- mar. 28 févr. 2017 20:14
#26362
***
Onze n’en revenait pas. Devant le groupe, une dizaine de lame rouge s’était allumée pour flamboyer dans l’obscur couloir. Les bruits de pas avaient vite fait place aux premiers cris lorsque ces lasers entrèrent en contact avec le premier colonial. Un slicer, qui n’avait certainement comme expérience de combat que les stages obligatoires de l’Agence. Il vit l’homme suivant, l’un de ses espions, être transpercé de part en part par une lame de lumière. Son corps fumant et sanglant tomba à terre dans un bruit sourd. Sur sa gauche il entendit le bruit familier d’un blaster sorti de son holter. Comme le voulait la logique, un faisceau laser se précipita alors vers l’une des ombres qui semblait avoir le dos tourner, trop occuper à planter son arme maudite dans le ventre d’un technicien malchanceux.
Contre toute attente, le monstre trancha net l’abdomen du pauvre homme pour dégager son sabre et parer le laser qui visait ce qui semblait être son crâne. Le sang avait jaillit en même temps que le tir avait été dévié. Puis la chose c’était élancé, d’une course lourde, brut, sauvage. Arme en avant, il avait dévié dans sa chevauché de nombreux tirs, touchant au bras un autre colonial qui hurla jusqu’à ce qu’une autre ombre ne tranche cette gorge bruyante. Et alors qu’il entendait le bruit sourd d’un nouveau corps tombant dans plongeon irrémédiable, il reconnut la voix de treize sur la radio, prévenant le commandant de la tuerie qui se déroulait dans les basfonds de la cité.
« Feu à volonté ! »
Les coloniaux restant dégainèrent comme un seul homme, vaine menace contre ce qui semblait être la mort en personne. Les tirs furent nombreux mais chaque fois, les déflections renvoyaient le danger vers les hommes de l’Agence. Et bientôt, l’inévitable arriva. Une des ombres s’était porté lame en avant vers Onze. A cet instant, l’homme pensa fuir, tourner talon devant ce qui semblait être un dernier combat perdu d’avance. Pourtant, son corps, qui avait traversé la guerre civile, plongea en avant, passant sous la lame rougeâtre du combattant. Un geste de non-retour qui avait certainement surpris son adversaire. Soudainement, il tira trois fois en direction de l’ombre qu’il avait ainsi trompé, ne prenant guère trop de temps pour viser et se fiant à ses réflexes acquis au cours d’une longue vie de combat. Avant qu’il ait pu voir si ses tirs avaient pénétré la peau du monstre au sabre, il ressentit une vive douleur sur son flanc. Bientôt, son supplice devint insupportable et il hurla de souffrance tandis qu’il s’écroulait sur un sol froid. Sa tête frappa violement le bêton et sa respiration s’accéléra. Sa vision se troubla alors que ses pensées se bousculer. Son destin était scellé et son esprit prenait un malin plaisir à lui montrer à quel point il avait échoué. Aucune famille ne le pleurerait sa mort, et peu connaitrait sa perte. Alors que son regard vagabondait en tentant de s’accrocher à un détail, un espoir, il croisa le regard de cinq. Ses yeux étaient immobiles et le sang sur son visage coulait désormais avec bien moins de précipitation. Son expression de douleur était figée dans l’éternité. Brutalement, Onze se rendit compte qu’il regarder le visage d’un inconnu. Malgré leur mission ensemble, il ne le connaissait que comme cinq. Ni prénom, ni nom, ni même origine. Il ne connaissait qu’un simple nombre. Et juste avant qu’un ultime coup ne vienne étouffer ses gémissements, un éclair le traversait. Lui-même ne resterait que comme un simple numéro, avec comme seule vérité une unique ligne dans un ordinateur. Quand la mort le prit, elle accepta un héros anonyme, qui avait perdu sa vie bien avant ce jour fatidique.
Plus en arrière, des bruits de courses indiquaient que treize avait choisi la fuite. S’en sortirait il ? Onze ne le saurait jamais, et peut être était-ce mieux ainsi.
Contre toute attente, le monstre trancha net l’abdomen du pauvre homme pour dégager son sabre et parer le laser qui visait ce qui semblait être son crâne. Le sang avait jaillit en même temps que le tir avait été dévié. Puis la chose c’était élancé, d’une course lourde, brut, sauvage. Arme en avant, il avait dévié dans sa chevauché de nombreux tirs, touchant au bras un autre colonial qui hurla jusqu’à ce qu’une autre ombre ne tranche cette gorge bruyante. Et alors qu’il entendait le bruit sourd d’un nouveau corps tombant dans plongeon irrémédiable, il reconnut la voix de treize sur la radio, prévenant le commandant de la tuerie qui se déroulait dans les basfonds de la cité.
« Feu à volonté ! »
Les coloniaux restant dégainèrent comme un seul homme, vaine menace contre ce qui semblait être la mort en personne. Les tirs furent nombreux mais chaque fois, les déflections renvoyaient le danger vers les hommes de l’Agence. Et bientôt, l’inévitable arriva. Une des ombres s’était porté lame en avant vers Onze. A cet instant, l’homme pensa fuir, tourner talon devant ce qui semblait être un dernier combat perdu d’avance. Pourtant, son corps, qui avait traversé la guerre civile, plongea en avant, passant sous la lame rougeâtre du combattant. Un geste de non-retour qui avait certainement surpris son adversaire. Soudainement, il tira trois fois en direction de l’ombre qu’il avait ainsi trompé, ne prenant guère trop de temps pour viser et se fiant à ses réflexes acquis au cours d’une longue vie de combat. Avant qu’il ait pu voir si ses tirs avaient pénétré la peau du monstre au sabre, il ressentit une vive douleur sur son flanc. Bientôt, son supplice devint insupportable et il hurla de souffrance tandis qu’il s’écroulait sur un sol froid. Sa tête frappa violement le bêton et sa respiration s’accéléra. Sa vision se troubla alors que ses pensées se bousculer. Son destin était scellé et son esprit prenait un malin plaisir à lui montrer à quel point il avait échoué. Aucune famille ne le pleurerait sa mort, et peu connaitrait sa perte. Alors que son regard vagabondait en tentant de s’accrocher à un détail, un espoir, il croisa le regard de cinq. Ses yeux étaient immobiles et le sang sur son visage coulait désormais avec bien moins de précipitation. Son expression de douleur était figée dans l’éternité. Brutalement, Onze se rendit compte qu’il regarder le visage d’un inconnu. Malgré leur mission ensemble, il ne le connaissait que comme cinq. Ni prénom, ni nom, ni même origine. Il ne connaissait qu’un simple nombre. Et juste avant qu’un ultime coup ne vienne étouffer ses gémissements, un éclair le traversait. Lui-même ne resterait que comme un simple numéro, avec comme seule vérité une unique ligne dans un ordinateur. Quand la mort le prit, elle accepta un héros anonyme, qui avait perdu sa vie bien avant ce jour fatidique.
Plus en arrière, des bruits de courses indiquaient que treize avait choisi la fuite. S’en sortirait il ? Onze ne le saurait jamais, et peut être était-ce mieux ainsi.
Le déploiement des forces coloniales avançaient à bon train. Six nouveaux vaisseaux capitaux étaient sortis de l’hyperespace pour accélérer les opérations. Les MC90 Arkadia et Stranger restaient en orbite basse, afin d’organiser le traffic spatial et de protéger les évacuations en cours. Pendant le même temps, les quatre Acclamator plongèrent dans l’atmosphère de la planète. Trois vinrent en renfort pour évacuer les Tree of Tarintha, déployant leur canonnière et aidait par les Corvettes Correlienne. A chaque aller vers la citée volante, les vaisseaux de transport débarquer des soldats coloniaux pour ramener au Acclamator les réfugiés Ithoriens.
Au sol, les Protecteurs et les Forces de sécurité débarqués sécurisaient les points d’embarquements vers les Acclamator. Les forces de sécurité guidaient les habitants de la ville volante vers les canonnières, tandis que les Protecteurs se répartissent en groupe pour explorer la cité et organiser l’évacuation plus en amont. Au message de Treize, les groupes s’étaient renforcer. Ainsi, les protecteurs se déplacer en groupe de cinquante, blaster prés, et accompagner de Droidekas et de Magnagarde. Sans information précise, on ne se risqua pas à envoyer de nouvelles unités vers les expulseurs. On déploya des binômes constituait d’un drone de surveillance et d’un drone de soutient. Et trentaine de ses équipes bien étrange furent lancer vers les répulseurs avec consignes de faire demi-tour à la moindre rencontre hostile. Et outre, on avait aussi prévenu les Jedi de la situation. Le mot Sith avait était à demi-prononcé par le commandant.
Au sol, les Protecteurs et les Forces de sécurité débarqués sécurisaient les points d’embarquements vers les Acclamator. Les forces de sécurité guidaient les habitants de la ville volante vers les canonnières, tandis que les Protecteurs se répartissent en groupe pour explorer la cité et organiser l’évacuation plus en amont. Au message de Treize, les groupes s’étaient renforcer. Ainsi, les protecteurs se déplacer en groupe de cinquante, blaster prés, et accompagner de Droidekas et de Magnagarde. Sans information précise, on ne se risqua pas à envoyer de nouvelles unités vers les expulseurs. On déploya des binômes constituait d’un drone de surveillance et d’un drone de soutient. Et trentaine de ses équipes bien étrange furent lancer vers les répulseurs avec consignes de faire demi-tour à la moindre rencontre hostile. Et outre, on avait aussi prévenu les Jedi de la situation. Le mot Sith avait était à demi-prononcé par le commandant.