- lun. 5 nov. 2018 22:50
#34154
Maya Tega / Peur, MJ Eco
Le sénat était agité. Et partagé. Il fallait dire qu’on était dans un cas bien particulier, qui mettait une part des sénateurs dans l’embarra. On était devant un cas gênant. Une loi dont on pouvait comprendre qu’elle soit démocratique mais qui s’avérer être en parfaite opposition avec la constitution Républicaine. Pire. Elle se retrouver incroyablement proche des différents lois impériales que l’hémicycle entendait pourtant balayer. Pour certains, les reproches allaient plus à l’encontre du sénateur à cause de la décision qu’il leur imposer de prendre qu’a cause du fond de la loi lui-même. Comment se permettre une nouvelle affaire interne possiblement dévastatrice après la sortie des Colonies du Nord ? Punir Metellos, c’était prendre le risque de facturer une nouvelle fois l’unité républicaine, déjà précaire.
Alors le sénat prit une décision molle. Un ni-oui ni-non pour éviter d’accentuer les clivages déjà profonds. Et puis de toute façon, personne n’avait proposé de loi en bonne et due forme jusqu’à présent. Juste des idées lancé au vol.
Aussi on décida qu’une commission du sénat étudierait le fonctionnement de la loi pendant 6 mois et remettrez plus tard un rapport au Sénat. A ce moment-là, il trancherait dans un sens ou dans l’autre. Ou il laisserait un status quo qui arrangeait finalement tout le monde.
Une victoire pour Garcia ? Pas vraiment. Metellos passait finalement par une belle porte et son gouvernement s’était mis tout seul en position de faiblesse face au sénat. L’influence de la planète et de son sénateur au sein de l’hémicycle et des hautes sphères républicaines étaient réduites.
Résumé :
Alors le sénat prit une décision molle. Un ni-oui ni-non pour éviter d’accentuer les clivages déjà profonds. Et puis de toute façon, personne n’avait proposé de loi en bonne et due forme jusqu’à présent. Juste des idées lancé au vol.
Aussi on décida qu’une commission du sénat étudierait le fonctionnement de la loi pendant 6 mois et remettrez plus tard un rapport au Sénat. A ce moment-là, il trancherait dans un sens ou dans l’autre. Ou il laisserait un status quo qui arrangeait finalement tout le monde.
Une victoire pour Garcia ? Pas vraiment. Metellos passait finalement par une belle porte et son gouvernement s’était mis tout seul en position de faiblesse face au sénat. L’influence de la planète et de son sénateur au sein de l’hémicycle et des hautes sphères républicaines étaient réduites.
Résumé :
- Une commission de surveillance est créée pour surveiller la censure de Metellos
- Faute de loi proposée, le Sénat disposera de 6 mois pour statuer de la poursuite de la surveillance ou d’une réforme législative.
- Position des différents groupes pour une réforme future :
- Néo-Républicain : Partagé en leur propre sein entre la liberté d’entreprendre et la liberté de communication. Il exige la plus grande transparence du système métellien.
- Conservateur : Les conservateurs voient en la loi métellienne une atteinte à la liberté d’entreprendre et une attaque en règle contre l’économie des médias.
- Réactionnaire : Les réactionnaires attendent la fin de la période de surveillance pour se faire une idée précise du sujet.
- Progressistes : Les progressistes seraient favorables à la loi metellienne si elle ne ressemblait pas tant à la loi impériale…
- Extrémiste : Les extrémistes soutienne en l’état la loi metellienne.
- Démocrates : Les démocrates s’opposent totalement à la loi, plus par amour du libéralisme que par envie de démocratie.
- Metellos et son gouvernement perd en influence au Sénat.