- mar. 9 oct. 2018 16:04
#34070
Qu'est ce qu'elle aimait quand il faisait ça. Quand il tournait autour d'elle comme un rapace autour de sa proie. Quand la température prenait le temps de monter, petit à petit, dixième de degré par dixième de degré. Ses chaussures claquaient à chaque pas, déclenchant le long son échine un doux frisson d'excitation. Elle ne le quittait pas d'un regard. Si lui avait engagé une parade nuptiale, elle restait sur sa position, lui laissant la primeur de la séduction.
Le temps semblait suspendu, comme s'il avançait au ralenti. Et pourtant en quelques pas à peine, voilà qu'il était déjà face à elle, et qu'elle sentait son souffle sur son visage. Sa main se glissa dans son dos, puis vers ses reins, et voilà que sa poitrine venait à la rencontre de son torse. Elle laissa tomber en douceur ses mains le long de son corps, et se laissa approcher, tandis que le visage de son pirate s'enfonçait dans ses cheveux pour se noyer jusqu'à son oreille, où il prononça quelques mots qui firent monter à ses lèvres un sourire particulièrement mutin.
Il n'y avait pas des centaines de réponses possibles .
- Tu as oublié quelque chose mon amour.
Sa main remonta lentement. Quittant son propre corps vers le poignet de Ciaphas, puis le long de son avant bras, longeant encore plus lentement son biceps, avant d'atteindre enfin son cou, puis sa joue. D'une caresse légère, elle redescendit pour venir appuyer légèrement son doigt sur son sternum et et le faire reculer de quelques centimètres, afin de pouvoir plonger son regard dans le sien.
- Tu n'es pas mon capitaine.
Ses mains se posèrent sur les joues de Ciaphas, et avec gourmandise, ses lèvres vinrent chercher les siennes. Il n'était pas son capitaine, certes, mais il était l'homme de sa vie. Ou d'une partie de sa vie. Après tout, personne ne savait prédire l'avenir, et autant elle que lui ne savaient ce qu'ils seraient dans 6 mois, un an, ou une vingtaine d'année. Alors elle ne laissait jamais les querelles durer bien longtemps, parce qu'elle en avait encore eu la preuve aujourd'hui, chacune de leurs rencontres pouvait être la dernière, et chacune se devait d'être célébrée comme il se devait.
- Mais je suis clémente, et je vais te pardonner ta mégalomanie.
A nouveau, l'arrogance transparaissait dans sa voie, et elle ne pouvait retenir son sourire encore plus grand. Son corps se pressa légèrement contre le sien, tandis que ses pieds se débarrassaient de leurs bottes, comme animés d'une volonté propre.
Le temps semblait suspendu, comme s'il avançait au ralenti. Et pourtant en quelques pas à peine, voilà qu'il était déjà face à elle, et qu'elle sentait son souffle sur son visage. Sa main se glissa dans son dos, puis vers ses reins, et voilà que sa poitrine venait à la rencontre de son torse. Elle laissa tomber en douceur ses mains le long de son corps, et se laissa approcher, tandis que le visage de son pirate s'enfonçait dans ses cheveux pour se noyer jusqu'à son oreille, où il prononça quelques mots qui firent monter à ses lèvres un sourire particulièrement mutin.
Il n'y avait pas des centaines de réponses possibles .
- Tu as oublié quelque chose mon amour.
Sa main remonta lentement. Quittant son propre corps vers le poignet de Ciaphas, puis le long de son avant bras, longeant encore plus lentement son biceps, avant d'atteindre enfin son cou, puis sa joue. D'une caresse légère, elle redescendit pour venir appuyer légèrement son doigt sur son sternum et et le faire reculer de quelques centimètres, afin de pouvoir plonger son regard dans le sien.
- Tu n'es pas mon capitaine.
Ses mains se posèrent sur les joues de Ciaphas, et avec gourmandise, ses lèvres vinrent chercher les siennes. Il n'était pas son capitaine, certes, mais il était l'homme de sa vie. Ou d'une partie de sa vie. Après tout, personne ne savait prédire l'avenir, et autant elle que lui ne savaient ce qu'ils seraient dans 6 mois, un an, ou une vingtaine d'année. Alors elle ne laissait jamais les querelles durer bien longtemps, parce qu'elle en avait encore eu la preuve aujourd'hui, chacune de leurs rencontres pouvait être la dernière, et chacune se devait d'être célébrée comme il se devait.
- Mais je suis clémente, et je vais te pardonner ta mégalomanie.
A nouveau, l'arrogance transparaissait dans sa voie, et elle ne pouvait retenir son sourire encore plus grand. Son corps se pressa légèrement contre le sien, tandis que ses pieds se débarrassaient de leurs bottes, comme animés d'une volonté propre.