- dim. 20 avr. 2014 22:27
#9808
Meilleur Joueur 2014
2ème Meilleur Membre 2014
-J’aimerai réellement, tu peux me croire. Je sens que je suis prête à faire confiance à quelqu’un. Même si mon maître ne verrait pas cela d’un mauvais œil, je ne pense pas que cela respecte les traditions. Enfin, je m’en fou des traditions, avoir deux maîtres n’est pas un problème pour moi…
Jenna ne savait pas trop si elle devait se sentir flattée ou non. Visiblement, Helera semblait prête à tenter l'aventure avec elle. Oh, elle ne le regretterait pas ! Il y avait tant de choses à faire, à voir ! Mais jongler entre deux maîtres pouvait en effet relever de l'impossible. Comment pourrait-on prétendre être un bon élève pour l'un ou l'autre quand on va voir ailleurs ?
Les couples doivent se poser ce genre de question en cas d'infidélité.
[table align="left" border="0"]« [font=Lucida Fax]Te savoir dans le giron d'un autre ne me pose aucun soucis non plus... au contraire même, il est intéressant d'avoir deux points de vue différents, ça aide à se forger une meilleure opinion, et surtout une opinion personnelle. Sans une autre personne pour contre-balancer certaines idées, on fini non pas avec une conscience propre mais avec un cerveau formaté.
C'est lui qui pourrait mal le voir, mais si tu m'affirmes qu'il ne le verra pas d'un mauvais oeil, et bien... Tu n'as qu'on mot à me dire, et je prendrais sous mon aile. Protection, argent, vie décente, moyens, et... ma compagnie.[/font] » [/table]
Jenna porta son verre à ses lèvres et fit un clin d'oeil coquin à Helera. Puis le repas léger continua un peu.
-Le riz est très bon, oui merci.
Et quand vint la question fatidique, Helera sembla un peu... interdite ? Pauvre enfant, elle a dut avoir une vie bien solitaire. D'où venait-elle ? Qui était-elle ? Une orpheline ? Une enfant enlevée ? Et par qui ? D'où venait ce sabre laser si puissant, ses émotions si fortes ? D'où venait ce visage méfiant qui trempait sous une capuche sale, et qui semblait n'avoir jamais vu de douche de sa vie ? Jenna n'avait jamais porté son regard sur les pauvres. Et en fait elle ne le ferait probablement jamais. Ce qu'elle avait gagné, elle l'avait acquis par la seule sueur de son front, au prix d'un travail dangereux où un échec signifiait la mort. Helera ne l'apitoyait pas, non, elle... l'attendrissait. Etonnant.
Etait-ce purement hormonal ou juste... sentimental ? Tu n'aimes pas cette fille. Pourtant, elle sentait qu'au delà de ses envies de partager un lit avec une jolie jeune fille, la belle inquisitrice souhaitait... autre chose.
Peut-être se réjouissait-elle d'avoir trouvé quelqu'un qui partageait un peu de sa vie. Solitude, incompréhension, méfiance... et mort. La Mort, partout...
-Non, pourquoi tu veux savoir ? Et toi ?
Jenna se racla très doucement la gorge et ramena une mèche de cheveux derrière son oreille.
[table align="left" border="0"]« [font=Lucida Fax]Moi non plus. Je n'ai jamais trouvé la bonne personne il faut dire.[/font] » [/table]
Elle finit son verre, et se servit en eau cette fois. L'alcool contenait ce qu'on nommait des calories invisibles et finir totalement saoule ne l'intéressait guère. Elle voulait garder sa ligne et son esprit, surtout ce soir ! Elle enjoignit Helera à faire de même en lui tendant le pichet d'eau aussi claire que du cristal, geste suggérant qu'un changement de boisson serait préférable en l'état des choses. Jenna était habituée aux alcools forts, mais elle aurait parié son corset qu'Helera n'était pas du genre à boire bien souvent, surtout pas une liqueur mentholée qui montait à 45 degrés.
Le repas se finit plus ou moins dans le silence, et Jenna rappela le groom pour venir débarrasser le chariot vide. C'en était un autre, le précédent devait encore se remettre de sa mésaventure, ou bien ne voulait-il plus rien tenter dans cette chambre... Puis, Jenna fit le tour du lit, remettant sa propre chaise en place, à la main cette fois.
[table align="left" border="0"]« [font=Lucida Fax]Allez, il est temps de laisser l'heure tardive faire son office... Tu viens dormir ?[/font] » [/table]
Puis, l'air de rien, Jenna... ôta son peignoir, se retrouvant totalement nue devant Helera, ses courbes comme sorties d'une main d'un habile sculpteur, sa poitrine généreuse mais pas trop opulente tombant harmonieusement sur son torse, et, toujours l'air de rien, elle s'étira les bras très haut, et après un étirement d'une poignée de secondes, se glissa à grand renfort de courbettes sous le drap richement brodé - fait main à coup sûr - et se tourna sur l'autre côté encore inoccupé, fermant à demi les yeux. Les lumières étaient encore allumées, mais on trouvait toujours des boutons d'éclairage près des lits dans un hôtel à 1000 crédits la nuit.
[table align="left" border="0"]« [font=Lucida Fax]Allez, installe-toi et dors, tu l'as mérité...[/font] » [/table]
Et elle fit mine de s'endormir.
Jenna ne savait pas trop si elle devait se sentir flattée ou non. Visiblement, Helera semblait prête à tenter l'aventure avec elle. Oh, elle ne le regretterait pas ! Il y avait tant de choses à faire, à voir ! Mais jongler entre deux maîtres pouvait en effet relever de l'impossible. Comment pourrait-on prétendre être un bon élève pour l'un ou l'autre quand on va voir ailleurs ?
Les couples doivent se poser ce genre de question en cas d'infidélité.
[table align="left" border="0"]
C'est lui qui pourrait mal le voir, mais si tu m'affirmes qu'il ne le verra pas d'un mauvais oeil, et bien... Tu n'as qu'on mot à me dire, et je prendrais sous mon aile. Protection, argent, vie décente, moyens, et... ma compagnie.[/font] »
Jenna porta son verre à ses lèvres et fit un clin d'oeil coquin à Helera. Puis le repas léger continua un peu.
-Le riz est très bon, oui merci.
Et quand vint la question fatidique, Helera sembla un peu... interdite ? Pauvre enfant, elle a dut avoir une vie bien solitaire. D'où venait-elle ? Qui était-elle ? Une orpheline ? Une enfant enlevée ? Et par qui ? D'où venait ce sabre laser si puissant, ses émotions si fortes ? D'où venait ce visage méfiant qui trempait sous une capuche sale, et qui semblait n'avoir jamais vu de douche de sa vie ? Jenna n'avait jamais porté son regard sur les pauvres. Et en fait elle ne le ferait probablement jamais. Ce qu'elle avait gagné, elle l'avait acquis par la seule sueur de son front, au prix d'un travail dangereux où un échec signifiait la mort. Helera ne l'apitoyait pas, non, elle... l'attendrissait. Etonnant.
Etait-ce purement hormonal ou juste... sentimental ? Tu n'aimes pas cette fille. Pourtant, elle sentait qu'au delà de ses envies de partager un lit avec une jolie jeune fille, la belle inquisitrice souhaitait... autre chose.
Peut-être se réjouissait-elle d'avoir trouvé quelqu'un qui partageait un peu de sa vie. Solitude, incompréhension, méfiance... et mort. La Mort, partout...
-Non, pourquoi tu veux savoir ? Et toi ?
Jenna se racla très doucement la gorge et ramena une mèche de cheveux derrière son oreille.
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Elle finit son verre, et se servit en eau cette fois. L'alcool contenait ce qu'on nommait des calories invisibles et finir totalement saoule ne l'intéressait guère. Elle voulait garder sa ligne et son esprit, surtout ce soir ! Elle enjoignit Helera à faire de même en lui tendant le pichet d'eau aussi claire que du cristal, geste suggérant qu'un changement de boisson serait préférable en l'état des choses. Jenna était habituée aux alcools forts, mais elle aurait parié son corset qu'Helera n'était pas du genre à boire bien souvent, surtout pas une liqueur mentholée qui montait à 45 degrés.
Le repas se finit plus ou moins dans le silence, et Jenna rappela le groom pour venir débarrasser le chariot vide. C'en était un autre, le précédent devait encore se remettre de sa mésaventure, ou bien ne voulait-il plus rien tenter dans cette chambre... Puis, Jenna fit le tour du lit, remettant sa propre chaise en place, à la main cette fois.
[table align="left" border="0"]
Puis, l'air de rien, Jenna... ôta son peignoir, se retrouvant totalement nue devant Helera, ses courbes comme sorties d'une main d'un habile sculpteur, sa poitrine généreuse mais pas trop opulente tombant harmonieusement sur son torse, et, toujours l'air de rien, elle s'étira les bras très haut, et après un étirement d'une poignée de secondes, se glissa à grand renfort de courbettes sous le drap richement brodé - fait main à coup sûr - et se tourna sur l'autre côté encore inoccupé, fermant à demi les yeux. Les lumières étaient encore allumées, mais on trouvait toujours des boutons d'éclairage près des lits dans un hôtel à 1000 crédits la nuit.
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Et elle fit mine de s'endormir.
2ème Meilleur Membre 2014