Hommage
MessagePosté :lun. 18 févr. 2019 17:56
« Qu’est ce que tout cela vous évoque ? »
« J’y vois de la grandeur, de la bonté d’âme. Rien d’orchestrallement trop présent. Mais d’équilibré, de juste. C’est pour moi une grande réussite. C’est également un homme que je voulais faire. Aux personnes disparus dans cet attentat, et toutes celles qui resteront marquées à jamais. »
« J’y vois de la grandeur, de la bonté d’âme. Rien d’orchestrallement trop présent. Mais d’équilibré, de juste. C’est pour moi une grande réussite. C’est également un homme que je voulais faire. Aux personnes disparus dans cet attentat, et toutes celles qui resteront marquées à jamais. »
Tout de verre et d’acier, cumulant sur près de cinq niveaux, provoquant les étoiles de sa présence sainte. L’investissement d’un idéal, vers la quintescence de la conviction la plus pure. Celle de donner aux autres, sans rien attendre en retour. Donner sans avoir à demander, à craindre. Cette maison médicale scandait fièrement de sa présence, les valeurs de la reine. Des valeurs nées de toute cette vie d’errence et de conflit. Qui finalement, trouvèrent dans le plus horrible des attentats, la source de leur pouvoir. La bonté naturelle, simple et indélébile. Qu’aucun gouvernement tyrannique ne pourrait jamais effacer. La bonté du don, du sacrifice de soi. C’était probablement cela qu’elle appréciait le plus dans cet édifice. Il lui rappelait à quel point malgré les difficultés, malgré la violence, il restait et subsisterait à jamais de l’espoir. L’espoir fou d’une seule personne pour ne jamais baisser les bras. Cet édifice sur lequel flottait le drepeau bleu et blanc de l’empire, en adéquation avec le drapeau Nelvaanien, en l’honneur du mécène du bâtiment. En l’honneur du peuple qui ferait tout pour accueullir les humains de ce monde, malgré la différence notoire. Un bâtiment de valeur. Celles du royaumes Nelvaan, celles qu’elle avait cru voir dans l’empire. Parce qu’il était si simple de faire jaillir de l’étincelle, une flamme de bonheur, une flamme chaude et réconfortante.
Ce bâtiment qui s’étendait sur ses cinq étages, remplie de matériel médical de pointe, et de rites ancestraux. Mélanger de science pure et de mysticisme qu’aucun scientifique ne pourrait comprendre. Toutes ces salles dans lesquels des milliers de patients trouveraient ce dont ils étaient venus chercher. Absolument tout ce qu’un être sensible pourrait trouver.
« Pourquoi avoir demandé à ce qu’il soit dans le même quartier que le palais impérial ? La présence de la station médicale aurait fait de l’ombre. »
« Il n’est pas question de profits. Je voulais juste qu’il soit là pour me rappeler, pour que nous nous rappelons tous ce qu’il s’est passé. Pour que cela nous serve d’exemple à tous, et que les coupables regardent leur œuvre avec écoeurement. Car il n’y a nul autre sentiment qui devraient les envahir à ce moment là. La destruction volontaire est la preuve la plus basse de la perversion qui agite une âme… »
« Il n’est pas question de profits. Je voulais juste qu’il soit là pour me rappeler, pour que nous nous rappelons tous ce qu’il s’est passé. Pour que cela nous serve d’exemple à tous, et que les coupables regardent leur œuvre avec écoeurement. Car il n’y a nul autre sentiment qui devraient les envahir à ce moment là. La destruction volontaire est la preuve la plus basse de la perversion qui agite une âme… »
A côté de l’immense structure médicalisé, la maison médicale n’avait que trop peu d’importance. Ce n’était cependant pas cela le plus important. On ne soignerait pas des millions de personnes. Seulement ceux qui en avaient le plus besoin. On soignerait, et on apprendrait. Ce déversement de bonté était tout autant un baume que le meurtre pour les Sith. Ici serait formés des sensitifs, des citoyens ordinaires. On allait leur apprendre à comprendre les individus, pour se comprendre eux même. On allait leur montrer, leur faire voire, ce que les autres ne pouvaient qu’imaginer. L’étendue et la richesse de la Force et le coût que toute cette magnifiscence implique. A travers les ateliers qui en émergeraient, il y aurait là bas des discussions neutres et ouvertes, des prises de consciences et de remises en question. Il y aurait ce que chaque individu devait constamment opérer en son fort intérieur, mais ce que les gouvernements avaient tendance à inhiber. Alors cette recherche ne serait pas de tout repos, mais il existait des milliers de mondes dans cet empire. Tout autant de personnes visant dans la peur d’exister, dans la peur d’être identifiés. Des êtres incompris aux aptitudes surnaturels, des gens magnifiques qui devaient être aidés. Rien de plus que cela. Rien de moins non plus.
« Comment finalement avez-vous choisi son nom de baptême ? »
« C’est la maison médicale C. Kor’rial. Caytlin, du nom de ma maman. C’était une personne douce, aimante. Un être empli d’amour et de compassion. Je ne l’ai que très peu connu malheureusement, mais j’en garde des souvenirs qui me réchauffent le cœur. Et sa simple évocation m’emplie de fierté. Celle d’être sa fille, son sang et sa descendance. C’est également un hommage que je lui fais. »
« C’est la maison médicale C. Kor’rial. Caytlin, du nom de ma maman. C’était une personne douce, aimante. Un être empli d’amour et de compassion. Je ne l’ai que très peu connu malheureusement, mais j’en garde des souvenirs qui me réchauffent le cœur. Et sa simple évocation m’emplie de fierté. Celle d’être sa fille, son sang et sa descendance. C’est également un hommage que je lui fais. »
L’hopital modeste dont l’intérieur recelaient tant de secrets n’allaient pas être bien vu par tout le monde. Il devait simplement ne pas être vu. Quel meilleur emplacement que cela ? Quelle meilleure utilité qu’était la sienne ? Il répondait à toutes les interrogations d’une vie et était la ligne de conduite que tous devraient adopter. Il était la réponse à cette question. Si vous aviez pu faire quelque chose, est-ce que vous auriez agi, ou auriez vous tremblez de peur face à l’adversité qui se présentait ?