- jeu. 10 déc. 2015 14:46
#21193
HRP : Le Maestrom se permet de poster suite à un an sans activité sur cette quête.
[table align="left" border="0" bgcolor=black][/table] Difficulté : °°°°
Type de RP : 3 ( passe en RP de type 2 si 5 joueurs et + )
Concerne :Planète ou Lieu : Metellos
- Nouvelle République
- Ordre Jedi
- Crime Galactique
- Neutres
- Ordre Sith
Région précise : Égouts des Régions Sud
Mission : Nettoyage.
Contexte : Les Steeps infestent les égouts et il leur arrive de sortir dans les rues le soir, mettant en danger de nombreuses personnes sans moyen de défense. Un nettoyeur est demandé pour se charger du nettoyage.
Récompenses : 100.000 crédits ( 80.000 si 2 et + ), puis 5.000 crédits par Steep supplémentaire tué [47.194.894 Steeps au total]
Mentions particulières : Pas d'explosif du début à la fin.
Statut : Pas encore faite
Il y avait du bruit dans le plafond. Une sorte de grattement interrompu d’une bête qui traînait là. C’était à peu près similaire pour Metellos. A peine arrivées, les forces de la guilde se confrontèrent à un début de révolution. Eux n’étaient pas là pour ça de toute manière …
-Cargo non-identifié, ici douane orbitale, déclarez votre chargement.
Le pilote du cargo se retourna vers l’équipe, cherchant quoi répondre. Les regards se tournèrent vers la femme dans un coin du cockpit. Vêtue d’une capuche qui recouvrait presque entièrement son visage, elle hocha la tête positivement. Le pilote se retourna prestement et transmis son chargement.
-Cargo YT 555-69, nous sommes l’équipe de nettoyeur. Parait que vous avez des ennuis dans vos égouts. Nous sommes une petite dizaine et nous ne transportons que notre matériel. Pas d’explosif comme convenu. Terminé.
Un long silence s’engouffra dans le vaisseau. Ils attendirent pendant que les scanners de la planète vérifiaient les dires du pilote. Voilà pourquoi il ne fallait pas mentir aux autorités, elles savaient toujours tout.
-Contrôle à Cargo 555-69, vous n’arrivez pas au meilleur moment. Plusieurs manifestations ont éclaté sur la planète…
Le pilote croisa les bras.
-Toute activité de contrebande est sévèrement punie.
-Cargo 555-69 à contrôle, l’activité de la planète ne nous concerne pas, nous ne vous ferons pas de tord dans les égouts.
Les steeps, si. Si vous pouviez nous indiquer un endroit proche de ces derniers pour nous poser, ce serait bien aimable à vous. Et prévenir la personne en charge de l’annonce, éventuellement.
Le contrôleur acquiesça et leur indiqua une plateforme à l’air libre, loin des activités actuelles et de la forte influence de la « city ». L’endroit où se jetaient les égouts, en soit. C’est donc sans plus d’encombre qu’ils purent débarquer tout le barda. Ils étaient dans la zone « paysanne » de la planète-ville. Du métal de partout, un ciel sombre, une puanteur à couper le souffle. Oui, ils étaient au bon endroit. Ils étaient sur une petite station en surplomb d’une falaise. La plateforme était suspendue dans le vide, accrochée par quelques systèmes de contrepoids sur une arche voutée. Le bâtiment qui desservait la plateforme était tout aussi peu entretenu. Il reliait l’entrée des égouts – qui sortait de la falaise – par une passerelle qui était peut-être la seule qui paraissait stable. Leur position ne pouvait leur permettre d’apercevoir la capitale et les zones de troubles. Personne n’habitait à côté des égouts. Alors qu’ils débarrassaient l’équipement, un homme vint à leur rencontre. Chiffon dans les mains, il débarrassait ses outils de travail vigoureusement. Sa combinaison était sale et aussi vieille que lui. Malgré tout cela, un certain charisme s’échappait de cet homme au visage dégoulinant. Il ne paraissait pas homme à faire des histoires et faisait bien son boulot.
-Bonjour, Travis Maccoy. Merci d’être venu, j’pensais pas qu’on viendrait un jour. Ces foutus bestioles sont nichés à partir d’ici sur tout le réseau et il faut nous en débarrasser. L’annonce était claire, pas d’explosif.
La femme encapuchonnée s’avança.
-Bonjour, à combien estimez-vous le nombre de steeps ?
-Plusieurs dizaines de milliers. Peut-être plus. On en voit plusieurs chaque jours entraînés par le courant qui tombent en contrebas. En parlant de cela. Faites attention au courant dans le premier tronçon. Restez bien sur les bords. Vous avez amené quoi comme matériel ?
Lyana, aidé par un des agents du Maelstrom sortirent une sorte de tourelle E-web. Il jeta un coup d’œil vers le type sans lui répondre, continuant le déchargement du cargo.
-Lance-flamme, blaster et autres armes, pas d'explosif. Nous allons faire des tests. Des collègues à nous vont nous prêter main forte. Faites en sorte qu’ils arrivent sans encombre.
L’autre hocha la tête et les invita à le suivre. La femme ne broncha pas. Un certain professionnalisme ressortait de cette dernière, et une aura pigmentée d’obscurité, pour les sensitifs qui pouvaient le percevoir. Lyana s’approcha d’elle quand l’homme retourna à ses occupations.
-Alyxa, comment tu veux procéder ?
-On attend le reste des premières troupes. Allons d’abord inspecter ces égouts.
-Cargo non-identifié, ici douane orbitale, déclarez votre chargement.
Le pilote du cargo se retourna vers l’équipe, cherchant quoi répondre. Les regards se tournèrent vers la femme dans un coin du cockpit. Vêtue d’une capuche qui recouvrait presque entièrement son visage, elle hocha la tête positivement. Le pilote se retourna prestement et transmis son chargement.
-Cargo YT 555-69, nous sommes l’équipe de nettoyeur. Parait que vous avez des ennuis dans vos égouts. Nous sommes une petite dizaine et nous ne transportons que notre matériel. Pas d’explosif comme convenu. Terminé.
Un long silence s’engouffra dans le vaisseau. Ils attendirent pendant que les scanners de la planète vérifiaient les dires du pilote. Voilà pourquoi il ne fallait pas mentir aux autorités, elles savaient toujours tout.
-Contrôle à Cargo 555-69, vous n’arrivez pas au meilleur moment. Plusieurs manifestations ont éclaté sur la planète…
Le pilote croisa les bras.
-Toute activité de contrebande est sévèrement punie.
-Cargo 555-69 à contrôle, l’activité de la planète ne nous concerne pas, nous ne vous ferons pas de tord dans les égouts.
Les steeps, si. Si vous pouviez nous indiquer un endroit proche de ces derniers pour nous poser, ce serait bien aimable à vous. Et prévenir la personne en charge de l’annonce, éventuellement.
Le contrôleur acquiesça et leur indiqua une plateforme à l’air libre, loin des activités actuelles et de la forte influence de la « city ». L’endroit où se jetaient les égouts, en soit. C’est donc sans plus d’encombre qu’ils purent débarquer tout le barda. Ils étaient dans la zone « paysanne » de la planète-ville. Du métal de partout, un ciel sombre, une puanteur à couper le souffle. Oui, ils étaient au bon endroit. Ils étaient sur une petite station en surplomb d’une falaise. La plateforme était suspendue dans le vide, accrochée par quelques systèmes de contrepoids sur une arche voutée. Le bâtiment qui desservait la plateforme était tout aussi peu entretenu. Il reliait l’entrée des égouts – qui sortait de la falaise – par une passerelle qui était peut-être la seule qui paraissait stable. Leur position ne pouvait leur permettre d’apercevoir la capitale et les zones de troubles. Personne n’habitait à côté des égouts. Alors qu’ils débarrassaient l’équipement, un homme vint à leur rencontre. Chiffon dans les mains, il débarrassait ses outils de travail vigoureusement. Sa combinaison était sale et aussi vieille que lui. Malgré tout cela, un certain charisme s’échappait de cet homme au visage dégoulinant. Il ne paraissait pas homme à faire des histoires et faisait bien son boulot.
-Bonjour, Travis Maccoy. Merci d’être venu, j’pensais pas qu’on viendrait un jour. Ces foutus bestioles sont nichés à partir d’ici sur tout le réseau et il faut nous en débarrasser. L’annonce était claire, pas d’explosif.
La femme encapuchonnée s’avança.
-Bonjour, à combien estimez-vous le nombre de steeps ?
-Plusieurs dizaines de milliers. Peut-être plus. On en voit plusieurs chaque jours entraînés par le courant qui tombent en contrebas. En parlant de cela. Faites attention au courant dans le premier tronçon. Restez bien sur les bords. Vous avez amené quoi comme matériel ?
Lyana, aidé par un des agents du Maelstrom sortirent une sorte de tourelle E-web. Il jeta un coup d’œil vers le type sans lui répondre, continuant le déchargement du cargo.
-Lance-flamme, blaster et autres armes, pas d'explosif. Nous allons faire des tests. Des collègues à nous vont nous prêter main forte. Faites en sorte qu’ils arrivent sans encombre.
L’autre hocha la tête et les invita à le suivre. La femme ne broncha pas. Un certain professionnalisme ressortait de cette dernière, et une aura pigmentée d’obscurité, pour les sensitifs qui pouvaient le percevoir. Lyana s’approcha d’elle quand l’homme retourna à ses occupations.
-Alyxa, comment tu veux procéder ?
-On attend le reste des premières troupes. Allons d’abord inspecter ces égouts.