- sam. 21 janv. 2017 00:21
#25746
Hj:
Invités de manière officielle:
- Leia Organa
- Jean Dagger
- Elizabeth Civicius
- Jim Antilles
- Darth Lyria (Duchesse de Maad)
- Kurt Weiner
Invités privés / officieux (Souvent les invités du marié...)
- Tanak Leonik
- Iala Iédastré
- Nico Ariés
- Drake Stark
- Helera Kor'rial
Dans le cadre de ce RP, tout les joueurs, même non invités, peuvent intervenir, en PJ, pnj (même temporaire), pour ce joindre à la fête.
Dans toute histoire, il existe des points où tout semblent se recouper. Des instants anticipés par un tempo crescendo, tel un cœur battant la chamade, tranchant bien souvent deux époques que rien ne rapprocherait plus. Ce jour était l’une de ces pages, qui définitivement, ferme un chapitre, pour en ouvrir un nouveau. Ultime roulement de tambours avant un changement de mélodie définitif.
Dans la lueur des premiers rayons du soleil, une femme était appuyée contre la rambarde de pierre d’un balcon du palais. A cette heure bien matinale, son regard se tournait vers le ciel où les étoiles fuyaient la lente mais implacable course de l’astre solaire. Le noir laissait peu à peu la place à un dégradé de couleur qu’elle appréciait tant. Avec un sourire naïf, elle observa la dernière étincelle de la voute céleste s’éteindre, comme consumé par la clarté nouvelle. Tant de fois elle avait regardé ses étoiles, perdues dans ses pensées, dans ses rêves. Toutes ses années, elle avait vécu avec un espoir que les cieux nocturnes représentaient. Chaque nuit où le ciel brillait de mille feux, elle avait admiré la douce danse des astres. Dans ses myriades de scintillement, elle s’était imaginé son sauveur voyageant d’un bout à l’autre de la galaxie, vivant de palpitantes aventures, libre comme le vent. Souvent, elle s’était inquiétée, se demandant simplement si cet homme était encore en vie, et si un jour, leurs chemins se retrouveraient de nouveaux. Longtemps elle s’était interrogé, mais ce jour sonnait comme une ultime réponse à toute ses inquiétudes.
Oui, il était toujours de ce monde, et oui, le destin les avaient de nouveaux rapprochait. Après des années d’éloignement et de sacrifice, Maya avait enfin accepté d’essayer de goûter au bonheur. Contre la course du monde, et la logique mondaine, elle avait accordé à son pirate une soirée. La magie, comme dans un conte de fée, s’était emparée de la Princesse et de son dîner. Libérée, elle avait assumée ses sentiments, sa sensibilité et son humanité. La barrière qui lui servait de bouclier, et derrière laquelle elle cachait toutes émotions, tout secret, s’était brisé en une soirée, éclaboussant la sombre nuit d’une passion insoupçonnée. L’espace de quelques heures, elle avait découvrert un sens de la vie qu’elle avait oubliée depuis tant d’année. Un baiser avait levé la malédiction qu’elle s’était elle-même jetée. Elle pouvait vivre, être heureuse, malgré tout ce qu’elle avait vécu, et surtout, à cause de tous ceux qu’elle avait perdu. En un instant, la jeune femme avait compris sa chance. Elle était en vie. Ce n’était pas un fardeau, c’était une chance.
Alors, ils avaient commencés à vivre leur amour en catimini. Toujours sous une pleine lune, sur des planètes souvent différentes, ils laissaient libre court à leur vie quelques heures, parfois quelques jours, chaque mois. Chaque rencontre était une véritable chasse au trésor, où l’indice conduisait au bonheur parfait. Au fil du temps, la Princesse et le Pirate avait commencé à parler d’avenir, comme pour rappeler l’adage « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ». Dans leur brève entrevue, ils avaient imaginé un plan qui les fasse sortirent de l’ombre. Ils en avaient rêvé, et l’avait tant désiré que Maya avait un peu de mal à réaliser que ce moment était arrivé. Dix ans après leur rencontre dans les flammes de Kessel, ils allaient enfin s’unir aux yeux de tous. Une nouvelle vie allait commençait, pleines de promesse et de joie. Comme ce soleil qui balayait la nuit pour apporter un jour nouveau, l’échange de leurs vœux apporterait lumière et clarté sur leur amour.
La brise souffla, faisant voletait la chevelure de la princesse. Sa peau s’hérissa sous la fraîcheur de ce vent. Elle lança un dernier regard vers le ciel avant de tourner les talons, et de se retrouver de nouveau dans sa chambre. Son regard parcouru lentement la pièce, jusqu’à se poser sur une vieille étagère poussiéreuse. Sur celle-ci trônait un vieil carnet corné et décoloré. Son carnet. Plus jeune, elle avait consignée toute sa vie, toutes ses pensées dans ses pages de papiers. La princesse marcha, lentement, puis tendis le bras afin d’attraper le fragile ouvrage. Comme hypnotisé, la princesse se laissa tomber sur le bord de son lit. Elle ouvrit délicatement le livre, posant son regard sur les premières pages. Les premiers mots étaient écris d’un trait hésitant, presque tremblant.
« Je m’appelles Maya. Je vis… » .
Elle avait commencé à écrire dans ce cahier à peine quelques temps après avoir appris à écrire, et elle s’était sentie obligé de noter son nom, comme si un jour, un autre lirait ses mots, et apportant la moindre importance au écrit d’une enfant. Chaque jour, elle avait continué. Peu à peu, au fil des pages, sa vie se résumait. Sa rencontre avec Aurore et Timéo. La première fois qu’elle avait rencontré ce grand homme impressionnant venu d’Alderaan. Des histoires sans intérêt d’adolescente, relatant un monde si simple et si heureux. Doucement, les jeux et les rires laissaient la place aux l’intrigues et aux débats du monde mondain. Les messages se firent de plus en plus espacés, et bientôt, son alter-ego juvénile semblait se taire. Elle savait ce que ses pages blanches étaient. La peur. L’angoisse. Le désespoir. Quand des mots réapparurent, ils furenttremblants, tels les premiers. Simples, marqués par l’abandon.
« Je vous aimes. Vous me manquez. »
Sur la joue de la Princesse, une larme roulait doucement. Oh oui, ils lui manquaient. Le temps était passé, mais jamais elle n’avait oublié le sourire de ses parents la dernière fois qu’elle les avait vus. Elle avait tant pleuré, perdu et apeuré, alors que son monde avait volé en éclat, lui révélant un univers sombre et dangereux. Les mots étaient durs, crus, et pour beaucoup, obscurs. Puis, il n’y eut plus rien. Des pages blanches, signant la fin d’une époque. La jeune Maya s’était perdue dans un monde brutal, où son innocence n’avait guère de place. Elle avait cessé d’avoir de petites histoires à raconter, cessé d’avoir des amourettes à coucher sur le papier. La jeune fille était devenue une femme politique, ayant d’autres occupations, d’autres ambitions, que de futiles bonheurs saisis par une plume naïve. Sa vie était devenue ennuyeuse, au service des autres, sans saveur. La jeune fille avait lâchait prise, laissant une adulte fermée sur elle-même, ne se posant plus de question stupide, ne s’inquiétant plus de ses propres désirs, de son propres avenir. Elle était devenue telle que l’univers en avait besoin, peu en importer sa volonté.
Mais cette époque-là était révolue. Son alter-ego enfantin semblait un peu plus proche à chaque lever de soleil. Oui elle était toujours une femme cachant ses sentiments derrière un pragmatisme sans faille, mais elle avait décidé d’essayer de vivre. Elle posa le livre à côté d’elle et se leva rapidement pour prendre un encrier. Revenu sur son lit, elle s’appliqua pour déposer quelques mots sur une nouvelle page.
« Je m’appelle Maya. Je suis Heureuse. »
La princesse ferma le livre avant qu’une deuxième larme ne coule sur la joue. Elle était heureuse oui. Malgré des années de détresse, de peur, et de douleur, elle avait réussi à refaire surface, à renouer avec la plus belle des sensations. Et en ce jour, elle se promettait de ne jamais plus laisser sa vie lui échapper, et d’essayer chaque jour, de vivre heureuse.
***
Les préparatifs avançaient. La capitale était devenue depuis quelques heures une zone d’interdiction aérienne et des escadrons de chasseurs survolés la ville en continue. Seul un couloir d’arrivée, sous haute surveillance, était encore ouvert à la navigation. En orbite, le Redempteur, croiseur de classe Protecteur, Fleuron de la flotte, c’était positionné avec une partie de son escorte au-dessus de la cité. Tous les vaisseaux entrant était placé sous la responsabilité d’un centre de contrôle temporairement établis sur ce vaisseau, qu’aucun ne pouvait louper durant la descente.
La cérémonie en elle-même se passerait dans le Palais de la capitale. Lors de la reconstruction, on avait en effet recrée le Palais quasiment à l’identique, par affection de l’art et défi lancé au destin. Avant son commencement, la Princesse se plierait à une traditionnelle balade dans la ville. Puis elle entrerait par les Jardins, avant de rejoindre enfin la grande salle du palace. Là, le mariage à proprement parler commencerait.
Pour les invités, le programme était quelques peu différents. Les arrivées étaient étalés sur deux jours, afin de laisser le temps au service de la Principauté de géré correctement l’afflux de toutes ses personnalités. Pour chacune d’elle, l’accueil était personnalisé. Un hôte ou une hôtesse du service princier était dépêché au spacioport afin de souhaiter la bienvenue à tous, et conduire tout ce monde à leur domiciliation temporaire. Pour certains, ils s’agissaient de riches appartements d’état en centre-ville, pour d’autres, de belles villas en bordure des lacs tout proches. Le jour même, tous furent conviés en fin d’après-midi au Palais de Chandrila. Les couloirs étaient tous paraient de draperie portant les blasons des différentes régions de la planète. Marbre et ornement brillaient bien plus qu’à l’accoutumer. Sur le chemin, les fameux Garde-Phénix, avec leur armure reprenant la forme d’une tête d’oiseau, guidaient les arrivants vers le lieu de toutes les attentions. La salle de cérémonie. Il s’agissait d’une grande salle, magnifiquement décoré. A sol, le marbre c’était drapé de beaux tapis dorés sur lesquels de confortable siège avait était posé de part et d’autre d’une allée centrale. Au bout de celle-ci, une large estrade semblait prête à accueillir un orchestre. Dans la salle, les premiers arrivant pur avoir droit à un verre de bienvenue, afin d’attendre le début des festivités…
***
Dans les coulisses de l’organisation, la Princesse finissait de se préparer. Elle avait revêtu la traditionnelle robe qui était celle de son rang. Et pour une des premières fois de sa vie, elle avait décidé de porter la tiare qui symboliser la confiance que le peuple lui avait donné, ainsi que le Joyau de Léona, un impressionnant pendentif portant la pierre précieuse revenant à la Princesse de Chandrila. Lorsqu’elle se tourna vers le miroir, un sourire sculpta son visage. Maya avait rarement portait ses attributs, et admirant son reflet, elle ne put que se satisfaire du résultat. Face à la Princesse, sa fille adoptive et son amie d’enfance la regarder un sourire aux lèvres.
« Tu es prête ? »
La jeune femme hocha la tête sans prononçait la moindre parole, continuant de fixer le miroir. Ce jour, cet instant, elle l’avait attendu durant des années. Il symbolisait pour elle le bonheur ultime, la plus grande des promesses. Peu importait à présent ce qui se passerait. Par la force de son amour et la plénitude qu’il lui apportait, elle se sentait prête à faire face à toutes les tempêtes et à tous les maux.
« Je suis prête »
Peu importait le monde et l’univers. En cet instant, son bonheur pouvait soutenir un rêve plus beau et plus réel que tout ce qu’elle avait vécu.
Dans la lueur des premiers rayons du soleil, une femme était appuyée contre la rambarde de pierre d’un balcon du palais. A cette heure bien matinale, son regard se tournait vers le ciel où les étoiles fuyaient la lente mais implacable course de l’astre solaire. Le noir laissait peu à peu la place à un dégradé de couleur qu’elle appréciait tant. Avec un sourire naïf, elle observa la dernière étincelle de la voute céleste s’éteindre, comme consumé par la clarté nouvelle. Tant de fois elle avait regardé ses étoiles, perdues dans ses pensées, dans ses rêves. Toutes ses années, elle avait vécu avec un espoir que les cieux nocturnes représentaient. Chaque nuit où le ciel brillait de mille feux, elle avait admiré la douce danse des astres. Dans ses myriades de scintillement, elle s’était imaginé son sauveur voyageant d’un bout à l’autre de la galaxie, vivant de palpitantes aventures, libre comme le vent. Souvent, elle s’était inquiétée, se demandant simplement si cet homme était encore en vie, et si un jour, leurs chemins se retrouveraient de nouveaux. Longtemps elle s’était interrogé, mais ce jour sonnait comme une ultime réponse à toute ses inquiétudes.
Oui, il était toujours de ce monde, et oui, le destin les avaient de nouveaux rapprochait. Après des années d’éloignement et de sacrifice, Maya avait enfin accepté d’essayer de goûter au bonheur. Contre la course du monde, et la logique mondaine, elle avait accordé à son pirate une soirée. La magie, comme dans un conte de fée, s’était emparée de la Princesse et de son dîner. Libérée, elle avait assumée ses sentiments, sa sensibilité et son humanité. La barrière qui lui servait de bouclier, et derrière laquelle elle cachait toutes émotions, tout secret, s’était brisé en une soirée, éclaboussant la sombre nuit d’une passion insoupçonnée. L’espace de quelques heures, elle avait découvrert un sens de la vie qu’elle avait oubliée depuis tant d’année. Un baiser avait levé la malédiction qu’elle s’était elle-même jetée. Elle pouvait vivre, être heureuse, malgré tout ce qu’elle avait vécu, et surtout, à cause de tous ceux qu’elle avait perdu. En un instant, la jeune femme avait compris sa chance. Elle était en vie. Ce n’était pas un fardeau, c’était une chance.
Alors, ils avaient commencés à vivre leur amour en catimini. Toujours sous une pleine lune, sur des planètes souvent différentes, ils laissaient libre court à leur vie quelques heures, parfois quelques jours, chaque mois. Chaque rencontre était une véritable chasse au trésor, où l’indice conduisait au bonheur parfait. Au fil du temps, la Princesse et le Pirate avait commencé à parler d’avenir, comme pour rappeler l’adage « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ». Dans leur brève entrevue, ils avaient imaginé un plan qui les fasse sortirent de l’ombre. Ils en avaient rêvé, et l’avait tant désiré que Maya avait un peu de mal à réaliser que ce moment était arrivé. Dix ans après leur rencontre dans les flammes de Kessel, ils allaient enfin s’unir aux yeux de tous. Une nouvelle vie allait commençait, pleines de promesse et de joie. Comme ce soleil qui balayait la nuit pour apporter un jour nouveau, l’échange de leurs vœux apporterait lumière et clarté sur leur amour.
La brise souffla, faisant voletait la chevelure de la princesse. Sa peau s’hérissa sous la fraîcheur de ce vent. Elle lança un dernier regard vers le ciel avant de tourner les talons, et de se retrouver de nouveau dans sa chambre. Son regard parcouru lentement la pièce, jusqu’à se poser sur une vieille étagère poussiéreuse. Sur celle-ci trônait un vieil carnet corné et décoloré. Son carnet. Plus jeune, elle avait consignée toute sa vie, toutes ses pensées dans ses pages de papiers. La princesse marcha, lentement, puis tendis le bras afin d’attraper le fragile ouvrage. Comme hypnotisé, la princesse se laissa tomber sur le bord de son lit. Elle ouvrit délicatement le livre, posant son regard sur les premières pages. Les premiers mots étaient écris d’un trait hésitant, presque tremblant.
Elle avait commencé à écrire dans ce cahier à peine quelques temps après avoir appris à écrire, et elle s’était sentie obligé de noter son nom, comme si un jour, un autre lirait ses mots, et apportant la moindre importance au écrit d’une enfant. Chaque jour, elle avait continué. Peu à peu, au fil des pages, sa vie se résumait. Sa rencontre avec Aurore et Timéo. La première fois qu’elle avait rencontré ce grand homme impressionnant venu d’Alderaan. Des histoires sans intérêt d’adolescente, relatant un monde si simple et si heureux. Doucement, les jeux et les rires laissaient la place aux l’intrigues et aux débats du monde mondain. Les messages se firent de plus en plus espacés, et bientôt, son alter-ego juvénile semblait se taire. Elle savait ce que ses pages blanches étaient. La peur. L’angoisse. Le désespoir. Quand des mots réapparurent, ils furenttremblants, tels les premiers. Simples, marqués par l’abandon.
Sur la joue de la Princesse, une larme roulait doucement. Oh oui, ils lui manquaient. Le temps était passé, mais jamais elle n’avait oublié le sourire de ses parents la dernière fois qu’elle les avait vus. Elle avait tant pleuré, perdu et apeuré, alors que son monde avait volé en éclat, lui révélant un univers sombre et dangereux. Les mots étaient durs, crus, et pour beaucoup, obscurs. Puis, il n’y eut plus rien. Des pages blanches, signant la fin d’une époque. La jeune Maya s’était perdue dans un monde brutal, où son innocence n’avait guère de place. Elle avait cessé d’avoir de petites histoires à raconter, cessé d’avoir des amourettes à coucher sur le papier. La jeune fille était devenue une femme politique, ayant d’autres occupations, d’autres ambitions, que de futiles bonheurs saisis par une plume naïve. Sa vie était devenue ennuyeuse, au service des autres, sans saveur. La jeune fille avait lâchait prise, laissant une adulte fermée sur elle-même, ne se posant plus de question stupide, ne s’inquiétant plus de ses propres désirs, de son propres avenir. Elle était devenue telle que l’univers en avait besoin, peu en importer sa volonté.
Mais cette époque-là était révolue. Son alter-ego enfantin semblait un peu plus proche à chaque lever de soleil. Oui elle était toujours une femme cachant ses sentiments derrière un pragmatisme sans faille, mais elle avait décidé d’essayer de vivre. Elle posa le livre à côté d’elle et se leva rapidement pour prendre un encrier. Revenu sur son lit, elle s’appliqua pour déposer quelques mots sur une nouvelle page.
La princesse ferma le livre avant qu’une deuxième larme ne coule sur la joue. Elle était heureuse oui. Malgré des années de détresse, de peur, et de douleur, elle avait réussi à refaire surface, à renouer avec la plus belle des sensations. Et en ce jour, elle se promettait de ne jamais plus laisser sa vie lui échapper, et d’essayer chaque jour, de vivre heureuse.
Les préparatifs avançaient. La capitale était devenue depuis quelques heures une zone d’interdiction aérienne et des escadrons de chasseurs survolés la ville en continue. Seul un couloir d’arrivée, sous haute surveillance, était encore ouvert à la navigation. En orbite, le Redempteur, croiseur de classe Protecteur, Fleuron de la flotte, c’était positionné avec une partie de son escorte au-dessus de la cité. Tous les vaisseaux entrant était placé sous la responsabilité d’un centre de contrôle temporairement établis sur ce vaisseau, qu’aucun ne pouvait louper durant la descente.
La cérémonie en elle-même se passerait dans le Palais de la capitale. Lors de la reconstruction, on avait en effet recrée le Palais quasiment à l’identique, par affection de l’art et défi lancé au destin. Avant son commencement, la Princesse se plierait à une traditionnelle balade dans la ville. Puis elle entrerait par les Jardins, avant de rejoindre enfin la grande salle du palace. Là, le mariage à proprement parler commencerait.
Pour les invités, le programme était quelques peu différents. Les arrivées étaient étalés sur deux jours, afin de laisser le temps au service de la Principauté de géré correctement l’afflux de toutes ses personnalités. Pour chacune d’elle, l’accueil était personnalisé. Un hôte ou une hôtesse du service princier était dépêché au spacioport afin de souhaiter la bienvenue à tous, et conduire tout ce monde à leur domiciliation temporaire. Pour certains, ils s’agissaient de riches appartements d’état en centre-ville, pour d’autres, de belles villas en bordure des lacs tout proches. Le jour même, tous furent conviés en fin d’après-midi au Palais de Chandrila. Les couloirs étaient tous paraient de draperie portant les blasons des différentes régions de la planète. Marbre et ornement brillaient bien plus qu’à l’accoutumer. Sur le chemin, les fameux Garde-Phénix, avec leur armure reprenant la forme d’une tête d’oiseau, guidaient les arrivants vers le lieu de toutes les attentions. La salle de cérémonie. Il s’agissait d’une grande salle, magnifiquement décoré. A sol, le marbre c’était drapé de beaux tapis dorés sur lesquels de confortable siège avait était posé de part et d’autre d’une allée centrale. Au bout de celle-ci, une large estrade semblait prête à accueillir un orchestre. Dans la salle, les premiers arrivant pur avoir droit à un verre de bienvenue, afin d’attendre le début des festivités…
Dans les coulisses de l’organisation, la Princesse finissait de se préparer. Elle avait revêtu la traditionnelle robe qui était celle de son rang. Et pour une des premières fois de sa vie, elle avait décidé de porter la tiare qui symboliser la confiance que le peuple lui avait donné, ainsi que le Joyau de Léona, un impressionnant pendentif portant la pierre précieuse revenant à la Princesse de Chandrila. Lorsqu’elle se tourna vers le miroir, un sourire sculpta son visage. Maya avait rarement portait ses attributs, et admirant son reflet, elle ne put que se satisfaire du résultat. Face à la Princesse, sa fille adoptive et son amie d’enfance la regarder un sourire aux lèvres.
La jeune femme hocha la tête sans prononçait la moindre parole, continuant de fixer le miroir. Ce jour, cet instant, elle l’avait attendu durant des années. Il symbolisait pour elle le bonheur ultime, la plus grande des promesses. Peu importait à présent ce qui se passerait. Par la force de son amour et la plénitude qu’il lui apportait, elle se sentait prête à faire face à toutes les tempêtes et à tous les maux.
Peu importait le monde et l’univers. En cet instant, son bonheur pouvait soutenir un rêve plus beau et plus réel que tout ce qu’elle avait vécu.
Hj:
Invités de manière officielle:
- Leia Organa
- Jean Dagger
- Elizabeth Civicius
- Jim Antilles
- Darth Lyria (Duchesse de Maad)
- Kurt Weiner
Invités privés / officieux (Souvent les invités du marié...)
- Tanak Leonik
- Iala Iédastré
- Nico Ariés
- Drake Stark
- Helera Kor'rial
Dans le cadre de ce RP, tout les joueurs, même non invités, peuvent intervenir, en PJ, pnj (même temporaire), pour ce joindre à la fête.