L'Astre Tyran

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By Harlon Astellan
#21091
Avant la proclamation de la République Impériale...

Quand un ordre est donné, le protocole s'assure qu'aucune question ne se pose sur son exécution. Elle coule de source, quand un supérieur ordonne, on lui obéit.

Obéit.

5 lettres qui auront dominées la galaxie. On exécute parce qu'on "obéit". Mais quelque part, quelque fut le dirigeant, on se trouva toujours quelqu'un à qui l'on devait "obéir". Le soldat obéit au Capitaine. Le Capitaine obéit au Général. Le Général obéit au Moff. Le Moff obéit à l'Empereur. Et quand l'Empereur fut mort ? "Je ne suis pas responsable" avait dit le Moff. "Je ne suis pas responsable" avait dit le Général. "Je ne suis pas responsable" avait dit le Capitaine. "Je ne suis pas responsable" avait dit le soldat. Mais alors qui fut responsable ?

Après venait la rébellion. Celui qui refusait d'obéir ? Non. Celui qui obéissait à un autre idéal qu'il jugeait plus élevé. Et ainsi venait-on à cerner à qui l'on obéissait vraiment.

Les idéaux. Ensembles de valeurs morales qu'on définissaient et prenaient pour argent comptant. Quand se trouvent en face des gens qui réfutent votre idéal, l'idée n'est plus de l'imposer.

Mais d'en créer un autre qui sera fédérateur.

Une carte maîtresse se jouerait pour le bien impérial. Et pour cela il fallait quelqu'un qui puisse aider efficacement à la réalisation d'une tâche aussi compliquée que la création d'un idéal fédérateur. Qui devrait naître dans la cendre et le sang des innocent. Un massacre ? Non.

Bien au contraire.




Harlon n'était au courant de rien avant ce doux matin. Il ignorait même en vertu de quoi on avait bien put le prévenir. Peut-être quelque part un agent des Renseignements à qui il avait fait bonne impression - mais qui ? et comment ? - voyait en lui l'homme de la situation. Celui qui serait apte à démarrer un plan d'une ambition d'ampleur sociologique majeur. Une victoire à remporter sans le renfort d'aucune arme et d'aucune coercition. Gagner le coeur des populations sans même qu'aucun ne put se douter de la supercherie. Et qu'aucun même ne s'en offusque si supercherie fut déclarée. Car le ciel abreuverait de ses richesses quiconque suivrait la voie que l'Empire allait tracer.

A mesure que la lecture de l'ordre complet se faisait, un plan germait petit à petit dans son esprit. Une auto-congratulation naissait même avec deux secondes de décalage. Oui, un moyen clair de parvenir à ses fins plantait ses graines dans son esprit. Mais cela requérait divers moyens et diverses actions qui devraient être millimétrées. Mais Harlon se faisait confiance.

Avant tout, il envoya un message à la Consule Ysanne Isard. Hors de question de mener des opérations secrètes sans en référer à celle qui les dirigeaient. D'autant qu'il allait accomplir la chose de façon inhabituelle pour un Moff.

[table cellspacing=30 bgcolor=black][font=Lucida Console]A destination seule de la Consule Ysanne Isard,

Un contact au sein des Renseignements Impériaux m'a fait part de l'ordre de mission D&T-113_8. L'intérêt que je porte à la mission me fait prendre l'initiative de l'implanter petit à petit dans mon secteur avant de faire croître le phénomène. Le début de la mission se fera par mon seul concours. J'éditerais des rapports réguliers sur la situation.

Grand Moff Harlon Astellan, terminé.
[/font] [/table]

Harlon ignorait si les consuls Thoryn et Melius furent mis au courant de l'opération. Ayant étudié les méthodes d'Ysanne Isard, peut-être la seule qu'Harlon voyait comme une égale en politique - et c'était un compliment autant qu'une raison de s'en méfier - il jugeait qu'ils ne l'étaient pas, mais étant directrice des Renseignements, un organisme adepte du cloisonnement d'informations - raison de plus qu'il se demande qui avait pu briser un serment pour le mettre au courant - la justification se trouvait plus ou moins. Et si ils étaient au courant, Ysanne pouvait bien transmettre l'information. Et Harlon avait tourné le message de façon à ne guère être vu comme l'architecte du projet.

Puis il se mit personnellement en route pour une planète toute proche qui serait le point de départ de la religion impériale.

Nez Peron.
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By Harlon Astellan
#21135
Planète pauvre et reculée, un petit agri-monde qui ne rayonnait pas particulièrement par sa richesse, fût-elle culturelle ou financière. Les agriculteurs résidents avaient une vie "humble", appauvris par le très fort taux de prélèvement qu'imposait l'Empire d'autrefois. Le besoin en ravitaillement avait justifié ce fort taux, mais maintenant que l'Empire ne comptait plus autant de troupes, l'impôt était resté le même, alors que rien ne le justifiait. Mais cet état de fait allait grandement aider Harlon.

Pour les besoins de cette mission, il avait demandé à recevoir deux cargos banalisés des Renseignements - l'un d'eux, celui en réserve qui attendait à un saut hyperspatial de là, pouvait accueillir à son bord un Z-95 Chasseur de Tête à bord duquel il pourrait s'enfuir - et cent kilos d'or marqué du sceau de la banque impériale ( 3 millions de crédits, qui seront déduis de la fiche éco du SSH quand elle sera validée ) qui allaient contribuer au plan.

Le cargo civil se posa au sol, à la périphérie d'un village qu'Harlon avait choisit pour sa densité de population en plus de son taux de pauvreté relativement élevé. Mais de là naîtrait le projet le plus ambitieux de l'Empire en terme d'intégration insidieuse.

Harlon chaussa sa parie de lunette rondes avec montures duracier, un chapeau de feutre noir à large bords, et un complet-veston de mode classique. Tellement classique qu'aucun monde n'aurait pu en être déduit à son apparence, son habillage, ses décorations. Il aimait porter les habits traditionnels de Nouane et de Serenno, mais il était là quasiment incognito. Quasiment, en ce que son identité de Grand Moff était tue, y compris au gouverneur de la planète, mais que son ascendance noble transpirait dans ses gestes, dans ses pas, dans son regard. Non, il n'était pas là pour passer inaperçu. Il était là pour inspirer un effroi glacé, poser un regard inquisiteur sans qu'on puisse trouver pour quelle raison. Il allait être agent non du chaos, mais d'une cause qui n'avait pas de nom, épée de Damoclès vêtue de noir venue rôder dans le tranquille village de fermiers qu'était le leur.

Le jour se levait quand il se posait à une centaine de mètres de la première barrière qui cernait un potager qui contenait plus de boue que de légumes. La pluie battait au-dehors, et Harlon dut opter non pour une paire de chaussure classique mais sa paire de bottes en cuir de rancor, payée un bon millier de crédits à un artisan de la capitale sur Serenno - les mêmes que celles du compte Dooku que son père avaient taillées avait-il assuré. Elles étaient prévues à la base pour exposer discrètement une marque de richesse financière et de bon goût, mais leur imperméabilité, leur flexibilité et leur assemblage les rendant parfaitement aptes au combat et aux situation de tempête. Comme ici en soit.

S'assurant que son DL-44 était bien fixé dans son holster à la ceinture, bien en évidence, et que son allure générale était conforme à l'idée qu'il se faisait de son personnage, il prit son activateur à distance et ouvrit la rampe. La pluie martela la rampe qui se posa avec un "splash" de mauvais augure dans une flaque d'eau à la couleur peu accommodante. Puis il s'élança en tenant son chapeau à une main tandis que la rampe se refermait derrière lui, courant devant lui pour trouver un abri quelconque où il pourrait s'abriter... là, une grande bâtisse, avec une porte qui semblait ouverte et de la lumière à l'intérieur. En Aurebesh se trouvait gravé "Cantina", ce qui l'intrigua au point qu'il stoppa sa course sous la pluie avant de reprendre ses esprits et d'y aller au trot pour ne pas éclabousser de boue son pantalon. Il faillit trébucher en rentrant, une petite marche presque invisible en torchis trônant devant l'entrée. Sûrement pour que l'eau ne rentre pas. Donc ce temps était plus courant que ne pouvait le penser...

A l'intérieur se tenaient quelques tables sales et à peine plus de tabourets, la plupart des clients se tenant debout. Une estrade trônait sur la droite, avec des chaises grossières empilées les unes sur les autres dessus. La cantina devait aussi servir de salle municipale, ou quelque chose du genre.

Quand il entra, tous les regards se posèrent sur lui et les conversations stoppèrent. Les étrangers devaient être rares voire inexistant, et Harlon faisait particulièrement tâche. Tant mieux. C'était tout l'intérêt. En attirant un regard sur un faux aspect, sa vraie identité était protégée.

Du moins sauf pour une personne.

[table cellspacing=30]« Lequel d'entre vous ici fait office de dirigeant communal ? Avez-vous un chef apte à vous représenter ? » [/table]

Des regards noirs, plus perçants, mais pas un mot. Un toussotement à droite, un reniflement à gauche. Puis une voie, celle du barman de fortune :

[table cellspacing=30]« Et qui qu'vous êtes d'abord, m'sieur ? »
« Gavin Smith. Je suis percepteur des impôts. » [/table]
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By Harlon Astellan
#21196
[table cellspacing=30]« Bas dites donc mon cochon, c'est qu'vous étions bien sûr de vous d'venir comme çi vous présenter comme qu'un précepteur. »
« Percepteur. On m'a signalé une carence de versements venant de cette planète, et je suis venu régler le sujet, ainsi que recevoir des agios pour non-paiement. » [/table]

Des reniflements de mépris et des ricanements fort... paysans sourdirent de leur gorge. le barman glissa une main derrière le comptoir, posant avec désinvolture son torchon qui devait plus salir que faire briller les pots en terre cuite qui servaient de contenant, comme en guise de diversion. Le cliché du barman qui a une arme derrière le comptoir. Harlon avait lu plus d'une histoire sur ces tenanciers qui cachaient une arme à canon long à portée de main pour calmer les ardeurs, posée sur deux crochets grossiers en fer forgé, déjà chargée et prête à tirer.

Un poncif qui l'avait souvent fait sourire.

[table cellspacing=30]« Qui est votre chef ? »
« C't'y bien qu'il insisterait le coco. Et pourquoi qu'y nous dirait pas lui-même qui qu'c'est not' chef ? »
« Qui est votre chef ? »
« Et pourquoi qu'on le passerait pas dehors le monsieur ? »
« Qui est votre chef ? »
« Moi j'dis qu'on l'fiche dans la fosse à merde pour les bestiaux. »
« Oh mais vous n'en ferez rien. » [/table]

Un homme barbu, large d'épaules mais faisant une bonne tête de moins qu'Harlon s'approcha. Pour la première fois depuis son arrivée, Harlon prit peur. Il était arrivé en espérant que son numéro ferait son effet, et cela avait des chances de réussir. mais s'il s'était trompé ?

[table cellspacing=30]« Et pourquoi qu'on t'présenterait le chef au lieu de t'balancer dehors jusqu'à c'que la tempête te tue, coco bien fringué ? »
« Je suis venu percevoir des impôts que vous devez payer, qu'importe votre avis. Si en revanche je ne présente pas de rapport et des chiffres à la direction, la conclusion de ma disparition leur viendra en premier. Et vous serez les premiers à le payer.

Mais peut-être que payer le double de ce que vous nous devez et accueillir de façon permanente une garnison dans chaque ville et village vous sied-t-elle tout à fait. Auquel cas je vous en prie, procédez.
» [/table]

A voir le silence qui se dégageait de la salle, chacun réfléchissait intensément à ce qu'il venait de se dire. Puis il entendit un "clic" semblable à celui d'un chien qu'on désarme, et il vit que le barman retirait sa main de sous le comptoir. Mon dieu, ce n'était pas qu'un cliché. Il devrait étudier plusieurs autres romans de fiction à l'avenir...

Un homme fort mince et au visage buriné par le temps se leva, avec une chevelure rejetée en arrière et une barbe poivre et sel. Il devait être plus grand qu'Harlon encore, qui n'était pas un petit gabarit.

[table cellspacing=30]« Je suis le chef de ce village. On va s'retirer dans l'arrière salle. » [/table]

Harlon hocha la tête et dépassa l'homme trapu devant lui sans lui jeter un regard, conscient des dizaines d'yeux qui le suivait lui et le chef famélique. Une petite salle qui semblait servir de boudoir pour deux personnes, éclairée à la bougie et ne possédant pas de fenêtres mais un simple espace béant d'où arrivait la pluie fut présentée comme arrière-salle. Harlon refusa de s'y installer et il lui fut alors proposé - avec un sarcasme qui ne lui échappa pas - de sortir dehors et de trouver refuge chez le chef directement, ce qu'il accepta au grand dam du grand type.

Une fois mouillés et à l'abri, les deux hommes purent s'installer tranquillement sans autre oreille que celle de la femme du chef, qui leur prépara un petit repas. Harlon la trouva très aimable et accueillante et ne manqua pas de la complimenter autant que faire se put. Son repas était simple et léger, mais formidablement goûteux. Après quoi elle se retira dans leur chambre pour les laisser discuter dans le salon vétuste.

[table cellspacing=30]« Bien, maintenant pouvons-nous peut-être savoir ce qui qu'vous amène chez nous. »
« Laissez tomber votre accent paysan ridicule. Vous pouvez jouer cartes sur table avec moi. »
« Hein ? De quoi qu'vous m'parlez exactement ? »
« Vous n'êtes pas un natif de ce village ni même de ce village. Vous y êtes arrivé il y a de cela 23 ans quand vous étiez encore jeune. Etonnant que vous soyez devenu chef de village depuis... »
« Fallait quelqu'un qui pense mieux qu'les autres... mais j'vois pas l'rapport avec votre mot qu'vous avez dit juste avant. »
« Mais pourtant vous le savez très bien. Insidieusement vous vous êtes installé dans leur conscience et vous avez prit un contrôle certain sur leurs esprits. »
« Quoi ? Mais qu'est-ce qu'c'est qu'vous dites m'sieur ? »
« Mais c'est pourtant simple... » [/table]

Harlon essuya le jus de viande qui menaçait de couleur de sa bouche avant de repousser son assiette vide pour fixer intensément le chef de village au regard trop intelligent pour n'être qu'un simple péquenot.

[table cellspacing=30]« Vous n'êtes pas un simple fermier. Vous êtes un agent des Renseignements Impériaux envoyé ici par Cronal, antique chef des Renseignements et Prophète du Côté Obscur. On désignait vous et les vôtres comme des Agents Dormants.

Je ne suis pas percepteur, je suis le Grand Moff Harlon Astellan de Nouane, dirigeant du Sur-Secteur Hydien. Et je viens vous voir en ce que l'Empire a besoin de votre aide aujourd'hui.
» [/table]

Le vieil homme sembla accuser le coup assez durement... puis finalement son visage se fit d'un sérieux comme celui qu'Harlon pouvait parfois afficher. Il eut même un mouvement de recul face à une telle métamorphose, se demandant trop tard si cet indic' pouvait ne plus être fidèle depuis tout ce temps. Mais ses soupçons semblèrent s'évanouir quand l'agent reprit d'une voie qui ne trahissait plus aucun accent paysan.

[table cellspacing=30]« Et que nécessite donc l'Empire que j'ai bien pu obtenir durant mes 23 ans d'infiltration sociale ? » [/table]
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By Harlon Astellan
#21215
Au moins, l'homme mettait à bas les masques. Tant mieux, Harlon ne se sentait pas d'humeur à jouer à un jeu à la partie commencée alors qu'il était à peine pubère.

[table cellspacing=30]« Très simple. Vous avez la confiance et le coeur des habitants. Nous allons le mettre à profit. Un ordre a été donné d'assurer la pérennité de l'Empire par le biais d'une religion civile que l'Empire fera mine de ne pas contrôler. Une religion qui promet d'offrir la bonne fortune à ses croyants. En ce moment, un cargo est prêt à perdre pour 3 millions de lingots d'or marqués du sceau impérial près de ce village une fois qu'une prêche aura été donnée en faveur de cette religion.

L'idée sera d'introduire l'Empire et ses dirigeants comme le saint des saints, sans les désigner explicitement. L'idée se frayera un chemin d'elle-même dans leurs esprits. Vous serez promis à un meilleur avenir. Vous serez non plus un Agent Dormant mais un chef spirituel pour tout le Sur-Secteur Hydien.
» [/table]

L'Agent hochait ponctuellement la tête en guise d'appréciation glacée. Il paraissait peu enclin, mais semblait reconnaître une certaine folie ambitieuse à même de fonctionner avec des esprits aussi faibles que ceux des paysans.

[table cellspacing=30]« Il existe de nombreux groupes théocratiques dans la galaxie. Comment allez-vous vous démarquer ? »
« Nous offrirons des avantages ciblés stratégiquement pour faire croire à des miracles ponctuels. Des interventions divines bien placées que la nasse va prendre pour un signe venu du ciel. Nous pouvons aisément nous servir d'un exemple comme la Force et la religion Jedi pour montrer que tout est possible. »
« Ne portez... »
« Je vous interromps. Non, les Jedi ne seront pas vus comme des saints patrons mais comme des hérétiques à brûler. L'idée est d'attiser la haine des Jedi, et avec elle, celle de la Nouvelle République. »
« Alléchant... »
« Pensez-vous y arriver ? »
« Oui, les habitants de cette ville sont des faibles d'esprit. Mais être le chef spirituel du Nord n'est pas une bonne idée. »
« Expliquez-moi. »
« Pour que cela marche, il faut que votre chef religieux soit quelqu'un qui y croit. Un homme intelligent issu du peuple qui a tout gobé. Il faudra ruser comme jamais pour qu'un homme intelligent se laisse ainsi abuser, mais vous y arriverez, j'en suis certain. Tenir le rôle de propagateur me convient amplement. »
« Oui, vous dites vrai. » [/table]

L'Agent fronça les sourcils.

[table cellspacing=30]« Que dites-vous ? »
« Et bien, qu'il faudra instiller petit à petit... »
« Non non, votre dernière phrase. »
« Et bien, ma foi, que vous disiez vrai. »
« Que je dis vrai... »
« Y a-t-il un problème avec ma logorrhée ? »
« Du tout, Grand Moff. Je n'ai pas souvenir que des Grands Moffs, justement, se soient jamais pliés à écouter un simple agent. »
« Les temps ont bien changé je l'admets. Mais je ne suis ni Tigellinus ni Vador, j'accepte toutes les idées dès lors qu'elles sont bonnes. »
« Changement bienvenu j'en conviens. Bien, étant au service de l'Empire, je me ferais un devoir personnel de propager l'idée de cette Religion. Et si je puis me permettre, abrutir cette foule d'ignares sera de surcroît un plaisir tout personnel. »
« Je vous crois sur parole. Avez-vous un moyen pour vous contacter ? »
« J'ai tout un système d'antenne-relais en sous-sol. »
« Vous n'êtes donc pas si isolé que cela. »
« Oui, et vous le saviez très bien. »
« Dites-vous ? »
« Vous vous êtes présenté comme Harlon Astellan, Grand Moff du Sur-Secteur Hydien. Si j'étais coupé de la galaxie je serais resté sur l'identité de Valanaar Menias. Et vous seriez mort pour usurpation d'identité. »
« Bien vu, Agent. Vous êtes quelqu'un de rusé. »
« D'où mon métier. Mais passer à l'action est un tournant inespéré. COmment cela sera-t-il introduit ? »
« Simple. Demain à l'aube je vais m'en aller. Sans percevoir d'impôt. Vous direz que cette nuit, en songe, on vous a soufflé les mots qui me convaincraient de partir sans rien réclamer. Et aussi qu'un travail acharné pendant la semaine serait signe de bonne fortune. Faites-les travailler dur, et le cargo de contrebande va s'écraser, laissant un Z-95 s'en échapper en urgence. Vous partagerez l'or et prierez le ciel de vous avoir apporté la fortune.

Ensuite vous allez redoubler de prières, et petit à petit, les impôts vont stopper, les maigres impériaux en poste vont partir, les champs vont être discrètement semés de stimulants organiques, et le gouverneur sera prit d'un élan de générosité et faire paver les villes pleines de gadoues.

Et un jour vous allez demander à être reconnus comme religion officielle de la planète.
»
« Diabolique. »
« Êtes-vous avez nous ? »
« Plutôt deux fois qu'une... Grand Moff. » [/table]
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