- jeu. 10 mai 2018 11:04
#32659
« Non, ne saute pas ! »
Helera le retint par les bras, alors même qu’il n’y avait pas vraiment de dangers dans leur petit appartement de pierre. Si elle se trompait, autant qu’elle saute avec lui. Non, c’était une idée purement stupide. Non non. Le mieux à faire était encore de se connecter l’un à l’autre afin d’avoir un meilleur aperçu de ce qu’il se passait dans leur tête respective. Tout était question de point de vu, et peut-être trouverait-elle des réponses dans son esprit, tout comme il pourrait peut-être apercevoir les souvenirs qui lui ont été enlevés dans le sien. Si tant est que cela en était le cas. Helera ne voulait cependant pas perdre trop de temps et l’aida grandement dans la manœuvre, accrochant solidement son esprit au sien. Ainsi, c’était une première chose de faite. Puis, la demande de la demande. Helera y glissa un sourire puis se retira lentement de son contact. Leurs mains furent le dernier contact, tandis qu’Althar glissa jusq’au sol, à l’image de ces preux chevalier venus délivrer la princesse. Il n’y avait cependant personne a délivré, et encore moins de princesse. Juste une reine un peu perdue, qui avait besoin de ressentir encore une l’amour de son chevalier. Quelque part, au fond d’elle, il y eu comme une boule au ventre. Une sorte de tension qui s’était installé. Pourtant elle n’avait pas particulièrement peur, ni même n’avait envie de quoi que ce soit. Peut être que c’était simplement la solenélité de l’instant, l’attente du discours, des mots employés. Toute la symbolique derrière cet acte.
Alors elle écouta, avec simplement une esquisse de sourire sur le coin des lèvres. Elle écouta et les yeux dans les siens ne fit pas un commentaire sur ses paroles, même si elle aurait pu le réprimander pour avoir écorché le nom de leurs enfants. Elle ne bougea pas et enregistra toutes ces paroles. Puisque ce jour se devait d’être révécu, autant que la magie soit de nouveau déployée. Autant que l’amour de ce moment perdure à travers les plans. D’aucun trouvait niait le fait que deux personnes puissent s’aimer, et surtout puissent se le montrer en public. D’aucun pensait que l’amour devait rester secret, devait être une façade. Ces gens là bien souvent n’avait surtout pas la foi, pas la confiance ni même la volonté de s’abandonner à l’autre. De s’abandonner à des codes enfantins qui n’auront de signification que pour eux. Par peur du jugement, peur du regard méprisant. Mais le bonheur, s’il devait exister, ne s’écrivait pas dans la communauté. Elle s’écrivait à deux. Et un prince à genoux, tenant la main de sa reine émue, n’était que la démonstration la plus parfaite de ce qu’un amour en duo et de confiance voulait dire. Peut-être était-ce utopique, mais la beauté de la relation était là.
« Althar Fanrel Keto, je le veux. Je veux que tu sois le roi de Nelvaan à mes côtés. Je veux être la princesse de Têta aux tiens. Je veux être ta femme dans la galaxie. La mère de tes enfants. Notre famille … »
Elle le tira lentement jusqu’à ce qu’il arrive à son niveau et l’embrassa pendant de longue minute. Mais leurs esprits étant liés, le tilt qui s’y produisit résonna également chez elle. Il l’abandonna aussi vite et revint avec une peau de bantha des plus rustiques qu’il enroula autour de ses épaules. Il s’en servit comme levier et elle se laissa tomber sur lui pour un nouveau baiser. Encore une fois, fiancés.
« J’étais paniquée, te moque pas. Je le suis toujours un peu, mais ça va mieux. »
Elle glissa un baiser dans son cou et se retourna face à la fenêtre, pivotant sur son centre, sans s’enlever du contact princier et de cette peau de bantha qui l’enserrait contre lui. Elle attrapa ses mains et les enroula dans les siennes, sur son ventre. La tête du prince sur son épaule, les deux regardant au dehors, la tempête. Nouveau silence, nouvelle réflexion. Rien n’était terminée et l’appartée somme toute magnifique se devait d’être fermée.
« Il y a une tempête … Peut-être que je peux l’enlever pour nous frayer un passage jusque dans les hauteurs ? Ou alors créer une sphère autour d’un vaisseau de transport qui nous y amenerait. Peut-être pourrions nous trouver des indices, je ne sais pas … Je ne supporte pas de ne pas savoir. »
Quoi que le Prince décide, ils allaient se mettre en route. La vérité n’attendait qu’à être découverte, après tout.
Helera le retint par les bras, alors même qu’il n’y avait pas vraiment de dangers dans leur petit appartement de pierre. Si elle se trompait, autant qu’elle saute avec lui. Non, c’était une idée purement stupide. Non non. Le mieux à faire était encore de se connecter l’un à l’autre afin d’avoir un meilleur aperçu de ce qu’il se passait dans leur tête respective. Tout était question de point de vu, et peut-être trouverait-elle des réponses dans son esprit, tout comme il pourrait peut-être apercevoir les souvenirs qui lui ont été enlevés dans le sien. Si tant est que cela en était le cas. Helera ne voulait cependant pas perdre trop de temps et l’aida grandement dans la manœuvre, accrochant solidement son esprit au sien. Ainsi, c’était une première chose de faite. Puis, la demande de la demande. Helera y glissa un sourire puis se retira lentement de son contact. Leurs mains furent le dernier contact, tandis qu’Althar glissa jusq’au sol, à l’image de ces preux chevalier venus délivrer la princesse. Il n’y avait cependant personne a délivré, et encore moins de princesse. Juste une reine un peu perdue, qui avait besoin de ressentir encore une l’amour de son chevalier. Quelque part, au fond d’elle, il y eu comme une boule au ventre. Une sorte de tension qui s’était installé. Pourtant elle n’avait pas particulièrement peur, ni même n’avait envie de quoi que ce soit. Peut être que c’était simplement la solenélité de l’instant, l’attente du discours, des mots employés. Toute la symbolique derrière cet acte.
Alors elle écouta, avec simplement une esquisse de sourire sur le coin des lèvres. Elle écouta et les yeux dans les siens ne fit pas un commentaire sur ses paroles, même si elle aurait pu le réprimander pour avoir écorché le nom de leurs enfants. Elle ne bougea pas et enregistra toutes ces paroles. Puisque ce jour se devait d’être révécu, autant que la magie soit de nouveau déployée. Autant que l’amour de ce moment perdure à travers les plans. D’aucun trouvait niait le fait que deux personnes puissent s’aimer, et surtout puissent se le montrer en public. D’aucun pensait que l’amour devait rester secret, devait être une façade. Ces gens là bien souvent n’avait surtout pas la foi, pas la confiance ni même la volonté de s’abandonner à l’autre. De s’abandonner à des codes enfantins qui n’auront de signification que pour eux. Par peur du jugement, peur du regard méprisant. Mais le bonheur, s’il devait exister, ne s’écrivait pas dans la communauté. Elle s’écrivait à deux. Et un prince à genoux, tenant la main de sa reine émue, n’était que la démonstration la plus parfaite de ce qu’un amour en duo et de confiance voulait dire. Peut-être était-ce utopique, mais la beauté de la relation était là.
« Althar Fanrel Keto, je le veux. Je veux que tu sois le roi de Nelvaan à mes côtés. Je veux être la princesse de Têta aux tiens. Je veux être ta femme dans la galaxie. La mère de tes enfants. Notre famille … »
Elle le tira lentement jusqu’à ce qu’il arrive à son niveau et l’embrassa pendant de longue minute. Mais leurs esprits étant liés, le tilt qui s’y produisit résonna également chez elle. Il l’abandonna aussi vite et revint avec une peau de bantha des plus rustiques qu’il enroula autour de ses épaules. Il s’en servit comme levier et elle se laissa tomber sur lui pour un nouveau baiser. Encore une fois, fiancés.
« J’étais paniquée, te moque pas. Je le suis toujours un peu, mais ça va mieux. »
Elle glissa un baiser dans son cou et se retourna face à la fenêtre, pivotant sur son centre, sans s’enlever du contact princier et de cette peau de bantha qui l’enserrait contre lui. Elle attrapa ses mains et les enroula dans les siennes, sur son ventre. La tête du prince sur son épaule, les deux regardant au dehors, la tempête. Nouveau silence, nouvelle réflexion. Rien n’était terminée et l’appartée somme toute magnifique se devait d’être fermée.
« Il y a une tempête … Peut-être que je peux l’enlever pour nous frayer un passage jusque dans les hauteurs ? Ou alors créer une sphère autour d’un vaisseau de transport qui nous y amenerait. Peut-être pourrions nous trouver des indices, je ne sais pas … Je ne supporte pas de ne pas savoir. »
Quoi que le Prince décide, ils allaient se mettre en route. La vérité n’attendait qu’à être découverte, après tout.