- jeu. 5 mars 2015 08:57
#16653
Coruscant, Ville Haute
Ambassade sullustéenne
Début de mâtiné,
Une matinée fort agité se préparait dans la ville haute de Coruscant, et plus particulièrement à l'ambassade sullustéenne. Les récents événements en liens avec la planète Kalarba et les Colonies du Nord avaient causés bien des tords et malgré les appels répétés des sullustéens à des négociations franches et concrètes les républicains demeuraient obstinément résolut à faire s'abattre sanctions sur sanctions sur ce qu'ils avaient identifiés comme leur nouveau pire ennemi.
Mais le Secteur sullustéen et la SoroSuub ne l'entendaient pas de cette oreille. Au contraire certaines actions avaient été commises, par les deux parties, et l'heure était venue de solder les comptes.
Bien que menant des actions passablement plus graves qu'un litige commerciale, Volthaïr Sovv se devait de réagir car l'affaire déviait à présent sur le domaine politique.
Que la SoroSuub ait dépassée les bornes des limites républicaines sur Kalarba était une chose, et le Président du Conclave avait amplement expliqué au Directoire que tout siège au Conclave dont il disposait, sur ce coup là des sanctions étaient à prendre.
Le Directoire de la SoroSuub avait protesté de sa bonne fois et de sa légitimé, mais le Conclave avait tranché en sa défaveur, chose assez inhabituelle.
Mais on ne lançait pas pour autant la SoroSuub en pâture aux politiciens de la Nouvelle République, certes non, car la Nouvelle République accumulait sans cesse les bourdes, lourdeurs et entorses graves aux Lois républicaines. Ainsi on entendait bien faire en sorte que justice soit rendu.
On le pouvait en fait de deux façon, soit en acculant la Nouvelle République dans un procès qui verraient probablement des têtes tombés, et pas des têtes de sullustéen au vu des preuves accumulés, soit on tentait d'abord une résolution à l'amiable.
Cette dernière option avait été choisis par Volthaïr, qui n'en demeurait pas moins un soutiens de la démocratie et de la République, quoi qu'en dise ses détracteurs.
Ainsi, il était venue en personne sur Coruscant en emmenant avec lui un représentant de la SoroSuub ainsi que deux capitaines de vaisseaux. L'un SoroSuub, celui qui avait été dans le système de Kalarba, le second gouvernementale pour les actes de Eriadu.
Sitôt sur la Capitale, il avait lancé une invitation officielle à la Présidente de la Nouvelle République, le Président du Sénat (si la personne différait), la Sénatrice des Colonies du Nord et à chacun des chef de file des partis politique présent au Sénat.
Tous étaient conviés à l'ambassade de Sullust, pour discuter franchement de la crise en cours et y trouver une solution dans les plus brefs délais.
Volthaïr n'était toutefois pas dupe, il se doutait que certains ne viendraient peut être pas. Mais l'invitation étant officielle, tout refus de négocier de bonne fois servirait à l'arsenal que Sullust fourbissait en vue d'une confrontation devant la Cour de Justice si on ne parvenait pas à s'entendre...
Ambassade sullustéenne
Début de mâtiné,
Une matinée fort agité se préparait dans la ville haute de Coruscant, et plus particulièrement à l'ambassade sullustéenne. Les récents événements en liens avec la planète Kalarba et les Colonies du Nord avaient causés bien des tords et malgré les appels répétés des sullustéens à des négociations franches et concrètes les républicains demeuraient obstinément résolut à faire s'abattre sanctions sur sanctions sur ce qu'ils avaient identifiés comme leur nouveau pire ennemi.
Mais le Secteur sullustéen et la SoroSuub ne l'entendaient pas de cette oreille. Au contraire certaines actions avaient été commises, par les deux parties, et l'heure était venue de solder les comptes.
Bien que menant des actions passablement plus graves qu'un litige commerciale, Volthaïr Sovv se devait de réagir car l'affaire déviait à présent sur le domaine politique.
Que la SoroSuub ait dépassée les bornes des limites républicaines sur Kalarba était une chose, et le Président du Conclave avait amplement expliqué au Directoire que tout siège au Conclave dont il disposait, sur ce coup là des sanctions étaient à prendre.
Le Directoire de la SoroSuub avait protesté de sa bonne fois et de sa légitimé, mais le Conclave avait tranché en sa défaveur, chose assez inhabituelle.
Mais on ne lançait pas pour autant la SoroSuub en pâture aux politiciens de la Nouvelle République, certes non, car la Nouvelle République accumulait sans cesse les bourdes, lourdeurs et entorses graves aux Lois républicaines. Ainsi on entendait bien faire en sorte que justice soit rendu.
On le pouvait en fait de deux façon, soit en acculant la Nouvelle République dans un procès qui verraient probablement des têtes tombés, et pas des têtes de sullustéen au vu des preuves accumulés, soit on tentait d'abord une résolution à l'amiable.
Cette dernière option avait été choisis par Volthaïr, qui n'en demeurait pas moins un soutiens de la démocratie et de la République, quoi qu'en dise ses détracteurs.
Ainsi, il était venue en personne sur Coruscant en emmenant avec lui un représentant de la SoroSuub ainsi que deux capitaines de vaisseaux. L'un SoroSuub, celui qui avait été dans le système de Kalarba, le second gouvernementale pour les actes de Eriadu.
Sitôt sur la Capitale, il avait lancé une invitation officielle à la Présidente de la Nouvelle République, le Président du Sénat (si la personne différait), la Sénatrice des Colonies du Nord et à chacun des chef de file des partis politique présent au Sénat.
Tous étaient conviés à l'ambassade de Sullust, pour discuter franchement de la crise en cours et y trouver une solution dans les plus brefs délais.
Volthaïr n'était toutefois pas dupe, il se doutait que certains ne viendraient peut être pas. Mais l'invitation étant officielle, tout refus de négocier de bonne fois servirait à l'arsenal que Sullust fourbissait en vue d'une confrontation devant la Cour de Justice si on ne parvenait pas à s'entendre...