- jeu. 8 nov. 2018 20:32
#34171
La paix est un mensonge, il n'y a que la passion. Par la passion, j'ai la puissance. Ces maximes tirées du code Sith emplissaient les pensées de la jeune fille tandis qu'elle laissait le Zabrak explorer les contrées les plus éloignées qui existaient sur la carte de son corps. La passion, seule comptait la passion et les émotions avec elles. Le désir et le plaisir débordaient ses sens, la stimulant comme peu de choses en étaient capables. Elle se sentait comme enivrée par les puissantes vagues de désir qui venaient se briser contre les récifs de son esprit. Une partie d'elle était terrifiée à l'idée de lâcher prise et se laisser aller tandis que l'autre ne demandait rien autant que s'abandonner à ce qui allait advenir.
Il lui fut pourtant simple de faire taire cette petite voix qui lui criait désespérément de ne pas s'abandonner à cet inconnu, de ne pas prendre le risque de se créer une chaîne et d'abaisser ses défenses. Le Zabrak n'était rien pour elle au-delà de l'aide qu'il lui avait apporté et qu'il lui apportait présentement. Une fois leur affaire terminée, elle doutait même le revoir un jour et ne ferait probablement rien pour que cela arrive. Dans ces conditions, il ne risquait pas de lui causer de problème ni d'être un danger. Il n'était qu'un outil qu'elle allait utiliser pour parvenir à ses fins et qu'elle laisserait de côté ensuite sans plus y penser. Un outil tout à fait satisfaisant et même bien plus que ça, certes.
Marak en vint alors à une approche plus frontale, décalant son attention en venant se coller à sa poitrine. La jeune fille agrippa d'une main les cornes sur le crâne du Zabrak et gémit doucement. Elle le laissa faire, laissant son désir à elle s'intensifier par ses bons soins pour ensuite le lui transmettre. Malgré son état qu'on aurait pu qualifier de second, elle sentit l'afflux léger de la Force qu'il concentrait soudainement. L'espace d'un instant, elle craignit d'avoir été dupée, l'idée aurait été saugrenue et proprement embarrassante vu la situation. Heureusement, il n'en fut rien et elle comprit rapidement ou il voulait en venir. Elle ne fit rien pour l'en empêcher.
Bientôt, elle ne disposait que d'un linge fin pour protéger le peu de pudeur qu'il lui restait. Souriant effrontément, elle fit glisser ce dernier voile qui rejoignit à son tour sur le sol le reste des vêtements. Finalement, alors qu'elle se trouvait être entièrement à la merci du colosse, elle décida de prendre les choses en main. Elle n'en fut pas déçue. Il n'était pas difficile pour elle de percevoir combien son partenaire appréciait le geste et la manœuvre. De longs instants durant, elle fit preuve d'une expertise née de longues années de pratique, attisant le feu qu'il avait allumé le premier jusqu'à le faire flamboyer.
Il était maintenant temps d'entrer dans le vif du sujet. Se relevant prestement, elle posa de nouveau ses lèvres sur les siennes et mordilla jusqu'à sentir le goût du sang, rien qu'une ou 2 gouttes, rien de bien méchant. Puis elle enroula ses bras autour du cou du Zabrak et d'un bond, se colla contre lui, très près, les jambes emprisonnant Marak à la taille. Il était hors de question de le laisser s'échapper à présent qu'elle le tenait. Ses iris dorés rivés dans ceux du chasseur de primes, elle attendait qu'il impose son rythme. Que démarre la folle danse qui durera toute la nuit..
Varadesh se réveilla brusquement, réveillée malgré elle, pour se rendre compte ou elle était. Elle avait la tête posée contre le torse puissamment musclé et couvert de tatouages ainsi que d'une fine pellicule de sueur de Marak, lequel dormait d'un sommeil profond. Un repos bien mérité s'il fallait considérer cette nuit démente qui les avait vu s'opposer férocement l'un l'autre, luttant pour obtenir la victoire sans qu'aucun ne cède rien à l'autre. La communion sexuelle qu'il y avait eu entre eux avait été splendide et, tandis qu'elle l'observait dormir en songeant à quel point il était vulnérable à cet instant précis, elle s'humecta les lèvres, se rappelant le goût de celles du Zabrak avec délice.
Elle laissa ses doigts courir le long des tatouages, légèrement intriguée de savoir ce qu'ils pouvaient bien représenter pour lui, savourant la sensation de la texture de sa peau. Elle se sentait magnifiquement, terriblement vivante en cet instant précis. Son regard s'attarda alentour, ne se rendant compte qu'un peu tard de l'état dans lequel sa cabine était : dévastée comme si un ouragan y avait fait rage, ses affaires éparpillées aux 4 coins de la pièce et certains meubles ayant même des marques de dégâts bien visibles.
Lui revint alors en mémoire qu'ils avaient pour ainsi dire beaucoup bougé à travers le vaisseau, visiblement sans trop regarder ou ils allaient. Le chauffeur n'avait pas très bien négocié les virages semblait-il. Elle s'en préoccuperait plus tard, pour l'heure elle se sentait rassasiée, emplie de plénitude et suprêmement vivante. Et un peu sale aussi, il était temps pour elle d'aller se laver un peu. Prenant soin de ne pas réveiller le colosse endormi – mieux valait ne pas le réveiller, impossible de savoir ce qui pourrait bien arriver alors – elle se dirigea vers la douche de son vaisseau, s'installa à l'intérieur et laissa l'eau brûlante laver sa chair autant qu'elle la revigorait.
Quoi qu'il se passerait à l'avenir, elle ne regretterait ni n'oublierait ces moments passés avec Marak pour rien au monde, c'était une certitude.
Ce post contient des scènes explicites ou de nature à choquer.
La paix est un mensonge, il n'y a que la passion. Par la passion, j'ai la puissance. Ces maximes tirées du code Sith emplissaient les pensées de la jeune fille tandis qu'elle laissait le Zabrak explorer les contrées les plus éloignées qui existaient sur la carte de son corps. La passion, seule comptait la passion et les émotions avec elles. Le désir et le plaisir débordaient ses sens, la stimulant comme peu de choses en étaient capables. Elle se sentait comme enivrée par les puissantes vagues de désir qui venaient se briser contre les récifs de son esprit. Une partie d'elle était terrifiée à l'idée de lâcher prise et se laisser aller tandis que l'autre ne demandait rien autant que s'abandonner à ce qui allait advenir.
Il lui fut pourtant simple de faire taire cette petite voix qui lui criait désespérément de ne pas s'abandonner à cet inconnu, de ne pas prendre le risque de se créer une chaîne et d'abaisser ses défenses. Le Zabrak n'était rien pour elle au-delà de l'aide qu'il lui avait apporté et qu'il lui apportait présentement. Une fois leur affaire terminée, elle doutait même le revoir un jour et ne ferait probablement rien pour que cela arrive. Dans ces conditions, il ne risquait pas de lui causer de problème ni d'être un danger. Il n'était qu'un outil qu'elle allait utiliser pour parvenir à ses fins et qu'elle laisserait de côté ensuite sans plus y penser. Un outil tout à fait satisfaisant et même bien plus que ça, certes.
Marak en vint alors à une approche plus frontale, décalant son attention en venant se coller à sa poitrine. La jeune fille agrippa d'une main les cornes sur le crâne du Zabrak et gémit doucement. Elle le laissa faire, laissant son désir à elle s'intensifier par ses bons soins pour ensuite le lui transmettre. Malgré son état qu'on aurait pu qualifier de second, elle sentit l'afflux léger de la Force qu'il concentrait soudainement. L'espace d'un instant, elle craignit d'avoir été dupée, l'idée aurait été saugrenue et proprement embarrassante vu la situation. Heureusement, il n'en fut rien et elle comprit rapidement ou il voulait en venir. Elle ne fit rien pour l'en empêcher.
Bientôt, elle ne disposait que d'un linge fin pour protéger le peu de pudeur qu'il lui restait. Souriant effrontément, elle fit glisser ce dernier voile qui rejoignit à son tour sur le sol le reste des vêtements. Finalement, alors qu'elle se trouvait être entièrement à la merci du colosse, elle décida de prendre les choses en main. Elle n'en fut pas déçue. Il n'était pas difficile pour elle de percevoir combien son partenaire appréciait le geste et la manœuvre. De longs instants durant, elle fit preuve d'une expertise née de longues années de pratique, attisant le feu qu'il avait allumé le premier jusqu'à le faire flamboyer.
Il était maintenant temps d'entrer dans le vif du sujet. Se relevant prestement, elle posa de nouveau ses lèvres sur les siennes et mordilla jusqu'à sentir le goût du sang, rien qu'une ou 2 gouttes, rien de bien méchant. Puis elle enroula ses bras autour du cou du Zabrak et d'un bond, se colla contre lui, très près, les jambes emprisonnant Marak à la taille. Il était hors de question de le laisser s'échapper à présent qu'elle le tenait. Ses iris dorés rivés dans ceux du chasseur de primes, elle attendait qu'il impose son rythme. Que démarre la folle danse qui durera toute la nuit..
Varadesh se réveilla brusquement, réveillée malgré elle, pour se rendre compte ou elle était. Elle avait la tête posée contre le torse puissamment musclé et couvert de tatouages ainsi que d'une fine pellicule de sueur de Marak, lequel dormait d'un sommeil profond. Un repos bien mérité s'il fallait considérer cette nuit démente qui les avait vu s'opposer férocement l'un l'autre, luttant pour obtenir la victoire sans qu'aucun ne cède rien à l'autre. La communion sexuelle qu'il y avait eu entre eux avait été splendide et, tandis qu'elle l'observait dormir en songeant à quel point il était vulnérable à cet instant précis, elle s'humecta les lèvres, se rappelant le goût de celles du Zabrak avec délice.
Elle laissa ses doigts courir le long des tatouages, légèrement intriguée de savoir ce qu'ils pouvaient bien représenter pour lui, savourant la sensation de la texture de sa peau. Elle se sentait magnifiquement, terriblement vivante en cet instant précis. Son regard s'attarda alentour, ne se rendant compte qu'un peu tard de l'état dans lequel sa cabine était : dévastée comme si un ouragan y avait fait rage, ses affaires éparpillées aux 4 coins de la pièce et certains meubles ayant même des marques de dégâts bien visibles.
Lui revint alors en mémoire qu'ils avaient pour ainsi dire beaucoup bougé à travers le vaisseau, visiblement sans trop regarder ou ils allaient. Le chauffeur n'avait pas très bien négocié les virages semblait-il. Elle s'en préoccuperait plus tard, pour l'heure elle se sentait rassasiée, emplie de plénitude et suprêmement vivante. Et un peu sale aussi, il était temps pour elle d'aller se laver un peu. Prenant soin de ne pas réveiller le colosse endormi – mieux valait ne pas le réveiller, impossible de savoir ce qui pourrait bien arriver alors – elle se dirigea vers la douche de son vaisseau, s'installa à l'intérieur et laissa l'eau brûlante laver sa chair autant qu'elle la revigorait.
Quoi qu'il se passerait à l'avenir, elle ne regretterait ni n'oublierait ces moments passés avec Marak pour rien au monde, c'était une certitude.