- Bonne réponse ! Et ceux-ci sont dotés de ...
- Moteurs, senseurs...
- Exact donc, comme à notre habitude, on va utiliser nos connaissances existantes, les développer, les adapter, pour nous rapprocher de notre objectif, est-ce plus clair ? Sans oublier qu'on va aussi solliciter nos collègues de la F.M.C, ils doivent en savoir plus long que nous sur l'interprétation à travers les senseurs, des différentes couches géologiques, leur renfort sera bienvenu ! Allez, c'est parti !

L'effort initial quand on démarre un nouveau projet est de concevoir un concept qui tienne la route, ici, il fallait procéder en plusieurs étapes et peut-être même devoir faire appel aux Forces Armées FéDérales pour connaitre leurs besoins, notamment ceux qui s'occupaient du Renseignement en terrain hostile, ce serait déjà un grand pas en avant que de traduire en équipements techniques, leurs contraintes liées aux missions et au niveau de danger environnemental subi.

Les militaires furent ravis qu'on fasse appel à leur expérience et, très vite, les ingénieurs de la Coyn purent avancer sur des bases solides quant à la qualité optique exigée, la résolution des détails, les possibilités de furtivité.

En règle générale, une sonde est indétectable tant qu'elle n'émet pas, ensuite, c'est une autre affaire ! Même en crypté, on peut localiser une émission par triangulation, il faut que la sonde puisse disposer de systèmes d'alerte passifs sur les faisceaux de recherche actifs adverses, qu'ils soient émis du sol ou depuis l'espace.

3 sous-départements furent donc consacrés à ce projet, le 1er s'occupant de la propulsion, coque et accessoires indispensables à la sonde dont la réalisation d'optiques à très haute définition, des bras pinces-outils inspirés des célèbres droïdes buzz ainsi que des cables sondes leur permettant de se connecter à n'importe quelle machine au besoin, le second, les senseurs actifs / passifs + circuits imprimés, le 3ème, les softwares indispensables.

Les militaires, eux, vinrent avec leurs spécialistes du cryptage pour élaborer un système d'interception de communication, cryptage et de déchiffrage.


Conception de la coque, propulsion et accessoires.

En termes de dimensions, ce "scout" allait être plus grand que son homologue impérial, vu la qualité des équipements et programmes embarqués, bref, une électronique "de pointe" et d'une envergure (avec aile support) de 3 mètres 50.

Un blindage duracier-chanlon, de même type que le nouveaux chasseurs pour la coque fut conçu, chose simplifiée désormais suite à la production en série précédente.

Quant à la propulsion, voilà un "gros point" à résoudre ! Pourquoi ?

Car une sonde, arrivée à un point donné n'est pas censée revenir mais accomplir sa mission jusqu'à son auto-destruction...On aurait pu faire ce choix-là mais on préférait voir revenir le matériel intact même si, en cas de capture, celle-ci serait programmée pour ne pas tomber aux mains de l'ennemi. Une petite charge sonique serait donc insérée au coeur du mini-réacteur de celle-ci pour en démultiplier les effets.

Aile support

Image


Extension en forme semi-sphérique " prévue pour le modèle "Scout"
Envergure max : 3.50m
Fonction : permettre au Scout, une possibilité de vol hyperluminique, subspatial et atmosphérique.
Dispositifs : moteurs hyperluminiques, ioniques, senseurs, générateurs auxiliaires et boucliers.

Pour lui donner cette possibilité de manoeuvre, d'autonomie et de vitesse, on exploita les archives, remettant au goût du jour, ce qui avait bien fonctionné par le passé et dans le cas de ce scout, l'équivalent d'un anneau de moteurs hyperluminiques aux formes, cependant plus effilées, fut mis à l'étude.

Un design initial en "V" fut pensée en une configuration "Ailes en flèches", (rappelant un peu le design Naboo avec deux moteurs de chaque côté, le chasseur Bellubab 22 ou Porax 38 s'en inspiraient aussi) où comme son désormais, lointain prédécesseur, le chasseur jedi Delta 7 Aethersprite, le scout pouvait s'emboîter, s'y verrouiller puis se connecter à cette extension dotées de moteurs (aile support), générateurs, senseurs supplémentaires et boucliers fut ainsi pensée initialement.

Cependant, au vu de la place disponible, dispositifs et équipements à insérer, une forme plus adaptée serait à prévoir !, celle d'un demi-anneau fut donc retenue, renforçant ainsi l'armature de l'engin et permettant une installation correcte de tous les senseurs et équipements indispensables.

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Accessoires

L'exemple des droïdes buzz servit de base mais ici, il s'agissait surtout de pouvoir prélever des échantillons de minerais grâce à un bras collecteur rétractable. Disposant de 3 autres extensions contenant quelques outils (torche plasma, scie vibrolame, une foreuse), son corps renferme aussi 2 sondes extensibles pouvant l'aider à établir une connection à une machine quelle qu'elle soit, pour y télécharger des informations pouvant l'aider dans sa mission. (reconnaissance militaire ou sondage civil)


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Senseurs

Issus notamment des droïdes collicoïdes infiltrateur pour la surveillance de leur environnement immédiat, ses senseurs sont couplés à des optiques haute définition capable de percevoir toutes les gammes d'ondes et des scanners prévus pour sonder n'importe quel type d'environnement.

Pour l'espace profond et les très longues distances, les travaux précédents pour les senseurs et systèmes de navigation des "Spitfire" sont utilisés. Au vu de l'engin, disposant de moins de place mais moins complexe qu'un chasseur, ces éléments sont miniaturisés.

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Programmation

La base support étant celle d'un cerveau droïde vautour bombardier "Hyène" rendu "autonome" par une extension de ses banques mémoires et ré-écriture informatique des processus de décision, avec cependant une priorité : survivre et ramener les infos collectées.

La sonde est programmée pour survivre, éviter le combat car les informations sont plus importantes que tout, si la capture ne peut être évitée...Elle s'auto-détruit après avoir envoyé toutes ses données en mode crypté.

Si, néanmoins, elle est capturée intacte, un programme de défense informatique est envoyé dans le système adverse pour le contaminer, la sonde peut envoyer l'ordre à l'unité centrale de désactiver les défenses et d'empêcher sa capture : Virus "retour à l'envoyeur", virus "reconfiguration spyware". La priorité de la sonde sera alors de s'enfuir coûte que coûte !

La programmation de ses capacités cartographiques et minières sont confiées aux ingénieurs de la Federal Mining Corporation (F.M.C, partenaire de la Coyn)

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Interception de communications et cryptage/décryptage

Cet usage militaire, laissée à la discrétion des spécialistes des services secrets FéDéraux, bénéficient des avancées de la recherche dans le domaine des combinaisons aléatoires par le biais de clés cryptées. Une fonction passive permet à la sonde de relayer les fréquences cryptées adverses repérées, elle enregistre alors toutes les coordonnées de l'émission (intensité, durée, fréquence, séquences) puis pointe ses équipements de transmission haute-fréquence cryptée vers des coordonnées sûres pour éviter qu'un contre-espion ne remonte à la source. Elle change ensuite de position par plusieurs sauts évasifs.


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Sondages miniers

L'expérience des géologues de la F.M.C est mise à contribution pour permettre une identification correcte des gisements, leur localisation, nature, profondeur, densité et si possible, évaluation.

Ces spécificités sont alors traduites en données binaires et codées pour que la sonde fasse correctement son travail, les coordonnées des gisements sont instantanément transmises.

Si la sonde n'arrive pas à faire une évaluation exacte ou est en phase de recherche active au sol, elle utilisera ses outils pour forer le sol et si possible, atteindre les premières couches où est localisé le minerai pour en prélever un échantillon.


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Défense

Bien que le Scout n'ait pas vocation à combattre, il utilisera son armement en dernier recours. Il est doté de 2 paires de canons lasers jumelés de classe chasseurs, prévus pour la défense, montés sur axes rotatifs pour couvrir sa fuite.

Un projecteur de bouclier comme celui des MK2 est disponible durant une durée limitée, le temps que le scout rejoigne son aile OU que celle-ci ne vienne "cueillir" son hôte !

Furtivité
Un masque de senseurs peut être monté sur l'aile support

Avantage/inconvénient

Quand le Scout est arrimé à son aile support, toutes ses capacités sont augmentées. Quand il est en phase "collecte", le droïde est temporairement plus vulnérable, cependant, le système informatique d'alerte de l'aile support peut activer le bouclier et les défenses, couvrir le droïde jusqu'à l'arrimage et verrouillage de celui-ci en quelques secondes.


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Rôle(s) du Scout : reconnaissance préventive (interception de communications, cryptage/décryptage), sondages miniers, cartographie.

Taille : 2.50m
Equipements : cerveau droïde modifié, senseurs de proximité (classe droîde infiltrateur), senseurs longue portée, optiques HD, emetteur/récepteur haute fréquence, outils (collecteur d'échantillon, torche plasma, scie vibrolame, une foreuse), sondes externes, projecteur de bouclier.


Caractéristiques de l'aile support Scout

Coque Duracier-Chanlon
4 moteurs CoynShipyard
Vitesse hyperpropulsion x 1
Propulseurs à ion = vitesse sub lumière +300%
Fluidifieur = +160% de maniabilité
Masque de senseurs = furtivité 95% d'efficacité
Générateur de bouclier (50 SBD)
Coque bonne qualité (35 RU)
Armement(s) : 4 canons lasers jumelés montés sur axes rotatifs (360°)


Au M.J :

Sachant que :

Le Centre de Recherches de la Coyn bénéficie :

> du savoir-faire de la Fédération en termes de plans, schémas des droïdes dont elle s'inspire (commande du Gouvernement)
> de l'appui des géologues de la F.M.C pour la cartographie minière
> du savoir-faire des militaires FD pour la fonction "reconnaissance préventive", la programmation cryptage/décryptage

Et des options citées dans le rp précédent, ci-dessus ?

Quels seront les coûts de fabrication du droïde "Scout" ? et...de l'aile support ?

Merci d'avance !
#20689
Dans l'attente d'une réponse de l'administratrice Tega, une idée fit son chemin au sein de la T.I.M.E...Et pourquoi pas, développer leur propre gamme ??

Les ingénieurs de la CoynShipyards parcoururent les schémas techniques des X 401 F modifiés, ce qui leur donna une base, évidemment, il était hors de question de les copier.

On se rapprocha d'un autre concepteur, plus à même de construire de plus gros bâtiments : la Elrood StarYards, eux qui avaient élaboré les "Croiseur Prosperity"

Les co-dirigeants de la T.I.M.E allèrent droit au but, ils proposèrent à E.S d'associer leur savoir-faire au leur, ainsi, ils couvriraient complètement la gamme ou presque de ce qui se faisait dans l'espace Eskyrtien.

Après une longue hésitation, E.S accepta, cela faisait longtemps que leurs produits stagnaient et une ambition retrouvée leur ferait le plus grand bien, sans compter qu'ils étaient au courant de la place grandissante de la T.I.M.E dans le secteur astronautique, ce fut pour eux, une aubaine.

La T.I.M.E ouvrit donc ses portes à E.S, leur donnant donc un siège au comité d'entreprise comme aux autres membres de celle-ci. Elle ajouta donc sa capacité de production, ses ingénieurs et son savoir-faire à la T.I.M.E mais cela ne suffit pas car il manquait l'essentiel un chantier naval pour unités lourdes.

La T.I.M.E décida donc d'injecter 30 millions à la Elrood Star Yards pour qu'elle agrandisse ses chantiers existants (croiseur léger) pour offrir à celle-ci, une nouvelle gamme (Frégates et croiseurs lourds), la Coyn Shipyard, elle, se consacrant à la fabrication des chasseurs.


Fiche éco de l'Elrood Star Yards Limited

Image
Pdg : Grant Farell

1.000 employés
Salaire moyen 1.800 cr', salaire médian 1.650 cr'

RECETTES

Ventes totale de la production (coef 2)
Revenu ventes Croiseurs Prosperity : + 6 millions

TOTAL RECETTES MENSUELLES : 6.000.000 Cr


DEPENSES

Entretien des installations de production : - 1.5M
Achat matières premières : -1M
Charges salariales : -1,2 M
Impôts 7% : - 0.42M
Salaire de Grant Farell : - 0.4 M

TOTAL DEPENSES : 4.520.000 Cr

Solde mensuel : + 1.480.000 Cr
Trésorerie de départ : + 7.500.000 Cr


Dans l'esprit de tous, tôt ou tard, les deux entités constructrices ne finiraient plus qu'à faire une et ce jour là était arrivé !

En fusionnant avec la T.I.M.E, les frais de fourniture en matières premières disparaîtraient et avec ces gros chantiers à venir, on ne licencieraient personne...Une aubaine donc !

La Coyn et l'Elrood s'appelleraient donc (au sein de la T.I.M.E), Coyn Elrood Engeenering (C.E.E) !

Quand les formalités administratives de ce rapprochement furent terminées, commencèrent les études techniques sur les futures unités lourdes de classe Frégate, dans une gamme Frégates/Croiseurs, pouvant rivaliser en puissance de feu, blindage, boucliers avec des navires supérieurs.

Le but n'étant pas de construire un navire de guerre mais un vaisseau capable de s'aventurer dans des régions hostiles et de survivre, tout en préservant la nature première de sa fonction, le transport...avec néanmoins, un sérieux potentiel défensif !

Cela fut un véritable défi technique à construire car jamais une entreprise privée ou d'état sur Elrood n'avait procédé à cela avant (à part l'Empire du temps de l'occupation). Une véritable pépinière d'ingénieurs, de designers proposèrent plusieurs configurations et on finit par s'arrêter sur une silhouette dotée des meilleurs équipements que le savoir-faire Eskyrtien pouvait fournir.

Mais avant cela, l'extension du chantier naval de l'Elrood Star Yards [strike]Limited[/strike] devenu une extension de la C.E.E avec son homologue de la Coyn, au sein de la T.I.M.E

Coût : Autour des 30 millions (puisqu'il y a déjà des infrastructures existantes)
Entretien : 4.5M
Temps de construction : 4 semaines
Production : Frégates et Croiseurs lourds Eskyrtiens

Et...Une fois construit, on lancerait la production (début janvier 2016) !

Tout un programme...


Au M.J :

1) Fusion de l'Elrood Star Yards Limited avec la Coyn Shipyard, insérée dans la T.I.M.E

- Arguments en faveur de celle-ci :
>> Gamme réduite de l'Elrood StarYards Limited
>> Zone de chalandise restreinte à l'espace d'Elrood par manque de moyens financiers, industriels et de partenaires
>> Maintien des emplois au sein de l'Elrood StarYards Limited
>> Perspectives d'étendues au marché galactique
>> intégration de l'Elrood StarYards Limited au sein de la T.I.M.E (apport de l'expérience, savoir-faire et moyens pour la construction d'unités lourdes, classe Croiseur)

2) Financement de l'extension du chantier de l'ex-Elrood Star Yards Limited (puisqu'ils produisaient des Croiseurs Prosperity > production d'unités + importantes (frégates et croiseurs lourds)

Accord suite à intégration consentie (voir arguments cités ci-dessus)

la T.I.M.E injecte 30 M dans ce but pour la modernisation de l'ex-Elrood StarYards, un chantier neuf vaut 50M

3) Projet de frégate à valider (nouveaux objets)

Image


Frégate lourde Eskyrtienne, Modèle F.L "Mithril"

Taille : 550 mètres
Armement : 20 canons turbolasers lourds, 5 batteries ioniques, 5 rayons tracteurs, 10 batteries quad-lasers (anti-chasseurs)
Emport : 24 Chasseurs / (100.000 tonnes de marchandises OU 50.000 passagers) / 20 Scorponeks / 100 MK 2 / 100 buzz / 50 bombardiers hyène / 50 chasseurs vautour
Bonne protection boucliers ; qualité coque : excellente
Hyperpropulsion : 2.0, secours : 10.0
Coût en Crédit : 5.900.000 Cr à la production, 11.800.000 Cr pièce à l'achat (coeff 2)
Maintenance : 1.180.000 Cr
Temps de production : 1 mois IRL


Modifié en dernier par Scott Knox le ven. 27 mai 2016 20:58, modifié 3 fois.
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By Démence
#21024
[table align="left" border="0"]Sonde "Scout" d'Elrood ( nom à fixer )
Activité : Sondage et espionnage
Hyperpropulsion : Classe 2.0, sur anneau séparable
Armement : 1 double canon blaster ( Sonde ), 2 canons laser jumelés
Equipement :
  • Balayage senseur, fiabilité 90% des êtres vivants, 75% des espèces végétales connues, étude des ondes chimiques diverses, sensibilité infrarouge et détection des ultra-violets. Portée de 10 kilomètres
  • Crypteur de niveau intermédiaire ( craquage en 2 minutes par supercalcul ou par le biais d'un crack en informatique ),
  • Décrypteur de niveau moyen à faible ( en moyenne 10 minutes pour décrypter un signal moyennement protégé. Incapable de décrypter les signaux de types militaires et gouvernementaux )
  • Mini-laboratoire embarqué d'analyse des métaux avec précision de 99,99%. Sonde foreuse pour profondeur de 15 mètres maximum
  • Masque de senseur, efficacité 95%
  • Scie circulaire diamantée, torche plasma petit format
  • Bouclier 15 SBD ( Sonde ), 50 SBD ( anneau )
Protection : 35 RU ( anneau )
Spécificité : Virus "retour à l'envoyeur", virus "reconfiguration spyware"
Coût en Crédit ( version anneau+sonde ) : 600.000 crédits
Coût en Crédit ( version anneau ) : 400.000 crédits
Coût en Crédit ( version sonde ) : 200.000 crédits
Maintenance : 10% du prix d'achat
Temps de production : 1 Mois IRL [/table]
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