L'Astre Tyran

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Planète abritant nombres de fermiers. Plusieurs centres d'entrainement de commandos et de soldats résident sur cette planète. Sans capitale, plusieurs petites villes et villages l'a compose, dont une colonie, vestiges d'un refuge rebelle.
Gouvernement : Neutre
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By Misha Kist
#40326
C’est lui qui fit le premier pas.

C’est lui qui lançait l’assaut. Elle n’y était pour rien, n’est ce pas ? Ce n’était pas elle qui avait cherché, ce n’était pas elle qui avait attaqué. Les choses avaient glissé, hors de sa portée, sans qu’elle ne puisse à aucun moment les rattraper. De toute façon, comment pourrait-elle seulement essayer de stopper quoi que ce soit, lorsque les bras puissants de Marak la serraient contre lui.

L’instant était suspendu. Elle le cherchait, encore et encore. Ils s’étaient opposés l’un à l’autre, depuis le début, depuis le premier regard. Elle l’avait repoussé, puis cherché. Il en avait fait de même. Peut être même il avait essayé de la repousser. Seulement voilà, la rouquine était un peu têtue, et elle n’avait pas lâché prise aussi facilement. Voilà ce qui, aujourd’hui, les menait à ce qui leur tombait sur le coin du nez. Elle ne respirait plus. Incapable de reprendre son souffle. Prise au dépourvu, pour une des rares fois de sa vie.

Et les lèvres du Zabrak se posèrent sur ses lèvres. Un baiser étonnamment doux. Etonnamment suave. Etonnamment sage, en fait. Voilà qui était étonnant, mais donc elle ne plaignait pas. C’était une bonne entrée en matière, suffisamment pour donner envie d’une suite, mais pas trop, pour ne pas avoir l’impression que les choses allaient trop vite et lui échappaient à nouveau.

Sa dernière question semblait dénouer les choses. Libérer les fauves et lancer les chevaux. Sa main se desserra dans ses cheveux, et glissa vers son cou. Son corps fut secoué d’un long frisson un peu plus fort que les autres. La seconde s’aventura plus bas, provoquant chez elle un élan de surprise, entraînant une réponse directe du prédateur qui fondit sur elle comme un oiseau de proie. Surprise à nouveau, se sentant basculer sous la puissance du Sith, elle vint s’accrocher par réflexe à son cou d’une main, et à son épaule de l’autre. Pour autant, elle ne rompit pas le baiser qu’il lui apportait.

Ses yeux clos semblaient décupler le reste de ses sens. Elle sentait le souffle nasal de l’être contre elle, contre sa peau, sur ses joues, à mesure que leurs visages se déplaçaient l’un contre l’autre. Elle sentait l’odeur du Zabrak, sans pouvoir la décrire cependant. Ni agréable, ni désagréable, mais présente, comme un bouquet de phéromones qui venaient titiller toutes les cellules de son nez, pour augmenter encore un peu son envie. Elle entendait, en plus de les ressentir, leurs souffles se mêler, s’unir, se désunir, trahissant une envie grandissante qu’ils auraient peut être dû réprimer encore. Ou pas. Après tout, qui sont-ils pour aller contre la nature, celle la même qui a guidé les choses jusqu’à cette conclusion ? Mais alors qu’elle se sent basculer à nouveau, qu’elle sent bien qu’elle défaille, elle s’appuie finalement sur son cou, alors qu’il la soulève d’une main, pour venir entourer son bassin de ses jambes, et ainsi profiter d’une position plus stable.

Jamais elle n’avait prévu que les choses tourneraient ainsi. Elle était venue pour tenter de lui donner une leçon. Pour essayer de lui faire comprendre que son arrogance n’avait pas de sens ici. Qu’elle le mènerait à sa porte. Et pourtant, voilà que du haut de son mètre soixante à peine, elle se retrouvait perchée à presque deux mètres de haut, mêlant passion et envie contre une bouche qu’elle n’aurait jamais envisager embrasser un jour.

Si elle savait pertinemment qu’il n’y avait presque plus de retour en arrière possible désormais, alors qu’elle mordait à nouveau les lèvres du colosse avec une gourmandise perceptible, elle s’abandonnait un peu plus encore, ondulant légèrement des hanches contre lui, comme s’il n’avait pas déjà suffisamment envie d’elle.

Lorsque leurs lèvres se séparèrent enfin, elle eut du mal à reprendre son souffle. Les deux bras désormais entourés autour de son cou, elle posa son front doucement contre le sien, premier geste de tendresse qu’elle se permettait d’avoir envers lui, espérant que cela ne se retournerait pas contre elle. Pourquoi restait-elle sur ses gardes, alors qu’elle comprenait maintenant qu’elle avait donné tous les signaux pour que les choses en arrivent à cette issue là. Elle l’avait cherché, en cherchant à apaiser la situation. Elle n’avait fait qu’attiser un feu. Celui qu’elle pensait être le feu de la colère, et qui était finalement celui de la passion.

Qu’un seul moyen de le savoir. Pour une fois, c’est lui qui avait raison.


Murmure-t-elle contre ses lèvres, avant de les mordre à nouveau, pour l’inciter à recommencer.

Parce qu’elle veut qu’il recommence. Non. Elle veut qu’il aille plus loin. Que le feu qui commence à lui dévorer le bas du ventre, pressé contre lui, puisse s’épanouir et se libérer d’autant plus. Parce qu’elle veut que sa folie passagère devienne la sienne. Ils sont seuls, dans cet endroit, et personne ne viendra troubler le moment. Elle le sait, elle en est certaine. La tension qui règne entre eux appelle une brutalité, une bestialité qu’elle n’a connu que rarement. En fait, elle se rend compte que dans chacune de ses relations, elle a trouvé quelque chose de nouveau. Et lui, il apporte ce besoin de quelque chose de plus sauvage. De plus prompt. De moins réfléchi. Pas d’emprise, pas de choses compliquées. Pas de lendemain, pas de questionnement.

Elle défait ses jambes, doucement, et se laisse glisser contre lui, en amenant sa main à remonter le long de son dos, par la force des choses. Elle se sépare de son corps, et ses doigts courent lentement le long de son bras, pour saisir son poignet. Leurs regards ne se quittent pas, et elle recule de quelques pas. De son autre main, elle défait le nœud de tissu qui serrait sa tunique légère, et le laisse tomber au sol. Elle a chaud. Terriblement chaud. Et ce n’est pas l’ébauche de combat qui a eu lieu entre eux qui a fait monter sa température, elle en est certaine. Non. C’est lui. Sa présence. Sa prise sur son cou. La musculature puissante de son corps qu’elle a senti se mouvoir, et dont elle voudrait en voir plus désormais.

Son regard se porte vers l’eau, au pied de la cascade. Elle hésite un instant à se jeter dedans, à l’entraîner à sa suite. Après tout, cela pourrait lui permettre de conserver une température normale, de ne pas risquer la surchauffe. Et à nouveau, ses yeux croisent les siens, et inexorablement elle revient. Prendre possession de ses lèvres, serrer ses doigts sur son biceps. L’entraîner dans une course folle qui la mènera à bout de souffle.
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By Aldrax Kist
#40327
Attention mes RP peuvent contenir des scènes explicites ou des sous-entendus de nature à choquer l’imaginaire du lecteur



10:20, heure locale
Corcord Dawn - dans les sous-bois...


Ambiance


    « Marak: Il n’y a qu’un seul moyen de le savoir. »

    « Misha: Tengaanar ni miai » (Show me the way…)

Murmure-t-elle contre ses lèvres, avant de les mordres à nouveau, pour l’inciter à recommencer.

Elle veut qu’il recommence. mieux encore… Elle souhaite qu’il aille plus loin. Que le feu qui les animent et les brûles le bas du ventre, se propage, partout, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, elle soufflait pratiquement sur la braise pour accélérer le mouvement, qu’elle puisse s’épanouir et se libérer d’autant plus. Une passion soudaine, flirtant dangereusement avec l’état de folie temporaire, ce genre d’endroit où il y a rarement un service au numéro que vous venez de composer !

Dans cet endroit, où rien, ni personne de tangible n’allait troubler… Personne n’oserait s’approcher, même de loin, à devoir négocier avec une telle tension comme celle qui faisait monter le mercure à vue d’oeil… Misha se rendit compte de quelque chose en le regardant, ce qu’il pouvait lui apporter, ce qu’elle pouvait aussi lui rendre en contre-partie, un défi en soi pour un appétit aussi vorace et affamé que celui de Marak.

Et là, pas qu’il se soit lassé de l’embrasser, d’ailleur il n’arrêtait pas… mais il y a là tellement à explorer et trop peu de temps devant eux, à peine 1 journée, pour satisfaire toutes leur envies… Misha décroisa ses jambes pour reposer pied au sol, Marak suivait la descente tout en continuant de l’embrasser… Misha à dû rompre le contact des lèvres, puis tranquillement pris une perceptible distance, qui lui valu un grondement vocal de la part du Zabrak… En guise de réconfort, elle fît doucement glisser ses doigts le long de son bras, pour saisir son poignet.

Leurs regards ne se quittaient pas, elle recula de quelques pas, où Marak se tenait prêt à charger de nouveau l’assaut. De son autre main, elle défît le nœud de tissu qui serrait sa tunique légère, et le laissa tomber au sol. Marak retourna la prise de son poignet contre Misha, et lui empoigna donc son poignet à elle, et la fît tourner sur elle-même vers lui jusqu’à ce qu’elle s’insère de nouveau dans cette bulle de proximité extrême que deux partenaire de danse lascive partage, et cette fois-ci elle était dos à lui…

Il pouvait sentir la chaleur qui émanait de son corps, comme elle devait sentir les pulsations de son cœur s’accélérer. Et l’ébauche de combat qui a eu lieu entre eux ne fût que l’échauffement.

Elle hésita un instant, entre prendre possession de ses lèvres à son tour… ou se laisser guider… Elle sentit se faire prendre d’assaut de nouveau… d’une main caressant son bas ventre, dictant un léger tempo de va-et-viens de son bassin contre son corps…. l’autre main alla empoigner un sein fermement avant de pulser un massage de ses doigts, alors que le fauve attaquait le haut du corps de l’humaine, de ses lèvres il dégustait la chair de Misha, remontant, savourant lentement de l’épaule jusqu’à la base de son lobe de l’oreille… comme un vampyre suçant l’essence vitale de sa proie, il se régalait, alors qu’il a sentait partir dans l’extase du baiser momentanément.
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By Misha Kist
#40328
Elle tenait son poignet. Entre la douceur et la fermeté. Enfin. Jusqu’à ce qu’à nouveau, il ne retourne la situation contre elle. Jusqu’à ce qu’à nouveau, il fasse ce qu’il veuille. Jusqu’à ce que ses doigts ne se retournent contre elle, saisissant à leur tour son poignet, pour la faire tourner sur elle-même. Avant de la rapprocher, en douceur, tout en sensualité, jusqu’à ce que le dos de la jeune femme ne vienne se poser contre son buste. Elle attrapa l’autre main pour qu’il l’enlace à la taille, pour la serrer contre lui. Elle était prête à se retourner. A ne pas accepter de lui laisser l’ascendant, à ne pas accepter de ne pas mener la danse.

Mais au final, c’était quelque chose de plutôt plaisant, de se laisser faire, de se laisser embarquer. La main de Marak glissa jusqu’à son bas ventre, et elle laissa basculer sa tête en arrière, sur le poitrail du mâle, lorsque sa seconde main vint se saisir d’elle. Un soupir de volupté s’échappa de ses lèvres. Avec délicatesse, ses doigts vinrent se joindre aux siens, contre son ventre, pour les faire remonter lentement, emmenant au passage le tissus de sa tunique qui ne demandait qu’à quitter son corps, pour lui permettre de redescendre en température. Les lèvres du Zabrak commençaient à la dévorer, et elle lui offrit son cou du mieux qu’elle le pouvait.

En douceur, petit à petit, la tunique dévoila sa peau blanche, et les doigts de Marak découvraient peu à peu la douceur de celle-ci. Lorsqu’enfin, elle passa par-dessus sa tête pour aller s’écraser au sol, dévoilant une brassière de tissu clair également. Elle sourit, les yeux fermés, et se laissa aller complètement contre lui. Il y avait quelque chose de complètement apaisant, dans ce moment, quelque chose qui avait remplacé la passion folle de ces premiers instants. Mais est ce que c’était assez ? Non, peut être pas.

A nouveau, elle se défit de son étreinte. Avec une étonnante facilité, d’ailleurs, comme s’il n’avait pas essayé de la retenir. Ou alors elle était trop forte ? Sans doute pas. Elle pivota, encore, pour se retrouver à nouveau face à face. Sa main droite glissa sur sa joue, pour l’amener à ses lèvres et l’embrasser fougueusement. Sa main gauche glisse, lentement, très lentement, entre ses pectoraux, sur son sternum, vers son nombril. Elle mord sa lèvre, puis sa mâchoire, et descend dans son cou pour le mordiller à son tour. Pendant ce temps là, ses doigts jouent avec le tissu, sur le tour de sa taille.

Elle vient finalement attraper ses mains, pour faire glisser ses doigts, sous l’élastique de sa brassière. Les yeux dans les yeux, une flamme dévorante dans le regard, une folie brûlante qui fait vibrer ses iris d’un désir qu’elle connaît, qu’elle avait appris à apprivoiser, par le passé. Mais qui revient, encore et toujours, à croire que finalement, elle se sent obligée de s’abandonner à toutes ces choses bassement animales pour survivre. Le désir, la passion, l’union des corps qui s’oublient tout en ne s’oubliant pas. Elle a besoin de ça. L’engagement lui fait peur, la régularité aussi. Il ne lui apporte pas ça, il ne lui apportera jamais ça. Et c’est sans doute pour ça qu’elle s’abandonne. Qu’elle respire encore mieux lorsque le vêtement la libère, libère sa poitrine délicate, libère ses poumons, comme si c’était ça qui l’oppressait. Elle l’incite à poser sa main sur son sein désormais nu. Il la touche elle, en touchant cette partie d’elle. Plus profondément.


- Tout était écrit, pas vrai ? Tu savais qu’on y arriverait ?

Oh elle est certaine que oui. Elle est sûre qu’il savait. Qu’il l’avait menée à ça. Que c’était ce qu’il voulait depuis le départ.

Tout en disant ça, elle pince les bords de son pantalon de lin léger, pour le faire glisser le long de ses jambes, dévoilant son sous-vêtement. Elle ne baisse pas les yeux. Au contraire, elle le défie du regard. Elle le pousse à aller encore plus loin. Parce que maintenant qu’il s’est engagé sur cette voie, qu’il a réveillé ses plus bas instincts, il ne peut pas se permettre de faire demi-tour. Le vêtement touche le sol, et elle refait un pas vers lui. Là, il peut l’empoigner, il peut la caresser, l’embrasser, la posséder. Elle est vulnérable, terriblement vulnérable, et en même temps si forte. Parce qu’elle est maîtresse de son destin, de sa vie, de son corps. Parce qu’elle décide à qui elle accepte de se donner.

Et qu’aujourd’hui, c’est lui.

Leur corps à corps est un combat, depuis le départ, et elle profite d’un moment d’inattention pour le prendre par surprise. Une prise bien placée, et elle l’envoie au tapis, dos au sol, le souffle coupé. Il ne s’y attendait pas, et le sourire en coin de la rouquine trahit sa satisfaction face à ça. Elle le regarde, l’espace de quelques secondes, avant de venir l’escalader pour s’asseoir à cheval sur son bassin, justement bien placée pour que les légères ondulations de ses hanches ne viennent réveiller la bête, tandis qu’elle l’empêche de reprendre son souffle en lui volant un nouveau baiser. Sa main agrippe son poignet, pour ramener sa main au dessus de sa tête, pour le maintenir. Parce que de la sorte, s’il veut reprendre le dessus, il devra faire usage de la force. Et c’est ce qui lui plait, chez lui. Cette force, cette emprise. C’est de ça qu’elle a envie, tout de suite.

Qu’il lui coupe le souffle, qu’il la surprenne, qu’il la prenne, qu’elle soit sienne le temps qu’il faudra. Son corps tremble d’imaginer ce qu’il pourrait lui faire sans qu’elle ne puisse ne serait-ce que répliquer. Le rapport de force est inégale, et elle le sait, c’est bien pour ça qu’elle a pris l’ascendant pour commencer. D’ailleurs, sa main libre cherche déjà à le déshabiller, pour les mettre sur un plan d’égalité.

Le jeu est lancé. Reste à savoir qui va gagner.
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By Aldrax Kist
#40331
Attention mes RP peuvent contenir des scènes explicites ou des sous-entendus de nature à choquer l’imaginaire du lecteur



10:23, heure locale
Corcord Dawn - dans les sous-bois...


En douceur, petit à petit, sa tunique se déroba doucement, comme si le vêtement venait de prendre vie, au gré d’une brise, Marak écoutait la force autour de lui, et profitait de chaque subtilité de son environnement pour tricher de sa télékinésie envers cette gênante tunique, révélant ainsi sa peau blanche, fuyant l’approche des doigts de Marak, découvrant peu à peu la douceur de superbe spécimen. Lorsqu’enfin, la tunique termina sa descente vers le sol, dévoilant une brassière, encore un obstacle, de tissu clair également.

Elle souria, les yeux fermés, et se laissa aller complètement contre lui dans l’étreinte, de ses bras. Il y avait quelque chose de complètement apaisant, dans ce moment, quelque chose qui subsitua la passion folle de ces premiers instants, mais qui s’attarderait pas trop, le temps d’apprivoiser le corps de l’autre, jauger sa force, sa tolérence, sa flexbilité, étudier brièvement les battements de son coeur, parce qu’il n’en n’ont qu’un seul eux, frêles humains… Est ce que c’était assez pour s’en contenter et s’arrêter là ? Non, à n’en point douter.

À nouveau, elle tenta la fuite. Il se tint prêt à la ramener brusquement, sans finesse par une traction de force… Décidément il jouait avec le feu, mais décida de laisser l’esprit rebelle de l’humaine prendre l’avantage et voir qu’elle direction elle allait prendre à ce stade-ci de la confrontation. Avec une étonnante facilité, comme il n’avait pas essayé de la retenir, elle pivota, encore, pour se retrouver à nouveau face à face.

Sa main droite glissa sur sa joue, pour l’amener à ses lèvres et l’embrasser fougueusement. Tandis que Misha glissait sa main gauche, du Nord vers le Sud, lentement, très lentement, Marak en faisait tout autant de son côté par l’arrière, répondant à ses caresses comme un mirroir qui renvoi un reflet. Ils se mordillent les lèvres, puis s’échangèrent de douces morsures, la mâchoire, le cou, les lobes d’oreilles.

Pendant ce temps-là, les mains s’affairent à partir en reconnaissance et cibler ce qui reste de vêtements qui entravent la poursuite de la conquête, sur le tour de leur taille. Marak était déjà torse nu depuis le début… Misha désormais en brassière… plus pour longtemps…

Misha vient finalement attraper ses mains, pour faire glisser ses doigts, sous l’élastique de sa brassière. Il s’approcha de ses lèvres pour lui voler un baiser de plus, ce faisant distraite, Marak feinta d’aller désagraffer la brassière dans son dos, mais jamais il ne lâcha sa poigne au buste de Misha, il le fît par la pensée, désagraffa l’obstacle qui entravait son désir… et l’élastique se détendit alors qu’il rompit le contact de ses lèvres pour afficher un sourire en coin… (smirk)

Les yeux dans les yeux, une flamme dévorante dans le regard, une folie brûlante qui fait vibrer ses iris d’un désir qu’il pouvait aisément comprendre, animé par des pulsions similaires. D’un commun accord, leurs corps eurent compris qu’ils avaient besoin de ça.

L’engagement était une chose, la régularité une toute autre… et il n’était aucunement question de cela ici et maintenant, peut-être que dans le temps, si, mais pour l’instant, aucune de ces questions de faisaint le poids face aux besoins de ce duo improbable.. L’improbabilité, c’est sans doute pour ça qu’elle s’y abandonne, aujourd’hui.

Soudainement, elle prit conscience que le vêtement s’échappa à son emprise charnelle, dans un léger soupir, Marak pu ressentir la libération, cette satisfaction de bien-être qui irradiait sa personne… Comme elle sera succulente à ravager plus tard, ce n’était là qu’une infîme partie des pensées imfâmes qui transita l’esprit du Zabrak … elle respirait encore mieux lorsque le vêtement se libèra, libère sa poitrine délicate, libère ses poumons, comme si l’oppression venait de prendre fin. Elle le guida à repositioner ses mains sur son buste désormais nu.



    « Misha: Tout était écrit, pas vrai ? Tu savais qu’on y arriverait ? »

    « Marak: C’est toi qui m’a cherché, je n’ai fait que répondre à ton appel à l’aide ! »

Elle semblait si convaincue de son affirmation. Même s’il est vrai qu’il savait où cela pouvait mener, c’est elle qui en avait érigé toutes les conditions, dicter tous les signes. Marak n’eut qu’à suivre la recette ! Quelque chose d’explosif, d’instable… aux yeux de certains, moralement indéfendable, pourtant indispensable.

Tout en disant ça, elle pince les bords de son pantalon de lin léger, pour le faire glisser le long de ses jambes, dévoilant son sous-vêtement, dernière ligne de défense avant d’atteindre le rivage de la péninsule féminine.

Misha ne baissa pas les yeux. Au contraire, elle le défia du regard, cherchant à le pousser à aller encore plus loin. Parce que maintenant qu’il s’est engagé sur cette voie, qu’il a réveillé ses plus bas instincts, il ne peut pas se permettre de faire demi-tour. En réaction… Marak déboutonna le premier bouton de ses short, ouvrant la voie, l’invitant à poursuivre…

Le vêtement de Misha toucha le sol, et refit un pas vers lui. Là, sans trop grande finesse il l’empoigna par les cheveux, il la caressa nord-sud-est-ouest de ses mains, l’embrassa à pleine bouche, vigoureusement, à un rythme lent au début, puis tranquillement fît grimper l’intensité des caresses, il la dégustait, avec tous les sens possible, toucher regard, odeur, le goût à travers la force… oh oui… la force sera puissante, bientôt en elle mouahahaha… puis soudainement il tentait de se restreindre, volontairement, pour faire durer le plaisir, avec de simples caresses de son nez sur sa joue, des contacts de lèvres hésitants … faisant frisonner son coprs d’envie du bout des doigts, tout pour la frustrer dans son élan de passion, foutre carrément de l’huile sur le feu, puis recommencer de plus belle encore 1 ou 2 fois, pour finir par la faire supplier, et donc, la posséder. Elle était vulnérable, terriblement vulnérable, et en même temps tout en contrôle. Parce qu’il demeurait à l’écoute et jouait avec les nerfs pour la faire grimper de plus en plus haut dans l’extase, elle est maîtresse de son destin, de sa vie, de son corps. Ils décidèrent de se donner mutuellement

Leur corps à corps est un combat, depuis le départ, et elle profita d’une fenêtre d’opportunité pour prendre Marak par surprise. Misha envoya Le Zabrak au tapis, dos au sol, le souffle coupé. Il ne s’y attendait pas, qu’elle réagirait de cette façon… et le sourire en coin, à son tour, de la rouquine trahit sa satisfaction face à ça.

Misha le dévora des yeux le temps de quelques secondes, avant de venir l’escalader pour s’asseoir à cheval sur son bassin, justement bien placée pour que les légères ondulations de ses hanches ne viennent réveiller la bête, tandis qu’elle l’empêcha de reprendre son souffle en lui volant un nouveau baiser. C’était maintenant au tour de Marak de subir, et la bête, jusqu’à lors peu concerté, se senti ciblé, attiré par des pulsations d’un corps étrangers… il était temps de lever le drapeau et de défendre sa patrie, jusqu’à ce que l’envahisseur rebrousse chemin !!

Misha agrippa le poignet de Marak, pour ramener sa main au-dessus de sa tête, pour le maintenir. Parce que de la sorte, s’il veut reprendre le dessus, il devra faire usage de la force. Et c’est ce qui lui plait, chez lui. Cette force, cette emprise. C’est de ça qu’elle a envie, tout de suite. Qu’il lui coupe le souffle, qu’il la surprenne, qu’il la prenne, qu’elle soit sienne le temps qu’il faudra. Mais il n’en fît rien, ou presque, il jouait son jeu aussi à lui… il incarnait la victime et elle lui accordait toute puissance…

Devant l’inaction de Marak, générant un surplus de frustration et de désir… Misha se surprit à évacuer son trop-plein par une gifle violemment réceptionné par le visage de Marak, histoire pour le secouer un peu…

Tout de suite… son corps se mît à trembler à l’idée d’imaginer ce qu’il pourrait lui faire sans qu’elle ne puisse ne serait-ce que répliquer. Marak laissa échappé un sourire malin… sachant bien où il allait reprendre sa revanche plus tard… Le rapport de force est inégale, et elle le sait, c’est bien pour ça qu’elle a pris l’ascendant pour commencer.

D’ailleurs, sa main libre cherche déjà à le déshabiller, pour les mettre sur un plan d’égalité. Par un certain hasard… tous les boutons était défaits sans que mains n’interviennent… prêt à réceptionner la première charge de l’envahisseur… la bête avait été bien réveillé, oh et léger détail… aucun sous-vêtement sous le short… c’était une embuscade !

L’assaut fut lancé. Reste à savoir qui allait avoir l’avantage du terrain


#40338
- Je n’avais pas besoin d’aide. N’essaie pas de me mettre tes désirs sur le dos. Du moins… Pas comme ça.

La gifle résonna sur la joue du Zabrak, sonore et puissante, même pour une si petite main que celle de Misha. Un sourire satisfait s’installa sur ses lèvres. Est-ce que l’humaine appréciait ce sentiment de puissance, qu’elle expérimentait sur un être aussi puissant que Marak ? Complètement, et elle ne s’en cachait même pas. A demi-nue, installée sur lui, elle le regarde de haut, le surplombe. Avec gourmandise, elle vient picorer ses lèvres à nouveau, tout en découvrant avec un agréable sentiment de surprise qu’il est déjà prêt de son côté, lorsque sa main hardie se glisse sous le vêtement. Elle relève les yeux, lesquels pétillent de malice.

- J’espère que tu es aussi… Impressionnant qu’en combat régulier.

Est-ce que c’était un défi ? Le son de sa voix la trahissait allègrement. Elle le provoquait au duel, encore une fois. Pas le même cependant. La première fois, elle l’avait entraîné avec elle dans un combat dont elle savait qu’elle le perdrait d’avance. Elle avait juste voulu s’opposer à lui, comme mue d’un esprit de contradiction bien trop important. Et elle l’avait perdu, comme elle en s’était fait la prophétie. Mais maintenant, il s’agissait d’autre chose. Elle voulait être challengée. Se trouver hors de sa zone de confort. Il représentait tout ça. L’envie fugace d’un instant de délire. C’était exactement ça.

Il était temps.

La jeune femme se dandina, quelques secondes tout au plus, pour les débarrasser chacun du peu de vêtement qui leurs restaient. La nature observait leurs corps nus, fidèle reflet de ce qu’elle pouvait sans doute offrir de mieux. D’ailleurs, la peau de la rouquine se couvra d’une chair de poule légère lorsqu’un vent léger et frais vint la caresser avec bien plus de délicatesse que le colosse qui se trouvait d’ores et déjà entre ses cuisses. Ses yeux se braquèrent dans les siens, et elle haussa un sourcil, alors que son index dessina lentement, très lentement, le contour du visage du Sith, glissant sur ses clavicules, puis ses pectoraux, pour descendre, toujours plus au Sud. Lorsque ses doigts se refermèrent sur lui, elle bascula légèrement en arrière, pour ramener son bassin vers l’avant, et venir à sa rencontre, sans pour autant le faire entrer dans sa bulle. Juste ce qu’il fallait pour augmenter encore un peu l’envie, pour jouer avec cette flamme qui les animait.


- Tu imagines, si quelqu’un arrivait, à ce moment précis ? Ou pire, celui juste après celui là ?

Sa voix tremblait légèrement. D’excitation, sans aucun doute. Voulait-elle, finalement, se trouver prise en fâcheuse posture ? Pas vraiment, mais l’idée lui apportait une certaine… Satisfaction. Ses doigts se mirent à s’agiter doucement, autour de lui, et son corps à vibrer à nouveau. Ses dents vinrent chercher sa mâchoire, son cou, le haut de son buste. Elle jouait avec lui, avec ses nerfs, se dérobant à chaque fois qu’il allait faire un pas de plus vers elle, rattaquant juste derrière. Elle cherchait à le rendre fou, c’était certain.

Le jeu dura ainsi un petit moment, plus ou moins long, selon la volonté de jouer de l’un et de l’autre. Et puis, lorsqu’il ne s’y attendait pas, ou plus, elle prit l’initiative de les unir. La sensation lui fit fermer les yeux, et basculer la tête en arrière, offrant son cou au soleil, laissant ses cheveux roux caresser son dos. Les mains posées à plat sur le torse de Marak, elle y prit appui pour pouvoir onduler des hanches, imprimant entre eux un rythme lent, pour démarrer, comme une valse douce.
#40340
Attention mes RP peuvent contenir des scènes explicites ou des sous-entendus de nature à choquer l’imaginaire du lecteur



10:25, heure locale
Corcord Dawn - dans les sous-bois...


!! Ambiance !!


La gifle résonna sur la joue du Zabrak, sonore et puissante. Le sourire de satisfaction, l’humaine apprécia ce sentiment de puissance, de contrôle, qu’elle expérimentait sur un être aussi puissant que Marak, sans même s’en cacher.

A demi-nue, installée sur lui, position andromaque (eh oui ! on ne fait pas juste dans le sensationnel et le fantasme ici… on s’éduque telle une formation continue, d’un nouveau mot de vocabulaire ça et là ! ) , elle le regarda de haut, le surplombant de ses yeux pervers.

Avec gourmandise, elle vint picorer à nouveau les lèvres de cette peau grise aux reliefs agités, tout en découvrant avec un agréable sentiment qu’il sembla prêt de son côté, ne manqua plus que la touche finale, lorsque sa main hardie se glissa son short, ce sentiment d’être pris en otage par cette main étrangère, qui demanda une certaine dose de confiance de la part de Marak, pour ne pas être tenté d’aller l’intercepter, et de la guider vers un plaisir strictement egocentrique et de garder le contrôle. Au risque d’en souffrir, une certitude quand on voit ce regard pétillant de malice, il la laissa explorer, profitant des frissons qu’elle put lui procurer, là où d’autres auraient pu faire mieux, passant pour des amateures, comparé à cette fragile, mais fougueuse rouquine humaine.


    « Misha: J’espère que tu es aussi… Impressionnant qu’en combat régulier. »

La voix de Misha la trahissait allègrement. Elle était revenue en mode provocation, pour d’autres raisons cette fois. Elle l’avait entraîné avec elle dans un combat dont Misha n’aurait pu tirer aucun avantage, sinon que d’être attendri mécaniquement comme un morceau de viande ! Et voilà que maintenant, elle revenait à la charge, il s’agissait d’autre chose. Un résultat similaire l’attendait, mais la motivation fût différente ! Misha désirait être challengée, juste parce que !.

    « Marak: Tu en seras la seule juge… Mais seras-tu capable d’encaisser tout ce que j’aurai à t’offrir ? »

Dans un élan de spontanéité, le duo, en quelques secondes tout au plus, se débarrassèrent chacun du peu de vêtement qui leurs faisaient encore obstacle. Marak inspecta du regard cette superbe vue, la recette parfait pour un carnage… La chevelure au look légèrement éméché dû à l’altercation physique précédente, le regard malicieux à souhait, enflammée par le désir, consumant l'appréhension des prochains instants, comme un accélèrant qu’on laissait dans les mains d’un pyromane, qui s’annoncèrent chaud et vocale… ( Dans la sueur et les cris… faut bien finir par justifier le titre tout de même!)

Une silhouette un peu frêle au goût du Zabrak, mais qui ne le serait pas, dans la majorité des cas, comparé à lui. Malgré tout, sous cette apparence de fragilité, Marak découvrit, avec satisfaction des courbes, des lignes du corps humains que la rouquine offrait en cette matinée, que peu de Zeltronne, Twi’lek, Pantoran, ou Mirialan pouvait rivaliser, au goût du Zabrak. Une poitrine, quelque part flirtant avec l’oeuvre d’art, un équilibre de luxure athlétique qui en impose, sans tomber dans l’encombrement. Décidément un attrait touristique majeure, un arrêt obligatoire et incontournable, qu’il se ferait un plaisir d’aller torturer de ses mains et de la langue, plus tard…

La peau de la rouquine, aux couleurs des climats désertiques, se couvrit d’un frisson, sensation de chair de poule lorsqu’une brise légère et fraîche vint la caresser avec bien plus de délicatesse que le colosse qui se trouvait d’ores et déjà entre ses cuisses. Leurs regards croisèrent le fer une énième fois, elle haussa un sourcil, alors que son index dessina lentement, très lentement, le contour du visage de son partenaire, glissant du Nord, direction plein Sud dans une sensualité sans nom, étant habitué à la soumission des professionnelles, alors que Misha, elle, chevauchait et osait mener la rébellion et s’insurger en territoire ennemi, tentant de prendre en otage son fameux “précieux” !! .

Lorsque ses doigts se refermèrent sur lui, elle bascula légèrement en arrière, pour ramener son bassin vers l’avant, et venir à sa rencontre, sans pour autant le faire entrer dans sa bulle. Juste ce qu’il fallait pour augmenter encore un peu l’envie, pour jouer avec cette flamme qui les animait tous les deux. Ce qui s’annonçait comme un affrontement en rangée, se transforma plutôt en guerre d’attrition, pour voir qui des deux esprits conquérants allait flancher le premier… alors qu’elle caressait craintivement la bête de ses lèvres sudistes, en bonne tacticienne elle tentait d’attendrir les pulsions du Dragon Krayt, pour que le Sarlacc caché dans l’obscurité n’en fasse qu’une bouchée, un scénario digne des meilleures parodies du folklore de Tatooine pervertie en un épisode d’une série d’Holoporn: Sarlacc pit versus Dragon Krayt.


    « Misha: Tu imagines, si quelqu’un arrivait, à ce moment précis ? Ou pire, celui juste après celui là ? »

La voix de Misha tremblait légèrement. D’excitation, cette guerre d’attrition d’un siège mutuelle l’affectait tout autant que son adversaire, sans aucun doute. Et cette idée d’être pris en pleine action par une tierce personne apportait autant d’attrait que d’inconfort. Souhaitaient-ils se faire prendre, certainement pas, mais le risque couru décupla l’intensité des sensations.

Les doigts de Misha s’agitèrent doucement, autour du dragon. Ses dents vinrent mordiller sa mâchoire, son cou, le haut de son buste. Elle jouait avec lui, avec ses nerfs, se dérobant à chaque fois qu’il tentait de faire une avancée vers elle, refusant les offrandes, mais rattaquant juste derrière. Elle cherchait à le rendre fou, c’était certain. Amusé, mais frustré, Marak répliqua dans une approche similaire…


    « Marak: Tu veux dire…. ce moment là ? »

Marak s’aggripa fermement à deux mains, une sur chaque fesse, et ramena doucement le bassin de l’humain, malgré sa résistance, à la hauteur de son visage, où il commença à mordiller l’intérieur des cuisses de ses dents, alors qu’une main aggripée au bassin la prenait à revers pour couper toute retraite, tandis que de son autre main, telle la cavalerie remontèrent le territoire pour prendre en otage un seins dans la paume de sa main, coinçant entre le pouce et son index la papille mammaire et torturait soigneusement sa partenaire de légers pincements et rotations entre ses doigts, pour générer une réaction vocale, douce musique à ses oreilles tout en massant l’ensemble de la seinte région, suivant le rythme de la main de Misha, toujours agrippé au Dragon Krayt.

    « Marak: … Ou celui-là !? »

Tranquillement le bassin de Misha s’aligna de lui-même, et la suspension s’abaissa, agrémenté de sursauts musculaires incontrôlables, causé par la prise d’otage au Nord… ou l’attaque au Sud qui avança maintenant si près de son entre-jambe, qu’elle pouvait ressentir son souflle déferler sur l’une des régions les plus sensibles de son corps, provoquant des réactions pour le moins invitantes ! Évitant d’attaquer le vif du sujet dans un assaut frontale en continue, il torturait en périphérie, dans un mélange de coup fouetté avec la langue, Nord-Sud-Est-Ouest, ou de baiser langoureux, suivant les réactions, il revenait périodiquement sur certaines zones, pour faire monter la tonalité de sa voix, et tranquillement lui faire atteindre un certain plateau, un fin assaisonnement entre désir et extase, qui une fois atteint allait lui permettre, l’espérait-il, de la faire jouir à plusieurs reprises, tel que promis, jusqu’à ce qu’elle supplie une trêve.

Certains diraient que c’est une technique Sith, peut-être, puisqu’ils sont plus centré sur leurs émotions que leur homologues lumineux. Mais à la base, c’est surtout une question d’empathie, d’opportunisme et de synchronicité, une recette toute simple, pouvant invoquer le meilleur, comme le pire ! Le jeu dura ainsi un moment, jusqu’à monter en température, bien affamé et chaud. Et puis, lorsqu’il ressenti l’atteinte de ce plateau désiré, Marak relâcha son emprise sur le bassin de Misha, lui laissant le choix de le surprendre de la manière qui lui convenait à elle.

Elle prit l’initiative de les unir. La sensation lui fit fermer les yeux, et bascula la tête en arrière, offrant son cou au soleil, laissant ses cheveux roux caresser son dos. Les mains posées à plat sur le torse de Marak, elle y prit appui pour pouvoir onduler des hanches, imprimant entre eux un rythme lent, pour démarrer, comme une valse douce.

Puis soudainement, alors qu’elle commençait à y prendre goût, autant que lui-même d'ailleurs, il se souvint de cette phrase qu’elle lui avait dîtes quelques minutes plus tôt….


MIsha Kist a écrit :
    « Misha: Mais… le corps à corps, c’est pas juste de la technique, pas vrai ? C’est aussi une bonne dose de feeling… C’est presque une danse, quelque chose de sensuel, d’intense. Tu crois pas ? »


Lui qui apprécie garder le contrôle de la situation dès que faire se peut, il se surprenait lui-même à lui faire une demande

    « Marak: Vas-y…. montre-moi vraiment comment tu danses ! »

Il choisit d’être l’instrument, de se laisser guider par son tempo, par la douceur et la justesse des mouvements de son corps sur les temps et contretemps, par la mélodie de sa voix qui tranquillement poussa des vocalises, ce à quoi il répondit progressivement à son tour, une note similaire, en accord, 3-4 octaves en-dessous, par l’agressivité de ses mains délicates qui l’égratigne “gentiment” la peau de ses ongles quand l’intensité commença à se faire plus présente, mélangeant douleur, celle qui vous fait sentir en vie, et plaisir !

Aucune vitesse excessive, le tout privilégiant l’échange d’informations et faire progresser l’intensité de leur langage non-verbale, il ne faisait que nourrir l’inertie, laissant savourer le Dragon, explorant la bulle, tester la sensibilité de son nouvel habitat, avant de chercher à prendre contact avec le point névralgique, cette zone ayant la plus grande concentration de synapse, tout en subtilité, parfaitement camouflé avec le reste du décor, intensément érogène… Cette minuscule zone, d’à peine 1 centimètre de diamètre, ou moins, qui par sa stimulation tactile semblait faire des merveilles pour faire passer en “contre-bande”, la formule chimique du bonheur en trajet express au cerveau. Dans les cas les plus extrêmes

Il testait, il écoutait, partit puis revint, à plusieurs reprises, juste pour être sûre, il la laissa enchaîner monter les vitesses, testa encore, vérifier sa réaction… quand il fût confiant de lui faire perdre la carte, aussi bien qu’elle était entrain de lui faire subir en ce moment, tranquillement il reprit le contrôle…



#40354
Ses hanches ondulent, dans une douce frénésie qui l’emmène et la transporte vers d’autres mondes dans lesquelles elle n’est même pas certaine d’avoir un corps, pour être honnête. Ses yeux se ferment, et s’ouvrent, tandis que ses muscles se tendent et se détendent au fur et à mesure que son dos se cambre. S’il lui a déjà fait atteindre l’extase juste avant, c’est elle cette fois qui décide du rythme à imprimer à leur danse. Elle en oublie qu’il n’est pas humain, alors que jusque là, ce paramètre avait toujours été des plus rédhibitoires. En fait, c’est peut être parce que ce qui se passe là n’implique aucun sentiment. C’est un défi. Un challenge. Un pari qu’il lui a lancé implicitement, qu’elle a relevé. Ou le contraire. A ce moment là, plus personne ne le sait vraiment. Il veut voir comment elle danse, elle le lui montre, donnant de la voix autant que de son corps. Ses ongles s’enfoncent lentement dans ses chairs, parfois plus profondément, selon ce qu’elle ressent, selon jusqu’où elle se sent capable de supporter les assauts répétés qu’elle réclame cependant encore et encore.

Autour d’eux le silence s’est fait. Pas un son, comme pour leur permettre de se concentrer sur eux et seulement eux, mais aussi pour pouvoir rester aux aguets, et éviter de se faire surprendre comme deux adolescents. Qui sait les ennuis que pourrait leur amener cette petite escapade bucolique. Pas certaine que ça plaise à tout le monde, et encore moins à Vrad. Elle pense à lui, fugacement. Et se dit que s’il veut obtenir quelque chose d’elle, il faudra qu’il s’y décide, sous peine de quoi elle pourrait bien revenir noyer sa solitude dans les bras du Zabrak, tant l’instant lui plaît. Peut être qu’elle pourrait forcer un peu le destin. Voilà encore une chose à laquelle réfléchir. Mais pas maintenant. Pas maintenant.

Pour l’instant, ce qui compte, c’est la chaleur qui semble gagner chaque cellule de ses muscles. C’est le léger tressautement de son épiderme, c’est sa poitrine qui rebondit légèrement à chaque fois qu’elle vient et va sur sa monture. Elle sent qu’à nouveau, elle est envahie par une nouvelle vague d’un plaisir intense qui la transperce et la transporte. Mais étonnamment, là où elle s’était toujours sentie plus ou moins en symbiose avec ses partenaires, ce n’est pas le cas ici. Elle est focalisée sur elle, c’est étonnant. Diablement étonnant. Et pourtant pas perturbant, elle ne saurait pas l’expliquer. Non, elle ne saurait pas dire pourquoi, au moment où sa voix s’échappe de ses lèvres pour exprimer son plaisir, elle ne se soucie pas de savoir si c’est son cas aussi.

Et de toute façon, elle n’a pas le temps d’y réfléchir. Parce que le côté prédateur du Zabrak semble reprendre le dessus, et il la saisit par les hanches pour la soulever à nouveau, et la déposer plus ou moins doucement à coté de lui. Elle baisse les yeux vers lui, pour croiser furtivement son regard, avant qu’il ne bouge, et que sans qu’elle n’ai pu réagir à aucun moment, elle ne sente son torse posé sur son dos. La main imposante se glisse fortement dans ses cheveux, et la poigne s’y referme violemment. Elle grimace, et se mord les lèvres, plus fort, allant même jusqu’à avancer légèrement sa tête pour que son cuir chevelu lui fasse mal.

Là, il prend possession d’elle. Littéralement, sans qu’elle ne puisse s’y opposer – si jamais elle le voulait, ce qui était loin d’être le cas -, une main dans ses cheveux, l’autre sur sa hanche. Quelque chose de sauvage, presque animal, finalement. Un acte d’envie pure, sans retenue, sans faux semblant, sans jolis emballages de romantisme et de douceur. Ils savaient tous les deux ce qu’ils étaient venus chercher dans cette clairière. Elle lui avait donné sa part. C’était à son tour d’en faire de même.
#40358
Attention mes RP peuvent contenir des scènes explicites ou des sous-entendus de nature à choquer l’imaginaire du lecteur



10:38, heure locale
Corcord Dawn - dans les sous-bois...




Pendant un temps, ce fût amusant, de la voir danser, se dandiner le bassin de bas en haut plus ou moins rapidement, plus ou moins profondément, variant le rythme des pulsations pour son plaisir personnel, alors qu'il observait le spectacle. La tête de Misha qui se balançait de l’avant vers l’arrière, ses yeux tantôt fermés, tantôt ouverts, semblant parfois rouler à l’envers lors de sensations inattendues. Sa chevelure rousse alla et revint cacher et découvrir l’attrait de son cou, ses mains empoignant fermement les pectoraux de Marak, les ongles de la femme s’ancrant dans sa peau, provoquant un léger pincement, combiné à ses exclamations vocales s’échappant de ses lèvres, qui tranquillement raviva un feu endormi sous la cendre, porté par le souffle de sa voix. La claque au visage avait attisé quelque choses qui le fît sourire d’envie… mais les ongles endommageant son corps, sa chair, cette longue descente du bassin, lente et profonde, combiné à l’effet de constriction de son corps sur le “Dragon” alors qu’elle savoura chaque instant de cette sensation de plaisir intense, tout ça commençait à l’affecter lui aussi. C’est elle qui avait choisi la première position de torture et l’andromaque fût son choix. Maintenant que Misha avait bien allumé la forge de Marak, et que son fer avait bien été chauffé, l’on pouvait maintenant commencer à la battre un peu !

Le tempérament “prédateur” du Zabrak prit instinctivement le dessus, la saisissant par les hanches pour la soulever, et la déposer plus ou moins doucement à côté de lui, alors qu’elle vibrait encore de la dernière vague de plaisir, traduit par un effet de tremblement incontrôlable, immobile, mais inondée de spasme musculaire en même temps. Elle baissa les yeux, pour croiser furtivement son regard, mais le prédateur se tenait dans l’angle mort de sa vision, et sans qu’elle puisse réagir, elle sentit le torse de Marak prendre d’assaut son dos. Il la positionna sur le ventre, sans toutefois être totalement allongée, elle avait un léger appuis sur ses genoux et ses mains, comme si elle voulait se relever, mais ne pouvait faire mieux que de se rendre à mi-parcours de la manœuvre. Puis Marak vint envelopper Misha par derrière, le dragon explorant l’entre-jambe de la rouquine, attisant le désir par la friction, faisant sa ronde de sécurité, prévenant son arrivée imminente, avant de reprendre l’assaut.

Sa main imposante se glissa fortement dans ses cheveux, et la poigne s’y referma violemment. Elle grimaça, se mordit les lèvres, mais en rajouta d'elle-même, allant jusqu’à avancer légèrement sa tête pour que son cuir chevelu lui fasse mal. La tête ainsi relevé Marak alla mordiller ce cou avec ses dents quelques secondes, puis reprit une distance, jouant avec l’intensité et l’angle qu’il avait sur la chevelure de l’humaine, tantôt tirant vers l’arrière, les côtés ou vers le haut. Son autre main libre caressait son dos, plus ou moins gentiment, alla jusqu’à empoigner un sein, dans une intensité où la finesse commençait à lâcher prise, pour en stimuler son extrémité, pinçant légèrement la chair sensible, pour ensuite venir étreindre légèrement son cou de sa main, juste le temps d’installer un doute, puis relâcher et glisser ses doigt vers le haut de sa nuque, tira la chevelure vers le haut, elle tenait son appui presque du bout des doigts, et lentement Marak descendit sa main de la nuque vers les reins, en longeant la colonne vertébrale, en prenant bien soin d’égratigner la chair, à son tour, de ses ongles. Dans cette variante de position de “l’approche du tigre”, tel le tigre qui bondit sur sa proie, alors que distraite par les différentes sources de douleur plus haut… Le dragon se positionna et bondit sur son objectif, alors que la douleur la fît cambrer dans un angle trop invitant, une opportunité qui pourrait rassasier le prédateur pendant un moment.

Là, il prit possession d’elle. Littéralement, sans qu’elle ne puisse s’y opposer. Une main dans ses cheveux, l’autre sur sa hanche. Quelque chose de sauvage débuta, presque animal, elle s’en doutait depuis un moment, lui tentait de repousser ce moment le plus longtemps possible, mais finalement, les civilités, politesses et autres délicatesses du genre ont pris la sortie côté court ! Ce qui s’était initié par des gestes doux et sensuels, se transforma en un acte d’envie pure, sans retenue, ni faux semblant. Ils savaient tous les deux ce qu’ils étaient venus chercher dans cette clairière.

Rarement, sur ce pan de sa vie, il n’avait pu se laisser aller à ce niveau avec une partenaire, devant négocier avec une clientèle où leur corps était leur temple, où les imperfections ne devait pas nuire aux bénéfices, où les cicatrices étaient synonymes de marchandises avariées. Il arriva à un point où il a l’impression de perdre la carte, de devenir fou, comme un point de non-retour où il pourrait commettre l’irréparable dans l'exication du moment… En situation de combat c’est une chose, pendant les ébats, s’en est une autre ! Son regard Jaune Orcre semblait adopter une teinte plus roujoyante, une furie habitait son regard.

Animé et motivé par une rage provenant de ses plus vieux souvenirs, il fallait cependant connaître son passé pour mieux comprendre ses agissements. Considéré comme un esclave par sa propre famille, constamment sous leur dominance et leur oppression, à 1 exception près, la seule forme d’amour qu’il est pu connaître fût celle de la violence qu’il côtoya au quotidien, autant physique que mentale. Lorsqu’il pu s’en libérer, il dû réapprendre à vivre dans une société aux standards plus civilisés que ceux qu’on retrouve sur Dathomir ! Avec le temps, il devint insensible à cette violence, allant jusqu’à en apprécier les effets.

Marak contenait plutôt bien cette passion pour la violence, comme une bête qu'on garde constamment en cage, la nourissant le stricte minimum pour survivre et garder un contrôle affectif sur elle, et ainsi se soustraire au mieux à la tentation d’y céder ouvertement et laisser la porte de la cage ouverte ! C’est dans les moments les plus intenses que des traits cachés de notre nature remonte à la surface pour se dévoiler à la perception de l’image qu’on désire projeter sur les autres. Son arrogance fait parti du personnage, mécanisme de défense sociale, lui qui était soumis par l’autorité féminine depuis sa naissance, il avait toujours eu du mal avec l’autorité en générale, encore plus lorsqu’il s’agissait d’une femme. Il avait laissé Misha en contrôle temps qu’il a pu, tentant d’en apprécier chaque seconde, puis sa nature reprit contrôle. Il ne la détestait pas elle, bien au contraire il se régalait de sa personne, il détestait seulement le souvenir qu’il voyait en elle, de son enfance, il ne pouvait s’empêcher d’être contrôlant, direct, limite brusque, dans ces moments d’intensité, d’où un roulement de partenaire constant, souvent facilement froissée par l’expérience !

L’approche du tigre dura un moment, où elle pouvait quand même gérer un peu le rythme, puis transita en levrette, où elle perdit ce privilège. Il martelait le fer tant qu’il était chaud, sans retenue, au plein potentiel de la bête, tantôt à genoux, imprimant une main rougeâtre sur chacune de ses fesses, conséquence de l’intensité de la correction que Marak lui infligeait, pour ensuite se placer sur ses jambes, afin de la marteler dans un angle négatif, plutôt que simplement avant-arrière… Les regards ne se croisait pas souvent, de par le choix des positions, mais l’écoute était présente, malgré la douleur, il se restreignait tant bien que mal à ne pas aller trop loin trop vite, et se fiait au son de la voix de Misha, et la lecture en continu de son ressenti à elle, et testait la tolérence de son corps.

Il la ressenti vibrer plusieurs fois de plaisir, les vocalises aidant à l’approche du moment, dont l’une de ces montée en crescendo lui fît également atteindre le sien, où le Dragon Krayt cracha son acide dans le creux de la gorge du Sarlacc, mais n’arrêta en rien les assauts, au contraire, il y trouvît son deuxième souffle, se laissant choire sur le côté, l'entraînant avec lui dans une position en cuillère et augmenta la cadence. La chevelure pût prendre une pause alors qu’il posa la main à son cou, et l’autre faisait la navette buste-hanche… Ils étaient tous les deux en sueurs… elle avait le souffle court, elle appréhendait la prochaine vague, et lui semblait fâché, mais ce serait faire une erreur que d’y croire, car une fois qu’il eut forcé Misha à croiser le regard, poussant du pouce sur sa mâchoire de sa main pouvant la faire suffoquer si l’envie lui prenait, elle pu lire non pas la colère, mais la détermination dans ses yeux, et un léger sourire en coin s’afficha… alors que le rythme repris une intensité nouvelle, gracié d’une petite accalmie pendant que les regards échangeaient dans un non-verbal universelle une parole non-dite, qui en quelques mot poli…

” Toi t’es trop bonne, tu vas payer pour toutes celles qui ont failli à la tâche ! “



#40368
La situation était hors de contrôle. De toute façon, ils étaient allés trop loin. Ils n’allaient pas s’arrêter en si bon chemin. Et pour le coup, la rousse s’était complètement abandonnée entre les mains du Zabrak. Après avoir pu mener la danse pendant de longues minutes, surplombant son adversaire, avec un sentiment de toute puissance, observant sur le visage de Marak la moindre crispation trahissant le plaisir qu’il pouvait ressentir, il avait fini par inverser la vapeur. Et si sa danse à elle avait été intense mais lente, développée, celle que lui avait décidé de mettre en place était violente, rapide, dure, profonde. En fait, elle aurait été incapable de décrire ce qu’il lui faisait subir. Non pas qu’elle s’en plaignait, loin de là, et les éclats de sa voix la trahissaient allègrement en matière de plaisir ressenti. Mais elle n’avait plus aucune possibilité de riposter, complètement soumise.

Quand enfin, ils atteignirent le maximum de ce qu’ils pouvaient se donner, elle pensa innocemment que c’était la fin, d’autant qu’il bascula sur le côté, l’entraînant avec lui. Elle tentait de reprendre son souffle, le corps tremblant, agité d’un mélange de frissons et de spasmes. Sa main vient chercher la sienne pour la poser sur son ventre, comme un semblant d’étreinte. Seulement, le pouce de son amant vient s’apposer sur sa mâchoire, et elle tourne la tête vers lui. Le doigt est menaçant, mais pas plus que le regard, alors que son bassin revient à l’assaut. C’est à ce moment là qu’elle comprend que si elle a décidé de lui lancer un défi, lui a décidé de le relever. Ce n’est pas terminé, et elle a interêt à s’accrocher pour tenir bon. Le second round est en marche.

***************


La clairière n’a plus la même couleur lorsqu’elle ouvre les yeux. La nuit est tombée, il lui semble, tant tout est sombre. L’air frais caresse sa peau, et lorsque celle-ci se couvre d’une délicate chair de poule, elle se rend compte qu’elle est toujours nue, étendue dans l’herbe humide de la fin de journée. Dos au sol, elle observe le ciel, en se remémorant les évènements qui ont eu lieu. Petite souris avait voulu jouer avec le chat. Et elle avait perdu. Ou gagné, suivant comment on voyait les choses. En tout cas, ils s’étaient cherchés et s’étaient trouvés. Elle n’attendait rien de plus de tout ça. Même pas vraiment de recommencer.

Etendant son bras vers la gauche, elle ne trouva pas le corps masculin à ses côtés. Elle soupira en ouvrant les yeux. Misha ne s’était attendue à rien, mais pas à ce qu’il parte. Enfin, c’est ce qu’elle croyait, parce qu’elle tourna la tête et tomba sur son regard qui l’observait. Elle sourit. Pliant les jambes, elle tira ses bras au dessus de sa tête, cambrant les reins, étirant tout son corps, dans une pose suggestive, tout en le braquant de ses prunelles vertes. Presque une invitation à recommencer.

Sauf qu’elle ne resta pas comme ça, et finit par se redresser, pour aller ramasser ses vêtements et se rhabiller, sans un mot. Son esprit était légèrement confus. Elle savait bien que quelque part, il avait raison, elle avait cherché à ce que ça arrive. Elle en avait eu envie dès le premier jour où elle l’avait rencontré, malgré qu’elle ne supporte pas son arrogance et ses manières. Et maintenant que c’était arrivé, elle se sentait quelque part entre la satisfaction, l’envie forte de recommencer, et une étrange culpabilité. Est-ce que c’était une erreur ? Peut être, peut être pas.

Passant sa tunique, elle fronça le bout de son nez.


- Ca reste entre nous ? Tout ça ?

Hors de question d’assumer ça à la vue de tous, à la vue de Vrad. C’était pas un moment d’égarement, on ne pouvait pas dire ça, elle avait même beaucoup apprécié la chose, très clairement. Mais de là à ce que ça se sache, il y avait un fossé qu’elle n’était pas prête à franchir. Elle sourit, cependant, tandis que des flashs lui traversaient l’esprit. Elle pensa, un peu fort, qu’ils auraient pu tourner un film qui aurait satisfait des centaines de voyeurs sans aucun soucis. Leurs passions et leurs aptitudes réunies… Elle secoua doucement la tête, tentant de réfréner ses ardeurs avant de lui proposer de remettre le couvert.

- Ca n’arrivera plus, hein, on est bien d’accord ?
#40405
Attention mes RP peuvent contenir des scènes explicites ou des sous-entendus de nature à choquer l’imaginaire du lecteur



13:25, heure locale
Corcord Dawn - dans les sous-bois...




Alors qu’ils prenaient une de ces petites pauses, enlacés l’un avec l’autre, quelque part entre le 2e et le 3e round pensa-t-il, Misha s’endormit confortablement, ayant besoin de plus de repos, visiblement ! Une opportunité inouïe pour le sith “d’écouter” les songes de cette créature, dont les courbes tenaient sa bête attentive aux invitations potentielles. De là, il entra dans cet état second de communion avec la force, afin de mieux se connecter à l’autre partie, pour éventuellement pouvoir creuser et explorer plus en profondeur l’esprit de la jeune femme, pendant son sommeil. Au début, passivement, il observait comme un oiseau sur une vieille branche, perché sur un arbre surplombant une ravissante maison, ce qui pouvait bien se tramer à l’intérieur de cette maison par la fenêtre dont il espionnait. Dans une douce mélancolie il chantait oisivement sa mélodie pour attirer l’attention, espérant qu’une fenêtre, ou une porte ne s’ouvre et le laisse entrer.

Heureusement pour Misha, le lien qu’elle partageait avec Marak fût trop récent et empreint de doute à son égard, ce qui l’empêcha d’entrer à proprement dit par la grande porte, la simple empathie de base étant insuffisante à ce stade de leur toute nouvelle relation… il y avait bien d’autres chemins pour arriver à terme, mais cela demandait des actions plus drastiques de la part de Marak pour forcer son passage… Une philosophie obscure qu’il tentait de mettre de côté définitivement.

Il épia les souvenirs qui se projettèrent aléatoirement devant cette vue fenestrée, souvent cryptique, subjectives, sujet à interprétation. Il se laissait bercer par l’histoire vécue et tentait de suivre l’épisode en cours, sans en avoir vu les précédents. Beaucoup de ces épisodes fûrent des découvertes sur Misha, ne la connaissant que depuis peu d’ordre générale, et intimement depuis encore moins longtemps ! D’autres épisodes semblaient moins voilés, émotionnellement chargés facilitant l’interprétation, des regards étincelants vis-à-vis d'une certaine personne, des couteaux dans les yeux pour d’autres…

Marak commentait les souvenirs, comme un spectateur d’un film d’horreur pouvant prédire un moment d’épouvante où le réalisateur tenterait de nous prendre en sursaut. Si cela n’avait aucuns effets au départ, avec le temps qui passa à se faire sonder, c’était comme si l’esprit de Misha était entrain de s’habituer à sa présence, et quel ne fût pas sa surprise lorsqu’un de ses commentaires fît réagir les acteurs dudit souvenir ! Rien pour l’altérer, juste une légère pause, le temps d’une réaction, un regard dans sa direction, comme si sa mélodie avait été entendue, et reconnue !

Curieux, il aurait voulu pousser plus loin l’expérience, mais il se devait de rester discret, demeurer sous le radar de la force pour ne pas attirer quelconques forces obscures trop hâtivement à ses trousses. En plus, se serait dommage de l’abîmer de l'intérieur ! Ne sachant pas trop les limites de cette forme de persuasion, qu’il n’avait pas trop l’habitude d’utiliser, son imposante stature oeuvrant passivement dans le même sens, aussi il n’émit qu’une “suggestion”, celle de ne pas trop se rapprocher de lui, de se protéger du mal que Marak pourrait lui causer indirectement. De ne jamais lui montrer au grand jour des sentiments avant qu’elle ne soit certaine de les assumer complètement, jusque dans la mort.

Une suggestion facile à réaliser, elle qui adhère déjà partiellement à cette idée… Sans nécessairement tenter de la persuader, il tenta simplement de renforcer cette attitude, jusqu’à ce qu’elle décide par conviction que cela doit changer… Puis tranquillement l’oiseau prit son envol et quitta les abords de la maison…

De retour dans le réel, Marak de désaccoupla d’avec Misha pour finaliser cette mise en scène. Il renfila son short, mettant un terme à la possibilité d’un 3e round. Si se poser dans cette région et se fondre dans la masse semblait une bonne idée, il était cependant évident qu’il n'échappera pas indéfiniment à des traqueurs qui pourraient être tenté par la prime sur sa tête, publié sur le dark holonet. Aussi il devait s’armer de prudence, à qui il accordait sa confiance et à qui il faisait confiance… Pour le reste, il ne tentera que de protéger le plus de personnes possibles auquel il tint à coeur.

Si les mandaloriens pouvaient demeurer générique, des casqués impersonnels, une idéologie, Ranath n’en trouverait aucun intérêt pour atteindre Marak là où ça pût faire mal… Misha par contre avait ce potentiel désormais de peser lourd dans la balance des décisions, si Ranath venait qu’à mettre la main dessus. Aussi, il fallait crever l'abcès avant que ça ne prenne des proportions trop chaotique pour être contenu entièrement, d’où la suggestion de Marak dans les songes de Misha… Une tentative de la protéger, jusqu’à ce qu’elle décide de prendre le risque d’elle-même, en toute connaissance de cause, ce qui n’est pas encore le cas. Elle a encore beaucoup à apprendre sur le Zabrak, découvrir tous ces mensonges par omission…

Il prit place pas très loin d’elle, tout juste hors de sa portée, minimisant l’envie de la prendre à nouveau dans ses bras, de quoi faire ombrage au soleil dans sa course descendante, laissant la fraîcheur de la nature la sortir doucement de se confortable repos, amplement mérité. Marak l’observa paisiblement, s'imprégnant de cette sérénité qu’il éprouva depuis longtemps, profitant de chaque secondes, ne sachant jamais quand le prochain instant du même genre ne croisera sa route de nouveau.


17h45, heure locale
Corcord Dawn - dans les sous-bois...


La clairière n’a plus la même couleur, la nuit s’annonce tranquillement. L’air frais caresse la peau de Misha, la couvrant d’une délicate chair de poule…Dos au sol, elle observe le ciel, en se remémorant les évènements qui ont eu lieu. Elle n’attendait rien de plus de tout ça. Même pas vraiment de recommencer.

Étendant son bras vers la gauche, elle ne trouva pas le corps masculin à ses côtés. Elle soupira en ouvrant les yeux. Tournant la tête, elle tomba sur son regard qui l’observait. Elle sourit. Pliant les jambes, elle tira ses bras au-dessus de sa tête, cambrant les reins, étirant tout son corps, dans une pose suggestive, tout en le braquant de ses prunelles vertes. Presque… une invitation à recommencer. Marak resta immobile, observateur, laissant le temps à cette suggestion le temps de faire son chemin.

Elle finit par se redresser, pour aller ramasser ses vêtements et se rhabiller, sans un mot. Son esprit était légèrement confus. Elle savait bien que quelque part, il avait raison, elle avait cherché à ce que ça arrive. Elle en avait eu envie dès le premier jour où elle l’avait rencontré, malgré qu’elle ne supporte pas son arrogance et ses manières. Et maintenant que c’était arrivé, elle se sentait quelque part entre la satisfaction, l’envie forte de recommencer, et une étrange culpabilité. Est-ce que c’était une erreur ? Peut être, peut être pas.

Passant sa tunique, elle fronça le bout de son nez.


    « Misha: Ca reste entre nous ? Tout ça ? »

Hors de question d’assumer ça à la vue de tous. C’était pas qu’un moment d’égarement, à partir du round 2, ils ne pouvaient plus dire ça, le couple ayant beaucoup apprécié la chose, très clairement. Mais de là à ce que ça se sache, il y avait un fossé qu’elle n’était pas prête à franchir. Elle resta là pensive pendant quelques secondes, puis secoua doucement la tête, tentant de réfréner ses ardeurs.


    « Misha: Ca n’arrivera plus, hein, on est bien d’accord ? »

BOUYA ! L’opération fût un succès, probablement temporaire étant donné son, très… très… très… Très fort caractère, mais tout de même, un petit pas dans la direction voulu, il ne restait plus qu’à cultiver cet état d’esprit aussi longtemps que faire se peut. Une direction à contre-courant de ce qu’il aurait pu souhaiter, mais qui oeuvrait pour la protection de Misha, contre un futur chaotiquement tragique. Le son de sa douce voix, l’entendre dire quelque chose de si cruelle, après une journée à se vautrer dans la luxure, une souffrance dont il avait peut-être besoin, qui ne faisait que relever le bouclier qui avait baissé sa garde, un équilibre dans la force, entre lumière et obscurité. Il ne pouvait tout de même pas rester là sans rien dire indéfiniment, mais il prit son temps, feintant de chercher les bons mots.

    « Marak: Je… heu, [soupir] J’imagine que… humm.. que tu as raison… Après tout… »

À ces mots… une lourde et vieille branche imposante d’un arbre se mit à craquer pour retomber violemment au sol… Un pur hasard, qui ajouta considérablement au dramatisme de la scène, le son du bois cédant sous le poids du temps, décrivant en audio un coeur fracturé, brisé par cette déclaration déguisée en questionnement. Profitant du momentum de la vieille branche… il en rajouta allègrement !

    « Marak:...Après tout… Dans l’fond c’est vrai, on a juste… …sans arrêt presque toute la journée… Ça ne veut ABSOLUMENT rien dire ! »

Visiblement contrarié, le sarcasme était à l’honneur dans ses dernières paroles… Tranquillement il se leva, pour ramasser ce qui lui appartenait, alors que Misha termina de se rhabiller…

    « Marak: Merci pour ce duel, inoubliable, je vais me souvenir longtemps de cette journée ! »

À contre-coeur, Marak tourna les talons… s’apprêtant à quitter les lieux, laissant une dernière chance à Misha d’enlever le couteau, ou de l’enfoncer encore plus profond dans la plaie, de son grain de sel !


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