- jeu. 1 mars 2018 16:33
#31937
L’Anx était dans le bureau de sa patiente, Catherine Valentine. Il avait emmené avec lui le contrat qui liait son maître Razor Fun à nombre de ses disciples. Il voulait savoir si cela lui permettait effectivement de prétendre à l’enseignement des disciples du Gnarvlax, ou si ce n’était qu’un contrat tacite dont il ne pourrait pas tirer parti. Un deuxième point était qu’il allait devoir partir avec sa patiente afin de continuer de lui prodiguer des soins pour ne pas arrêter de ralentir la maladie. Il fallait absolument arrêter qu’elle progresse, sous peine qu’elle ne soit plus curable par la dernière branche du Gnarvlax, dont, à priori, il était encore loin. Une avocate, dans un secteur où les lois de la Nouvelle République ne s’appliquaient pas, était également un atout précieux. Après tout, il y avait une énorme plaque à l’entrée du bâtiment, ou était sous titrée “Droit intersystème”. Catherine entra dans son bureau, visiblement surprise que son médecin se déplace sur son lieu de travail. Elle n’utilisait plus de canne, et marchait correctement. Connaissant les antécédents de sa patiente, San Kun admira son aptitude à cacher sa douleur.
Catherine - Chevalier Kun, que me vaut votre visite?
San Kun - Deux points. Le premier est ceci. C’est en contrat entre deux signataires, Razor Fun, et le Behemoth, sur la propriété intellectuelle. Il s’agit de savoir si les droits et les statuts du contrat permettent de les faire valoir dans le secteur Mytaranor. Ce qui amène au deuxième point : Mytaranor. Le Behemoth possède des connaissances qu’il faut qu’il transmette afin de donner de meilleures chances à votre… votre éventuelle guérison. Cependant, afin de ne pas négliger votre traitement, il serait de bon ton que vous fassiez parti du voyage.
Il s’était rattrapé au dernier moment. Il avait failli un peu trop s’avancer en annonçant la guérison prochaine de sa patiente, qui n’avait rien de certain.
Catherine - Vous connaissez le prix de mes honoraires?
San Kun - En y réfléchissant, oui. Mais notez bien qu’un Jedi qui vous doit une faveur peut s’avérer très pratique dans nombre d’affaires.
Catherine - Si tout ce qu’on dit sur les Jedis sont vrais.
Elle sourit sarcastiquement. Pour le moment, l’Anx en face d’elle n’avait démontré aucun pouvoir particulier, et elle était même en train de se dire que les Jedis étaient les membres d’une religion comme une autre. Ils avaient su cacher leur prouesse technologique, qui s’apparentaient à de la magie. Mais des être vivants capables de prodiges, elle ne demandait qu’à voir.
Catherine - Je ne demande qu’à voir. Pour ce qui est de vous accompagner, c’est hors de question. Je suis sur un dossier d’une importance capitale. Un de vos collègues pourra très bien s’occuper de moi.
San Kun - Ce n’est pas la politique de la clinique Fun de s’échanger des patients entre thérapeutes.
Catherine - Alors j’ai bien peur qu’il faille que vous fassiez vite si vous voulez retrouver autre chose qu’une tétraplégique à votre retour. Je ne compte pas passer mes dernières heures de validité à vos côtés. Non… je serais dans un tribunal à montrer qu’en dépit de toutes les épreuves, Catherine Valentine reste une des meilleures avocates de Corruscant. Je prends le contrat. Mes analystes et collaborateurs vont me brieffer, et je vous enverrai personnellement mes conclusions. Ce fut un plaisir de vous avoir pour client, M. Kun.
San Kun - Un plaisir, Maître Valentine. Portez vous bien, et essayez de vous ménager. Cette mission sera brève.
Il n’était même pas énervé. À force de côtoyer des humains, il commençait à savoir repérer leurs différents traits de caractère. Au travers de la thérapie verbale menée conjointement à la thérapie physique, il connaissait très bien les mécanismes qui faisaient marcher la psychée de Catherine. Il s’attendait à cette réponse, mais devait tout de même demander, par conscience professionnelle, et parce que de temps en temps, des événements inespérés arrivent.
Il se retrouva vite dans le Geejaw avec Singer. Il était assez tendu. On l’avait briefé sur la mission. Sur la demande de San Kun, il avait reçu un permis de Forces Spéciales pour affréter le vaisseau, et charger quelques outils de surveillance. Au vue de son caractère, il n’aimait que très moyennement faire parti de cette unité d’élite de la Nouvelle République. C’était un pilote, pas un tacticien expert du combat rapproché ou des guérillas. En plus, il était parfaitement au courant que San Kun n’était pas le candidat idéal pour des mission d’infiltration et d’extraction d’information. Mais bon, il avait bien pris cette mission, Singer ne pouvait que protéger ses arrières.
Singer - Bon, tout est prêt. J’ai préparé le Cockpit pour que tu le pilotes, considères moi comme le mécano. C’est quoi ta couverture déjà?
San Kun Elles seront envoyées pendant le voyage, le temps que la Nouvelle République fasse le nécessaire pour les faux papiers.
Singer - Mmmh… très bien, appelle moi. Hé… heeuu… c’est qui eux?
San Kun - Ceux qui voyagent au bord du Geejaw, et qui ont d’ores et déjà pris leurs quartiers sont la padawan Keila Dalen, et un membre de l’armée des Forces Spéciales de la Nouvelles République, Kathrar jai Sammar.
Singer - Plus on est de fou, plus on rit… je suppose. Je m’en vais checker les moteurs. A+
Au cours du voyage, ils reçurent effectivement leur papier et les personnalités pour lesquelles ils devaient se faire passer :
Evidemment, les troupes acceptèrent sans broncher leur nom de couverture, sauf Singer, qui pensait qu’il avait encore un nom de gay. San Kun ne comprenait pas pourquoi Singer considérait une sexualité en particulier comme dégradante ou qui pouvait être une insulte. Sur Gravlex Med, cela aurait été très mal vu, et il aurait été boycotté par nombre de cercles sociaux.
Cependant, l’Anx ne faisait plus trop attention aux sautes d’humeur de son pilote. Après tout, il était très bon dans ce qu’il faisait, mais surtout, l’Anx savait que Singer lui serait toujours fidèle, pour il ne savait quelle raison. Au gré du temps, il semblait apprécier la façon de procéder de l’Anx, et vouloir à tout prix le protéger des violences du monde extérieur. Mais l’Anx avait évolué. De Padawan, il était maintenant devenu Chevalier. Et on lui accordait plus de missions, lui même commençait à devenir plus fort, plus sage, et plus expérimenté. Il alluma le système de communication du YT pour communiquer sur le canal avec les différents protagonistes de la mission.
Geejaw, veuillez atterrir sur le spatiopont 337-F. Ouvrez votre appareil pour une inspection, et préparez les papiers relatifs à votre demande de visa.
Le Chevalier posa l’appareil doucement. C’est à ce moment qu’il reçut un appel de Corruscant, du bureau de Catherine Valentine. L’hologramme de l’avocate se matérialisa devant la bulle de son cockpit.
Catherine - Bonjour, mes collaborateurs ont finis de décortiquer les 17 200 pages de ce contrat. Il est en accord avec 90% des systèmes de la galaxie, c’est ce qu’on nomme dans le jargon un CIS, Contrat Inter-Systèmes, avec spécificités planétaires. Vous devriez être arrivé non?
San Kun - L’appareil vient de se poser, et les autorités vont procéder à l’inspection.
Catherine -Une inspection?
San Kun - Oui, voilà qui est très procédurier. Vous recevez actuellement les données que vous avez demandé.
San Kun lui envoya les fausses identités, tandis que son IA se matérialisa avec un air inquiété. Il le savait. C’était là un petit soucis que son besoin de relation social n’avait pas prédit. Leur communication n’était pas sécurisée, et il valait mieux éviter tout évènement malencontreux qui aurait pu nuire à leur couverture. Catherine comprit le message. L’Anx fut satisfait que la confiance qu’il lui portait faisait ses preuves. Un lien s’était tissé entre eux, malgré la réputation de requin de tribunal qu’elle semblait entretenir.
Catherine - Ok Garp, je vous renvoie le contrat de Razor Fun “modifié”. Mes collaborateurs vont avoir du travail, ah ah!
En quelques minutes, San Kun reçu une pièce jointe de la part du cabinet d’avocats Cocran & Valentine. Apparemment, son cabinet n’était pas des plus légaux. Tous son contrat avec Razor Fun était là, sauf que le nom de San Kun avait été remplacé par celui de Garp Hrotrhav. Il était donc en mesure d’accéder à son compatriote Anx d’une manière légale. Suivait un résumé du contrat, des principales objections qui pouvaient être levées et de leur futilité avec les arguments juridiques appropriés. Elle était très intelligente. Tous les cas étaient évoqués. San Kun les inspecta un par un avant que les consulaires arrivent enfin au vaisseau pour venir le contrôler.
L’Anx se leva pour aller accueillir les agents. Contrairement à ce à quoi il s’attendait, il n’y avait rien de formel. Les agents n’étaient pas en uniforme, et étaient déjà suspicieux. Singer se contenta de soupirer pour leur faire commencer la visite. Quelqu’un de plus important arriva ensuite, et demanda les documents à San Kun. Il le leur donna, avec l’intitulé de sa requête.
Sgt. Vasqueyras - Le Behemoth, rien que ça?
San Kun - Les papiers sont en règles. Auriez-vous l’amabailité de contacter le Behemoth pour l’annoncer d’une visite qui se voudra sans aucun doute enrichissante.
Sgt. Vasqueyras - Le Behemoth est une célébrité par ici! Vous pensez vraiment que des étrangers pourront le voir comme ça?
San Kun prit soigneusement les documents que lui avait envoyé Catherine à son faux non pour le transmettre sur le datapad du sous officier.
San Kun - L’idée n’est pas de vous importuner de quelques manières que ce soit. Voilà les documents qui attestent de la légalité et du droit de cette venue. Inspectez les, envoyez les à qui de droit. Ici, point de hâte. Le temps n’est pas un problème, et l’attente de la réponse ne sera jamais trop long.
Par ce langage si soutenu, le sous officier ne sut quoi répondre. Il attendit en consultant son datapad nerveusement. Ses subordonnés revinrent, tout était en règle. Il quitta l’appareil et San Kun en profita pour cuisiner pour tout l’équipage. Hareng mariné dans une sauce aux herbes et cocktail à base de jus de fruits de Naboo.
Le sous officier revint les informer que tout était en règle. Il pouvait maintenant circuler où bon leur semblait. Il avait également joint le “[u]chef[/i]” du Behemoth, et ils avaient une adresse!
Catherine - Chevalier Kun, que me vaut votre visite?
San Kun - Deux points. Le premier est ceci. C’est en contrat entre deux signataires, Razor Fun, et le Behemoth, sur la propriété intellectuelle. Il s’agit de savoir si les droits et les statuts du contrat permettent de les faire valoir dans le secteur Mytaranor. Ce qui amène au deuxième point : Mytaranor. Le Behemoth possède des connaissances qu’il faut qu’il transmette afin de donner de meilleures chances à votre… votre éventuelle guérison. Cependant, afin de ne pas négliger votre traitement, il serait de bon ton que vous fassiez parti du voyage.
Il s’était rattrapé au dernier moment. Il avait failli un peu trop s’avancer en annonçant la guérison prochaine de sa patiente, qui n’avait rien de certain.
Catherine - Vous connaissez le prix de mes honoraires?
San Kun - En y réfléchissant, oui. Mais notez bien qu’un Jedi qui vous doit une faveur peut s’avérer très pratique dans nombre d’affaires.
Catherine - Si tout ce qu’on dit sur les Jedis sont vrais.
Elle sourit sarcastiquement. Pour le moment, l’Anx en face d’elle n’avait démontré aucun pouvoir particulier, et elle était même en train de se dire que les Jedis étaient les membres d’une religion comme une autre. Ils avaient su cacher leur prouesse technologique, qui s’apparentaient à de la magie. Mais des être vivants capables de prodiges, elle ne demandait qu’à voir.
Catherine - Je ne demande qu’à voir. Pour ce qui est de vous accompagner, c’est hors de question. Je suis sur un dossier d’une importance capitale. Un de vos collègues pourra très bien s’occuper de moi.
San Kun - Ce n’est pas la politique de la clinique Fun de s’échanger des patients entre thérapeutes.
Catherine - Alors j’ai bien peur qu’il faille que vous fassiez vite si vous voulez retrouver autre chose qu’une tétraplégique à votre retour. Je ne compte pas passer mes dernières heures de validité à vos côtés. Non… je serais dans un tribunal à montrer qu’en dépit de toutes les épreuves, Catherine Valentine reste une des meilleures avocates de Corruscant. Je prends le contrat. Mes analystes et collaborateurs vont me brieffer, et je vous enverrai personnellement mes conclusions. Ce fut un plaisir de vous avoir pour client, M. Kun.
San Kun - Un plaisir, Maître Valentine. Portez vous bien, et essayez de vous ménager. Cette mission sera brève.
Il n’était même pas énervé. À force de côtoyer des humains, il commençait à savoir repérer leurs différents traits de caractère. Au travers de la thérapie verbale menée conjointement à la thérapie physique, il connaissait très bien les mécanismes qui faisaient marcher la psychée de Catherine. Il s’attendait à cette réponse, mais devait tout de même demander, par conscience professionnelle, et parce que de temps en temps, des événements inespérés arrivent.
Il se retrouva vite dans le Geejaw avec Singer. Il était assez tendu. On l’avait briefé sur la mission. Sur la demande de San Kun, il avait reçu un permis de Forces Spéciales pour affréter le vaisseau, et charger quelques outils de surveillance. Au vue de son caractère, il n’aimait que très moyennement faire parti de cette unité d’élite de la Nouvelle République. C’était un pilote, pas un tacticien expert du combat rapproché ou des guérillas. En plus, il était parfaitement au courant que San Kun n’était pas le candidat idéal pour des mission d’infiltration et d’extraction d’information. Mais bon, il avait bien pris cette mission, Singer ne pouvait que protéger ses arrières.
Singer - Bon, tout est prêt. J’ai préparé le Cockpit pour que tu le pilotes, considères moi comme le mécano. C’est quoi ta couverture déjà?
San Kun Elles seront envoyées pendant le voyage, le temps que la Nouvelle République fasse le nécessaire pour les faux papiers.
Singer - Mmmh… très bien, appelle moi. Hé… heeuu… c’est qui eux?
San Kun - Ceux qui voyagent au bord du Geejaw, et qui ont d’ores et déjà pris leurs quartiers sont la padawan Keila Dalen, et un membre de l’armée des Forces Spéciales de la Nouvelles République, Kathrar jai Sammar.
Singer - Plus on est de fou, plus on rit… je suppose. Je m’en vais checker les moteurs. A+
Au cours du voyage, ils reçurent effectivement leur papier et les personnalités pour lesquelles ils devaient se faire passer :
- Keila et San Kun étaient des négociants sous les noms de Olive Jenkys (Keila) et Garp Hrotrhav (San), en quête de sensation, mais surtout, de diversification. Ils souhaitaient notamment commencer un commerce d’esclaves de qualité en joute et combats en tout genre, dans les systèmes Terminus où l’ordre était représenté par la loi du plus fort et des consensus pour que le système reste approvisionné.
- Sammar était leur garde/garde du corps,(faux nom : Man Quartz), de même que Singer, (Valerian Secturien), qui avait également des compétences de mécano.
Evidemment, les troupes acceptèrent sans broncher leur nom de couverture, sauf Singer, qui pensait qu’il avait encore un nom de gay. San Kun ne comprenait pas pourquoi Singer considérait une sexualité en particulier comme dégradante ou qui pouvait être une insulte. Sur Gravlex Med, cela aurait été très mal vu, et il aurait été boycotté par nombre de cercles sociaux.
Cependant, l’Anx ne faisait plus trop attention aux sautes d’humeur de son pilote. Après tout, il était très bon dans ce qu’il faisait, mais surtout, l’Anx savait que Singer lui serait toujours fidèle, pour il ne savait quelle raison. Au gré du temps, il semblait apprécier la façon de procéder de l’Anx, et vouloir à tout prix le protéger des violences du monde extérieur. Mais l’Anx avait évolué. De Padawan, il était maintenant devenu Chevalier. Et on lui accordait plus de missions, lui même commençait à devenir plus fort, plus sage, et plus expérimenté. Il alluma le système de communication du YT pour communiquer sur le canal avec les différents protagonistes de la mission.
Geejaw, veuillez atterrir sur le spatiopont 337-F. Ouvrez votre appareil pour une inspection, et préparez les papiers relatifs à votre demande de visa.
Le Chevalier posa l’appareil doucement. C’est à ce moment qu’il reçut un appel de Corruscant, du bureau de Catherine Valentine. L’hologramme de l’avocate se matérialisa devant la bulle de son cockpit.
Catherine - Bonjour, mes collaborateurs ont finis de décortiquer les 17 200 pages de ce contrat. Il est en accord avec 90% des systèmes de la galaxie, c’est ce qu’on nomme dans le jargon un CIS, Contrat Inter-Systèmes, avec spécificités planétaires. Vous devriez être arrivé non?
San Kun - L’appareil vient de se poser, et les autorités vont procéder à l’inspection.
Catherine -Une inspection?
San Kun - Oui, voilà qui est très procédurier. Vous recevez actuellement les données que vous avez demandé.
San Kun lui envoya les fausses identités, tandis que son IA se matérialisa avec un air inquiété. Il le savait. C’était là un petit soucis que son besoin de relation social n’avait pas prédit. Leur communication n’était pas sécurisée, et il valait mieux éviter tout évènement malencontreux qui aurait pu nuire à leur couverture. Catherine comprit le message. L’Anx fut satisfait que la confiance qu’il lui portait faisait ses preuves. Un lien s’était tissé entre eux, malgré la réputation de requin de tribunal qu’elle semblait entretenir.
Catherine - Ok Garp, je vous renvoie le contrat de Razor Fun “modifié”. Mes collaborateurs vont avoir du travail, ah ah!
En quelques minutes, San Kun reçu une pièce jointe de la part du cabinet d’avocats Cocran & Valentine. Apparemment, son cabinet n’était pas des plus légaux. Tous son contrat avec Razor Fun était là, sauf que le nom de San Kun avait été remplacé par celui de Garp Hrotrhav. Il était donc en mesure d’accéder à son compatriote Anx d’une manière légale. Suivait un résumé du contrat, des principales objections qui pouvaient être levées et de leur futilité avec les arguments juridiques appropriés. Elle était très intelligente. Tous les cas étaient évoqués. San Kun les inspecta un par un avant que les consulaires arrivent enfin au vaisseau pour venir le contrôler.
L’Anx se leva pour aller accueillir les agents. Contrairement à ce à quoi il s’attendait, il n’y avait rien de formel. Les agents n’étaient pas en uniforme, et étaient déjà suspicieux. Singer se contenta de soupirer pour leur faire commencer la visite. Quelqu’un de plus important arriva ensuite, et demanda les documents à San Kun. Il le leur donna, avec l’intitulé de sa requête.
Sgt. Vasqueyras - Le Behemoth, rien que ça?
San Kun - Les papiers sont en règles. Auriez-vous l’amabailité de contacter le Behemoth pour l’annoncer d’une visite qui se voudra sans aucun doute enrichissante.
Sgt. Vasqueyras - Le Behemoth est une célébrité par ici! Vous pensez vraiment que des étrangers pourront le voir comme ça?
San Kun prit soigneusement les documents que lui avait envoyé Catherine à son faux non pour le transmettre sur le datapad du sous officier.
San Kun - L’idée n’est pas de vous importuner de quelques manières que ce soit. Voilà les documents qui attestent de la légalité et du droit de cette venue. Inspectez les, envoyez les à qui de droit. Ici, point de hâte. Le temps n’est pas un problème, et l’attente de la réponse ne sera jamais trop long.
Par ce langage si soutenu, le sous officier ne sut quoi répondre. Il attendit en consultant son datapad nerveusement. Ses subordonnés revinrent, tout était en règle. Il quitta l’appareil et San Kun en profita pour cuisiner pour tout l’équipage. Hareng mariné dans une sauce aux herbes et cocktail à base de jus de fruits de Naboo.
Le sous officier revint les informer que tout était en règle. Il pouvait maintenant circuler où bon leur semblait. Il avait également joint le “[u]chef[/i]” du Behemoth, et ils avaient une adresse!
Il n'y a pas d'émotion, il y a la paix.
Il n'y a pas d'ignorance, il y a la connaissance.
Il n'y a pas de passion, il y a la sérénité.
Il n'y a pas de chaos, il y a l'harmonie.
Il n'y a pas de mort, il y a la Force.
Il n'y a pas d'ignorance, il y a la connaissance.
Il n'y a pas de passion, il y a la sérénité.
Il n'y a pas de chaos, il y a l'harmonie.
Il n'y a pas de mort, il y a la Force.