- ven. 15 mai 2015 00:07
#17760
1er compte : Scott Knox as Erwin Freeman
2nd compte : Jean Dagger (1er Conseiller FéDération, pnj)
Votez SWOR
Relations FD/Galaxie
Mon Blog : fiatpxl
Au siège de la Coyn Shipyard, le service des commandes reçut une demande de la part du Conseil, au sujet d'un chasseur...qu'il n'avait pas !
Une réponse standardisée concernant cette demande que le catalogue ne pouvait fournir faillit partir mais après tout, il était temps que la Coyn Shipyard montre qu'elle pouvait relever le défi. Aussitôt le département ingéniérie fut informé et les équipes de designers, techniciens commençèrent à y réfléchir, les comptables aussi d'ailleurs parce que les exigences souhaitées étaient à des années-lumière de ce que la Coyn pouvait actuellement produire mais son dirigeant Joseph Camprica allait saisir le "vaisseau au vol".
Pourquoi ? Parce que dans le milieu des affaires, on avait bien accueilli les mesures d'exonérations fiscales prises récemment et en plus, le gouvernement encourageait fortement les entreprises à améliorer leurs outils de productions, tout en faisant la chasse au gaspillage, cela ne que convenir à des dirigeants appréciant l'ordre, la discipline et l'efficacité, comme lui.
Et puis ce chasseur permettrait d'améliorer la sécurité des axes commerciaux, il fallait donc se "retrousser" les manches !
Joseph fit un mémo à l'intention de tous les enjoignant de donner le meilleur d'eux-mêmes car des civils, des proches pouvaient être concernés par ce gain de sécurité, ce qui motiva davantage les équipes de travail ! Quand il se pencha sur le design et les performances demandées (exigées), il savait que s'il voulait un jour percer à l'exportation, il faudrait aussi "rogner" sur les marges et heureusement que Daniel Stingray de la F.M.C était son partenaire principal pour les matières premières. Le coefficient de vente passa donc de 2 à 1.5 et le premier client serait la Fédération !
Il répondit au gouvernement en lui disant que, bien que le produit n'était pas sur le catalogue, lui et son équipe ferait le maximum pour satisfaire le Conseil puis il valida l'ordre de recherche.
Au département ingéniérie et scientifique de la CoynShipyard
L'ingénieur en chef faillit avaler son beignet de travers quand il valida l'alerte l'holo concernant le nouveau chasseur :
- Oh tous, venez voir ça ! Ca a de la gueule ! Il se nomme "SpitFire" ou "Crache-feu", joli nom de baptême ! Qui en as eu l'idée ?
Personne ne répondit...
Un collègue : - Ah pas mal du tout, ça nous changera de nos trottinettes spatiales poussives à 4.0, on veut du 0.7 ??? Rien que ça ?? Mais ils nous prennent pour qui ?? Ca va ruiner tous mes plans de W.E pour les prochaines semaines !
- A ton avis, tu es payé pour quoi, là ?
*Silence gêné*
- Fini la glandouille, tirez vos doigts et mains d'où je pense et cogitez, la FéDé compte sur nous ! On part sur ce qu'on connaît déjà et si vous êtes à court d'idées, allez ressortir tous les projets qui n'ont pas vu le jour sur l'amélioration de nos X-Fire, on les a déjà poussé à 2.0 grâce aux derniers financements reçus mais là, y nous faut une autre structure, moteurs et générateurs, allez zou !
Une goutte de sueur perla tout de même sur le front de l'ingénieur en chef, ça lui rappelait aussi quand il était encore un jeune ingénieur avant que Coyn ne s'encroûte et s'emmerde faute d'argent frais mais là, on tenait du sérieux ! Il sortit sa table de modélisation 3D et commença à faire des simu entre les deux ossatures, l'ancienne et la nouvelle.
--------------------------
En fonction du cahier des charges demandées, le département ingiénérie et scientifique de la CoynShipyard se mit au travail, tandis que de leur côté, le département administratif et financier, faisaient eux aussi leur quote-part, dont voici ci-dessous, les différentes étapes :
De la taille "medium" au "XL"
En comparant les deux modèles, le "Spit" était plus long (bon point) de 3 mètres, ce qui voulait dire une coque plus grande, des moteurs et générateurs plus puissants. Il avait une envergure plus large d'au moins 3 mètres de plus mais offrant une vue de face difficile à atteindre parce que les ailes n'avaient pas le même profil.
---------------------------
De la vitesse !
Dans cette optique d'optimisation, on sacrifierait la place du second passager humain pour un hyperdrive "à la hauteur" , c-a-d du 0.7. Pour atteindre cette vitesse, on choisit avec soin les composants, notamment les catalyseurs de champ opérant la collecte de rayons gamma pour fournir l'énergie nécessaire au saut et un motivateur d'hyperdrive de dernière génération. Cet ordinateur complexe, contrôlant les hyperpropulseurs fut programmé par toute une tripotée d'informaticiens, chapeautés par notre "Furious Genious" FéDéral.
Et toute une batterie de tests en commençant par des simulations pointues permirent de descendre d'un coeff. x1 à 0.7 minimum. On ne put pour des raisons de stabilité, aller plus bas, ce qui était déjà un soi un record !
Pour assister le pilote, un astromec prendrait place "en interne" sans être exposé aux tirs adverses, juste derrière le pilote, faisant ainsi barrage de son corps de métal "au cas où".
----------------------------
Un oiseau très maniable !
Une fois que la configuration et de puissance fut résolue grâce au gain de place et par la conception d'une nouvelle structure, il fallait résoudre le problème de la maniabilité.
On dût partir de ce qu'on connaissait pour aller...plus loin ! Reprenant un concept d'ailerons-propulseurs mobiles qui avait fait fureur (en son temps) sur un modèle Corellien, le Hawk 290, les ingénieurs visionnèrent différents films promotionnels reprenant les caractéristiques du Hawk afin d'extrapoler sans copier celui-ci (question de respect des brevets industriels)...C'est là que le talent des ingénieurs se révéla. Dans chaque ingénieur se cache, à un moment donné, un savant fou, auquel on ne donne pas toujours l'occasion de s'exprimer.
Dans toute entreprise, il y a parfois, des génies malheureux, incompris, la Coyn avait deux spécimens du genre, les frères jumeaux Ramirez (Pippo et Bimbo). Devant leurs idées parfois trop extravagantes, la direction avait plus d'une fois baissé les bras, ils faisaient le désespoir des administrateurs, notamment ceux de la compta' mais cette fois-ci, on les écouta, on les laissa travailler tout en les canalisant bien sûr !
Insérer des "fluidifieurs", c'était une solution mais permettre une orientation et une déviation de la poussée par des bouts d'ailes mobiles, ça, c'était une innovation des deux frères jumeaux !
Le modèle étant conçu autour d'un axe semi-mobile, comme une articulation humaine, souple avec cependant une limite mais ici, c'est tout l'ensemble de ce "bout d'aile", légèrement en retrait de la coque, pouvant pivoter de + 135° à - 45° (d'après les tests).
Ce qui donnerait une fabuleuse esquive, voir même la possibilité de voler "à reculons" ou de se déplacer tel un crabe, de manière transversale, en "dérapant" mais cette fois-ci, grâce à des volets mobiles au bout des tuyères mais les déplacements spectaculaires se feraient plus sur des axes verticaux et horizontaux que sur les côtés (on ne peut pas tout avoir !). Les futurs adversaires allaient cependant devoir s'accrocher à leur joystick !!
Exemple de tuyère (à volets) mobile(s)
Rien n'est plus désagréable que de dépasser un adversaire et de se retrouver sous son feu, c'est ce qu'on appelle un "overshoot" ! (avec "shoot" au bout !)
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Armement
On dut repenser à l'electronique de bord et à la partie informatique, les talents de "Furious Genious" furent mis à contribution pour permettre la synchronisation des canons en fonction de ce qui était détecté par le radar de tir.
Pour gagner en aérodynamique, les canons lasers lourds, ne seraient découverts qu'en phase de combat, sinon, ils seraient protégés par une plaque de blindage pour éviter tout frottement aérodynamique sauf si le pilote les armait à sa convenance.
- Cible aérienne/Spatiale/ très mobile > Le logiciel de tir feraient alterner les canons lourds par paires de 2 pour permettre une cadence élevée malgré leur calibre, rappelant les salves rapides d'un célèbre chasseur "X" pour saturer une zone de tir.
- Pour les cibles au sol, une décharge de 4 salves iraient directement s'écraser au contact donc...
Si un pilote privilégiait l'interception d'un convoi et n'avait pas le temps de charger des projectiles, son armement embarqué ferait l'affaire, il devrait peut être alors passer plusieurs fois sur l'objectif pour atteindre plusieurs cibles.
Les armements sont chargés dans la structure même du chasseur, les missiles et les bombes, sont arrimés à des racks, qui émergent d'une trappe de dessous la coque, quand l'appareil est en phase d'attaque. Sinon, la trappe reste fermée.
Défenses
La furtivité est possible grâce à un masque de senseurs (chose courante aujourd'hui) et on renforce les capacité de survie de l'appareil grâce à des dispositifs de riposte en cas de danger missiles.
L'ordinateur de bord identifie la menace (thermique ou masse) et largue les contre-mesures adéquates.
20 millions furent débloqués dans le budget de la T.I.M.E dès qu'on aurait les résultats de la première estimation !
Financement.
Quand le projet fut soumis à validation, évidemment tout le monde fut réuni, des départements d'ingéniérie, scientifique et jusqu'au service comptabilité.
L'option d'un centre de recherches avait été évoqué car le coût initial serait tout de même important mais les frais engendrés par l'entretien d'un tel centre ne pouvaient être justifiés que si les recherches étaient constantes et ici, on parlait de plusieurs millions par mois (entre 5 à 8) qui seraient plus utiles pour payer les premières tranches de travaux donc ce serait un "one shot".
L'entreprise (la Coyn) et son partenaire/fournisseur (la F.M.C) seraient prêts à payer en x1 ou sans frais, le montant des frais de conception et construction. Déjà, les ingénieurs étaient impatients de démarrer les chaînes de production MAIS pas avant d'en avoir reçu l'aval financier bien sûr !
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Qualité des matières premières
Les problèmes d'échauffement et d'usure furent solutionnés grâce à des alliages spéciaux et on ne contenta pas d'utiliser des matériaux courants dans ce type de construction navale mais grâce à la F.M.C, les denrées minérales rares furent disponibles. Celle-ci était partenaire de la Coyn donc elle comptait bien récupérer son investissement !
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Modularité
A l'exemple des principes d'ingéniérie Corelliens, l'entretien, la maintenance et les réparations du chasseur pouvaient être agencées sur différentes parties, séparées en plusieurs blocs modulables, de même que la connectique fonctionne sur le même principe.
Explication : Entre les blocs, des prises relais (munies d'une sécurité) peuvent être déverouillées, comme un plug-in ordinaire mais d'un gabarit plus important. Quand la sécurité est enclenchée, la connectique est opérationnelle entre les deux blocs, à moins d'être endommagée par des tirs externes perçant le bouclier, le blindage protecteur et la coque.
La méthode R.A.N.G.R.E est évidemment appliquée !
But :
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Le fait que chacun des Elroodiens pouvaient être un jour, être confrontés à des pirates, diminuèrent grandement les craintes des personnels en question quant à un refus éventuel, quitte à faire des heures supplémentaires pour que ce chasseur voit le jour. Certaines planètes du secteur souffraient encore de ce fléau, bien que Tifnyl avait été libérée.
D'après les chiffres officiels et de ce qui se disait dans les salons d'affaire, 1 vaisseau sur 10 était encore arraisonné, sur certains axes, il fallait que cela cesse !
Une réponse standardisée concernant cette demande que le catalogue ne pouvait fournir faillit partir mais après tout, il était temps que la Coyn Shipyard montre qu'elle pouvait relever le défi. Aussitôt le département ingéniérie fut informé et les équipes de designers, techniciens commençèrent à y réfléchir, les comptables aussi d'ailleurs parce que les exigences souhaitées étaient à des années-lumière de ce que la Coyn pouvait actuellement produire mais son dirigeant Joseph Camprica allait saisir le "vaisseau au vol".
Pourquoi ? Parce que dans le milieu des affaires, on avait bien accueilli les mesures d'exonérations fiscales prises récemment et en plus, le gouvernement encourageait fortement les entreprises à améliorer leurs outils de productions, tout en faisant la chasse au gaspillage, cela ne que convenir à des dirigeants appréciant l'ordre, la discipline et l'efficacité, comme lui.
Et puis ce chasseur permettrait d'améliorer la sécurité des axes commerciaux, il fallait donc se "retrousser" les manches !
Joseph fit un mémo à l'intention de tous les enjoignant de donner le meilleur d'eux-mêmes car des civils, des proches pouvaient être concernés par ce gain de sécurité, ce qui motiva davantage les équipes de travail ! Quand il se pencha sur le design et les performances demandées (exigées), il savait que s'il voulait un jour percer à l'exportation, il faudrait aussi "rogner" sur les marges et heureusement que Daniel Stingray de la F.M.C était son partenaire principal pour les matières premières. Le coefficient de vente passa donc de 2 à 1.5 et le premier client serait la Fédération !
Chasseur Multi-Usages d'Elrood
Nom : Crache-Feu (ou SpitFire)
Longueur : 12 mètres
Armement : 4 Canons lasers lourds (tirs par salves rapides de 2 vs chasseurs ennemis)
ou par volées de 4 (objectifs plus lents ou au sol) > cadence de tir ralentie mais dégâts supérieurs
Emport multi-usages (10 points d'attaches)
Missiles à concussion (1 à 4 projectiles)
Torpilles à proton (1 à 4 projectiles)
Réservoirs de carburant largable(s) (1 à 2)
Hyperpropulsion : x 0.7 (souhaitée) : x 1 (maximum) ; secours x 5
Coût en Crédit : 90.000 Cr à la production, 144.000 Cr pièce à l'achat (coeff 1.6)
> recyclage des anciens chasseurs et apport des matières premières à prix coûtant grâce à la F.M.C
Dispositif(s) de série(s)
Fluidifieur
Type : Système électronique et mécanique pour améliorer la manœuvrabilité d’un vaisseau.
Manœuvrabilité : + 160%
Taille requise : 0
Lanceur anti-missiles (rechargeable, interne à la coque)
Mini-barillets contenant les leurres éjectables par des trappes escamotables.
- 4 Thermique (fusées émettant une intense chaleur pour dévier les missiles attirés par la température des propulseurs)
- 4 Anti-radar (capsules contenant des bandelettes métalliques (déchets de production spatiale) pour former un nuage de débris et attirer les missiles attirés par la masse métallique de l'appareil)
Taille requise : 0
Total pièce : 144.000 Cr
Dispositif(s) optionnel(s)
FURTIF
Masque de senseurs
Type : Brouille les radars ennemis pour approche furtive.
Fonctionnalités : 95% d’efficacité
Taille requise : 1
Coût : 150.000 Cr2 gammes
Formule "Défense à tout prix" : 144.000 Cr (Fluidifieur + lanceur anti-missiles)
Formule "All-in" : 294.000 Cr (Fluidifieur + lanceur anti-missiles + masque de senseurs)Acquisition et verrouillage des cibles relayée sur la visière des pilotes.
Missiles et bombes dotées d'un système de guidage intégré "tir et oublie" :
soit à la chaleur, détection radar ou par imagerie (sur cible fixe ou mobile)
Maintenance : 9.000 Cr
Temps de production : 1 Mois IRL
Caractéristiques souhaitées : Vitesse 100 MGLT à 120 MGLT), bouclier déflecteur (50 à 70 SBD), coque moyenne à bonne (20 à 35RU), très adapté au dogfight grâce à ses tuyères et volets de poussée vectorielles.
Il répondit au gouvernement en lui disant que, bien que le produit n'était pas sur le catalogue, lui et son équipe ferait le maximum pour satisfaire le Conseil puis il valida l'ordre de recherche.
Au département ingéniérie et scientifique de la CoynShipyard
L'ingénieur en chef faillit avaler son beignet de travers quand il valida l'alerte l'holo concernant le nouveau chasseur :
- Oh tous, venez voir ça ! Ca a de la gueule ! Il se nomme "SpitFire" ou "Crache-feu", joli nom de baptême ! Qui en as eu l'idée ?
Personne ne répondit...
Un collègue : - Ah pas mal du tout, ça nous changera de nos trottinettes spatiales poussives à 4.0, on veut du 0.7 ??? Rien que ça ?? Mais ils nous prennent pour qui ?? Ca va ruiner tous mes plans de W.E pour les prochaines semaines !
- A ton avis, tu es payé pour quoi, là ?
*Silence gêné*
- Fini la glandouille, tirez vos doigts et mains d'où je pense et cogitez, la FéDé compte sur nous ! On part sur ce qu'on connaît déjà et si vous êtes à court d'idées, allez ressortir tous les projets qui n'ont pas vu le jour sur l'amélioration de nos X-Fire, on les a déjà poussé à 2.0 grâce aux derniers financements reçus mais là, y nous faut une autre structure, moteurs et générateurs, allez zou !
Une goutte de sueur perla tout de même sur le front de l'ingénieur en chef, ça lui rappelait aussi quand il était encore un jeune ingénieur avant que Coyn ne s'encroûte et s'emmerde faute d'argent frais mais là, on tenait du sérieux ! Il sortit sa table de modélisation 3D et commença à faire des simu entre les deux ossatures, l'ancienne et la nouvelle.
En fonction du cahier des charges demandées, le département ingiénérie et scientifique de la CoynShipyard se mit au travail, tandis que de leur côté, le département administratif et financier, faisaient eux aussi leur quote-part, dont voici ci-dessous, les différentes étapes :
De la taille "medium" au "XL"
En comparant les deux modèles, le "Spit" était plus long (bon point) de 3 mètres, ce qui voulait dire une coque plus grande, des moteurs et générateurs plus puissants. Il avait une envergure plus large d'au moins 3 mètres de plus mais offrant une vue de face difficile à atteindre parce que les ailes n'avaient pas le même profil.
De la vitesse !
Dans cette optique d'optimisation, on sacrifierait la place du second passager humain pour un hyperdrive "à la hauteur" , c-a-d du 0.7. Pour atteindre cette vitesse, on choisit avec soin les composants, notamment les catalyseurs de champ opérant la collecte de rayons gamma pour fournir l'énergie nécessaire au saut et un motivateur d'hyperdrive de dernière génération. Cet ordinateur complexe, contrôlant les hyperpropulseurs fut programmé par toute une tripotée d'informaticiens, chapeautés par notre "Furious Genious" FéDéral.
Et toute une batterie de tests en commençant par des simulations pointues permirent de descendre d'un coeff. x1 à 0.7 minimum. On ne put pour des raisons de stabilité, aller plus bas, ce qui était déjà un soi un record !
Pour assister le pilote, un astromec prendrait place "en interne" sans être exposé aux tirs adverses, juste derrière le pilote, faisant ainsi barrage de son corps de métal "au cas où".
Un oiseau très maniable !
Une fois que la configuration et de puissance fut résolue grâce au gain de place et par la conception d'une nouvelle structure, il fallait résoudre le problème de la maniabilité.
On dût partir de ce qu'on connaissait pour aller...plus loin ! Reprenant un concept d'ailerons-propulseurs mobiles qui avait fait fureur (en son temps) sur un modèle Corellien, le Hawk 290, les ingénieurs visionnèrent différents films promotionnels reprenant les caractéristiques du Hawk afin d'extrapoler sans copier celui-ci (question de respect des brevets industriels)...C'est là que le talent des ingénieurs se révéla. Dans chaque ingénieur se cache, à un moment donné, un savant fou, auquel on ne donne pas toujours l'occasion de s'exprimer.
Dans toute entreprise, il y a parfois, des génies malheureux, incompris, la Coyn avait deux spécimens du genre, les frères jumeaux Ramirez (Pippo et Bimbo). Devant leurs idées parfois trop extravagantes, la direction avait plus d'une fois baissé les bras, ils faisaient le désespoir des administrateurs, notamment ceux de la compta' mais cette fois-ci, on les écouta, on les laissa travailler tout en les canalisant bien sûr !
Insérer des "fluidifieurs", c'était une solution mais permettre une orientation et une déviation de la poussée par des bouts d'ailes mobiles, ça, c'était une innovation des deux frères jumeaux !
Le modèle étant conçu autour d'un axe semi-mobile, comme une articulation humaine, souple avec cependant une limite mais ici, c'est tout l'ensemble de ce "bout d'aile", légèrement en retrait de la coque, pouvant pivoter de + 135° à - 45° (d'après les tests).
Ce qui donnerait une fabuleuse esquive, voir même la possibilité de voler "à reculons" ou de se déplacer tel un crabe, de manière transversale, en "dérapant" mais cette fois-ci, grâce à des volets mobiles au bout des tuyères mais les déplacements spectaculaires se feraient plus sur des axes verticaux et horizontaux que sur les côtés (on ne peut pas tout avoir !). Les futurs adversaires allaient cependant devoir s'accrocher à leur joystick !!
Exemple de tuyère (à volets) mobile(s)
Rien n'est plus désagréable que de dépasser un adversaire et de se retrouver sous son feu, c'est ce qu'on appelle un "overshoot" ! (avec "shoot" au bout !)
Armement
On dut repenser à l'electronique de bord et à la partie informatique, les talents de "Furious Genious" furent mis à contribution pour permettre la synchronisation des canons en fonction de ce qui était détecté par le radar de tir.
Pour gagner en aérodynamique, les canons lasers lourds, ne seraient découverts qu'en phase de combat, sinon, ils seraient protégés par une plaque de blindage pour éviter tout frottement aérodynamique sauf si le pilote les armait à sa convenance.
- Cible aérienne/Spatiale/ très mobile > Le logiciel de tir feraient alterner les canons lourds par paires de 2 pour permettre une cadence élevée malgré leur calibre, rappelant les salves rapides d'un célèbre chasseur "X" pour saturer une zone de tir.
- Pour les cibles au sol, une décharge de 4 salves iraient directement s'écraser au contact donc...
Si un pilote privilégiait l'interception d'un convoi et n'avait pas le temps de charger des projectiles, son armement embarqué ferait l'affaire, il devrait peut être alors passer plusieurs fois sur l'objectif pour atteindre plusieurs cibles.
Le chasseur remplirait donc deux rôles : interception pure/dogfight + appui au sol. Ce qui éviterait l'emploi de bombardiers plus lourds et moins maniables.
Les armements sont chargés dans la structure même du chasseur, les missiles et les bombes, sont arrimés à des racks, qui émergent d'une trappe de dessous la coque, quand l'appareil est en phase d'attaque. Sinon, la trappe reste fermée.
Défenses
La furtivité est possible grâce à un masque de senseurs (chose courante aujourd'hui) et on renforce les capacité de survie de l'appareil grâce à des dispositifs de riposte en cas de danger missiles.
L'ordinateur de bord identifie la menace (thermique ou masse) et largue les contre-mesures adéquates.
20 millions furent débloqués dans le budget de la T.I.M.E dès qu'on aurait les résultats de la première estimation !
Atouts
Commande (sûre) gouvernementale
Marché exclusif intérieur (pas de concurrent)
Fournitures de matières premières à prix coûtant et baisse des coûts grâce au recyclage des anciens chasseurs
Partenaires solides financièrement
Fonds immédiatement disponibles
Financement.
Quand le projet fut soumis à validation, évidemment tout le monde fut réuni, des départements d'ingéniérie, scientifique et jusqu'au service comptabilité.
L'option d'un centre de recherches avait été évoqué car le coût initial serait tout de même important mais les frais engendrés par l'entretien d'un tel centre ne pouvaient être justifiés que si les recherches étaient constantes et ici, on parlait de plusieurs millions par mois (entre 5 à 8) qui seraient plus utiles pour payer les premières tranches de travaux donc ce serait un "one shot".
L'entreprise (la Coyn) et son partenaire/fournisseur (la F.M.C) seraient prêts à payer en x1 ou sans frais, le montant des frais de conception et construction. Déjà, les ingénieurs étaient impatients de démarrer les chaînes de production MAIS pas avant d'en avoir reçu l'aval financier bien sûr !
Qualité des matières premières
Les problèmes d'échauffement et d'usure furent solutionnés grâce à des alliages spéciaux et on ne contenta pas d'utiliser des matériaux courants dans ce type de construction navale mais grâce à la F.M.C, les denrées minérales rares furent disponibles. Celle-ci était partenaire de la Coyn donc elle comptait bien récupérer son investissement !
Modularité
A l'exemple des principes d'ingéniérie Corelliens, l'entretien, la maintenance et les réparations du chasseur pouvaient être agencées sur différentes parties, séparées en plusieurs blocs modulables, de même que la connectique fonctionne sur le même principe.
Explication : Entre les blocs, des prises relais (munies d'une sécurité) peuvent être déverouillées, comme un plug-in ordinaire mais d'un gabarit plus important. Quand la sécurité est enclenchée, la connectique est opérationnelle entre les deux blocs, à moins d'être endommagée par des tirs externes perçant le bouclier, le blindage protecteur et la coque.
Blocs modulaires
- Bouts d'ailes et tuyères mobiles
- Moteur (2 réacteurs) munis de tuyères mobiles
- Cockpit
La méthode R.A.N.G.R.E est évidemment appliquée !
- Ranger
Améliorer
Nettoyer
Gagner (l’excellence)
Rester rigoureux
Evoluer (Continuer d’apprendre)
But :
- - Diminution de pannes
- Amélioration de la productivité
- Gain de temps
- Réduction des risques
- Détection des défaillances
- Economies réalisées
Le fait que chacun des Elroodiens pouvaient être un jour, être confrontés à des pirates, diminuèrent grandement les craintes des personnels en question quant à un refus éventuel, quitte à faire des heures supplémentaires pour que ce chasseur voit le jour. Certaines planètes du secteur souffraient encore de ce fléau, bien que Tifnyl avait été libérée.
D'après les chiffres officiels et de ce qui se disait dans les salons d'affaire, 1 vaisseau sur 10 était encore arraisonné, sur certains axes, il fallait que cela cesse !
Modifié en dernier par Scott Knox le mar. 18 août 2015 20:13, modifié 1 fois.
2nd compte : Jean Dagger (1er Conseiller FéDération, pnj)
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Mon Blog : fiatpxl