- sam. 8 avr. 2017 21:22
#27275
1er compte : Scott Knox as Erwin Freeman
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Suite des tests de conversion turbolasers / extraction minière sur X 401 F
Après l'estimation correcte des frais de cette conversion minière sur 2 turbolasers d'1 X 401F, on procéda donc aux modifications techniques, ce qui ne fut pas non plus de tout repos puisque la T.I.M.E ne possédait pas les schémas de montage des circuits d'alimentation de l'arme, il fallut donc procéder à petits pas, analysant ,
répertoriant et mémorisant l'ordre d'assemblage de la tourelle.
S'en suivit des centaines de simulations avant l'essai final afin de vérifier que les calculs de charge soient corrects et que la structure même des canons ne fondent pas sous l'effet de la chaleur prolongée et intense. On pensa même à joindre à la tourelle, un gaz inerte pour le refroidissement, en cas de surchauffe extrême, si les paramètres thermiques s'affolaient...
Au début, on commencerait d'abord par une seulement et à quai, la tourelle en question serait donc démontée soigneusement hors du navire, dans un banc d'essai sécurisé et souterrain, au cas où une surcharge entraînerait une explosion. Aucune personne ne serait à proximité de l'engin, tout se ferait à distance.
Ensuite le lieu de l'essai fut choisi, au fond d'une mine abandonnée, (re)creusée pour abriter l'arme montée sur un rail et si, au bout du tunnel de 10 kilomètres, la roche était pulvérisée, personne ne serait atteint, puisque déjà on se situait à 30 mètres de profondeur. De même qu'on vérifia avec plusieurs sondes, qu'aucune poche d'eau, de gaz, de lave ou tout élément pouvant affecter les essais, n'environnaient le site. D'après les résultats des sondes, de la roche dure et ce, sur plusieurs centaines de kilomètres autour.
Après plusieurs semaines de préparation, tests, vérifications et sur-vérifications, le jour J arriva...Au bout des 10 km de tunnel, se trouvait un panneau blindé de 20 m2 d'une épaisseur d'un mètre, monté sur un support et fiché dans la roche.
Le technicien, responsable du tir, mit en marche le collimateur laser de visée de la tourelle, zooma jusqu'à sa cible. L'engin indiquait 20% de la portée, une fois verrouillé, la puissance commença à grimper dans les circuits et accumulateurs de la tourelle...5%...10%...30%...60%...Température stable, puissance nominale, tout allait bien...80%...95%...Les panneaux blindés descendirent sur le pas de tir, une sirène d'alerte et des girophares en action prévinrent du tir imminent...A 100%, l'ordre de tir fut donné !
Une puissante décharge fusa du canon modifié, à la différence, que celle-ci se prolongea durant 10 secondes comme un chalumeau géant et dévastateur. Dehors, les senseurs de température indiquaient un pic de 800° changeant la couleur de la roche environnante du gris marron à un rouge sombre.
Des caméras et senseurs enregistrèrent tout l'essai jusqu'à l'impact, ce qui permit de décomposer à très grande vitesse toutes les étapes cruciales car, en réalité, il s'était écoulé qu'1 seconde entre le tir et son point d'impact et au vu des résultats, c'était plutôt très probant ! Le panneau blindé fut atteint à sa surface qui se liquéfia au bout de la 3ème seconde, 3 autres secondes furent nécessaires pour percer le mètre de blindage, les 4 autres restantes agrandirent le point d'impact d'environ 50% soit un trou de 10m2 au total...C'était une réussite !
Une ventilation du couloir de tir ramenèrent la température ambiante et le canon à un niveau normal au bout d'une minute...Par la suite, pour obtenir un rendement maximal entre excavation et refroidissement, on étendrait le processus de conversion à plusieurs tourelles afin que chacune d'entre elles puisse suffisamment refroidir entre deux tirs et puis...Dans l'espace, la température négative environnante allait servir cet objectif.
Plusieurs semaines furent encore nécessaires pour confirmer tous les essais, on combina jusqu'à trois tourelles travaillant de manière synchrone, chacune d'entre elle, envoyant sa salve puis refroidissant et ainsi de suite. Le fond de la mine fut ainsi "creusé", sans qu'il y ait d'explosion destructrice, uniquement par la lumière et la chaleur de l'impact prolongés.
Ne restait plus ensuite que l'essai en grandeur nature ! Désormais, on en savait beaucoup plus sur l'assemblage des tourelles des X 401 F !
On prévu donc de remonter ces trois tourelles modifiées sur le X 401 F "test" qui fut prêt en 15 jours. Après avoir déterminé une zone cible, le vaisseau décolla...Il repéra une colonie d'astéroïdes, les cibla et ...les transforma en chaleur en lumière pour en récolter les ressources indispensables...C'était un grand pas en avant vers l'indépendance technologique qui avait été franchi-là !
Au M.J : Demande de validation du procédé d'extraction minière (conversion de turbolasers en lasers d'extraction minière)
Puisque les 30.000.000 CR initiaux (recherche + essais) ont été validés...
A combien va se monter la modification en série pour chaque X 401 F ? 3.000.000 CR / tourelle modifiée ??
Après l'estimation correcte des frais de cette conversion minière sur 2 turbolasers d'1 X 401F, on procéda donc aux modifications techniques, ce qui ne fut pas non plus de tout repos puisque la T.I.M.E ne possédait pas les schémas de montage des circuits d'alimentation de l'arme, il fallut donc procéder à petits pas, analysant ,
répertoriant et mémorisant l'ordre d'assemblage de la tourelle.
S'en suivit des centaines de simulations avant l'essai final afin de vérifier que les calculs de charge soient corrects et que la structure même des canons ne fondent pas sous l'effet de la chaleur prolongée et intense. On pensa même à joindre à la tourelle, un gaz inerte pour le refroidissement, en cas de surchauffe extrême, si les paramètres thermiques s'affolaient...
Au début, on commencerait d'abord par une seulement et à quai, la tourelle en question serait donc démontée soigneusement hors du navire, dans un banc d'essai sécurisé et souterrain, au cas où une surcharge entraînerait une explosion. Aucune personne ne serait à proximité de l'engin, tout se ferait à distance.
Ensuite le lieu de l'essai fut choisi, au fond d'une mine abandonnée, (re)creusée pour abriter l'arme montée sur un rail et si, au bout du tunnel de 10 kilomètres, la roche était pulvérisée, personne ne serait atteint, puisque déjà on se situait à 30 mètres de profondeur. De même qu'on vérifia avec plusieurs sondes, qu'aucune poche d'eau, de gaz, de lave ou tout élément pouvant affecter les essais, n'environnaient le site. D'après les résultats des sondes, de la roche dure et ce, sur plusieurs centaines de kilomètres autour.
Après plusieurs semaines de préparation, tests, vérifications et sur-vérifications, le jour J arriva...Au bout des 10 km de tunnel, se trouvait un panneau blindé de 20 m2 d'une épaisseur d'un mètre, monté sur un support et fiché dans la roche.
Le technicien, responsable du tir, mit en marche le collimateur laser de visée de la tourelle, zooma jusqu'à sa cible. L'engin indiquait 20% de la portée, une fois verrouillé, la puissance commença à grimper dans les circuits et accumulateurs de la tourelle...5%...10%...30%...60%...Température stable, puissance nominale, tout allait bien...80%...95%...Les panneaux blindés descendirent sur le pas de tir, une sirène d'alerte et des girophares en action prévinrent du tir imminent...A 100%, l'ordre de tir fut donné !
Une puissante décharge fusa du canon modifié, à la différence, que celle-ci se prolongea durant 10 secondes comme un chalumeau géant et dévastateur. Dehors, les senseurs de température indiquaient un pic de 800° changeant la couleur de la roche environnante du gris marron à un rouge sombre.
Des caméras et senseurs enregistrèrent tout l'essai jusqu'à l'impact, ce qui permit de décomposer à très grande vitesse toutes les étapes cruciales car, en réalité, il s'était écoulé qu'1 seconde entre le tir et son point d'impact et au vu des résultats, c'était plutôt très probant ! Le panneau blindé fut atteint à sa surface qui se liquéfia au bout de la 3ème seconde, 3 autres secondes furent nécessaires pour percer le mètre de blindage, les 4 autres restantes agrandirent le point d'impact d'environ 50% soit un trou de 10m2 au total...C'était une réussite !
Une ventilation du couloir de tir ramenèrent la température ambiante et le canon à un niveau normal au bout d'une minute...Par la suite, pour obtenir un rendement maximal entre excavation et refroidissement, on étendrait le processus de conversion à plusieurs tourelles afin que chacune d'entre elles puisse suffisamment refroidir entre deux tirs et puis...Dans l'espace, la température négative environnante allait servir cet objectif.
Plusieurs semaines furent encore nécessaires pour confirmer tous les essais, on combina jusqu'à trois tourelles travaillant de manière synchrone, chacune d'entre elle, envoyant sa salve puis refroidissant et ainsi de suite. Le fond de la mine fut ainsi "creusé", sans qu'il y ait d'explosion destructrice, uniquement par la lumière et la chaleur de l'impact prolongés.
Ne restait plus ensuite que l'essai en grandeur nature ! Désormais, on en savait beaucoup plus sur l'assemblage des tourelles des X 401 F !
On prévu donc de remonter ces trois tourelles modifiées sur le X 401 F "test" qui fut prêt en 15 jours. Après avoir déterminé une zone cible, le vaisseau décolla...Il repéra une colonie d'astéroïdes, les cibla et ...les transforma en chaleur en lumière pour en récolter les ressources indispensables...C'était un grand pas en avant vers l'indépendance technologique qui avait été franchi-là !
Au M.J : Demande de validation du procédé d'extraction minière (conversion de turbolasers en lasers d'extraction minière)
Puisque les 30.000.000 CR initiaux (recherche + essais) ont été validés...
A combien va se monter la modification en série pour chaque X 401 F ? 3.000.000 CR / tourelle modifiée ??
2nd compte : Jean Dagger (1er Conseiller FéDération, pnj)
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