L'Astre Tyran

[Luke Skywalker]

L'archiduc Geonosien arriva et servi à Luke et Hayley un discours empli de contre vérités.

Han Solo arriva ensuite, parlant avec son air détaché qui le caractérisait pour détendre l'ambiance comme il savait si bien le faire.

Chose plus étonnante la padawan Arial Organa intervint, et expliqua à Luke dans un cour de science improvisé que la Force qu'il avait ressentie émanant d'Adrix était en fait la source de communication télépathique des géonosiens qui étaient "sensibles à la Force" dans la haute caste. Heureusement elle eu le bon goût de finir sa discussion en redemandant les armes de l'être en armure, sans quoi Luke aurait vraiment pensé qu'elle n'avait rien a faire là.

Si elle obtenait d'Adrix ses armes alors peut être que Luke ne la blâmerait pas trop sur ses approximations.

Alors qu'Hayley surveillait le Sith et son acolyte Luke demanda à Arial de s'éloigner légèrement pour qu'ils se parlent à part.

"Arial... je ne doute pas que tes intentions sont louables mais tu as encore beaucoup a apprendre. Tu 'imagines que moi et R'izzan risquons de causer un incident diplomatique mais tu n'y est pas du tout.

Aujourd'hui sont réunis les personnes les plus importantes de la Nouvelle république, on ne doit se permettre aucune approximation sur la sécurité on est bien d'accord?

Le règlement interdit les armes à tout ceux qui n'y sont pas autorisés pour des raisons de sécurité. Ils le savent, tout le monde est prévenu en arrivant. Il est donc entré volontairement avec des armes dissimulées et si l'on m'oppose que c'est des " reliques sacrées" je demande pourquoi ils n'ont pas demandés une dérogation pour venir avec elles plutôt que de présenter des excuses comme tu viens de le faire. J'ajouterais même si le but de ces armes est l’apparat pourquoi les dissimuler? Réfléchis.

Tu prends bien conscience qu'un règlement c'est fait pour être respecté et que si l'on commence à déroger parce que le roi de la planète untel ou untel à décidé de venir armé comme un destroyer stellaire sans nous prévenir cela s'appelle l'incompétence et surtout l'inconscience? Son air de faux vexé ne lui sied guère, il à enfreint le règlement qu'il connaissait et la diplomatie c’est accepter les règles de l'hôte , ce qu'il n'a pas fait.

En t'excusant parce qu'il t'as rappelé son statut qui est bien égal à d'autre invités aujourd'hui tu viens de décrédibiliser la parole de la Nouvelle République, lançant le message que chacun peut venir armé à cinquante mettre de sa dirigeante sans être inquiété car le service d'ordre aura peur de vexer des râleurs en leur demandant leurs armes.

Encore une chose tant que je suis avec toi, afin que ta formation soit complète: Ne demande pas pardon pour "notre" ignorance. Maitre R'izzan et moi savons que l'argument du lien particulier avec la Force des Élites Géonosienes est totalement faux. C'est donc toi qui est ignorante alors évite de parler en notre nom sur ce genre de sujets."

La leçon à la padawan terminée Luke s'approcha de nouveau d'Adrix tandis que Kalgar arrivait.

" Cela devrait aller sergent , tout sera bientôt sous contrôle. Le Roi de Géonosis qui comprend notre soucis de sécurité s’apprêtait à nous donner les armes qu'il avait dissimulé et qui posaient problème".

[Hayley Curwee]

L'intervention toute politicienne de l'Archiduc Lebref eût l'effet escompté : ennuyer profondément la Jedi. Elle était restée là, sans bouger, écoutant sans interrompre le géonosien qui tergiversait sur l'histoire Ô combien passionnante de son peuple et du lien de la Force de leur seigneur et maître profondément justifié puisque inscrit dans ladite histoire. Hayley aurait pût se permettre d'éclater de rire, ou bien d'autres réactions dans ce goût là, mais ce n'était pas digne d'une Jedi. Alors qu'elle s'apprêtait a répliquer, elle fût interrompue par une Arial Greuna qui s'était sentie pousser des ailes. Là encore elle ne détourna pas son regard, fixant avec ce qui semblait être une profonde impolitesse les braises rougeoyantes du colosse de métal. Arial avait outrepassé son rang pour faire passer la politique au dessus de la Force, chose dont se rappellerait Hayley a l'avenir et qui, a ses yeux, décevait incroyablement les espoirs qu'elle et son père avait fondé sur elle. En tout cas, cette implication du côté politicien soulevait de nombreuses questions pour Hayley qui se promit d'aborder ça avec Luke dès que possible. En attendant, elle laissa Luke s'éloigner et fit fi de l'intervention inapproprié d'un Hutt sur la scène qui se déroulait. Cependant en un certain sens, cette intervention justifiait d'autant plus l'action des Jedi, les Hutts n'étant pas connu pour leur sens des valeurs morales. Et cette scène commençait a rassembler trop de monde, le général Solo était venu pour détendre l'atmosphère, chose louable mais difficilement envisageable tant que l'adepte du Côté Obscur n'avait pas obtempéré. Finalement, elle prit la parole, toujours sans quitter des yeux le monstre de métal, s'adressant a l'Archiduc Lebref :



« Nous sommes ravis de l'illustre présence du souverain Nodo mais nous tenons a rappeler qu'en tant que défenseurs de la République et de la démocratie, il est tout a fait difficile pour nous d'admettre que chaque chef d'Etat amène ses propres armes pour sa propre défense. En effet, dans l'hypothèse où l'un de ses diplomate soit en faite un assassin, nous contreviendrons a tout les protocoles de sécurités pour nos hôtes et il serait difficile d'organiser quoi que ce soit de diplomatique a l'avenir si la sécurité laisse a désirer, n'est-ce pas M. Lebref ? »


Elle n'avait toujours pas lâché le manche de nacre un peu jaunie qu'était son sabre laser, toujours prête a s'en servir au cas ou. Elle poursuivit :



« Pour autant, même si je vous remercie de votre impeccable enseignement de l'histoire et la culture géonosienne, je tiens a rappeler a votre souvenir que nous avons, nous les Jedi, notre histoire propre et qu'il y a plus d'une vingtaine d'année notre Ordre a été réduit a néant a cause de personnes dont le lien avec la Force était plus que douteux, vous comprendrez donc j'en suis sur que je ne mettrais pas de côté ce genre de considérations pour qui que ce soit. »


Arial et Luke revenait vers eux et Luke assurait au chef de la sécurité que, bientôt, les armes du souverain Nodo serait confisqués. Hayley finit par ajouter quelques mots :



« M. Lebref, sachez que si votre souverain craint pour sa sécurité, je pense que nous pouvons détacher quelques hommes pour lui être personnellement détachés, je suis même certaine que la padawan Greuna sera ravi d'être sa garde du corps pour la soirée. Quand a moi, sachez que je patrouillerais avec vigilance pour assurer a votre maître la plus grande sécurité pendant cet événement. Ce que nous faisons là est avant tout pour la sécurité de tout les participants a ce grand événement qu'est le renouveau de la République. Il est possible que votre seigneur avait la possibilité d'apporter ses 'reliques' avec lui sur cette planète il y a une dizaine d'années, mais a présent que cette planète est républicaine nous nous devons de confisquer ce qui peut être dérangeant pour la sécurité d'autrui. »


Elle n'avait toujours pas bougé d'un pouce et n'avait même pas regardé l'Archiduc, Hayley n'était pas une politicienne, elle était quelqu'un de brut, elle avait été formé pour traquer et détruire toute traces du Côté Obscur, pas pour faire des courbettes et parler un langage mielleux aux belles personnes.

[Adrix]

La colère de Lebref s'était quelques peu apaisée lorsqu'Arial avait eut la bonne idée de faire irruption au milieu de ce qui était en train de tourner en un inévitable conflit. Il ne la connaissait guère, mais son appartenance au clan Organa était déjà suffisante pour faire adopter au Géonosien un regard plus compatissant. Hélas pour Luke, l'Archiduc ignorait tout de sa fraternité avec Leïa qui aurait éventuellement pu le racheter un peu. L'insectoïde avait en effet su développer avec la princesse d'Alderaan une forme de lien sympathique, né de leurs respects mutuels et du travail accompli pour mener à la destruction de l'Etoile Noire. Il l'écouta donc avec un brin moins d'hostilité, et la volonté de la jeune femme pour dissiper le malentendu le conforta dans la bonne opinion qu'il commençait déjà à se forger. Mieux encore, elle faisait preuve d'une rare connaissance de la culture géonosienne, et cette preuve d'intérêt pour son peuple était, en un sens, un bien joli compliment. La première impression était une chose importante dans le domaine de la politique, et la Padawan venait ironiquement de marquer bien plus de points que ses maîtres. Il aurait presque pu faire l'effort de reprendre son calme...

Si le maître Jedi avait eut la bonne idée de s'éloigner pour tenir ses propos aussi terribles qu'infondés, affirmant des vérités à l'encontre de toute une race dont il ignorait absolument il n'y a pas cinq minutes, Adrix, lui, n'en perdit pas une miette. Que cette amplification sonore était pratique... Dans d'autres circonstances, il se serait sans doute emporté, ou aurait du moins prit la parole pour remettre ce morveux condescendant à sa place, mais il se contenta de faire comme si de rien n'était pour le moment. Il était inutile de converser plus longuement avec un individu dont l'esprit était si étroit. Il était bloqué dans sa vision étriquée, se complaisant dans un orgueil suffisant qui le rendait certain du bien fondé de son jugement et de ses actes comparés à ceux de ses pairs, aussi infondés soient-ils. Avec une réflexion amusée, l'Egorgeur se dit que ce petit était bien plus du bois de l'Impératrice que lui. Si tous les Jedis étaient comme lui, alors il n'était pas nécessaire de chercher très loin pour comprendre l'origine de la haine séparant les deux castes. Bref, moral de cette histoire, ce blondinet était toujours méfiant à son égard, pour ne pas dire intimement persuadé d'une culpabilité qu'il ne faisait que deviner... Bof, cette nouvelle n'avait guère d'impact sur les plans du cyborg. Tout au plus cela réduisait le peu d'intérêt qu'il avait encore pour la caste Jedi. Les fanatiques l'ennuyaient profondément, il avait déjà donné avec son précédent apprenti pour savoir que ces gens là ne pouvaient pas tenir une conversation autrement qu'avec une épée dans le ventre. Au final, tant le Hutt que le vieux fou qui passa sous jambes s'avérèrent des sujets bien plus intriguants que cette paire de Forceux. Adrix gratifia même le criminel d'un salut de la tête en guise de "Bonne journée". Quant au vieu fou qui l'avait apostrophé sur son "manque de pudeur"... il s'eclipsa avant même que l'Egorgeur n'ait eut le loisir de resserrer les jambes sur sa petite tête barbue

Lorsque Skywalker vint réclamer les armes avec un rien de moqueries, il fut donc reçu par Lebref avec autant de politesse que ce dont il avait fait la démonstration en insultant son Roi avant de partir cracher son venin dans son dos à la première occasion.

- Épargnez-moi immédiatement votre ton suffisant, Jedi. Je n'ai pas besoin d'entendre vos mesbasses pour deviner votre mépris et vos accusations à notre égard. Vous avez insulté mon souverain, notre culture, et notre espèce toute entière dont vous ignorez pourtant tout. Et la seule menace pour la sécurité républicaine que je vois ici, c'est celle qui pointe son sabre sur un invité d'honneur sans réfléchir un seul instant aux conséquences de ses actes pour ses pairs. Ce n'est que par respect pour Lady Organa et parce que c'est un jour de réjouissance que nous allons nous montrer conciliants.

Il échangea quelques brèves paroles en Géonosiens avec Adrix qui répondit sur ce même ton détaché. Il jouait le rôle d'un Dieu pour son peuple ici, il n'avait pas à se montrer concerné par de si piètres considérations... c'eut été donner trop d'importance à ces Jedis. Après quelques instants, le cyborg actionna un mécanisme dans son armure pour en extraire les deux sabres. Il avait choisit une paire Jedis pour l'occasion bien entendu, ses armes rouges ayant probablement parus peu adaptées à sa version de l'histoire. Avec d'infinie précaution, le Géonosien s'en empara.

- Afin de mettre un terme au malentendu, Son Altesse, accepte de remettre nos reliques. Mais pas à vous...

L'insectoïde tendit les deux lames jedis en direction d'Arial qu'il salua d'un signe de tête.

- Vous parlez avec plus de sagesse que vos Maîtres, c'est donc à vous que nous confierons ceci. Nous les réclamerons en partant.

Il se tourna vers Hayley qui avait fait preuve de la même délicatesse en s'adressant à lui sans même prendre la peine de le regarder.

- Vous me pardonnerez, mais le destin tragique qu'a connu votre Ordre n'a rien à voir avec nous. Et ne justifie en rien la lame que vous avez pointée sur mon suzerain. Vous pouvez remerciez les étoiles que nos rancunes passées ne nous aient pas poussés à agir avec précipitation comme vous venez de le faire... Sans quoi, je crains que l'étendard impérial ne flotterait toujours sur cette place. Mais soit, c'est un jour fête, je comprend votre désir et l'approuve, même si je déplore vos méthodes. Faîtes donc ce qu'il vous plaira avec la sécurité de cet endroit, si cela vous rassure et laissez nous en paix.

Une dernière fois il s'adressa à Skywalker.

- Soyez assuré que nous nous souviendrons de cette entrevue et de votre attitude, Maître Jedi et puisque je n'attends guère plus d'excuses de votre part, n'en attendez pas de la mienne. Maintenant que vous avez ce que vous étiez venus chercher, j'espère ne pas avoir à passer le reste de cette soirée en votre compagnie. Nous sommes venus ici pour de bonnes raisons et aimerions repartir de la même façon.

[Darth Krayt]

PNJ : Crix Madine

Chargé par Mon Mothma et Leia Organa d'assurer avec ses hommes la sécurité de Restoration Day, le Commandant des Forces Spéciales de la Nouvelle République mit un point d'honneur à faire en sorte que la sécurité soit maximale toute la journée et pour l'instant, il ne fût pas déçu de l’efficacité des Specforces. Un Seigneur de Guerre et un Hutt repéré et mis à l'écart, c'était du bon boulot et Crix était fier de voir à quel point chaque Specforce veillait attentivement à ce que personne ne fasse de vagues pour ce jour mémorable.

Néanmoins, la soudaine précipitation de quelques Jedi vers deux individus inquiéta Crix et il décida après quelques minutes de rejoindre Skywalker et les autres afin de comprendre ce qu'il se passait. Une fois le petit groupe rejoint, il prit poliment la parole : l

- Roi Adrix, Seigneur Lebref mes respect ! C'est un grand honneur de vous voir présent en ce grand jour pour la République. J'espère que tout se passe à merveille pour vous et que votre voyage s'est bien passé.

Puis il se tourna vers les Jedi qu'il salua d'un signe de tête avant de demander :

- Maîtres Skywalker et R'izzan, Chevalier Telia et Padawan Organa, mes salutations. Pouvez-vous m'expliquez votre soudaine précipitation vers son Alltesse Adrix et le Seigneur Lebref? Cela ne pas échapper et j'aimerai savoir ce qui se passe, étant à juste titre en charge de la sécurité.

Son ton était resté aussi poli que possible mais une telle situation risquait d'attirer l'attention et cela n'était pas souhaitable, pas du tout.

[Arthas Menias]

Après être sorti de la loge présidentielle comme il en était venu ( en hurlant, en bousculant tout, en parlant à son chapeau et en reprochant le manque de pudeur des autres ), Cailloux s'arrêta un instant. Chevauché sur les épaules d'un Hutt escorté, il s'écria d'un coup.

[font=Comic Sans Ms]« Bon sang, mais c'est bien sûr ! »[/font]

Puis il sauta à pieds non joints vers l'ouverture découpée plus tôt dans le toit, enfourcha son bâton, et s'élança vers le ciel en laissant derrière lui une trainée blanche. Il traversa la stratosphère et se retrouva dans l'espace. Ayant un peu froid ( -271,15°Celsius, bien que Celsius n'existe pas ), Cailloux tira son chapeau jusqu'à ses chevilles, puis orienta son bâton vers Corellia. Doté d'un hyperpropulseur x0.000000001, le trajet se fit en moins de deux minutes. Pénétrant l'atmosphère planétaire, Cailloux détendit son chapeau et reprit sa chevauchée du ciel. Il traversa le toit d'un bâtiment et tomba nez-à-nez avec un bel homme en costume sombre.

[font=Comic Sans Ms]« Vous ! Vous venez avec moi ! »[/font]

Puis Cailloux, dans un geste vengeur, enveloppa Jaden Rendar dans son chapeau, puis, prenant le chapeau par les bords et jetant un Jaden un peu secoué sur son épaule, piqua un dix mètre vers une fenêtre, et s'envola sur son bâton. traversant la chromosphère, Cailloux s'arrêta, puis toqua à la porte et ouvrit le chapeau.

[font=Comic Sans Ms]« Dites, je me demandais... A part atmosphère, stratosphère et chromosphère, vous en connaissez, vous, des 'ères' ? Quoi ? Mais voyons, vous n'avez aucune pudeur ? »[/font]

Cailloux ferma la porte et donna un bon coup de talon à son bâton. La chevauché reprit, et bientôt, ils furent dans l'espace. Cailloux fit un virage sur une planète glaciaire pour insulter un pingouin, sur Paqwepori, un truc du genre, puis reprit la route de Coruscant. A mi-chemin de la fête, il s'arrêta, toqua à la porte et ouvrit de nouveau, laissant un peu de froid s'infiltrer.

[font=Comic Sans Ms]« Dites ? »[/font]

Cailloux ferma la porte et ils s'en furent. La chevauchée spatiale dura une minute jusqu'à la photosphère de Coruscant, où Cailloux prévint Jaden :

[font=Comic Sans Ms]« Je vous prévient ! »[/font]

Une fois prévenu, Cailloux piqua vers la fête, Jaden coincé entre ses jambes, son chapeau déployé en parachute. Puis, vers les derniers mètres, Cailloux prit en vol plané Jaden par les épaules, transperça la carcasse boisée d'une loge... pour atterrir face à Pooja Naberrie. Cailloux, un peu gêné, montra Jaden et articula :

[font=Comic Sans Ms]« Vot' mari. »[/font]

Puis Cailloux s'enfuit. Au bout de dix secondes, il revint, prit un cure-dent posé sur une table, le lança sur un SpecForce, et repartit en courant, fidèle à lui-même ( vous savez, en hurlant, en bousculant tout, en parlant à son chapeau et en reprochant le manque de pudeur des autres, vous suivez ? )

Puis il revint vers le lieu d'arrivée.

[font=Comic Sans Ms]« Euh, oui, je sais pas si c'est lui en fait... non, on dirait un gamorréen. Oui, quoi ? Voyons, vous n'avez aucune pudeur ? »[/font]

Et il repartit. ( hurlement, bousculade, en parlant à son chapeau et en reprochant le manque de pudeur des autres. )

Puis Cailloux revint dans la loge VéHiPé et se planta devant une twi'lek.

[font=Comic Sans Ms]« De la pudeur ! J'aime ça ! Ca c'est mon chapeau, vous aimez ? »[/font]

[Luke Skywalker]

Luke ne voyait pas de quoi Lebref parlait lorsqu'il accusait Hayley d'avoir pointé sa lame sur lui. Une hallucination probablement. Quand le Géonosien eu fini d'exprimer son mécontentement Luke se contenta de s'incliner.

"Je vous remercie d'avoir obtempéré si rapidement à nos règlements archiduc. Que la Force soit avec vous mes altesses."

Après cet événement il s'adressa au sergent Kalgar.

"-Merci pour votre aide sergent,vous pouvez libérer l’accès au vaisseau. J'espére que je n'aurais pas a vous solliciter a nouveau."

Luke avait apprécié la rapidité inexécution de ce sergent, et comprenait qu'il ait été choisis malgré son grade modeste pour s'occuper du secteur.

Crix Madine le chef des Spec Forces arriva ensuite. Luke le connaissait bien car étant général ils avaient de nombreuses fois eu a travailler ensemble à l'état major. C'était un homme d'honneur, fiable, et a poigne. Il accueillait les Géonosiens en s’enquérant de leur confort puis demanda aux jedi pourquoi ils s'étaient précipités sur le Roi Adrix. Sa demande était tout a fait justifiée, Luke en avait conscience et a vrai dire il s'attendait a ce qu'elle lui soit formulée. Ce qu'il comprenait mal en revanche ce fut que Madine lui pose cette question devant Adrix et Lebref, il devait bien se douter qu'il ne pourrait pas lui parler de manière totalement libre sans "insulter" son altesse.

Luke appris à l'occasion que la jeune twi'lek présente était une chevalière jedi, celle ci intéressait Luke car il ne l'avait jamais vue auparavant.

Le jedi s’inclina pour saluer Crix et lui adressa la parole.

"Bien sur que je peux vous expliquer commandant. Nous avons identifiés que Sir Nodo Adrix de Geonosis était porteur de deux sabres laser malgré l'interdiction de port d'arme et les contrôles effectués à l'entrée. Nous avons donc moi et Maitre R'izzan palliés aux manquement de certains membres de votre personnel de sécurité en lui faisant remettre les armes à la padawan Organa. Si vous le souhaitez nous pourrons nous entretenir très en détail sur les méthodes particulières que nous avons employés dans notre identification du suspect commandant, je vous propose...cet après midi? J'aimerais a nouveau profiter que mes amis soient là."

Pas facile de lui annoncer que son personnel avait échoué a empêcher l'intrusion d'armes mais il ne lui jetait pas la pierre.

"Mais le Sergent Kalgar n'a commis aucune négligence dans tout cela, il a au contraire été très réactif."

[Taylaï Telia]

Taylaï est située non loin du groupe qui c'est formé autour du Geonosien et de son roi. Quelques minutes plus tôt elle a emboîté à Hayley, se maudissant intérieurement de ne pas avoir repéré plus tôt la présence de Adrix, elle était tellement focalisé sur ce Jay qu'elle occulta le reste. Décidément, il reste encore pas mal de chose a apprendre de la part de l'ancienne Jedi, sa formation n'ayant pût être terminée dans les règles de l'art elle s'applique désormais tant bien que mal a la parfaire en emmagasinant un maximum d’expérience sur le terrain. Voilà donc une leçon de plus apprise, on ne la reprendrait plus a faire ce genre d'erreurs dorénavant.
Quoi qu'il en soit la Twi'lek est venue se placer derrière Adrix pendant que Hayley établie le contact avec ce dernier. La Jedi laisse exploser son aura dans la Force au grand jour, et Taylaï ne s'était pas trompé à son sujet: elle est assurément une Jedi puissante et joueras un rôle de premier plan dans la fondation du nouvel Ordre Jedi. Mais très vite une autre aura encore plus importante fait son apparition, c'est alors que Luke Skywalker en personne rejoint Hayley, puis Han Solo fini également par arriver, s'en suivit une autre Twi'lek elle aussi très présente dans la Force mais avec une aura encore "fragile", probablement une Padawan.

Voilà qui fait beaucoup trop de monde pour Taylaï qui décide alors de prendre encore un peu plus de recule sur la situation, autant physiquement que spirituellement. Elle ne peux s'empêcher d'envoyer un regard froid vers un vieillard à l'attitude fort étrange qui s'immisce dans le groupe d'une manière fort peu convenable avant de repartir aussi vite qu'il est apparut. D'âpres négociation sont maintenant en cour pour que le Adrix se sépare le temps de la réception de deux sabres-laser, qu'il considère comme des reliques. Des reliques qui peuvent faire de très gros dégâts pense alors la Twi'lek. Le Géonosien fini par céder aux demandes des jedis autour devant lui, non sans jeter quelques répliques cinglantes à Hayley et Luke.
Taylaï s'appuie sur une colonne, toujours à porté d’ouïe et d'intervention, mais la situation s'étant passablement calmé, elle s'autorise a éloigner sa main de son sabre-laser accroché à la ceinture de sa combinaison sous sa bure pour croiser les bras et regarder tout ce beau monde s'affairer à ne pas déclencher un incident diplomatique, ou du moins à ne pas l’aggraver si le mal est déjà fait. C'est alors qu'un homme arrive avec quelques gardes à sa suite, échange de politesse avec Adrix et le seigneur Lebref, puis il s'adresse aux Jedi:

"- Maîtres Skywalker et R'izzan, Chevalier Telia et Padawan Organa, mes salutations. Pouvez-vous m'expliquez votre soudaine précipitation vers son Alltesse Adrix et le Seigneur Lebref? Cela ne m'a pas échapper et j'aimerai savoir ce qui se passe, étant à juste titre en charge de la sécurité"

Chevalier Telia? La Twi'lek ne peux s’empêcher de se raidir, un éclaire d’incompréhension et d'étonnement traversant son visage. Cette homme sait donc qui elle est, où du moins qui elle était. Elle pensait ça impossible, avec la destruction des archives Jedi pendant la guerre et sa disparition des écrans pendant de longues années. Mais apparemment, quelque part, il doit subsister une trace de son existence et de son passage dans l'Ordre, et l'homme s'étant présenté comme le chef de la sécurité, il a très bien pût faire des recherches sur elle. Qu'elle efficacité de la part de ce Crix Madine, il en sait donc plus sur Taylaï que tous les Jedi ou politicien ici présent.
Mais comment? Sûrement quand elle a donné son nom complet à Dana Rangre, ça a dû être enregistré par les services de sécurité et une recherche effectué. Ceci-dit cela démontre également l'utilisation de certaines banque de données obsolète, mais peut on leur jeter la pierre avec tout les événements survenus ces dernières années. Après la réponse des deux Jedi:

"- Pour ma part je n'ai fais qu’emboîter le pas à la Jedi R'izzan, répond la Twi'lek sur un ton parfaitement neutre. Nous cherchions juste a assurer la prospérité de cette république naissante en intervenant sur un point litigieux à nos yeux. Le malentendu étant maintenant éclaircie je pense que la réception peut reprendre son cours sans le moindre problème."

Taylaï jette un regard vers Hayley R'izzan mais surtout Luke Skywalker, ont-ils relevés le "Chevalier Telia" dans la question de Crix? Allait-elle avoir droit à un interrogatoire sur son passé au sein de l'Ordre? La Twi'lek aurait aimé que tout cela reste enfui dans le passé, elle est passé à autre chose et ne veux pas spécialement revenir dessus. En fait ce qui la dérange le plus, c'est qu'au vu de son statut, on insiste auprès d'elle pour rejoindre le nouvel Ordre Jedi. Or, avec sa part d'ombre en elle, elle craint être prise pour une ennemie et traqué si ils venaient a le découvrir, après tout l'un des tout derniers Jedi a avoir une part d'ombre en lui s'appelait Anakin Skywalker. L'Ordre ne voudrais assurément pas risquer de nouveaux déboires avec une "brebis galeuse" dans leur rang. Elle doit agir seul, pour son bien et celui de la république.

La Twi'lek n'a pas le temps de finir le fil de sa pensée que le vieillard de tout à l'heure vient se planter de nouveau juste devant elle. Elle l'a à peine sentit venir, "Mais comment diable fait-il ça?". Elle ne sait quoi penser de lui au prime abord, il semble: hystérique, voir fou, peut-être sous l'emprise d'une quelconque substance? C'est alors qu'il s'adresse à elle en des termes qui rendent Taylaï encore plus perplexe à son sujet:

"- De la pudeur ! J'aime ça ! Ca c'est mon chapeau, vous aimez ?
- Euh.. oui, répond l'ancienne Jedi un peu décontenancé. Mais qui êtes vous? Que faites vous ici?"

La dernière question aurait forcément eût une seule et même réponse parmi toutes les personnes présentes dans cette, par conséquent elle se serait trouvé inutile, mais considérant l'individu face à elle, Taylaï ne peu s’empêcher de se dire que dans le cas présent la question a tout son sens. Elle jauge également le vieillard dans la Force, et le moins que l'on puisse dire, c'est que son aura est plutôt... "brouillons".

[Leia Organa]

Pnj : Arial Organa



Avant même qu'elle n'intervienne, Arial avait eu peur de s'attirer les foudres des maîtres Jedi, même si elle avait sentis au fond d'elle même qu'il fallait qu'elle réagisse et que c'était le meilleure moyen de ne pas créer un soucis majeur à sa cousine Leia. Lorsque Luke l'a pris à part, elle compris tout de suite qu'elle n'avait pas vraiment "séduit" tout le monde.
Luke lui fit comprendre assez calmement que la sécurité primait sur tout autre chose, et qu'elle avait manquer de sagesse en s'excusant devant le Roi pire...qu'a elle seule elle avait jeter le discrédit sur toute la Nouvelle République. Il ne s'arrêta pas là et finit d'achever la petite twi'lek en faisant référence à sa formation "incomplète" qui le resterait sans doute encore longtemps si elle continuait ses insubordination vis à vis des maîtres Jedi et son ignorance manifestement navrante pour eux.
Elle n'en voulait pas à Luke, il avait eu le respect et la considération de la réprimander à l'écart, en privée.

Mais à ce moment précis elle sentis en elle, immédiatement une angoisse, mêlé de déception d'elle même et surtout elle se dit, qu'avec son caractère et sa manière de faire aucun maître ne voudrai d'elle, même dans l'Ordre de Luke.
Elle se demandait avec amertume qui voudrait d'une Padawan qui avait enterré ses deux Maîtres précédents, et qui passait son temps plongé dans des archives, d'histoire, de droit, de science politique et de diplomatie Jedi, d'une padawan élevé comme une princesse. Elle n'arrêtait pas de nourrir un complexe vis à vis de tout ça, s'imaginant qu'elle devait passer pour la pire des prétentieuses, avec son rang, ses manières, et son "savoir" inutile. Mais si ces détracteurs creusaient un tant soit peu ils découvriraient l'esclave orpheline, terrorisée à l'idée d'être abandonné et mal-aimée, qui ne devait son salut qu'a une famille royale et quelque Jedi, de qui elle avait appris le mode de vie.
Même si elle savait bien que son cousin Luke ne pensait pas cela d'elle, une voix revenait l'a harcelé sans arrêts pour lui rappelé que le monde ne l'a verrait jamais comme la padawan lettrée ou la princesse de haut rang qu'elle prétendait être, et encore moins comme une cousine chérie et aimée pour qui elle était.

Ces voix l'avait toujours tourmenté, et l'angoissaient. Or cette terreur intérieure atteint son paroxysme face au mépris ulcérée d'Hayley. Cette dernière se rapprochait sans doute le plus de ce qui était une sœur, elles avaient partagé un père et un mentor. Mais Hayley n'eut pas même la considération de regardé Arial lorsque cette dernière tentait de s’exprimer devant ces "grands", pire encore fut la remarque sur le fait qu'Arial en bonne "soumise" aux géonosiens serait sans doute mieux relégué à les servir de garde du corps, plutôt qu'a être aux côtés de ses frères Jedi.
Mais ce qui acheva Arial fut sans conteste, lorsque la Jedi lui cracha à la figure son nom de naissance, son nom d'esclave, son nom d'orpheline danseuse de Ryloth "Greuna", que l'amour des organa et le respect des Jedi avaient jusque là effacé et remplacé par son nom noble. Elle eu du mal à croire comment Hayley qui l'a connaissait et n'avait que dix de plus qu'elle pouvait agir si froidement.
L'incompréhension fut totale, elle était profondément blessée. Durant toutes ses années de formation elle avait découvert dans ses recherches que la diplomatie et le protocole avait été introduit initialement par les Jedi au sein de la République, les considérées comme étant une "part" séparée et secondaire par rapport à la Force était une erreur. Ces arts n'était que des extensions de la Force, ses manifestations et émanations les plus nobles en ce que c'était la diplomatie, la retenue et l'art de la médiation Jedi qui avait présider à la naissance même de la Paix et de l'Ancienne République. Arial dévouait sa vie justement à cette art, délaissé par l'ordre avant la chute de la République, et manifestement méprisé par sa supérieur Hayley, qui avait déjà sa main sur son sabre. Et même si Luminara n'avait pas d'inclinaisons particulière dans ce domaine, elle ne cessa d'encourager Arial dans cette voie, sachant pertinemment que l'Ordre qui devait naître, ne devait pas reproduire la méfiance et le mépris de son prédécesseur vis à vis du fait politique et de ses acteurs. Et qu'il aurait besoin de membre comme Arial.

Sans perdre la face devant tout ce monde, elle se vit remettre les armes du Roi géonosien, ce qui ne pouvait qu'accentué sa gêne. Sans attendre, elle se tourna tout de suite vers Luke, et les lui remis docilement et sans dire un mot. Elle s'inclina respectueusement devant lui et Hayley et même si elle tentait de ne rien laissé paraître du fait qu'elle était blessée, sa voix cassée et tremblante de douce jeune twi'lek de 19 ans l'a trahie...

- Pardonnez moi maîtres...si vous voulez bien m'excuser.

Elle s'enfuie dans la foule, la seule personne avec qui elle aurait voulu parlé à ce moment précis, était justement quelqu'un qui dans quelque minutes ne lui appartiendrai plus, et serai corps et âme à la République. N'ayant plus de place nul pars, elle sentie cette angoisse de solitude, la même que celle qu'elle avait ressentis 8 ans plus tôt dans cette soute de cargo d'esclave.
Elle trouva un coin isolée derrière les grands gradins, s’effondra contre un mur, sans considération aucune pour sa tenue qui se souillait à terre, et laissa les larmes couler sur ses joues rougies par la souffrance et par son maquillage parfaitement bien appliquée. Elle n'avait pas de Maîtres, elle n'était personne dans cette République, et sa famille lui glissait entre les doigts, avec une seule pensée...

*Mais que vais-je bien devenir...*

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Beaucoup plus loin, dans la tribune d'honneur, Mon Mothma se saisi de son Com-link...

- - Commandant Madine, Sergent Kalgar , mais enfin est-ce que quelqu'un va se décider à arrêter ce MALADE avec son chapeau et son bâton, ou vais-je devoir m'en charger moi même ?!

[Hayley Curwee]

Alors que la délégation géonosienne s'éloignait, Crix Madine venait les choper, probablement pour en apprendre plus sur cette histoire. Elle espérait toutefois qu'il n'était pas venu pour la réprimander, elle ou tout autres a cause d'une quelconque importance diplomatique, parce qu'elle ne pourrait pas souffrir la suffisance d'un énième haut placé qui voulait qu'on caresse tout le monde dans le sens du poil. Le fait que Crix Madine ait été un commandant important durant la guerre lui importait peu, passablement aigrie par la hiérarchie de l'Alliance Rebelle, Hayley ne déposait sa confiance que dans ce seul corps d'armée avec lequel elle avait vécu le meilleur, mais surtout le pire : les SpecOps. Elle nota pourtant une information importante qu'il lâchait : Taylaï avait donc bel et bien été Jedi, comme elle l'avait pensé. Elle salua en s'inclinant aussi bien Madine que les autres Jedi puis prit la parole :



« Je laisse soin a Maître Luke de vous expliquer pourquoi nous avons intercepté un individu dont la signature portait une trace assez impressionnante du Côté Obscur, il trouvera probablement les mots pour vous faire comprendre le danger que peuvent représenter de tels individus. Maître Luke, Taylaï, Commandant Madine, ça a été un plaisir de vous rencontrer. »


Et après un dernier salut, elle se retira, non sans glisser auparavant un mot dans l'oreille de Taylaï :



« Ce que je viens d'entendre a piqué ma curiosité, il faudra que nous parlions, vous et moi, avant la fin de cette journée. »


Elle lui sourit, puis quitta le groupe pour se diriger dans la foule a la recherche de quelqu'un... Quelqu'un qu'elle avait dû blesser par une conduite assez dure. Après quelques recherches dans la Force, elle finit par déceler le lien vacillant de Arial, calmement, elle se dirigea vers ledit lien pour trouver une jeune fille pleurant toutes les larmes de son corps. Elle eût une moue gênée, Hayley n'était pas habituée a ce genre de choses, elle même n'avait jamais eût quelqu'un auprès de qui se consoler, elle avait donc dû faire sans et avait toujours du mal a affronter ces situations qui représentaient un vrai cauchemar. Elle s'accroupit en face d'Arial et posa sa main sur la joue de la jeune femme, afin de le relever qu'elle puisse la regarder dans les yeux. Elle faisait peine a voir ainsi, Hayley comprenait ce qu'elle avait dû ressentir, elle comprenait même pourquoi elle avait agit ainsi, d'un certain point de vue. Pourtant, elle ne pouvait accepter de la laisser ainsi, il fallait qu'elle parle. Elle inspira longuement, puis finit par trouver le courage :



« Arial, arrête de pleurer, ce n'est pas une conduite digne d'une Jedi de ton acabit. Ce n'est pas digne de toi. Il y a des tas d'occasions pour pleurer, mais celle-ci n'en est pas une. Moi comme Luke ne te reprochons pas d'avoir intervenu, nous te reprochons d'avoir donné un son de cloche discordant par rapport a deux de tes aînées qui savaient très bien ce qu'ils faisaient. »


Elle marqua une pause, espérant l'entendre se calmer, puis poursuivit :



« Beaucoup de choses ont changés depuis la dernière fois que nous nous sommes vu Arial et je vais t'avouer une chose, parmi tout ça : je n'aime pas les politiques. Il y a des hommes bien, comme Bail l'était. Et il y a les autres. Les autres se battent comme des chiens, ils se dévorent pour la meilleure part du gâteau et ce sont les gens d'en bas qui en font les frais. Je ne nourris aucun espoir du côté de la politique et cela explique ma réaction et pourquoi je serais très probablement toujours comme ça quand la politique sera a portée de mes oreilles, tu me comprends ? On se connait Arial, je sais que tu peux encaisser ce genre d'honnêteté parce que, déjà petite fille, tu pouvais encaisser tout ou presque. »


Nouvelle pause, elle croit sentir que la jeune femme se calme, mais peut-être se trompe-t-elle ?



« Ce qui m'amène a ton nom, je pense pouvoir deviner que cela t'as troublé, je tiens a te dire deux choses, la première, c'est que lorsque l'on s'est connu, cela ne te dérangeait pas que je l'utilise pour te nommer, moi comme Ian je n'ai donc pas pensé que tu prendrais ça comme une gêne... »


Elle aurait dû dire 'mon père' mais elle n'y était pas arrivée.



« ...la seconde, c'est que si moi je connais ce nom, il est probable que des ordures comme ce seigneur Nodo l'apprennent un jour ou l'autre. N'oublie pas ce que tu es et d'où tu viens, parce que les gens tout autour ne l'oublieront jamais, mais au lieu de le prendre comme un tir de blaster qui te touche et te blesse, sers t'en comme une armure, comme la Force, si tu arrives a assumer ce que tu es, alors personne ne pourra rien contre toi. »


Elle se redressa et espérait que la Twi'lek en ferait autant, qu'elle se reprendrait et que les mots qu'Hayley avait glissés l'aiderait a remonter cette pente. Elle prit un air dégagé et prit soin d'ajouter :



« Nous n'avons pas vécu les mêmes choses, nous sommes restés loin de l'autre pendant un long moment, mais nous sommes toujours liées toi et moi Arial. Et quoiqu'il arrive, comme pour cette République, je te protégerais. »

[Marnus Kalgar]

La situation se régla assez vite. Les jedis et le géonosien arrivèrent à une solution diplomatique. Une autre personne se s'était joins aux festivités, le commandant des specforces, leur commandant s'était déplacé. Les soldats se mirent au garde à vous et ainsi le salua. Après quelques minutes le général skywalker parla en faveur du sergent au commandant, lui expliquant qu'il avait été actif sur la zone du sénat en général et qu'il n'avait commis aucune négligence. Le Général demanda également au sergent de libérer le vaisseau du géonosien. Ce qu'il exécuta immédiatement. Il est vrai que la situation du sergent n'était pas enviable. Il était appelé de part et d'autre du bâtiment dans avoir suffisamment d'homme.

Les tensions disparaissaient et le calme revenait petit à petit. C'est à ce moment que que le comlink du sergent se mit à retentir. Mon Mothma en personne le contactait, lui et le commandant, demandant d'intervenir auprès d'une personne qui créer quelques difficultés. Mon Mothma semblait agacé, ce qui était compréhensible. Il était dur pour le sergent de gérer tout les problèmes tout seul, mais s'était cela son travail. Il travaillait toujours sur la corde raide. Il répondit tout de suite à Mon Mothma.

Il ne lui restait plus beaucoup d'homme, certains étaient en direction de Leia Organa, d'autres revenaient de l'astroport et les derniers avec le hutt qui celui ci mobilisait beaucoup de personne. Il pris les quelques hommes qui lui restait sur le moment et se dirigeait vers ce fameux personnage.

Il se retourna vers les autorités, les salua en s'excusant. Il devait déjà repartir. Sur un pas rapide il se dirigea vers de possible hostilités.

Sergent Kalgar : Mes généraux, commandant, mesdemoiselles, veuillez m'excuser je dois vous laisser.

Arrivé sur place, il mit que peux de temps à repérer le veil homme avec son bâton. Il était en train de faire du grabuge et la sécurité devait intervenir rapidement. Le sergent se rapprocha du vieillard en gardant une distance de sécurité, suffisamment loin pour ne pas pouvoir recevoir de coup de bâton ou de je ne sais quoi.

Sergent Kalgar : Bonjour monsieur ! Sécurité ! Veuillez vous calmez s'il vous plait.

Le sergent y alla doucement pour commencer, sans le brusquer, mais il savait pas si son air courtois aller marquer longtemps son visage. Ils étaient tous armés d'armes paralysante et ils étaient près à s'en servir si jamais le vieillard ne coopèrerait pas.