- mar. 14 août 2018 12:47
#33599
Le jour J approchait à grand pas. A pas de géant même. Mais qu’importe, tout se passait pour le mieux dans le meilleur des mondes reculés. La jedi-noire était fière des progrès rapides de son exploitation, les extérieurs du domaine commençaient enfin à ressembler à quelque chose, et après la visite des représentants, l’argent et les possibilités seraient infinis !
Elle se voyait déjà agrandir les parcelles de terrain, améliorer sa propriété et les jardins, civiliser ce bout de monde qui était le sien. Mais ne brûlons pas les étapes !
Pour l’heure, la demeure du domaine était toujours en ruine, et les champs retrouvaient tout juste un aspect entretenu. Et ce grâce au travail combiné des dantaris et des nouveaux employés de l’exploitation, le tout sous l’oeil attentif d’Amos’Korn. Ce chagrien savait vraiment y faire, Ragh n’avait pas menti.
Alison, elle, se contenta de continuer le ménage de sa maison, après tout elle payait ses employés pour travailler à sa place maintenant et elle avait délégué la direction à son superviseur. Son rôle était de gérer les sous, les objectifs et faire en sorte que rien ne vienne entraver la réussite de sa future entreprise.
Le reste du temps ? Profiter !
Dans les champs, ce jour là ...
Amos’Korn
Le chagrien scrutait d’un oeil attentif les équipes de travail. Les bras croisés, il dominait de sa hauteur tout le monde, même les dantaris. Conscient du poids des responsabilités qui lui incombait, le superviseur tenait d’une mains de fer ses troupes. Le tout avec tact et diplomatie, mais sans concessions superflue. Tout se passait bien lorsque Amos’ aperçu dans le ciel une grosse navette survolé l’exploitation.
Cela le fit sourire, les soldats de Dantooïne aimaient bien paradé dans de jolis vaisseaux, surtout pour ne rien faire. Un ancien collègue à lui avait même vu ces types prendre un de ces engins pour aller à un drive d’une célèbre firme de restauration. Les soddats affectaient sur Dantooïne aimait se la jouer caïd, dur à cuire, mais pourtant, il n’avait jamais rien à faire de dangereux ici. Tout le monde aspirait à la tranquillité sur la paisible planète.
Mais, son sourire s’effaça quand la navette se posa aux abords de l’exploitation.
«Ohoh, problème en perspective.»
Deux soldats en descendirent, l’air fier, sûr d’eux, dédaigneux et se dirigèrent dans sa direction. L’un d’eux annonça :
«Hey ! Hey ! Monsieur ! Vous pourriez venir s'il vous plaît ?»
Même pas un bonjour ... Ça sentait les ennuis à pleins nez. Au moins il y avait un s’il vous plait, inutile soit, mais présenté comme si il pouvait refuser, chose qu’il n’était bien évidemment impossible.
«-Bien le bonjour messieurs, en quoi puis-je vous aider ?»
Nouvel objectif, ne pas froisser les autorités : en cours
Chic chic chic une surprise
Acte IV-2 Inspection ...
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Le jour J approchait à grand pas. A pas de géant même. Mais qu’importe, tout se passait pour le mieux dans le meilleur des mondes reculés. La jedi-noire était fière des progrès rapides de son exploitation, les extérieurs du domaine commençaient enfin à ressembler à quelque chose, et après la visite des représentants, l’argent et les possibilités seraient infinis !
Elle se voyait déjà agrandir les parcelles de terrain, améliorer sa propriété et les jardins, civiliser ce bout de monde qui était le sien. Mais ne brûlons pas les étapes !
Pour l’heure, la demeure du domaine était toujours en ruine, et les champs retrouvaient tout juste un aspect entretenu. Et ce grâce au travail combiné des dantaris et des nouveaux employés de l’exploitation, le tout sous l’oeil attentif d’Amos’Korn. Ce chagrien savait vraiment y faire, Ragh n’avait pas menti.
Alison, elle, se contenta de continuer le ménage de sa maison, après tout elle payait ses employés pour travailler à sa place maintenant et elle avait délégué la direction à son superviseur. Son rôle était de gérer les sous, les objectifs et faire en sorte que rien ne vienne entraver la réussite de sa future entreprise.
Le reste du temps ? Profiter !
Dans les champs, ce jour là ...
Amos’Korn
Le chagrien scrutait d’un oeil attentif les équipes de travail. Les bras croisés, il dominait de sa hauteur tout le monde, même les dantaris. Conscient du poids des responsabilités qui lui incombait, le superviseur tenait d’une mains de fer ses troupes. Le tout avec tact et diplomatie, mais sans concessions superflue. Tout se passait bien lorsque Amos’ aperçu dans le ciel une grosse navette survolé l’exploitation.
Cela le fit sourire, les soldats de Dantooïne aimaient bien paradé dans de jolis vaisseaux, surtout pour ne rien faire. Un ancien collègue à lui avait même vu ces types prendre un de ces engins pour aller à un drive d’une célèbre firme de restauration. Les soddats affectaient sur Dantooïne aimait se la jouer caïd, dur à cuire, mais pourtant, il n’avait jamais rien à faire de dangereux ici. Tout le monde aspirait à la tranquillité sur la paisible planète.
Mais, son sourire s’effaça quand la navette se posa aux abords de l’exploitation.
«Ohoh, problème en perspective.»
Deux soldats en descendirent, l’air fier, sûr d’eux, dédaigneux et se dirigèrent dans sa direction. L’un d’eux annonça :
«Hey ! Hey ! Monsieur ! Vous pourriez venir s'il vous plaît ?»
Même pas un bonjour ... Ça sentait les ennuis à pleins nez. Au moins il y avait un s’il vous plait, inutile soit, mais présenté comme si il pouvait refuser, chose qu’il n’était bien évidemment impossible.
«-Bien le bonjour messieurs, en quoi puis-je vous aider ?»
Nouvel objectif, ne pas froisser les autorités : en cours
Chic chic chic une surprise