- dim. 18 févr. 2018 21:01
#31766
Le Gnarvlax
Le Gnarvlax est l’art martial traditionnel Anx. Cette espèce est naturellement douée pour repérer les points névralgiques du corps des autres espèces, ce qui en fait de très bons masseurs, des médecins et chirurgiens compétents et de redoutables combattants.
Pour les autres races, il est tout à fait possible de commencer à apprendre cette forme de combat de la culture Anx. Cependant, peu y sont arrivés, car cela requiert un professeur Anx, qui enseignera les points réguliers à ses élèves. Un travail de mémorisation pallie donc à cette absence de clairvoyance en matière de discernement des flux nerveux et des flux d’énergoe. Cependant, les corps de chaque individu au sein d’une même espèce sont différents, c’est pour cette raison que le Gnarvlax ne pourra être utilisé à son maximum que par quelqu’un capable de situer précisément les faiblesses du métabolisme de son adversaire.
Il est courant de voir des pratiquants utilisés des auguilles afin de prolonger les effets d’une interruption de fluides sur leurs patients, leurs clients ou leurs adversaires.
I. Gnarvlax Etus
Le Gnavlax Etus est la première branche, car elle est la plus facile à maîtriser et également la moins risquée pour le patient. C’est celle qui permet de situer précisément les points avec le sens du toucher et l’ouïe particulièrement adaptée des Anx, qui capte des fréquences sous la perception moyenne. Il n’y aucun doute que tout Anx qui se respecte arrivera à détendre n’importe quel individu, à la condition que ce dernier accepte de se laisser totalement manipuler par son masseur.
C’est la première branche qui est généralement enseignée. L’expérience de massages des différentes espèces intelligentes de la galaxie permet effectivement à l’initié d’acquérir les compétences pour pouvoir évoluer au sein des deux autres branches.
Correspond au niveau initié de la forme de combat.
II. Gnarvlax Kar
La branche du combat. Dans des corps à corps, la connaissance des faiblesses ou des forces du corps de l’adversaire est primordiale. Il est courant que les Anx se servent de leur don naturel pour entraver un adversaire en le privant de ses sens par exemple.
L’Art du Gnarvlax Kar ne s’arrête cependant pas là. À l’aide de pression soudaine et répétée, les flux circulant dans un corps peuvent être très perturbés, entraînant l’immobilisation momentanée d’un membre, d’un sens, parfois d’un mouvement. À cette connaissance des points d’entrave sont associées des techniques de combat. Dans un premier temps, des enchaînements permettant d’accéder à des points difficiles d’accès. Dans un deuxième temps, des défenses pour éviter que l’adversaire n’ait accès à ces mêmes points. Un troisième temps est ensuite consacré, pour les plus assidus et les plus émérites, aux points reliés, aux conséquences de l’entrave de plusieurs parties du corps, et aux techniques mortelles.
Correspond au niveaux Pratiqué de la forme de combat
III. Gnarvlax Kut
Cette dernière branche est apprise en parallèle du Kar, et après l’Etus. C’est principalement une discipline qui repose sur la connaissance des applications, négatives ou positives, de l’Etus et du Kar. Plus tard, la partie « combat » du Kar a été oubliée, partant du principe que l’individu sur le brancard se laisse faire pour être soigné. Voilà donc une science au service du bien-être. Un complément à la médecine. Bien que les maître en Kut puissent parfois guérir des maladies rien qu’en manipulant leurs patients régulièrement, certains maux sont trop importants et nécessitent une médication. C’est pour cette raison que le Gnarvlax Kut est utilisé en prévention et en complément de la médecine telle que nous la connaissons.
Les applications sont multiples : atténuation d’intoxication, agir sur la douleur, soigner des paralysies ou des problèmes moteurs, détruire des parasites, réactiver des points d’énergie positives, ou diminuer des points d’énergie négatives, etc. Les recherches sont en perpétuelles développement, et n’ont parfois comme limite que celles de l’imagination des pratiquants du Gnarvlax Kut.
Une nouvelle discipline du Kut a vu le jour également sur la stabilisation des patients lors d’opérations chirurgicales. Les Anx médecins ont obligatoirement une formation, le plus souvent très avancée, sur les principes et la pratique du Kut. Savoir situer des points d’intérêts non connus de la médecine et non décelable par les appareils modernes est un avantage par rapport à la chirurgie opératoire assistée. En particulier sur des patients dit « à risque ». C’est pour cette raison qu’il n’est pas rare de voir des Anx dans des cliniques spécialisées.
Correspond au niveau Maîtrisé de la forme de combat.
Le Gnarvlax est l’art martial traditionnel Anx. Cette espèce est naturellement douée pour repérer les points névralgiques du corps des autres espèces, ce qui en fait de très bons masseurs, des médecins et chirurgiens compétents et de redoutables combattants.
Pour les autres races, il est tout à fait possible de commencer à apprendre cette forme de combat de la culture Anx. Cependant, peu y sont arrivés, car cela requiert un professeur Anx, qui enseignera les points réguliers à ses élèves. Un travail de mémorisation pallie donc à cette absence de clairvoyance en matière de discernement des flux nerveux et des flux d’énergoe. Cependant, les corps de chaque individu au sein d’une même espèce sont différents, c’est pour cette raison que le Gnarvlax ne pourra être utilisé à son maximum que par quelqu’un capable de situer précisément les faiblesses du métabolisme de son adversaire.
Il est courant de voir des pratiquants utilisés des auguilles afin de prolonger les effets d’une interruption de fluides sur leurs patients, leurs clients ou leurs adversaires.
I. Gnarvlax Etus
Le Gnavlax Etus est la première branche, car elle est la plus facile à maîtriser et également la moins risquée pour le patient. C’est celle qui permet de situer précisément les points avec le sens du toucher et l’ouïe particulièrement adaptée des Anx, qui capte des fréquences sous la perception moyenne. Il n’y aucun doute que tout Anx qui se respecte arrivera à détendre n’importe quel individu, à la condition que ce dernier accepte de se laisser totalement manipuler par son masseur.
C’est la première branche qui est généralement enseignée. L’expérience de massages des différentes espèces intelligentes de la galaxie permet effectivement à l’initié d’acquérir les compétences pour pouvoir évoluer au sein des deux autres branches.
Correspond au niveau initié de la forme de combat.
II. Gnarvlax Kar
La branche du combat. Dans des corps à corps, la connaissance des faiblesses ou des forces du corps de l’adversaire est primordiale. Il est courant que les Anx se servent de leur don naturel pour entraver un adversaire en le privant de ses sens par exemple.
L’Art du Gnarvlax Kar ne s’arrête cependant pas là. À l’aide de pression soudaine et répétée, les flux circulant dans un corps peuvent être très perturbés, entraînant l’immobilisation momentanée d’un membre, d’un sens, parfois d’un mouvement. À cette connaissance des points d’entrave sont associées des techniques de combat. Dans un premier temps, des enchaînements permettant d’accéder à des points difficiles d’accès. Dans un deuxième temps, des défenses pour éviter que l’adversaire n’ait accès à ces mêmes points. Un troisième temps est ensuite consacré, pour les plus assidus et les plus émérites, aux points reliés, aux conséquences de l’entrave de plusieurs parties du corps, et aux techniques mortelles.
Correspond au niveaux Pratiqué de la forme de combat
III. Gnarvlax Kut
Cette dernière branche est apprise en parallèle du Kar, et après l’Etus. C’est principalement une discipline qui repose sur la connaissance des applications, négatives ou positives, de l’Etus et du Kar. Plus tard, la partie « combat » du Kar a été oubliée, partant du principe que l’individu sur le brancard se laisse faire pour être soigné. Voilà donc une science au service du bien-être. Un complément à la médecine. Bien que les maître en Kut puissent parfois guérir des maladies rien qu’en manipulant leurs patients régulièrement, certains maux sont trop importants et nécessitent une médication. C’est pour cette raison que le Gnarvlax Kut est utilisé en prévention et en complément de la médecine telle que nous la connaissons.
Les applications sont multiples : atténuation d’intoxication, agir sur la douleur, soigner des paralysies ou des problèmes moteurs, détruire des parasites, réactiver des points d’énergie positives, ou diminuer des points d’énergie négatives, etc. Les recherches sont en perpétuelles développement, et n’ont parfois comme limite que celles de l’imagination des pratiquants du Gnarvlax Kut.
Une nouvelle discipline du Kut a vu le jour également sur la stabilisation des patients lors d’opérations chirurgicales. Les Anx médecins ont obligatoirement une formation, le plus souvent très avancée, sur les principes et la pratique du Kut. Savoir situer des points d’intérêts non connus de la médecine et non décelable par les appareils modernes est un avantage par rapport à la chirurgie opératoire assistée. En particulier sur des patients dit « à risque ». C’est pour cette raison qu’il n’est pas rare de voir des Anx dans des cliniques spécialisées.
Correspond au niveau Maîtrisé de la forme de combat.
Il n'y a pas d'émotion, il y a la paix.
Il n'y a pas d'ignorance, il y a la connaissance.
Il n'y a pas de passion, il y a la sérénité.
Il n'y a pas de chaos, il y a l'harmonie.
Il n'y a pas de mort, il y a la Force.
Il n'y a pas d'ignorance, il y a la connaissance.
Il n'y a pas de passion, il y a la sérénité.
Il n'y a pas de chaos, il y a l'harmonie.
Il n'y a pas de mort, il y a la Force.