L'Astre Tyran

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By Modia Sasen
#28670
Me voila de retour dans l'Armée Impérial, l'Empereurs ma affecter a un poste de Capitaine sur la Planète Karfeddion. Cette planète de moindre importance surtout connue pour ses fermes d'esclaves, dans lesquelles sont élevés des êtres de toutes espèces pour servir de force de travail gratuite et maléable est sous ma protections. Je ne compte pas rester éternellement sur cette planète, dans cette galaxie sans pitié. Il me fallait faire un nom, un nom dans ce secteur diriger par des puissante famille.

Une fois arriver sur mon nouveau lieu de travaille les lieutenant de la Garnison m'introduit dans mon nouveau environnement. Je me trouvais ici dans un Garnison parmi temps d'autre dans l'Empire mais celle ci me fessait repenser a l’époque où j'étais un soldat dans la 407ème Division de Stormtroopers basée sur Yinchorr.Une fois dans son bureau Modia dut travailler sur la paperasse habituelle. Il attendais avec impatients l'agent du Bureau de la Sécurité Impérial qui étais charger de lui indiquer les cibles probantes. Modia avais reçut ces ordres ''attendre l'arrivée sur place de l'agent du Bureau de la Sécurité avant de commencer toute opération''.
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By Harlon Astellan
#28674
A son arrivée, Modia put constater l'énorme fossé qui pouvait régner entre l'Armée de Terre et le Corps des StormTroopers. Les derniers étaient en garnison active permanente, assignés à des tâches de maintien de la paix musclées, tandis que l'Armée, elle, se mourrait.

Une navette Lambda avait été détachée à son effet, une navette qu'il partageait avec d'autres officiers en transfert sur Karfeddion. La navette était pleine, 16 officiers en tout, de divers grades, de divers corps. 5 d'entre eux allaient dans l'Armée de Terre également. 4 sergents, 1 lieutenant, et bien sûr, Modia, Capitaine. 2 sous-officiers StormTroopers se tenaient là également. Le lieutenant avait tenté de savoir pourquoi les deux StormTroopers étaient désaffectés du Nord, au lieu de se contenter de nommer deux soldats déjà sur place, mais ceux-ci n'avaient pas répondre aux ordres d'un officier de l'Armée de Terre.

On murmurrait qu'ils avaient ordonné des exécutions de masse et rétrogradés avant d'être envoyés ailleurs, leurs talents valant plus que leur mort.

Les autres étaient des Corps Régionnaux de Défense, et quelques-uns en civil qui refusaient de donner leur corps d'affectation.

A son arrivée au camp, on lui assigna une petite chambre privée dans le baraquement des officiers, dans la garnison en périphérie de la capitale de Karfeddion. La chambre avait un lit double, un bureau assez vaste, des étagères, une salle de bain privée attenante et une penderie, le tout pour un espace raisonnable de 25 mètres carré. Bien sûr, Modia restait libre de se payer un logement personnel en centre-ville si l'envie lui prenait de vouloir plus d'espace.

Un Adjudant vient accueillir les arrivants, les StormTroopers se dirigeant directement vers leurs baraquements sans lui prêter attention. Ce qui lui tira un soupir.

        « Ne faites pas attention. Ici, les StormTroopers nous snobe systématiquement. C'est dur de travailler avec eux. Heureusement, c'est plutôt calme et ce n'est pas encore nécessaire. »

Il présenta tour à tour les lieux d'entraînement, le QG, les baraquements, les lieux communs, le Mess des officiers, la cantine des soldats et sous-officiers, et, ajout récent sur impulsion d'Harlon Astellan, un petit lieu de prière, avec divers petits espaces de certaines religions, pour les soldats aux croyances natales encore fortes.

        « Il y a en tout 43 lieux de culte dans le casemate en prefab ici même. Vous pouvez aller faire des offrandes ou aller prier, mais en-dehors des heures de service. Le mess n'est accessible qu'aux officiers, en revanche la cantine est ouverte à tous. Les baraquements sont privés, et ne sont pas échangeables. Le couvre-feu marche également pour vous, sauf si vous êtes en service. A l'extérieur de la ville-garnison, vous êtes automatiquement en service.

        Vous devrez aller maintenant voir le Major en charge de cette Région, il va vous assigner vos différentes troupes.

        Bon séjour sur Karfeddion. Capitaine, Lieutenant.
        »

Un salut, les 4 sergents qui saluent leur Adjudant, et chacun put entrer dans le QG devant lequel l'Adjudant venait de stopper. Après un petit dédale de couloirs, son illustre figure apparût aux nouveaux arrivants, gratifiés comme il se devait.

        « Formidable. C'est vous les bleu-bites qu'on attendait ? Bien. »

Le Major, un homme de taille moyenne, au crâne rasé et aux yeux pétillants de malice et de cruauté les toisait d'un regard plein de mauvaiseté depuis derrière son bureau, affublé d'une projection 3D de la capitale, avec divers points lumineux. De son tiroir, il sortit diverses plaques métalliques frappées de carrés rouges et gris, le plus gros, une plaque de 5 carrés dont 3 rouges, était assurément pour Modia.

        « Modia, v'la ta plaque de capitaine. Tu auras le commandement de la 2ème Compagnie d'Infanterie de Karfeddion. C'est toi qui va gérer les patrouilles dans le quartier pauvre de la capitale. Fais gaffe, c'est un vrai merdier. »

Une pause.

        « Faudra aussi qu'tu ménages tes gars, on m'a dit qu't'allais devoir nettoyer un truc avec celle qui vient d'arriver. D'ailleurs tu peux dégager, elle t'attend dans la pièce d'à côté.

        Allez bon vent.
        »

Il continua de distribuer ses consignes tandis que Modia était conduit dans une pièce mitoyenne, où trônait une femme en tenue blanche, grade de Commissaire des Officiers au-dessus de sa poitrine au galbe ferme et volontaire.

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        « Capitaine Modia Sasen. »

Elle tendit une main, son oeil valide et son photo-récepteur rouge plantés dans ses yeux.

        « Agente 382, à votre service. Mais vous pouvez m'appeler... X. »

Il n'y avait pas de nom divulgable dans le BSI. Juste un visage et un code.

        « L'Empereur Astellan vous a assigné une tâche spéciale qui est de traquer les esclavagistes renégats, en sus de gérer les patrouilles dans le Quartier Pauvre. »

Elle croisa les bras, un sourire pincé aux lèvres.

        « J'ai un nom, pour commencer. Lars Ulrick. Un négociant en vin qui utilise ses cargos pour faire transiter des esclaves illégaux qu'il fait dresser dans des palais à esclaves clandestins. »

Elle lui tendit un datapad : nom, adresse, description.

        « Une idée sur la façon de procéder ? »
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By Modia Sasen
#28709
Une fois qu'on le conduisit dans une pièce moyenne il croisa, illuminer par son œil rouge le regard froid d'une femme en tenue blanche sans doute l'agent du BSI qu'il attendais.

        « Agente 382, à votre service. Mais vous pouvez m'appeler... X. L'Empereur Astellan vous a assigné une tâche spéciale qui est de traquer les esclavagistes renégats, en sus de gérer les patrouilles dans le Quartier Pauvre. J'ai un nom, pour commencer. Lars Ulrick. Un négociant en vin qui utilise ses cargos pour faire transiter des esclaves illégaux qu'il fait dresser dans des palais à esclaves clandestins. »

Elle lui tendit un datapad : nom, adresse, description.

        « Une idée sur la façon de procéder ? »

La façon de procéder étais claire pour Modia, il restais fidèle a sa devise "s'informer , réfléchir , agir ". Il levais ces œils du datapad est lui répliquât

« Nous allons le mettre sous surveillance 24 heures sur 24, je veux savoirs où il mange avec qui, ces proche amie et ennemis mais le plus important je veux les plans des bâtiment et connaitre le nombre de garde armée et l'endroit où son retenue les esclave illégaux. Sans c'est information aucune opération fructueuse pourras être accomplis. Procure moi ses information au plus vite. »

Modia ne voulais pas mettre ses homme inutilement en danger sans avoirs les information adéquate.
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By Harlon Astellan
#28727
L'agente fronça les sourcils après que Modia eut balancé son laïus, surtout sur un ton aussi péremptoire, sembla convenir à l'agente, avant la fin du moins.

"Procure moi ses information au plus vite."

        « Capitaine, je suis là pour m'assurer que vous faites bien votre travail, pas pour le faire à votre place. Vous n'avez aucun ordre à me donner... et surtout, qu'est-ce qui vous permet de me tutoyer ? Vous n'êtes pas Grand Moff, vous êtes un petit Capitaine, dans une petite garnison, avec un petit pouvoir, tout à votre petite vie. Alors au revoir, mon petit ! »

Elle sortit de la pièce comme une furie. Modia devait bien se rendre à l'évidence : il devrait accomplir ce travail avec ses moyens. Pas avec ceux des autres.
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By Modia Sasen
#29024
Modia avait oublié qu'il était plus un homme d'importance, il ne disposait que de moyens limiter. Retomber dans ces penser Modia savait qu'il aurait besoin d'information plus précise pour pouvoirs agir.

Avant que Modia continue ces recherches, il devait aussi s'occuper du quartier pauvre dont il était responsable. Il voulait tout d'abord s'informe sur le quartier, connaitre la population locale, ces tendances....

« Lieutenant préparer la compagnie, nous sortons patrouillé dans le quartier, je vous donne 25 minute »
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By Modia Sasen
#29313
Une fois les hommes rassembler en tenue de combat sur la place centrale, Modia savait qu'il n'avais pas a faire à des Stormtroopers. On lui avait dit que sa compagnie est composer de jeune bleusaille durement entraînes mais douloureusement inexpérimentés, la plupart ayant cru pouvoirs découvrir le monde ou partir a l'aventure.

Avant mon Départ pour Karfeddion, notre Majesté Impériale m'a demandé de saluer ses valeureux soldat et de louer leurs courage et leurs discipline....
Mais je me demande ou sont ces valeureux soldat !. Je ne vois qu'une Horde de misérables.


Un Lieutenant murmuras; Pff... Il ne nous manquais plus qu'un qui se prenne pour le divin Tarkin

Si tu as quelque chose à nous dire dit le a voix haute Lieutenant

Un homme avança vers Modia, il devais sans doute avoirs 40 ans ou plus, un veritable vétérans dans l'ombre de sa gloire passer.
On m'appelle Casse-tête parce que je dresse mes homme a coupe de tête. Ca fait un vie que je suis dans l'Armée et ce pas un blanc-bec qui me donnera des ordres. Raconte-nous plutôt pourquoi on t'a envoyé dans ce bled pourri !

J'ai l'impression que tu est qu'un gros vantard. Voyons un peu de quoi tu es réellement capable. SORS TON BLASTER ET ATTAQUE MOI, IVROGNE !
Le combat ne duras pas longtemps, le lieutenant nue que le temps de tires un fois sur le Capitaine qui lui esquivas puis enchaîna avec un crochet droit et gauche sur le lieutenant. Il ne restais plus qu'un corps immobile sur le sol. La Compagnie savais maintenant qu'on ne plaisante pas avec le capitaine Modias Sasen.

Je confirme il a une tête dure. Soldat, J'assume temporairement le role de votre instructeur. Nous sortons pour une petite promenade de 10 kilomètre. Allez Bouges vos fesses et suivez moi au pas de charge

Modias fessais doubler les exercice, et diviser les rations par deux jusqu'a ce que ces homme soit remis en état physique. Il leurs a promis que si les homme sont a nouveau en pleine forme a la fin du mois, il allais les récompenser en leurs paye leurs bière et une rations de viande fraîche.
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By Harlon Astellan
#29946
        « Putain, on n'a pas mangé depuis des semaines... »
        « Comment on peut s'entraîner si on mange rien ? »
        « On a envie d'une ration complète ! »
        « Un temps de repos aussi bon sang, on s'entraîné plus que des troupes de choc ! »
        « YOUNAMARRE ! »

Battre en retraite. Il n'y avait plus que cette solution. Le lieutenant "Casse-Tête", devenu un jeune chien fidèle auprès de Modia depuis sa raclée. Le capitaine avait bien cerné comment les dompter : en se laissant aller à une démonstration de grosses couilles. Mais diminuer les rations et doubler les exercices n'était pas au goût de tout le monde. Le mécontentement gagnait depuis peu, et Modia risquait une mutinerie au sein d'un régiment qui n'avait encore fait aucune sortie.

Abandonnant-là quelques caporaux et sergents pour gérer le tohubohu naissant, le lieutenant courut vers le bureau de Modia pour aller lui faire part de ce mécontentement.

        « Capitaine ! Je viens vous faire part d'un mécontentement ! »

Oui c'est ce que j'ai dis.

        « Les hommes commencent à fatiguer des rations appauvries et des entraînements trop rigoureux. Je crains qu'il ne faille gérer une mutinerie d'ici la fin de la soirée si on ne fait rien. »

Une suggestion.

        « Capitaine, ça fait plus d'un mois qu'on reste ici à s'entraîner. Les hommes sont prêts... Il faut leur faire couler le premier sang. Envoyez-les patrouiller, déloger les criminels, n'importe quoi... »
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