L'Astre Tyran

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Monde lacustre, merveille de la Nouvelle République, Naboo est partagée par les Humains et les Gungans. Il est possible de traverser la planète via son noyau grâce à d'immenses grottes sous-marines abritant des espèces uniques dans toute la galaxie.
Gouvernement : Nouvelle République
#31492
Taniah apprécia le vaisseau et elle semblait familière avec un tel engin...

Humble, le mot est bas... Il est sublime, je n'en attendais pas moins venant de toi. J'espère que l'intérieur est aussi ravissant que l'extérieur. Mais avec plaisir très cher, je sais piloter une large gamme de vaisseau mais je préfèrerai vous voir manœuvrer ce bijoux de technologie et de luxe.

Elle afficha son envie d'en savoir plus...

Et bien, j'ai hâte de tout découvrir mais ne m'en dites pas plus cela cacherait le plaisir de la recherche. J'espère tomber sur quelques bonnes surprises...

Graham appuya sur un bouton de la console et fit apparaître un droïde sonde RM2020, je te présente "Merlin", sans lui, je perdrais beaucoup de temps dans l'exploration minière mais il me rend beaucoup d'autres services !



L'apparition holo dura quelques secondes puis disparut...après un agréable duo de tendresse, la décision de choisir un cap fut laissée libre tandis que Taniah tempérait Graham et suggéra une idée bien agréable...


Si je ne me trompe pas ce genre de vaisseau est équipé de jacuzzi. Je serai ravie de me détendre un peu après la course effrénée que nous avons faites.
[/b]

Elle explora le vaisseau et trouva l'objet de sa quête, une vasque assez grande pour contenir deux personnes, aucune paroi ne semblait retenir les projections aquatiques à venir, par contre des poignées chromées rabattables permettaient de sortir de celle-ci aisément ou...de s'y accrocher pour une...disons...activité physique de nature exceptionnelle !

Graham sentit son émotion l'envahir quand Taniah lui demanda de descendre sa fermeture éclair, il s'executa et observa attentivement chaque parcelle bleutée qui se révélait à lui :


- Maintenant, je sais pourquoi le bleu est ma couleur préférée !

Elle sortit en le gratifiant d'un baiser, à son tour, il tomba la veste et le reste...



Graham tu es prêt ? Tu en mets du temps...

Malgré le fait qu'il avait dépassé la quarantaine, son mode de vie, les exercices réguliers, lui donnaient une silhouette athlétique, se dégageait de Graham, une force tranquille, renforcée par une adaptation peu commune aux événements imprévus. Le tout, donnait un cocktail d'assurance et de charme tout à fait masculins. Il se retrouva torse nu, ne gardant sur lui que son sous-vêtement...

Il trempa son doigt dans l'eau du jacuzzi :

- La température est excellente...Regardant la jeune femme...Tu es à croquer, il prit place à ses côtés et caressa ses cheveux noirs, sa nuque, puis du revers du doigt, parcourut le cou, la rondeur d'un sein, frôlant son azimut charnu, descendant vers le ventre et obliquant vers le dessus de la jambe jusqu'au dessus du genou...Le tout donnait une sensation de glisse voluptueuse, stimulant les terminaisons nerveuses sensibles, comme une onde parcourant la jeune femme.

Graham la regarda puis l'embrassa passionnément et après quelques secondes d'échange(s) :
- J'ai soif de sentir ta peau contre la mienne, tu n'as cessé, sans le vouloir, d'aiguiser mes sens, regarde quel beau mélange nos corps peuvent réaliser...Il lui prit la main, mêla ses doigts aux siens...Nos corps peuvent ainsi accomplir toute une fresque, aimerais-tu l'esquisser et la dessiner maintenant ou préfères-tu goûter aux plaisirs aquatiques ??

Le choix fut laissé la charmante Taniah.
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By Ariès
#31522
Le centre de toute son attention était enfin arrivé après d'interminables secondes qui parurent être des heures. Tout semble tellement plus rapide lorsque l'on est impatient de découvrir quelque chose. Surtout lorsque ce "quelque chose" n'est autre que le physique attrayant voir magnétique de son partenaire.
Petit à petit Graham sortit de la pénombre, laissant la pièce sombre qui se trouvait derrière lui, passant des ténèbres à la lumière. Illuminant l'atmosphère de la pièce de sa présence si masculine et si rassurante.
Pas après pas les yeux écarlates de Taniah se faisaient plus intéressés, plus gourmands, elle ne voulait pour rien au monde perdre la moindre miette de l'œuvre d'art qui se dévoilait sous ses yeux.

L'homme d'affaires n'était certes plus aussi jeune mais Graham n'était pas sans reste, il avait réussit à garder un corps semblable aux sculptures Grecques. Un vrai Apollon, d'on chaque courbe, chaque muscle était parfaitement dessiné. S'il n'avait pas travaillé dans le secteur minier, il aurait très bien pu poser en tant que modèle. Il aurait aussitôt fait fondre le cœur des nobles Dames tout comme les amatrices de modes.
S'ils s'étaient rencontrés sur Têta peu être auraient-ils posés ensemble pour le plus grand plaisir de la Couturière Royale. Et l'agente savait pertinemment qu'ils auraient fait sensation cela ne faisait aucun doute. C'était une évidence.
La surprise avait été de taille et cela encourageait l'agente à se lancer à la découverte d'autre surprise tout aussi intéressante et croustillante que celle-ci.

Trêve d'admiration, il était temps pour elle ou plutôt pour nos deux tourtereaux de profiter du jacuzzi pour se relaxer à moins que ce ne soit pour s'admirer d'un peu plus prêt...
Par précaution l'humain trempa le bout de son index dans la vasque, vérifiant si la température n'était pas trop chaude.

La température est excellente

Elle afficha un sourire amusé qui voulait en dire long.

Je suis sur que nous arriverons à faire monter la température...

Un énième échange de regard, un échange ardent mais la température pouvait encore monter. Le point de nom retour n'était pas encore atteint, il manquait encore quelques braises, quelque degrés pour lancer définitivement l'incendie.

Tu es à croquer

Il faut être sage pour pouvoir me croquer...


L'eau était à la température idéale, tout était parfait. Elle pouvait profiter de la chaleur du jacuzzi tout en se délectant de la vue qui s'offrait à elle.
L'homme d'affaires prit place à côté de Taniah, ses mains caressèrent ses cheveux noirs ébènes puis commencèrent un périlleux voyage. Débutant leur périple sur la nuque bleu océan, passant par le cou d'on le sang chaud pulsait avec ardeur. Elles 'escaladèrent' lentement le premier 'obstacle' qu'elles croisèrent avant de dévaler lentement la 'montagne bleu' jusqu'à un terrain plus plat. De vrais aventurières ces petites mains. Elles n'avaient pas finit leur voyage pour autant, quittant le ventre fin et musclé de l'agente. Pour finir leur périple sur le genou, elles avaient été aventureuses et s'étaient faites le plaisir de laisser une légère sensation de picotement partout ou elles étaient passés.

Ariès avait de quoi être stimulée mais elle tenue bon. Elle devait tenir jusqu'à ce qu'un torrent bouillonnant de désir les emportes. Graham continua à faire monter la température l'embrassant avec passion, les mains, les langues, les corps entremêlés. Il venait prendre la place de l'agente, attisant lui même le feu qui commençait à se propager dans le creux du ventre de Taniah.
Elle se devait de conserver la balle dans son camp, elle réprimanda sa moitié avec gentillesse.

J'avais dit qu'il fallait être sage Graham... Et voilà que tu m'explores sans ma permission. Ce n'est pas bien ...

- J'ai soif de sentir ta peau contre la mienne, tu n'as cessé, sans le vouloir, d'aiguiser mes sens, regarde quel beau mélange nos corps peuvent réaliser..

L'étreinte se refermait sur leur doigt, les corps n'avaient jamais été aussi proches.

Nos corps peuvent ainsi accomplir toute une fresque, aimerais-tu l'esquisser et la dessiner maintenant ou préfères-tu goûter aux plaisirs aquatiques ??

Le charmant gentleman lui laissait le choix mais il en sera autrement. L'Impériale se devait de mener la danse.

Et bien comme tu n'as pas été sage... Tu vas devoir me masser le dos pour te faire pardonner. Et attention ou tu mets les mains, je pourrais.... mordre...


Elle se mit dos à Graham une nouvelle fois. D'un geste habile de la main droite, elle tira l'attache de son soutien-gorge noir. Le laissant glisser le long de la poitrine avant de le voir lentement entamer sa descente au fond de la vasque.
Sa tête était accoudée sur le rebord de celle tendit que ses mains s'accrochaient aux rambarde pour ne pas laisser son corps glisser.
L'homme d'affaire devait fulminer, il savait se qu'il se tramait mais il ne pouvait voir ce qu'il avait si brièvement touché. Savoir qu'il devait prendre sur lui était grisant, ainsi soit-il.
Il serait obligé de se plier au bon vouloir de l'agente, il ne pouvait que deviner les formes si ses mains se faisaient baladeuses mais encore faut-il que monsieur soit discret.
Graham n'avait que comme "lot de consolation" le dos nue de l'Impériale, c'était déjà ça.
Ce n'était qu'un avant gout de la suite à venir, un hors d'œuvre si l'on pouvait dire. Un hors d'œuvre qui le laissait sur sa faim.
#31526
Taniah se révéla encore plus séduisante et plus désirable

Je suis sur que nous arriverons à faire monter la température...Il faut être sage pour pouvoir me croquer...

Et après la 1ère tentative de déstabilisation amoureuse...

J'avais dit qu'il fallait être sage Graham... Et voilà que tu m'explores sans ma permission. Ce n'est pas bien...Et bien comme tu n'as pas été sage... Tu vas devoir me masser le dos pour te faire pardonner. Et attention ou tu mets les mains, je pourrais...mordre...

Ainsi elle voulut reprendre le dessus en se mettant sans dessous ou presque...livrant ainsi son dos nu aux mains expertes de Graham. Ne se démontant pas, il allait lui montrer de quoi il était capable !

Se frottant les mains avec une huile hydratante, la friction créea une chaleur plus élevée pour accompagner la sensation apaisante de l'eau...Le spectacle était des plus suggestifs, quand il vit le soutien gorge couler dans l'élément liquide, cet accessoire fragile, délicat, livré à lui-même, résumait bien la situation où l'essence des sens s'enflammait !

Quand il fut prêt, Graham massa avec douceur et fermeté le dos bleuté, passant de la nuque, aux épaules, en passant par les omoplates, en s'attardant sur chaque vertèbre, pour la relaxer. Il y prenait un grand plaisir aussi...Evidemment, ces contacts prolongés firent obliquer sa droite, heureusement qu'Ariès n'avait pas d'yeux derrière elle !


- Alors chère Taniah ? Apprécies-tu cette détente et ce n'est qu'un début ! Te masser avec les mains est à la portée du premier amant venu mais avec le poids du corps, ce sont d'autres sensations...Veux-tu essayer ?

Lui dit-il d'un air coquin.
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By Ariès
#31568
Ce post contient des scènes explicites ou de nature à choquer.



Taniah savait-elle qu'elle jouait à un jeu dangereux ? Au vu de son visage victorieux il était peu probable que cela soit ainsi. Elle menait la danse, chaque pas se faisait plus dangereux, plus hésitant mais chaque réussite lui procurait un plaisir certain.
Hélas pour Ariès son inexpérience dans ce domaine n'allait pas tarder à lui brûler les ailes et à ce moment précis. L'Impériale serait à la merci de l'homme d'affaires qu'elle avait osé défier toute ignorante qu'elle était...
Graham pouvait se féliciter d'avoir la possibilité de manipuler cette belle et fraîche rose, il allait pouvoir désormais être le chef d'Orchestre. Mais il devait rester sur ses gardes, les roses piquent.

Posant avec une infinie douceur ses mains sur le dos azuré de l'agente, il fit tout ce qui était en son pouvoir pour la rendre à l’aise.
Celui-ci débuta par une technique de mouvements intuitifs massant l’intégralité du dos . Ses gestes étaient fort agréables et surtout appréciés par la jeune femme qui lâcha à de nombreuses reprises un soupir d'aise.
La Chiss s'aperçue assez rapidement que Graham connaissait son affaire, il ne devait pas être à son premier coup d'essais. Se sentant donc en confiance et le bienêtre absolu aidant, Taniah s’abandonna au toucher agréable de ses mains expertes sur sa peau. Restant immobilisée dans son cocon chaud et confortable, son esprit s’égara, elle se mettait à rêver… à fantasmer de la suite des opérations.

Mais elle ne pouvait cacher le fait qu'elle soit un peu refroidie, elle s’attendait à des mains plus baladeuses venant de sa part. Mais, rapidement, elle suivit sa technique et le cheminement de ses gestes sur son corps.
Bien qu’à présent, rien ne lui laissait présager une quelconque caresse, elle resta à l’affût du moindre signe de caresses sensuelles. L'huile hydratante et parfumée ne tarda pas à embaumer l'air d'une délicieuse odeur.
Les mains expertes de Graham passèrent le moindre centimètre carré de sa peau dénudée au peigne fin. Nuque, épaules, omoplates, vertèbres pour finir par un contact prolongé sur le haut des hanches. Elle frissonna ressentant la pression qu'exerçaient les doigts de Graham sur celles-ci.
Mais ne voulant pas gâcher le plaisir que pourrait procurer les mains de l'homme d'affaires lorsqu'elles se désireraient de partir à l'assaut de son buste ; l'agente décida de remettre en place son soutien-gorge. L'attrapant du bout de l'index, le remettant en place avec aisance.

- Alors chère Taniah ? Apprécies-tu cette détente et ce n'est qu'un début ! Te masser avec les mains est à la portée du premier amant venu mais avec le poids du corps, ce sont d'autres sensations...Veux-tu essayer ?


Il ne ménageait rien pour la surprendre et elle confessa dans son for intérieur que, cette fois-ci Taniah ne l’avait pas vu venir. Avec une extrême lenteur les ailes de l'agente se consumaient sans que celle-ci puisse se rendre compte de la chute qui l'attendait. Sans hésiter, Ariès se plia de bonne grâce à ses dires. Elle était curieuse de voir jusqu’où Graham était prêt à aller pour la faire fondre. La danse se faisait plus dangereuse, plus serrée et au mépris du danger, elle continua à le provoquer, le tenter...

La beauté des formes qui parent ton buste surpasses celles des plus belles statues, j'éprouverai un plaisir certain à sentir ton torse finement sculpté me masser le dos...






Son histoire de massage avec le poids du corps avait semé le doute dans son esprit. Premier signe avant coureur de la défaite qui allait être la sienne. Une défaite chaude et cuisante... L'homme d'affaires ne se fit pas prier et empoigna de ses mains la taille de l'agente avec tendresse, collant par la même occasion son buste musculeux contre le dos délicat de la Chiss. Premier coup de pinceau de la part des deux tourtereaux, il n'y avait plus de retour en arrière possible une fois la fresque débuté. Impossible pour le duo de s'arrêter, le contact si anodin venait de faire monter encore une fois la température de quelque degrés. Le point de non retour venait d'être atteint, la chaleur ne redescendrait pas tant que l'œuvre ne serait pas achevée.

Ariès sentit une vague de chaleur parcourir son corps tout entier. Son esprit tenta de comprendre ce qu'il se passait, mais tout allait si vite. Un chatouilleux désir venait de s'emparer d'elle, sa dernière plume venait de se consumer. L’effet de surprise était total, mais Taniah était entièrement paralysée par la timidité. Elle n’arrivait pas à composer avec ce qui lui arrivait. Sa tête ne suivait certainement pas son corps maintenant bouillonnant, qui commençait à lui envoyer des ondes de plaisir se confondant entre le malaise et l'excitation.

Vite de l'air, de l'air !

Elle avait l'impression d'étouffer sous l'effet de la chaleur qui émanait de son sang en fusion.
La Chiss reprit son souffle embrassant l'humain dans un baiser sauvage d'on seule elle avait le secret. Un bouche à bouche passionné ou langues, mains et corps s'entremêlaient.
La main de Graham descendit le long de son dos, le long de ses courbes et firent s'envoler le peu de résistance qui pouvait encore lui rester.
L'Impérial venait de perdre le contrôle, impossible d'être raisonnable face à la fougue qui l'emporte.
Taniah s'écarta brièvement de lui, plongeant pendant un instant ses deux rubis dans les yeux de Graham. Elle y lisait désormais du désir, un désir ardent, un incendie.

L'agente sentait sa respiration plus saccadée. Le torse des deux "inconnus" était désormais pressé l'un contre l'autre, partageant leur chaleur malgré les tissus qui les séparaient encore. Ce peau à peau électrisa l'épiderme de Taniah, lui arrachant un frison.
Ariès sentit une main glisser vers l'attache de son soutien-gorge, la poitrine bleu océan était maintenant sans protection. A peine avait-elle été libérée qu'une main fonda sur l'un de ses deux avant-coeur. Étouffant du mieux qu'elle put un gémissement, elle rejeta la tête en arrière laissant la possibilité à Graham de lui dévorer la nuque avec gourmandise.
Elle profita de la proximité pour lui murmurer quelques mots aux creux de l'oreille avant de titiller le lobe. Tandis qu'elle se laissait se consumer entre ses mains.

Tu me trouvais à croquer...Il est temps pour toi de me dévorer... Mais je peux encore m'arrêter si tu le désires, mais après il sera impossible pour moi de te résister...


Elle lui laissa quelques secondes de répit, elle lui laissait le choix. Au départ... Mais elle voulait garder un souvenir de ce moment...vertigineux.

Ariès ne se retenue qu'une paire de seconde avant de se jeter sur lui. Elle voulait que tout cela continue, qu'il l'emporte. Impossible pour son corps de faire machine arrière.
Taniah offrit de nouveau ses lèvres sans opposer la moindre résistance, tout en reprenant un baiser flamboyant. Elle se faisait un plaisir de gouter à ces lèvres, cette bouche qui lui avait fait de l'œil depuis le début de leur rencontre.
Le contact de sa bouche contre la sienne se révéla absolument délicieux et sublime, la douceur de la bouche de l'humain n’avait d’égale que sa beauté époustouflante.
Graham s'affairait à titiller l'extrémité charnu d'une des deux montagnes bleus, faisant pointer le sommet de la montagne de plus belle.
Il était bien évidement hors de question que l'agente reste là sans réagir. Elle s'empressa de caresser le torse de l'homme d'affaires faisant des gestes à la fois empreints de sensualité et de tendresse.
Elle savait l'humain expérimenté mais comment un homme pouvait-il la caresser avec autant de volupté ? Ses doigts ne semblaient pas vouloir arrêter leur petit manège, alors Taniah fit de même par "vengeance". S'affairant à monter lentement le long des vertèbres du bout de ses doigts jusqu'à les enfoncer lentement dans sa peau beige de quoi le faire trembler.
Eve n'était pas rassasiée pour autant, elle se devait de faire vaciller Graham au bord du gouffre, Eve se devait de le précipiter dans sa chute.

Ariès devait jouer avec les pulsions de son amant c'était plus fort qu'elle, c'était instinctif même. Plus un mot ne s'échappait de leur bouche, ils ne communiquaient plus que part un contact physique brûlant. Afin de mettre définitivement le feu aux poudres l'agente décida de faire quelque chose qu'elle qualifierait de osée. Tout en se pressant de plus belle contre son âme-sœur, elle balança avec douceur ses hanches de droite à gauche faisant rentrer en contact son mont d'Eve encore protégé par le fin tissu contre le bassin de son conjoint. Elle ne tarda pas à sentir un feu crépiter dans le creux de ses reins, pour vu que Graham ressente la même chose... Pour vu qu'il cède et tombe à son tour dans cet abîme flamboyant qui se chargeait d'entretenir cet ardent désir qui consumait la jeune femme.
#31573
Ce post contient des scènes explicites ou de nature à choquer.


Il est des moments où la rencontre entre un homme et une femme arrive à son point culminant, un azimut de sensation(s), de tendresse, d'embrasement physique, psychique et spirituel...Là, où l'âme, l'esprit et le corps ne font plus qu'un...Graham se laissait conduire, lui aussi par sa passion, son instinct, son énergie, il n'était plus question de mots, d'intentions ou d'attentions mais d'action(s)...

Le fait de couvrir une plus grande surface et massant désormais toute la partie arrière de la jeune femme, le stimulait et il ressentait aussi un émoi certain s'emparer et faire tomber les dernières défenses de Taniah...Mais pouvait-on encore parler de "défenses" ? Mais plutôt de voiles émotionnels et psychologiques pudiques dont l'intellect se pare pour canaliser, par ses rênes, un cheval sensuel désormais presque hors contrôle !

Quand elle se retourna vivement, Graham la saisit à pleine taille et ce face-à-face où chacun montrait le feu de la passion qui l'oppressait intérieurement, necessitait encore une montée en puissance afin de se consumer par un élan commun en une union intime. Elle eu encore la force de sussurer...


Tu me trouvais à croquer...Il est temps pour toi de me dévorer... Mais je peux encore m'arrêter si tu le désires, mais après il sera impossible pour moi de te résister...

Graham ne lui laissa pas le choix, goûtant à ses lèvres, à ses dunes jumelles surmontées d'une auréole et d'un téton bleu nuit, disparurent sous sa bouche gourmande, pour y aspirer la source du désir qui émanait, non, irradiait de son amante. Taniah répondit à ce doux assaut par un mouvement de collision avec son bassin, désormais, il était impossible de camoufler son désir, dardant avec insolence, dont la tête armée était en recherche de sa cible.

L'appel avait été lancé, les deux bassins se joignirent pour un contact préliminaire, ce qui provoqua la même réaction que deux extrémités aux pôles opposés, une attraction inévitable, sans heurts, consentie...désirée...attendue...Graham fit alors glisser d'une main le dernier rempart cachant son intimité virile et...baissant un peu son bassin, s'engagea doucement dans l'intimité qui s'offrait à lui.

Pour les deux, ce fut comme une lente descente dont la pente ne fait que s'accentuer, accélérant le traîneau où les passagers s'étaient embarqués mais seule, désormais l'ivresse sensorielle comptait, rien d'autre !

Savourant chaque seconde, il respirait plus profondémment afin de garder le contrôle et grâce aux poignées présentes dans la vasque, il put plus facilement prendre appui pour aller jusqu'au fond de l'espace intime si...accueillant.

Graham se hasarda à regarder de nouveau Taniah pour ressentir à tout niveau son bonheur, de la voir telle qu'elle se livrait, elle-même, libre, sans retenue. Il allait, il venait, donnant des coups de reins réguliers, profonds, la sondant au plus loin tout en appuyant sur la zone de contact avec ses muqueuses en surface...Il savait que là, se trouvait le point sensible. Ainsi, que cela soit au dehors et au-dedans, Taniah était au milieu des étoiles, l'esprit, l'âme et le corps, envahis par les étoiles de la sensualité et de la sexualité aussi.
#31589
L’homme face à elle ne se doutait de rien, et bientôt il tomba dans le piège que les deux jeunes filles avait mise en scène. Un sourire, une parole, et le pauvre baissait déjà la garde. Alayna se rendit alors compte : Il était si simple de manipuler quelqu’un. Jouer sur les attentes, sur les espoirs et les peurs, et le tour était fait. Le bougre n’attendait que d’être remarqué. Tout riche qu’il se présentait, il n’était qu’un gros poisson dans une petite marre et tous ici ou presque le surpasser allégrement. A moins de vingt ans, Alayna était déjà bien plus riche et plus puissante que cet infortuné. Vainement, il tenté de l’impressionner pour espérer une discussion d’égal à égal. Il tentait de grappiller un peu de l’aura de la Grise pour tenter d’impressionner les convives. Aux yeux de la Chandrillienne, il paraissait tout au plus pathétique.

Quand Maya avait demandé à ses deux accompagnatrices de trouver des cibles, Alayna s’était inquiété. Un instant, elle avait trouvé la chose hors propos. Elle ne voulait pas s’abaisser à manipuler les autres. Pourtant, quand la vérité lui éclata aux yeux, aucune émotion ne la troubla. Que faisait-elle si ce n’était joué avec le pauvre homme ? Elle ne lui causerait pas de dommage, et le jeu s’arrêterait vite, mais elle où elle pensait trouver l’une de ses limites naturelles, elle ne découvrit qu’un plaisir sadique. Il était dans son piège. Et la jeune fille ne ressentait ni peine, ni honte. Une étrange satisfaction même. Etait-ce un soulagement quant à ses capacités ? Une fierté ? Le plaisir d’être maîtresse de l’instant ? Ou bien encore, était-ce un plaisir plus intime, plus perturbant. Ne rejetait-elle pas sur cet homme toute la haine que lui avait inspirée Cryus ?

La Chandrillienne n’eut guère le temps de jouer d’avantage avec le vantard que Serena faisait son entrée dans la danse. Son arrivée fut remarqué et remarquable. Le verre se renversa et bientôt, l’alcool se rependit dans la nuque de l’homme. Une odeur caractéristique se dégagea rapidement, se mélangeant au parfum bas de gamme pour donner une senteur acre et nauséabonde. L’homme paru d’abord troublé voir perdu, agitant les bras comme pour faire disparaître ce qui était invisible aux yeux. Puis, lorsque la Pandoran se révéla. La victime de leur petit jeu se retrouva alors empreinte d’une colère qui se lisait sur ses traits. Mais en tant que faible qu’il était, il ne pouvait rien attentait en ses lieux. On ne s’en prenait pas à plus gros que soit. Surtout dans ce genre de réunion.

Alayna se laissa attraper le bras par la jeune fille, et elle se mit à rire en voyant une dernière fois l’homme, rouge de colère, du whisky lui dégoulinant des cheveux. Serena ne l’avait pas loupé et il n’inspirait plus à la Chandrillienne qu’une vague pitié que ses ricanements tenté d’exprimer. Les gloussements était acerbes, moqueurs. Devant la foule, le Naboo venait de se faire ridiculiser par deux jeunes filles n’ayant guère atteint la vingtaine.


Les jeunes filles continuaient à s’éloigner et quittèrent bientôt la grande salle pour des couloirs bien moins occupaient. La Chandrillienne se laissait guider par la Pantoran, sourire aux lèvres. Bientôt, les deux comparses arrivèrent en bordure des jardins du Manoirs. Devant elles se tenaient un magnifique labyrinthe végétal entretenu avec soin. Alors que leur gloussement se calmer, le sourire d’Alayna restait ancrée sur ses lèvres. Après les révélations du Fakegate et la trahison de Cryus, il était bon de rire un peu et de s’amuser. Chaque jour qui passait semblait doucement l’approchait de sa carrière politique et d’un âge adulte trop vite arrivé.
Ses apparitions publiques étaient de plus en plus nombreuses et toujours plus importantes. Ses prises de paroles devenaient chaque jour un peu plus décisives et assumées. Et plus la jeune fille s’enfonçait dans cette voix, moins elle voyait les être comptant le plus pour elle. Maya, Jeny. Plus elle avançait, et plus les rires se faisaient rare. Une seule exception avait existé, et elle avait mené la Chandrillienne à l’un des plus grands complots depuis l’avènement de Palpatine. En dehors de cette période élyséenne marqué d’un vice infernal, la conseillère n’avait guère eut l’occasion de s’amuser ses derniers temps. Pire, depuis la trahison du jeune homme, elle s’était enfermée dans un mélange d’inquiétude, de tristesse et de colère. Alors cette soirée, où les rires allaient bon train était comme un bol d’air pour elle.

« Je suis certaine que nous retrouverions notre chemin, même la dedans. Après tout, ça ne doit pas être plus dur que de jouer avec un naïf. »

Alayna avait un nourrir narquois aux lèvres. Une expression rare sur son visage. L’espièglerie et la moquerie n’était habituellement guère du registre de l’héritière. Mais ce soir, l’habituel avait laissé place à tout autre chose. Une part d’enfance qui avait été enfoui sous le costume de la Conseillère. Une impulsivité et des émotions que Maya lui avait appris à tempérer derrière un masque d’apparat.

La jeune Pandoran lui fit une étrange remarque. Le texte étant empreint d’une distance protocolaire, mais le sous texte était bien plus intime. Avait-elle réellement un esprit intéressant ? Parler et se présenter étaient par contre dans ses cordes. L’indispensable en tant que politicienne. Tout se jouait sur l’image et sur les mots. Dans cet art, les actes comptés bien peu face à une mise en scène maîtriser de bout en bout. L’art de la manipulation à son paroxysme sur une scène où se jouer l’histoire de la galaxie.

Lentement, son interlocutrice s’était rapprochée, sa voix douce se taisant à mesure de son approche. Ses joues se coloraient doucement d’une teinte pale tandis qu’Alayna pouvait sentir l’odeur sucrée du parfum de la jeune fille. L’instant avant une étrangeté nouvelle. Le discours distant tranchait avec la proximité intime des deux corps. Alors qu’elle se rapprochait, Serena dévia de sa course à quelques centimètres des lèvres de la Chandrillienne pour se rapprochait de son oreilles. Ce fut au tour d’Alayna de laisser son masque se fendre et de sentir ses joues chauffer quelques peu.

« Je connais peu de personne capable d’entreprendre comme vous l’avez fait ce soir. »

La jeune fille avait placé son visage face à la Pantoran. Ses yeux azur se plantèrent dans le regard de son interlocutrice.

« Et pour ce que je connais du sujet, la force semble puissante en vous. »

La jeune fille marqua une pause. La force. Ce lien qui avait amené les jeunes filles à se rencontrer. La Chandrillienne l’étudiait, mais bien moins assidument qu’elle l’aurait souhaité. Le plus souvent, elle se contenter de s’immerger dans la force pour se déconnecter de la réalité.

Doucement, la jeune femme pivota pour se tenir face au jardin, mettant ainsi fin au contact entre leurs regards.

« La force n’est guère celle qui m’a inspiré pour ce petit jeu avec notre amie. C’était bien agréable d’utilisé mes talents de politicienne pour jouer ce vilain tour. Et votre utilisation de la force était parfaite. »

La curiosité d’Alayna avait été piqué à vif dès le premier contact et une question lui brulait à présent les lèvres : Etait-elle une Sith ? L’aura de la Pandoran n’avait que peu à voir avec celle d’une grise, ni avec celle d’un jedi comme Kyp. Et en dehors de ses deux voix, la Chandrillienne n’en connaissait qu’une troisième. Celle du côté obscur. Pourtant, un doute la hanté. Elle avait affronté un Sith, et Serena révélait avoir peu en commun avec ce dernier.

Elle aurait aimé poser la question charnière, mais finalement, cela avait-il la moindre importance ? L’obscurité impliquait-elle forcément un affrontement ? Ne pouvait-elle pas dès lors simplement passé une soirée agréable dans ce jardin ? Si Cryus n’avait pas eu besoin d’être Sith pour incarner la traitrise, se pouvait-il alors qu’une Sith ne cherche qu’à s’amuser ? Le questionnement avait un coté absurde : Pour la plupart des citoyens, le même doute subsister à l’égard d’une étoile montante de la politique galactique.

Réalisant l’absurdité de la situation, Alayna se laissa emporter par un élan d’impulsivité et elle attrapa la main de sa comparse avant de la tirait soudainement vers le dédale de verdure. Le pas de la Chandrillienne était à mi-chemin entre la course et la démarche chatoyante. Un large sourire aux lèvres, elle amena sa compagne dans le Labyrinthe végétal. Sur son chemin, elle avait finit la coupe avant de la laissait tomber dans l’herbe.

« Avec nos, talents, nous devrions pouvoir vaincre facillement un simple labyrinthe, n’est-ce pas ? »

Ainsi, les deux jeunes filles avaient commencés à s’enfoncer dans le Labyrinthe ensemble et bientôt, une fois passé le première angle, l’entrée disparue derrière elles. Pour une Chandrillienne, un dédale comme celui-ci était particulièrement symbolique. Sur la planète viticole, les Labyrinthes représentaient la plus terrible de punition pouvant être infligé. Une condamnation particulièrement horrible qui consistait à lâcher le coupable dans un labyrinthe souterrain, sans aucune sortie. L’imaginaire local voulait que le condamné se confronte ainsi à lui-même durant sa lente agonie dans les cavités. Une méditation ante mortem devant l’amenait à la paix.

Plus généralement, les structures de ce type étaient symbole de vérités et de révélations pour les Chandrilliens. Inconsciemment, la symbolique avait peut être amenés Alayna à s’enfermer dans le parcours chaotique avec la jeune sensitive. La Chandrillienne rapprocha ses lèvres de l’oreille de la sensitive, tenant toujours sa main dans la sienne.


« Peut-être qu’il serait plus agréable de laisser tomber le vouvoiement ? Je pense que nous sommes loin du protocole. Et puis, je déteste ce fichue protocole. Ca ne te dérangerai pas de me tutoyer ? »

La question devait être purement rhétorique mais rare était les personnes à tutoyer l’héritière de Chandrila. Celles qui parvenaient à le faire naturellement pouvaient se compter sur les doigts d’une main. Pour les autres, une distance restait malgré la volonté de la Chandrillienne.

Doucement, les jeunes filles s’enfonçaient dans le dédale de plants. Dans leur marche, elle glissait toute deux vers leurs avenirs. Seul celui-ci dirait si la croyance populaire disait vrai. Allait-elle vers des révélations ? Se connaitraient-elles mieux elle-même à la sortie de l’épreuve ? Dans tous les cas, comme pour marquer un lien invisible, Alayna n’avait guère relâché son étreinte sur la main de la Pandoran. A chaque pas, son bras se balançait, comme une enfant partant gaiement s’amuser avec une amie de toujours.
#31593
S'il était une chose à porter au crédit d'Alayna, c'est qu'elle savait fort bien flatter l'ego de son interlocutrice. Et l'orgueil était bien le plus gros défaut qui caractérisait les Sith. De tout temps, les utilisateurs du Côté Obscur avaient toujours pris pour acquis leur supériorité sur autrui. Car après tout, maîtriser un pouvoir aussi brut et dangereux ne pouvait qu'être l'apanage du Fort. Aussi, bien que le compliment, qu'il fut sincère ou non, n'avait probablement pas d'autre but que de conserver une ambiance complice entre les 2 jeunes filles, il eut pour effet de faire pencher la balance en faveur de l'humaine.

La Force est indubitablement puissante en moi, c'est vrai. Mais la Force n'est pas tout.

Ranath lui avait bien appris la leçon et ses quelques lectures du temps de l'académie lui avaient permis de le déduire: un Sith devait être plus que simplement puissant dans la Force. Il devait être rusé, sans pitié, intelligent, prévoyant, manipulateur. Il fallait rester caché dans l'ombre et agir drapé sous l'identité d'un autre, patient tandis que le temps ferait son oeuvre. La Revanche avait pris un millénaire de préparatifs et de complots, et il en faudrait peut-être un autre pour recouvrer ce qu'ils avaient perdu.

Peu importait. L'Ordre se reconstruirait lentement mais surement, grandirait et s'épanouirait à travers les mondes et les hautes sphères. Car le Côté Obscur serait victorieux, cela ne faisait aucun doute. La victoire avait été leur et le redeviendrait, les Jedi, dans leur arrogance, avaient cru avoir vaincu leurs ennemis ancestraux. Cette erreur, cette folie, tels étaient les instruments dont les Sith savaient user.

Tout cela forçait cependant Varadesh à se poser la question de sa présence en ce lieu avec sa compagne. Était-elle venue par désir personnel ou par intérêt? Voulait-elle se servir d'Alayna comme on se servait d'un outil avant de le jeter une fois devenu inutile? Qu'est-ce qui différenciait la jeune adulte de ces criminels dont elle avait pris la vie sur Commenor? Dans les 2 cas elle avait eu à faire à des inconnus après tout, la Chandrillienne ne lui était pas plus familière que le vendeur fou.

Elle fut cependant tirée de ses pensées lorsque la jeune fille l'empoigna sans crier gare avant de la guider à travers le labyrinthe végétal. Une excitation presque juvénile sembla s'emparer du couple tandis qu'elles erraient sans but ni même sans faire mine de chercher véritablement une sortie. Tandis qu'elles marchaient, main dans la main, la Pantoran se rendit compte qu'elle appréciait véritablement cette errance, guidée par une parfaite inconnue.

La ressemblance entre elles était si frappante, toutes deux à peine adultes, toutes deux avaient déjà vécu de terribles tragédies et pire encore, on attendait d'elles qu'elles grandissent sans profiter de leur jeunesse, qu'elles acceptent de lourdes responsabilités. A cet instant, Varadesh songea à la colère qu'elle éprouvait envers Cain et Ranath. Ils l'avaient précipité dans un monde de duplicité, de mensonge, de meurtre et d'ambition démesurée sans même lui demander son avis. Tu as un pouvoir, prétendaient-ils, et tu dois t'en servir. Mais s'étaient-ils préoccupés de ce qu'elle voulait, elle? Pas un instant.

Ce qui les rapprochait était leur solitude complète dans une voie qu'on avait tracé pour elles et sur laquelle n'existait nul repos ni répit. Politique et quête de pouvoir étaient des chemins bien tristes et difficiles à emprunter, et au bout du compte, il n'y avait qu'une seule fin possible à ces choix. Le fardeau était si écrasant, comment donc s'étonner que naisse si vite une complicité et un rapprochement pareils? Le tutoiement n'était que l'étape suivante et logique dans leur relation naissante.

Je ne te tutoie que si tu le fait. Après tout, je ne voudrais pas manquer de respect à Votre Altesse...

Un petit éclat de rire jovial, une moquerie innocente, presque incommodante venant d'une Sith censée toujours garder le contrôle de la situation. Elle avait bien en tête qu'Alayna était l'héritière d'une puissante nation et donc, une marionnette potentielle très alléchante. Mais ce soir, Sith, Jedi, Ordre, Lumière, Obscurité, Pouvoir, tout cela pouvait bien aller au diable. On aurait assez de demain pour repartir dans nos travers habituels. Profitons donc juste le temps d'une soirée que les barrières sociales soient effacées et oublions tout.

Tout ce temps leurs mains étaient restées l'une dans l'autre, comme si aucune ne voulait briser cet instant de tranquillité tacite qui s'était installé entre elles. Finalement, elles parvinrent au bout d'un laps de temps indéterminé au centre du labyrinthe. Le symbolisme était puissant en ce lieu: perdues entre leurs rêves et leurs obligations, elles avaient sauté sur la première occasion de trouver autre chose que ce à quoi elles s'attendaient. Ce qu'elles y avaient trouvé, même elles n'en seraient pas certaines.

Leur course effrénée à travers les couloirs végétaux avaient fait son effet et la Pantoran suait légèrement, dessinant une pellicule fine sur sa peau tandis que la lumière de la lune baignait le visage de l'humaine qui s'était retournée. Les jeunes filles se regardaient sans dire un mot, toujours une main dans l'autre. Un nouveau frisson traversa Varadesh, qui se remémora la dernière fois ou elle avait ressenti ce torrent d'émotions. C'était sur Commenor, lorsqu'elle avait séduit ce criminel pour obtenir ce qu'elle voulait.

Pourtant, rien avec Alayna n'avait été prémédité ni soigneusement établi. Si de l'attraction était née, ça n'avait pas été volontaire. Elle se rendait compte n'avoir aucune envie de jouer avec la Chandrillienne comme elle avait joué avec ses victimes. Avec ce constat lui revint en mémoire le Code: la paix est un mensonge, il n'y a que la passion. Une passion dévorante, insatiable et sans limite, qui exigeait d'être satisfaite, qui hurlait à l'apprentie de succomber avec le sourire aux lèvres et la joie au cœur.

Sans qu'elle s'en soit rendue compte, elle s'était de nouveau approchée lentement mais surement du visage de sa compagne. Le désir la consumait et elle sut alors en vouloir plus. Avec une grande hésitation et une infinie précaution, son autre main vint caresser la joue d'Alayna, comme si elle craignait qu'en touchant trop vite sa peau, l'illusion disparaîtrait. Ses lèvres se rapprochaient toujours plus. Varadesh tremblait, de peur mais aussi d'excitation.

Alayna, je...

Et finalement les mots devinrent inutiles et tout fut dit. Elle se laissa entièrement dominer par sa passion, transmettant par les gestes et les baisers cette dernière à sa partenaire. Le temps d'un baiser infini, tout disparaîtrait et ne laisserait qu'elles. Varadesh et Alayna. Alayna et Varadesh. Sith et Grise. Princesse et roturière. Le temps passant, peut-être deviendrait-elles ennemies, peut-être se serviraient-elles l'une de l'autre en profitant de ce lien vivace qu'elles avaient noué. Seul l'avenir le dirait, en cet instant, tout était oublié.

Lorsqu'elle eut en mémoire le gout de ses lèvres et le parfum de sa peau, la Pantoran consentit presque à regret à relâcher l'étreinte dans laquelle elles étaient plongées. Il y avait de la peur dans son regard, et aussi de la satisfaction, de l'incertitude et... Une forme de paix, mais pas celle que les Jedi cherchaient à atteindre. Plutôt celle découlant de la croyance d'avoir trouvé sa place.

Je sais que ça n'était pas prévu. Pardonne-moi, je ne voulais pas te mettre dans une position aussi gênante.

Elle détacha son regard de la Chandrillienne pour masquer son trouble et les larmes de honte qu'elle sentait venir malgré tout ses efforts pour les repousser. Sans pour autant lui tourner le dos, elle tentait de cacher son visage pour que l'odieuse vérité ne soit pas visible. Finalement, elle reprit d'une voix plus calme même si on sentait encore la perdition dans ses intonations:

Ce qui se passe dans ce labyrinthe peut y rester si c'est ce que tu souhaites. Je ne veux pas t'infliger la douleur des rumeurs publiques. Je n'ai rien décidé à l'avance tu sais, ça n'aurait pas dû arriver. Je suis désolée, j'espère que tu ne m'en voudras pas.

La magie de l'instant était toujours là, passive. Mais on ne savait jamais de quoi demain serait fait, ni de ce qu'il pouvait arriver d'un moment à l'autre. C'était là la fragile beauté des choses.
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By Ariès
#31601
Ce post contient des scènes explicites ou de nature à choquer.

Sa magie était puissante et toxique. Comme un papillon prit dans un filet, Taniah ne pouvait pas s'échapper... elle ne voulait pas s'échapper. Elle était à lui. Entièrement.
Et prit dans un feu dévorant Graham ne perdit pas la moindre seconde pour partir à l'assaut des territoires à l'aspects si fragiles. Armé de ses lèvres et de ses mains, il engagea un corps-à-corps ardent. Les défenses tombaient les unes après les autres sans opposer la moindre résistance, la victoire était acquise. La rose qui s'était jadis targuée d'avoir une robe d'épine en guise d'armure était désormais sans protection à la Mercie du conquérant qui l'avait maitrisé, qui l'avait vaincu...

Seconde après seconde le vainqueur récupéra le butin de la Chiss désormais vaincu, se faisant un malin plaisir à gouter aux deux montagnes de saphir maintenant révélées. L'homme d'affaires jubilait tandis que l'agente subissait, mais pouvait-elle réellement dire ça ? Au vu de son expression et de son agitation elle était loin de subir bien au contraire...Elle appréciait, elle savourait chaque baiser brûlant déposé sur son buste.
Ayant eut la folie de jouer avec les désirs et sentiments du vainqueur, la Chiss loin d'être en position de force se retrouva collé-serré contre son conjoint. Ce contact, ce sourire dévastateur, en coin, il avait quelque chose à vous en faire une combustion spontané. Il était tellement attirant, la déesse intérieure couleur azur de l'agente lui adressa une moue provocatrice. Taniah était aimantée comme Icare vers son soleil. Elle s'était brûlée les ailes et pourtant elle était encore là...

Le regard lancé par Graham se faisait fiévreux, il était emplit d'un désir insoutenable. L'Impériale semblait quelque peu déstabilisée par la tournure de la situation. Mais ce regard, ce regard qui pourrait à lui seul être responsable d'un réchauffement planétaire. Il était à coup sûr responsable de la hausse de la température de la pièce. Le contact entre les deux bassins furent plus insistant n'oubliant pas d'électriser l'agente dans un frisson puissant qui sembla l'ébranler.
Il était temps, certain l'appel le moment fatidique, d'autre le moment tant attendu ou encore la libération. Autant de mot qui décrit l'acte ultime, l'acte qui lit les deux partenaire pour ne faire l'espace que de quelques temps une seule et même entité. Une seule et même boule de nerf réceptive au moindre stimulus et qui la plus part du temps revient à son état originel après une explosion d'endorphine et d'adrénaline.
Ariès redoutait ce moment, ce moment où tout bascule où tout semble se jouer. La nervosité semblait la gagner peu à peu rigidifiant centimètre par centimètre ses muscles. L'inconnu quelque chose à la fois diablement excitant et pourtant si terrifiant. Sa peur était évidente, elle était perdue... quelque part dans un épais nuage de doutes, de peur, de stress. Ses grands yeux écarlates semblaient emplis de tourment, elle retenait son souffle. Ariès voulait de nouveau fuir, la peur la paralysait, la faisait trembler, l'ardeur qui l'habitait jadis semblait être remplacée par une fine pluie d'hiver.

Je...Je ne....

Elle essaya de reculer, en vain...

Plongeant un bref instant dans les ténèbres, pour la ramener dans la lumière Graham enlaça l'agente avec douceur et tendresse. Chuchotant des mots réconfortants tout en essayant de préserver la flamme du désir qui vacillait. Laissant le ciel s'éclaircir dans l'esprit de la Chiss qui se calma petit à petit, ressentant son cœur s'embraser étincelle par étincelle. Son propre sourire fut faible, car la jeune femme fut aveuglée par le sien. Un sourire réconfortant, charmeur. Taniah lâcha enfin le souffle qu'elle retenait. Pourquoi était-il aussi follement séduisant ? Elle n'avait jamais éprouvé ça pour qui que se soit. Ses hormones étaient en pleine ébullition, sa peau était devenue hyper-sensible ; le brasier s'était rallumé au sein de son ventre.
Sa peau picotait là où ses doigts avaient parcouru sa joue, sa peau, sa poitrine.
Elle se tortilla, prise d'un besoin inconnu. Ariès ne comprenait rien à cette réaction...

Graham fit lui même sauter sa propre protection d'une geste souple et assuré laissant ainsi la possibilité à la Chiss d'observer l'intimité de l'homme d'affaires. Cet attribue masculin qui semblait être au cœur de tout leur débat, de toute leur rivalité. La main quelque peu tremblotante, l'Impériale fit de même lâchant le tissu qui glissa le long des jambes jusqu'aux chevilles. L'humain pressa ses hanches de plus belle tandis que Taniah reculait légèrement, elle semblait être soudainement prise à un "jeu" celui de faire languir son partenaire. Le voir si prêt du but et ne pas réussir à atteindre sa cible devait être un véritable supplice pour lui ... Hélas pour elle, Echec et Mat. La Reine était désormais coincée contre le rebord de la vasque, fuir le Roi n'avait été que de courte durée. Dos au mur Ariès eut le souffle coupé, elle était Ève dans le jardin d'Eden, il était le serpent, et elle ne pouvait résister. Il n'allait pas tarder à ouvrir les portes de ce jardin avoir la chance que disait-elle, l'honneur d'être le premier visiteur de ce sanctuaire secret qui avait su être inaccessible jusqu'à aujourd'hui... Abaissant un peu son bassin, il s'engagea doucement dans l'intimité qui s'offrait désormais à lui.

Surprise par sa porte qui lentement s'ouvrait afin d'accueillir le visiteur si ardemment attendu.
Taniah agrippa sa main droite à l'une des poignées chromées afin de se stabiliser tandis que la main gauche s'accrochait avec fureur à l'arrière de la nuque de l'humain se débarrassant enfin des quelques centimètres qui osaient encore les séparer. La sensation qui accueillit l'agente fut exceptionnel, une vague fulgurante de plaisir l'électrisa. Elle sentait une véritable raz de marée lui picoter le moindre centimètre de son être, des picotements délicieux. Sa déesse intérieure qui jadis avait accroché une pancarte ' ne pas déranger' à la porte de sa chambre. Venait bien au contraire de l'ouvrir grande ouverte laissant le soldat en casqué partir à sa rencontre.

Elle sentait s'abandonner aux sensations que lui procurait son partenaire, une lente descente aux enfers.
Taniah savait pertinemment à quel cercle le duo allait s'arrêter, le cercle qui représentait exactement la fougue, l'ardeur et le désir qui les consumaient. "Le silence " était d'or, ils ne se concentraient plus que sur le plaisir ainsi que les sensations ressenties. Seules les gémissements étouffaient d'Ariès parvenaient aux oreilles de l'homme d'affaires qui se félicitait de la mettre dans un tel émoi.

Leur respiration était synchronisé, ils étaient à l'unisson ; ce ballet de va et vient était chorégraphié à la perfection. Chaque seconde était devenue un véritable délice pour les deux tourtereaux. Chaque coup de reins de la part du partenaire, lui donnait l'opportunité de s'enfoncer plus profondément dans le jardin d'Eden.
Petit à Petit le soldat casqué sonda ce territoire inexploré, ce territoire qui ne s'était pas rendu aussi facilement mais qui était devenu avec le temps très accueillant.
L'agente était interdite, elle ne pouvait se résoudre à regarder son conjoint mais comment pouvait-elle savoir ce qui lui passait par la tête sans le moindre contact visuel ?
Détachant quelque peu son emprise sur sa nuque, elle plongea ses yeux grenats dans les siens. Envoyant un regard chargé de désir qui sondait le sien. Elle semblait y voir la même chose mais son esprit était ailleurs perdu dans les étoiles.
Afin d'encourager son amant, la Chiss murmura avec une certaine difficulté quelques mots :

C'est moi, Taniah... Moi tout entière, et tout à toi... Vous êtes le maître de mon cœur, Graham. Et de mon corps... et de mon âme.


Le rythme de cette danse devenue cette fois-ci plus rapide, Taniah ne put étouffer son cri. Elle s'en mordait la lèvre inferieur, elle venait de craquer la première. Elle qui l'avait provoqué étant sur de sa supériorité.
Ariès s'accrochait à lui alors qu'il s'enfonçait de plus belle envoyant à chaque reprise un spasme de plaisir.
L'eau du jacuzzi sortait petit à petit au rythme de ses coups de bassins.
Elle ne pensait qu'à une chose : Graham l'appartenait. Il était à elle. Il était avec elle et c'était elle qu'il désirait. Personne ne pouvait le lui arracher. Il démontra toute l'expertise d'on il pouvait faire part, s'amusant à titiller l'entrée des portes du Paradis qui étaient si réceptives à ses attentions.
Sous ces assauts répétaient, Ariès se cambra à de nombreuses reprises repoussant sa tête en arrière agrippant de ses deux mains les épaules de son conjoint. Ses jambes se resserrèrent comme un étaux enlaçant les siennes avec ardeur. Elle se sentait divaguer, elle avait l'impression de ne plus être maitre de son corps. Ses sens avaient prit les commandes sans qu'elle puisse dire quoi que ce soit.
Taniah sentait une étrange sensation l'envahir, une sorte de limite, une sensation qui arrivait lentement.
Elle pouvait l'apercevoir mais plus celle-ci se rapprochait plus elle devenait intense. Un dangereux tsunami de délicieuse sensation se précipitait petit à petit vers elle. Sa limite allait être franchie, l'œuvre allait être finit. Pour vue que le constat soit le même pour lui. L'eau s'échappait du jacuzzi avec violence, les mouvements de bassin n'étaient plus aussi doux qu'aux début ; ils étaient eux aussi en proie à cette Frénésie inconnu qui les possédaient. Chaque "coup" arrachait un cri, un gémissement, chaque "coup" rapprochait l'agente de sa limite.

Quoi qu'il se passe, elle était sûr d'une chose.
Ariès aimait cet homme. Elle aimait sa passion, elle aimait l'effet qu'elle avait sur lui. Taniah aimait qu'il tienne à elle... car il tenait à elle. C'était tellement inattendu, tellement satisfaisant. Il était à elle, et elle était à lui.
Modifié en dernier par Ariès le ven. 9 févr. 2018 20:56, modifié 1 fois.
#31603
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Délices, volupté, osmose, voilà ce qui submergeait Graham, répondant en écho, aux mots solitaires qui sortaient de la bouche azur de Taniah.

C'est moi, Taniah... Moi tout entière, et tout à toi... Vous êtes le maître de mon cœur, Graham. Et de mon corps... et de mon âme.

- Taniah, je n'ai jamais été heureux qu'en ce moment même...

Rompant le contact quelques secondes, il fit pivoter la jeune femme, se retrouvant derrière elle et retrouvant l'écrin rose, entouré d'une toison bleu sombre, où il se sentait si bien...

- Accroche-toi bien aux poignées, je veux te sentir toute entière...Ooooh Taniah, tu es mienne et je suis tien...

Graham saisit la jeune femme, s'accrochant à elle, l'enveloppant de ses bras, la maintenant au possible contre lui, ses mains sur le dessus de ses épaules à elle afin de maintenir un contact le plus serré possible d'avec leurs deux bassins...Quant au bassin, lui, fut prit de violents remous dont la moitié se répandit joyeusement sur tout le pourtour de la vasque...Une tempête s'était déclenchée dans un micro-climat tropical de sensualité, d'amour, de passion contrastant avec le vide hostile à l'extérieur de la coque !

Dehors, le vide, le froid, la mort mais à l'intérieur...L'amour, la chaleur et les flux de la vie qui ne tarderaient pas, à terme, à se rejoindre, au sein du nexus bleuté formant le corps le plus charmant que Graham n'eût jamais eu.

Graham commençait à atteindre les limites de son endurance, jamais une femme ne l'avait emmené aussi loin dans la courbe de son désir, jusque-alors, il avait toujours pu conserver son self-control même dans ces circonstances mais Taniah incarnait un cocktail de la quintessence de féminité. Seul un léger ralentissement put l'aider à ne pas atteindre l'azimut de son plaisir, il était encore un peu trop tôt, la jeune femme, elle, semblait en pleine courbe(s) ascendante(s), donc, l'endurance primait !

Saisissant sa chevelure, il découvrit sa nuque pour y poser un baiser gourmand et solliciter cette zone érogène supérieure tandis que ses mains, son corps et son organe, ne cessaient de stimuler la jeune femme en un tourbillon de plaisir(s).

Graham se sentait comme une fusée gigogne, le premier étage retombait, après avoir épuisé son carburant, le second avait allumé ses moteurs et commençait sa course...Il restait encore un étage...Le dernier...Son bassin prit une cadence plus rythmée, se calquant sur les émotions et les soupirs de sa jeune, vigoureuse et superbe amante.

Tout naturellement, les émissions biochimiques de l'un et l'autre, se mêlèrent pour créer une atmosphère aphrodisiaque, tourbillonant dans les vapeurs d'eau chaude, maintenues à température par leurs exercices intimes, Graham n'avait pas eu besoin d'accentuer la chose, il s'était produit inconsciemment, sans qu'il le recherche mais le fait de la désirer, de la faire sienne, avait déclenché une émission de phéromones...comme dans de telles circonstances...mais cette fois-ci, peut-être qu'à cause ou grâce à l'alchimie Chiss et d'une telle symbiose d'âme(s), Graham se trouva lui aussi "marqué" par une attirance irrésistible envers Taniah et elle...de même !
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By Ariès
#31631
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Les dires de l'homme d'affaire avait de quoi la réconforter, il partager les mêmes sentiments qu'elle. Ils étaient synchronisés à la perfection, ils étaient sur la même longueur d'onde ; ils étaient le duo parfait.

- Taniah, je n'ai jamais été heureux qu'en ce moment même...

Depuis que je t'ai rencontrée, je me sens vivre, je me sens libre ; je me sens bien. Et pour rien au monde je ne voudrais que ce moment s'arrête...


Rare était les moments où Ariès avait la possibilité d'être véritablement heureuse. Sa vie était noyée par le travail par ses préoccupations personnels. Sa joie s'en était aller comme si le soleil s'était couché depuis une éternité et n'était jamais revenu. Malgré le fait qu'elle soit plongée dans une nuit perpétuelle, elle venait de voir un rayon de soleil. Graham, un rayon de soleil qui rayonnait avec force illuminant sur son chemin la vie quelque peu triste de Taniah.

Sur ces mots, l'humain se retira délicatement laissant la Chiss se calmer quelque peu, elle voyait son plaisir redescendre lentement mais ce n'était qu'une question de temps avant que celui-ci ne regrimpe en flèche.
Graham ne faisait que la préserver, la ménager afin de lui permettre de conserver son endurance en grande partie consommé pendant la première partie de cette baignade mouvementée. La faisant pivoter sur le côté, l'Impérial se retrouva dos à son âme-sœur. Impossible pour elle de se retourner, impossible de savoir ce que faisait son amant derrière elle. L'image qui lui traversa l'esprit avait de quoi l'émoustiller, tandis qu'elle fulminait toute seule dans son coin le beau mal ordonna une nouvelle fois à son soldat en casqué de retourner en territoire étranger. Qui n'était plus si étranger en fin de compte mais peut être avait-il négligeait certains endroits du jardin secret. Après tout l'on ne peut pas tout réussir la première fois.

- Accroche-toi bien aux poignées, je veux te sentir toute entière...Ooooh Taniah, tu es mienne et je suis tien...


Tout d'abord étonnée par les paroles de sa moitié, Taniah ne put réagir et fut prise de court sentant son compagnon revenir de nouveau en elle. "Accroche-toi bien aux poignées", la phrase tombait sous le sens quand le bassin de son conjoint toucha le sien. Devant cette avancée surprise, Ariès fut légèrement poussé à l'avant et du conformément aux dires Graham s'accrocher aux poignées. Ce qui facilita la prise en main de celui-ci, pouvant ainsi pénétrer plus profondément l'entre d'Eve.
La jeune femme sentit les mains de l'homme d'affaires empoigner avec douceur ses épaules permettant de garder un contact des plus rapproché. Les deux épidermes s'électrisaient mutuellement lors de chaque contact, le cœur de la Chiss battait à tout rompre. Le duo reprit une nouvelle fois un ticket en direction des abysses ardentes qu'étaient le désir. Taniah se laissait visiter tout en s'habituant au rythme du bassin de Graham qui rentrait en contact avec le sien. Suivre la danse des corps ne fut pas bien compliqué pour elle, elle se faisait guider par le meilleur danseur qu'elle ait pu rencontrer. Tout ce qui l'entourait semblait s'effacer, les remous de l'eau qui s'échappaient de la vasque ne voulant être transformée en vapeur. Une vapeur chaude, un climat aussi ardent que le désert et aussi humide que la jungle. Un climat propice à ce genre d'activité physique...

Ce micro climat ne se déchainait pas qu'à l'intérieur du jacuzzi mais aussi à l'intérieur de la jeune femme qui sentait sa déesse intérieur en émoi devant un tourbillon de picotement, de plaisir, de chaleur. Impossible de garder le contrôle devant autant de sensation, devant autant de plaisir. Celui-ci n'avait baissé que légèrement lorsque l'humain s'était retiré mais devant cette ardeur nouvelle, le plaisir avait de nouveau grimpé en flèche. Consumant avec une vitesse fulgurante l'endurance de la jeune femme qui se voyait vaciller après chaque coup de rein. Restant en équilibre sur une corde, l'agente voyait plus bas le gouffre que représentait la félicité. Et elle tentait désespérément de tenir en équilibre sur celle-ci tandis qu'elle tremblait après chaque va et vient. Elle voyait son équilibre faiblir dangereusement. Alors qu'elle voyait son centre de graviter changer brutalement se préparant à la faire chuter dans les méandres de l'extase. Une main invisible la reteint, son conjoint venait de ralentir alors que la jeune femme était au bord du précipice. Un seul coup sur sa croupe pourrait la faire chuter mais devant ce ralentissement, Ariès put se stabiliser, elle put reculer de quelques pas l'empêchant de tomber dans l'abime de la quintessence.

Il l'avait encore une fois ménageait, jouait-il au jeu du chat et de la sourie avec le plaisir qu'elle ressentait ?
Elle ne pouvait le savoir et Graham avait trouvé un moyen de la stimuler sans avoir à solliciter son bassin permettant à celle-ci de ressentir du plaisir sans se laisser consumer. Prenant sa chevelure noir ébène entre ses doigts délicats, découvrant la nuque de l'agente qui sentit le froid lui mordre quelque peu l'épiderme. Ce froid fut rapidement remplacé par un baiser gourmand qui électrisa sa peau lui arrachant un tremblement. La jeune femme sentait l'homme lui dévorer le coup, lui mordiller sa peau si douce. Les mains de l'homme d'affaires ne restèrent pas sagement sur les épaules de l'agente bien aux contraires. Elles jouèrent eux aussi avec les émotions de la Chiss. La main droite s'affairait à caresser avec délicatesse le sommet charnu des deux dunes jumelles tandis que l'autre s'amusait à toucher le heurtoir de la porte qui menait au fruit défendu de Taniah. C'était terriblement grisant, elle se retrouvait littéralement à la merci de son amant qui s'amusait à jouer dangereusement avec ses limites. Et l'expert qu'il était, savait à quelle moment s'arrêter et à quelle moment appuyer avec plus d'insistance. Son membre viril avait reprit sa danse embarquant l'agente dans cette danse qu'elle était obligée de suivre.

La tension sexuel était à son apogée, les deux amoureux dépassaient la fusion classique. L'atmosphère ambiant semblait se plier à eux, créant ainsi un air chargé d'aphrodisiaque.
Mais Graham usa de quelque chose qu'il s'était bien gardé de révéler. Le désir qu'il ressentait, mêlé au fait de la posséder, de la désirer, d'être désiré par elle. Avait déclenché par mégarde une émission de phéromone, faisant exploser les limites sentimentales qu'éprouvaient les deux individus.
La simple attirance ne pouvait plus désigner ce que chacun éprouver pour l'autre, ils étaient devenus de véritable aimant. Taniah était aimantée à Graham et vise versa, l'attirance n'avait jamais été aussi puissante.
Ainsi une sensation nouvelle s'immisça en elle, Ariès en voulait plus, tout simplement : plus de tendresse, plus de légèreté, plus d'ardeur, plus... d'amour. La proximité qui liait les deux amants ne lui semblait plus suffisante, tout semblait manquer ; il lui en fallait plus toujours plus.
Le contact entre la croupe de l'agente et le bassin de l'homme d'affaires se faisait bien plus pressant. La jeune femme voulait sentir le moindre centimètre de peau entrer en contact avec celui de son amant.


La position dans laquelle se trouvait Taniah était contraire à ce que souhaitait son corps, elle ne voulait pas voir ses mains appuyés contre les poignées mais contre le torse de son Adam.
Elle décida donc de se retirer de son propre grès faisant chuter volontairement le plaisir afin de tenir encore un peu, encore quelques minutes. Se retournant avec vivacité, elle poussa avec force et douceur le buste de son Roi afin que celui-ci se retrouve dos au rebord de la vasque.

Si monsieur le permet j'aimerai diriger moi même cette danse si voluptueuse...


Pressant sa poitrine contre le torse musclé de Graham, la jeune femme introduisit elle même le soldat fièrement dressé. Le prenant du bout des doigts avec une précaution infinie et l'amena jusqu'à la porte du Paradis. A partir de là, il était inutile de l'accompagner ; il connaissait l'itinéraire qu'il fallait prendre.
Une vague d'endorphine submergea une nouvelle fois le couple. Le désir se remit de nouveau à grimper, encore et encore. Cette fois-ci il était hors de question que Graham fasse tout le travail. Il était hors question qu'elle soit la seule à profiter du moment, elle commença donc à bouger elle même ses hanches. Tout en observant d'un œil gourmand le regard de son âme-sœur qui devenait vitreux, en proie au plaisir qu'elle semblait lui procurer. Son corps voulait sentir le sien, la Chiss voulait voir sa peau douce se retrouver collée contre la sienne. Elle colla donc ses deux dunes bleus contre les pectoraux parfaitement dessinés de son conjoint. La pression qu'exerçait ses deux montagnes couleurs saphir se voulait aussi doux que le velours. Sa bouche qui avait languit celle de son partenaire put avoir le plaisir de se retrouver les lèvres qu'elles avaient voulu revoir une fois de plus. Le baiser se voulait à la fois langoureux et sauvage, il était tout simplement fulgurant. Les mains de Taniah se pressait contre le dos de Graham poussant la proximité du couple à l'extrême. Sa y est, ils étaient enfin l'un contre l'autre. L'un possédait pleinement l'autre et vise versa, les phéromones combinaient au contact et à la chaleur créèrent un cocktail détonnant d'aphrodisiaque.

Graham... Je...ne vais plus...tenir...

La phrase n'était plus qu'un murmure, un soupir, une supplication. Elle suppliait son corps de bien vouloir tenir une seconde, une seconde de plus.

La Chiss atteignait ses limites avec une rapidité vertigineuse, la corde tremblait avec force tandis que ses hanches dansaient sur celles de son amant. Ses gémissements n'étaient plus retenues, elle ne cherchait plus à les retenir. Elle ne pensait plus qu'à une chose, s'abandonner corps et âme à se tsunami de plaisir qui n'allait pas tarder à déferler sur eux.
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