- mer. 6 juin 2018 10:18
#32858
Je regardai celui qui m'avais interpellé, Harold comme d'habitude. Je me retournai, pour l'observais de bas en haut, vérifiant les derniers détails, ça nouvelle carrosserie était rayonnante et d'une splendeur dorée qui à la lumière du vaisseau s'illuminait de reflet rouge et or. Ce revêtement était parfait dans sa simplicité, un corps d'or pur. Je répondis simplement.
Je fermai mon holopad je terminerai cette entrée de mon holojournal plus tard.
Je pris mon temps avant de répondre à Harold. Me saisissant de mes lunettes de soleil, me recoiffant légèrement, affichant un sourire tapageur à la petite glace qui reflétait mon image. Tout en reboutonnant mon tout nouveau costard, qui même pour moi, m'avais coûté une véritable fortune. Les manchettes étaient incrustées de diamants de 18 carat. Je m'étais habillé pour l'occasion, et même mon œil cybernétique ne fut pas épargné, coloré dans cette dorure tape à l'œil que j'adorais, cet accoutrement étais provocateur, je puais l'argent, et j'avais tous l'air d'un homme d'affaires à qui tout lui réussissait. En quelques sortes, ce n'étais pas faux, mais pour ce que j'allai demander, il valais mieux bomber le torse et se faire plus gros qu'on ne l'est vraiment. Je me retournai vers Harold.
La dernière minute fut la plus longue, le croiseur consulaire s’arrêta au spatioport, le bruit sourd des moteurs qui se coupent étaient le signal que l'appareil était arrimé.
Mon rire se perdit dans le silence glacial de mon vaisseau. Trêve de plaisanterie, aujourd'hui, était un jour des plus importants. Contracter un nouvel emprunt ne me plaisait pas plus que ça, et à la vue du temps que j'ai mis pour obtenir les autorisations pour débarquer, il semblerait que les autorités n'avaient pas oublié le léger incident avec la T.I.ME. Je ne m’attarderai pas à traîner dans les ruelles, je commandai un taxi, pour qu'il m’amène directement aux portes de la Banque Central… Je n'amenai avec moi aucun garde ou autres trucs qui portaient un flingue, simplement Harold et moi. 5 min plus tard, je me retrouvai face à la large banque, je déglutis, renfonça mes larges lunettes avant de franchir les portes. Je me dirigeai vers le guichet le plus proche, refusant de faire la queue, je pris à part le client en tête de fille avant de lui glisser 4.000 Cr dans ces poches, récupérant son ticket en échange. À l'annonce de mon numéro, je m'avançai, et toujours avec un sourire provocateur, m'adressa à la jeune femme qui était au comptoir.
Je prenais les poses théâtrales que j’affectionnai tant lors de mes négociations, Harold à mes côtés patienté tranquillement, sans dire un mot.
Cette fois-ci, je m'approchai au plus prés cessant pendant un instant de gesticuler, et murmurant doucement ces quelques mots « En discuter en privée » Avant de me relever aussi tôt.
Monsieur nous sommes bientôt arrivé dans la citadelle, amarrage prévu dans 3 minutes.
Je regardai celui qui m'avais interpellé, Harold comme d'habitude. Je me retournai, pour l'observais de bas en haut, vérifiant les derniers détails, ça nouvelle carrosserie était rayonnante et d'une splendeur dorée qui à la lumière du vaisseau s'illuminait de reflet rouge et or. Ce revêtement était parfait dans sa simplicité, un corps d'or pur. Je répondis simplement.
Très bien.
Je fermai mon holopad je terminerai cette entrée de mon holojournal plus tard.
C'est nouveau, ces présentations monsieur, je pensais que vous aviez abandonné vos enregistrements ?
Je pris mon temps avant de répondre à Harold. Me saisissant de mes lunettes de soleil, me recoiffant légèrement, affichant un sourire tapageur à la petite glace qui reflétait mon image. Tout en reboutonnant mon tout nouveau costard, qui même pour moi, m'avais coûté une véritable fortune. Les manchettes étaient incrustées de diamants de 18 carat. Je m'étais habillé pour l'occasion, et même mon œil cybernétique ne fut pas épargné, coloré dans cette dorure tape à l'œil que j'adorais, cet accoutrement étais provocateur, je puais l'argent, et j'avais tous l'air d'un homme d'affaires à qui tout lui réussissait. En quelques sortes, ce n'étais pas faux, mais pour ce que j'allai demander, il valais mieux bomber le torse et se faire plus gros qu'on ne l'est vraiment. Je me retournai vers Harold.
Disons que ça peut toujours servir.
si vous le dites monsieur.
La dernière minute fut la plus longue, le croiseur consulaire s’arrêta au spatioport, le bruit sourd des moteurs qui se coupent étaient le signal que l'appareil était arrimé.
Et bien, je crois que c'est l'heure.
Vous êtes bien sur de ce que vous faites Monsieur ?
Bien sûr que je sais, ce que je fais, après tout Harold ne suis-je pas Jack Crypston, le plus grand businessman de la galaxie. Ahahahaha…
Mon rire se perdit dans le silence glacial de mon vaisseau. Trêve de plaisanterie, aujourd'hui, était un jour des plus importants. Contracter un nouvel emprunt ne me plaisait pas plus que ça, et à la vue du temps que j'ai mis pour obtenir les autorisations pour débarquer, il semblerait que les autorités n'avaient pas oublié le léger incident avec la T.I.ME. Je ne m’attarderai pas à traîner dans les ruelles, je commandai un taxi, pour qu'il m’amène directement aux portes de la Banque Central… Je n'amenai avec moi aucun garde ou autres trucs qui portaient un flingue, simplement Harold et moi. 5 min plus tard, je me retrouvai face à la large banque, je déglutis, renfonça mes larges lunettes avant de franchir les portes. Je me dirigeai vers le guichet le plus proche, refusant de faire la queue, je pris à part le client en tête de fille avant de lui glisser 4.000 Cr dans ces poches, récupérant son ticket en échange. À l'annonce de mon numéro, je m'avançai, et toujours avec un sourire provocateur, m'adressa à la jeune femme qui était au comptoir.
Bien le bonjour, je me présente Jack Crypston ! Un « y » dans Crypston, oui, je sais, c'est bien moi le célèbre millionnaire Télosien, l'étoile montante de l'armement, enfin bref trêve de modestie, je ne signe pas d’autographe. Comme vous le voyais je viens à vous !
Je prenais les poses théâtrales que j’affectionnai tant lors de mes négociations, Harold à mes côtés patienté tranquillement, sans dire un mot.
S'y, je suis là, c'est en vue de l'obtention d'un crédit, légèrement important, et j'apprécierai grandement...
Cette fois-ci, je m'approchai au plus prés cessant pendant un instant de gesticuler, et murmurant doucement ces quelques mots « En discuter en privée » Avant de me relever aussi tôt.
Tout le monde pense être le héros de sa propre histoire...