L'Astre Tyran

StarWars Online Roleplay Cliquez ici pour voir l'intro...

Image

Monde glacé battu par les tempêtes de neige, la planète abrite aujourd'hui un mélange de Nelvaaniens et de colons issus de l'Ordre Gris. En effet, malgré son éloignement des grandes lignes hyper-spatiales, Nelvaan est aujourd'hui la capitale d'une jeune et discrète monarchie en expansion dans la Bordure Extérieure.
Gouvernement : De Jure Empire - De Facto Neutre
Avatar de l’utilisateur
By Helera Kor'rial
#33772
Ambiance


Tout avait commencé il y a un jour et une nuit. Par le tremblement des montagnes bleues et l’affaissement des sommets. D’énormes nuages s’étaient alors levés pour envahir la voute du bassin, la plongeant alors dans le crépuscule. Des hordes d’oiseaux, des rongeurs et même des troupeaux entiers de Bantha avaient alors fuit la forêt en masse. Passant à travers les villes et villages sans se soucier du danger que représentaient le peuple. Des vents violents s’étaient alors levés, emportant avec eux des cascades de brouillard. Comme un raz de marrés, il s’était déversé dans le bassin. Comme une seule entité, avait tout recouvert. Le ciel s’était alors mit à gronder sa colère et la lumière céleste avait percuté le sol à plusieurs endroits, laissant les stigmates sur le sol. Il était apparu dans les heures qui avaient suivi.
D’abord tous les scanners s’étaient affolés, comme s’ils avaient été détériorés, affichant des données incohérentes. La forêt avait tremblé et chaque arbre s’était plié à sa volonté sous sa marche impériale. Des bruissements étaient remontés, des craquements, toute la souffrance d’une forêt mourante. C’était à l’aube de cette journée qu’il était apparu. Enorme, noir aux veines bleus, paré de sa couronne d’os. Un horax, le roi des Horax, dans la pleine force de l’âge, massif et terriblement oppressant. Dont le regard primal faisait fondre les ardeurs et liquéfier les muscles des jambes. Il avait alors hurlé ces trois rugissements.

« OOOOooooooh …. OOOOOOoooooooh …. WAAAARRRGHHhhh …. »

Le temps s’était alors arrêté pendant quelques secondes. Un instant de silence pesant qui sur le village avait posé ses entraves. Les regards s’étaient alors tournés vers le château. L’immense bâtisse de pierre assez imposante pour lui faire face. Les murailles avaient beau s’être remplies d’une armée de visage implacable aux canines acérées, soutenus par d’immenses tourelles de défense. Les escouades avaient beau s’être rassemblés pour lui faire face… tous savaient qu’ils n’étaient là que pour une chose …

« C’est pour toi. »

Le regard bleuté du loup se posa sur celui de sa reine. Cette dernière ne répondit pas tout de suite, ajustant sa ceinture à fleur de peau, sur lequel reposait la relique de commandement. L’arme prodigieuse forgée par le peuple.

« Je sais. Et j’irai à sa rencontre. »

Le chaman poussa une complainte mi muette. Il regarda par la fenêtre rapidement et fit claquer son bâton sur le sol. Tous l’attendaient déjà, et il savait qu’aucune de ses paroles ne serviraient à la faire changer d’avis. Il savait que la Grande Mère l’avait choisi pour les protéger, pour ce genre de moment. Mais pour autant, il y avait en lui cette forme de culpabilité qui le laissait sans voix. Une forme peut-être de tendresse envers cette jeune personne qui n’était même pas de sa race et qui pourtant choisissait volontairement d’aller à l’avant du plus grand danger qui pouvait exister sur la planète. Il posa son bâton sur le côté d’un mur, peut-être pour la première fois, et se dirigea derrière elle. Il l’aida à ajuster l’armure en l’attachant vigoureusement dans son dos. Les lanières dans les sangles, serrés le plus possible. Une peau de métal qui devrait lui éviter de rejoindre trop vite ses ancêtres. Il ajusta sur ses hanches les mailles de fer et dans un silence tout aussi religieux se plaça à ses côtés. Il échangea de nouveau un regard avec elle.

« Tu es prête, Reine. »

« Je suis prête », lui répondit-elle.

La porte s’ouvrit sur la lumière de la neige, puis baissa d’intensité soudainement pour s’ajuster à la pénombre ambiante. Le village était à l’arrêt. Tous les regards se tournèrent vers elle, les gardes tempêtes, les maraudeurs, les chevaliers, les chasseurs, les éleveurs. La reine les enveloppa de son regard et d’un unique mouvement de la tête les emplirent tous de la fierté, de l’honneur et du courage. Le courage de continuer, même si elle venait à y perdre la vie. Le vieux chaman se demanda alors s’il allait pouvoir se remettre de sa perte, si jamais elle venait à être effective aujourd’hui. Il se demanda si son frère pourrait la remplacer dans le rôle qui l’incombait ? Si son mari serait à même de guider les armées sans porter le deuil ? Il la regarda avancer dans l’assemblée qui s’écartait au fur et à mesure. Un poing sur le cœur à son passage et la tête baissée. Elle creusait le sillon dans un silence monacal. C’était son destin, c’était son rôle, c’était la Force, l’Orek, la Grande Mère. La plus pure représentation de leur déesse, le chasseur Alpha de la meute, défiant le roi Horax dans un combat singulier. Car elle était la seule à pouvoir le défaire. Elle était la seule à pouvoir trouver la faille dans le cuir épais du gardien, dont même les tirs de tourelles ne pouvaient altérer la solidité.

La reine, la première, l’unique se dirigea vers les portes d’enceintes, traversant le village de huttes et de bâtisses de pierre. Le grand chaman la suivait tranquillement, et peut-être la poussière s’était infiltrée dans son œil. Quand il s’arrêta à la lisière de la ville, et qu’il la regarda s’éloigner seule au loin, se dirigeant dans l’obscurité vers la masse titanesque, il ne put s’empêcher de détourner le regard, et peut-être essuyer l’humidité de sa honte.
Avatar de l’utilisateur
By Helera Kor'rial
#33789
La bête immense, le monstre surnaturel, lui faisait face. De sa dizaine de mètres de hauteurs, il la fixait avec deux yeux rougeâtres. Deux yeux qui luisaient à travers les volutes de fumée. Dans la pénombre, son corps massif se dissimulait, pour autant, on ne pouvait que supposer la taille. Supposer la masse qui sur la plaine faisait tâche. Là n’était pas sa place. Le gardien n’était pas dans sa zone de prédilection. Le roi des montagnes était désormais descendu pour demander son duel. Helera s’approchait lentement, ne détournant pas le regard de son adversaire. Derrière elle, il y avait tout un peuple qui attendait d’elle la victoire ou la mort. Aucune alternative possible. Il n’y avait que beaucoup moins d’honneur … de fierté, dès lors qu’elle s’approchait. Si elle avait pu se terrer dans un coin, sous la neige, elle l’aurait probablement fait. Attendant que l’orage passe. Ses mains tremblaient, mélange d’excitation et d’appréhension. Les éclairs éclatèrent çà et là autour d’elle et à chaque impact tonitruant elle crut que son cœur allait lâcher. Les brumes s’apaisaient au fur et à mesure de sa progression et elle put distinguer la carapace qui lui servait de protection. Un cuir bleu épais, craquelés à divers endroit, soulignant alors des combats dans les montagnes, contre ses congénères ou contre la roche elle-même. Ses défenses étaient abimées en leur extrémité, mais toujours aussi épaisses et menaçantes. Elles faisaient trois à quatre fois sa taille au bas mot, et d’un seul coup serait déchiquetée. Sa queue balayait le sol et faisait tourner la fumée du ciel en vortex qui s’évanouissaient dans le crépuscule. L’horax se redressa, aussi rapidement que lui permettait sa taille. L’orage accompagna son changement de position. La reine arriva à son niveau, mais toujours assez loin pour ne pas être surprise. La tête levée, son regard bleuté allant d’un œil à l’autre. Un grognement sourd s’échappa du roi, faisant trembler la neige à proximité. La reine avait l’impression que son corps allait se craqueler sous la pression.

A travers le vent, les éclairs, la tempête qui les entourait, elle lui hurla.

« Je ne veux pas te combattre ! »

Elle rapprocha son esprit de la présence primale. A tatillons, elle préféra jouer la sécurité face à cet esprit probablement plus vieux que dix générations de Nelvaanien. Il y avait en lui la force et la vigueur de l’âge. Il y avait également un grondement si ancien et si primaire qu’il en était indéchiffrable. Jamais elle n’avait eu l’occasion de parler à si archaïque. Toutes les émotions qui lui furent envoyées n’avaient aucun sens. L’horax s’abaissa lentement vers elle, approchant son immense tête de son petit corps. Helera se mit sur ses gardes, une main vers le sabre. L’horax grogna et accrocha son esprit au sien, sans vraiment prévenir de son attaque mental. Toutes les barrières levées furent fracassées dans la seconde et la créature lui montra l’image d’un autre horax. Un vieil horax, tombé d’une montagne. Précipité dans le vide, assassiné par un petit être aux cheveux blancs et à la peau sans poil. La vision la déstabilisa par la puissance du message. C’était comme écouter de la musique avec le volume au maximum. Genoux à terre, c’est la reine qui grogna à son tour. Elle leva la main vers lui et ferma les yeux, niant l’évident danger que représentait son action future.

« C’est tout ce que tu recherches ? La vengeance ne t’apportera rien ! Tu dois protéger Nelvaan, pas chercher à la précipiter dans le chaos. »

Le message ainsi envoyé, la créature patienta quelques instants pendant un instant de cours réflexion. Ses yeux rouges devinrent petit traits sur son visage. S’en suivit le rugissement, semblable à un coup de turbolaser, et une patte qui s’écrase là où elle se trouvait quelques instants auparavant. Helera avait sauté en arrière en dégainant son arme. Dans la neige, un genou à terre, elle jura.

« Tu veux jouer à la guerre ? La Grande Mère m’en soit témoin, tu échoueras tant que je serai là. »

Helera prit appuie sur sa jambe et courut dans la direction de la patte qui dans le sol était solidement plantée. La seule résolution qu’elle avait en tête fut de redonner à cette horax le chemin qui lui était destiné. La Reine commandait, par la volonté de la Grande Mère, et le Gardien par son acte de défiance prouvait qu’il avait besoin d’être remis à sa place. C’était soit elle arrivait à le repousser, voir le détruire, soit c’était toute la société Nelvaanienne qui était en danger. Le combat pour la sauvegarde de Tynkila venait alors de débuter.


Avatar de l’utilisateur
By Helera Kor'rial
#33795
Un saut sur la patte qui s’éleva dans les airs. L’orage frappa de toute sa puissance contre la terre mise à nue. La détonation aveuglante recouvrit un instant le paysage. La reine ne s’était pas arrêtée et avait atteint l’avant-bras. Elle dû s’arrêter quand une mâchoire claqua devant son visage. Puis l’énorme tête qui se dirigea vers elle pour la gober d’un coup. Elle attendit, elle attendit … Puis … s’agrippa à la défense avant d’être écrasée. L’horax se releva de toute sa hauteur et hurla de nouveau, le son était insupportable et le vent produit par son souffle manqua de la précipiter dans le vide. Les ténèbres s’étaient davantage emparées du ciel, tandis que la lame blanche virevoltait sur la corne d’ivoire. Un premier saut, puis un deuxième, elle se retrouva sur le pique et avant que la patte ne la fauche, se faufila entre deux doigts et sur le crane. Plus ou moins stable, elle hurla :

« Arrête de te battre ! »

Aucun arrêt pour autant, l’horax se laissa tomber à quatre pattes, produisant un choc qu’elle dû anticiper. Sabre toujours en main, elle avait le pouvoir de le tuer sur le cou, mais ne pouvait s’y résoudre. Un gardien, même s’il s’était détourné du droit chemin, ne devait être tué.

« SHAAAAAAAA GAHHHAARR OORGGHH ! »

« Shagah Arhohg », qui se traduisait par assassin, ou par régicide. Celui qui tue le chef, le père de tout, la figure dominatrice. La tête se secoua dans tous les sens, la reine chuta contre le cuir et plaça ses mains dans les aspérités de la peau pour tenir en place. La gravité changea. Ses jambes se mirent à s’envoler et un regard en arrière lui indiqua que le sol était un peu trop proche. Elle jura et se servit de son sabre pour escalader la moelle épinière de l’animal le plus vite possible. La tête du monstre heurta le sol violemment. Elle fut déjà assez loin pour éviter de devenir crêpe, mais pas assez pour ne pas être éjectée. La reine chétive heurta le sol avec violence et en eut le souffle coupée. Elle se contorsionna de douleur, la tête du monstre seulement à quelques mètres, enfoncée dans la neige. En dessous, le sol se mit à trembler. Haletante, Helera comprit trop tard, l’horax leva la tête et elle fut propulsée dans les airs sur plusieurs mètres, avant de retomber de nouveau dans la neige. Sa tête tournait. Son diaphragme sous le choc refusait de fonctionner normalement. Elle se mit à quatre pattes, les bras tremblants. Le corps de la reine n’était plus fragilisé par la naissance de sa descendance, mais plutôt par le manque d’entraînement et par les trop nombreux chocs soudain. La neige blanche se nimba de petits cercles rouges. Elle toucha le bord de sa tête, c’était chaud et rouge …

Elle hocha la tête négativement. Cela commençait à bien faire. Le regard bleu de la reine se tourna vers le gardien. Il attendait en position offensive, prêt à charger. Lentement et non sans mal, elle se remit sur ses pieds et serra les poings. Puisqu’il voulait se battre … Elle puisa dans les flux de la Force, demandant à la Grande Mère de lui prêter de son pouvoir. Son cœur accéléra au fur et à mesure que les flux la traversaient, l’emplissant du goût de la bataille. Les tambours de guerre vibrèrent, boum boum, boum boum et sonnèrent jusqu’à ses tempes. Ses iris s’entourèrent d’une zone blanchâtre, prenant position jusqu’à la pupille. Elle attrapa son sabre laissé dans la neige et le remit à sa ceinture. La reine leva alors les mains au ciel, sans perdre de vue le monstre. Comment le pouvait-elle ? Le ciel au-dessus d’elle se contorsionna, tournoya. Les nuages noirs crièrent dans le ciel, hurlant à travers ce paysage apocalyptique. Les bras de la reine répondirent à cet appel et s’entourèrent de petits arcs. Ils crépitèrent, léchant sa peau jusqu’à en brûler le terme. Tout cela n’était qu’une question de physique. Et elle connaissait son sujet. L’horax leva la tête au ciel et rugit tout en la chargeant. Le sol trembla sous sa marche, assez pour la faire tomber. Mais la reine était trop concentrée et surtout accrochée au ciel. La créature s’approcha, le ciel tourbillonna, le vent déjà violent devint tempête et un unique coup résonna. Une lance blanche venue du ciel, déchirant tous les éléments en même temps, frappant la créature sur le flanc. La violence de l’impact éclata à des kilomètres à la ronde. L’horax en pleine course tomba sur le côté et glissa tout en arrachant une partie du sol, creusant un sillon.

« J’ai dit, calme toi ! »


Avatar de l’utilisateur
By Helera Kor'rial
#33797
La créature à terre, Helera haletante, les épaules en arrière, elle donnait l’impression d’être une sorte de goule, un monstre sans aucun contrôle. Une bête assoiffée de destruction. Pour autant, elle était toujours maîtresse de tout. D’un rapide coup d’œil, elle repéra la blessure dans la créature qui avait roussi simplement la zone. C’est davantage l’impact qui lui avait causé du tort. Etalée de tout son long, elle frappa le sol de sa patte plusieurs fois, grattant la neige jusqu’à la terre qui la retenait. Helera se déplaça au niveau de sa tête allongée contre le sol.

« Je ne suis pas ton ennemie ! L’horax que j’ai tué était fou ! »

La simple évocation sembla mettre l’animal hors de lui. Sa queue claqua contre le sol et trop rapidement, elle leva de nouveau sa lourde patte griffue pour l’abattre sur elle. Helera avait de nouveau reculée, mais la masse s’abattit néanmoins sur elle. De la poudreuse s’évapora dans tous les sens. La créature grogna et ses yeux rouges restèrent plantés sur son membre assassin qui tremblait. Elle se redressa tout en maintenant la pression à cet endroit précis. La main fut alors déplacée, brutalement, mais pas par elle. Helera toujours en dessous, les muscles gonflés et la Force qui s’agitait autour d’elle. L’horax essaya de nouveau de l’écraser et de nouveau elle retint l’énorme patte qui se figea en l’air. La reine plia le genou sous la force exercée. La main se leva une nouvelle fois pour s’écraser. A chaque coup, laissant la reine de plus en plus démunie. Tandis qu’elle usait de la Force pour se maintenir en vie avec une main en l’air, elle chargea son autre bras d’éclair qu’elle propulsa contre la paume de la créature. Par réflexe, cette dernière la releva, et c’est à ce moment qu’elle profita pour se propulser vers son visage. Sabre dégainée, lame blanche étincelante, elle franchit la distance qui la sépara de la créature et d’un mouvement de la main trancha dans la lèvre. L’horax releva la tête en mugissant avec Helera accrochée à sa tête.

Il débattit sa tête de droite à gauche, chercha à l’y extraire. La faire tomber, la propulser. Mais elle tenait bon. Un saut en direction du crâne, puis un autre plus haut encore. Elle était parmi le ciel en ébullition et ce tourbillon des enfers au-dessus d’eux. De ses deux mains, elle invoqua les éléments célestes, petite particule humide, qu’elle aggloméra pour former et finalement créer des lances de glace. Finalement, elle les propulsa avec elle dans sa chute. Les morceaux de glace se figèrent dans son cuir. L’horax rugit et dans un même mouvement se redressa et la frappa en plein vol, retombant sur place. La reine fut propulsée à son tour et rebondit dans la neige plusieurs fois, avant d’y trouver une roche qui arrêta sa chute. La douleur irradia tous ses membres et la tétanisa. Elle avait abandonné derrière elle des morceaux de vêtements, griffée dans sa glissade et avait laissé une trainée rougeâtre sur la fin.

Son corps endoloris, le regard vitreux, elle se releva néanmoins. Chaque coup reçu valait cent des siens. Chaque coup l’anéantissait. La bête plus loin se débattait pour extraire les morceaux qui l’assaillaient. Mais pas une goutte de sang n’en était expulsée. Seule la blessure au visage laissait entrevoir un liquide noirâtre. La reine jeta ensuite un regard vers la capitale, vers son mari et ses enfants qui l’attendaient. Rien que pour eux, elle ne pouvait pas abandonner. Et pourtant, elle avait juste envie de se reposer. D’un mouvement de l’avant-bras, elle essuya son visage ensanglanté et redressa ses vêtements mis à mal. Elle souffla lentement et roula du regard. La pluie qu’elle avait créé tombait en petite averse çà et là sur la pleine de neige et se figeait en givre sur le sol. La voyant arrivé, la bête grogna et se redressa vers elle en position offensive.

« Je pourrais te détruire sur place. Tout comme tu le pourrais. Tu le sais, je le sais. L’horax fou était mourant et s’en prenait au peuple, aux villages. Il massacrait et tuait sans pitié parce qu’il n’avait plus conscience de rien. Est-ce que tu comprends ? »

Il se redressa de toute sa hauteur et de ses yeux rouges la fixa un instant. Il médita. Son visage s’approcha d’elle et de ses dents la menaça. Son sabre toujours en main, elle le dégaina sans l’allumer, menaça à son tour de l’autre main, d’un index levé.

« Stop. Tu sais ce qu’il se passera. Tu es un gardien, pas un assassin. On doit travailler ensemble. »


long long title how many chars? lets see 123 ok more? yes 60

We have created lots of YouTube videos just so you can achieve [...]

Another post test yes yes yes or no, maybe ni? :-/

The best flat phpBB theme around. Period. Fine craftmanship and [...]

Do you need a super MOD? Well here it is. chew on this

All you need is right here. Content tag, SEO, listing, Pizza and spaghetti [...]

Lasagna on me this time ok? I got plenty of cash

this should be fantastic. but what about links,images, bbcodes etc etc? [...]