- ven. 12 juil. 2019 10:10
#35803
Pouvait-il croire l'idée qu'auparavant il avait pu être si dévoué et attentionné que ce qui se passait maintenant n'était qu'un juste retour des choses ? Difficile à dire, à ce qu'il comprenait de sa capture et des événements l'entourent, il avait fait son devoir et ce qu'on attendait de lui, rien de plus. Ou peut-etre était-il uniquement question du temps passé avec la jeune femme ? Dans ce cas, possible. S'il était aussi stupidement amoureux qu'il ne l'était présentement, il y avait des chances qu'il se soit comporté de manière collante avec elle.
Elle sembla soudainement portée par l'émotion et peina a trouver ses mots avant de s'excuser. Pour quoi ? On se le demandait parce qu'il n'y avait rien à pardonner au final. Ce qu'il avait pu faire n'avait pas mérité qu'en plus de le soigner, elle s'était efforcée de l'aider à se remettre et se retrouver lui-même. Il abandonna ses lèvres brièvement pour lui jeter un regard sévère.
Arrêtez de vous rabaisser, vous méritez le meilleur et c'est ce que vous aurez.
Avant de repartir de plus belle contre ses lèvres si désirables et délectables et de ne plus les lâcher cette fois, comme si sa vie en dépendait et comme si la laisser lui échapper serait définitif et sans retour possible. Sa main valide s'était appliquée à passer sous le tissu de la nuisette sous l'épaule avant de l'enlever lentement puis de passer à l'autre, dans le but évident de dévoiler tout le charme magnétique de la belle. Mais comme elle aussi cherchait à se saisir de lui, ils se génèrent involontairement. En éclatant de rire, ils convinrent d'une trêve le temps qu'il la déleste de ce vêtement à la fois très agréable visuellement et gênant dans leur lutte.
Enfin le corps féminin fut dévoilé en bonne partie et offrit-il un bel échantillon dont se délecter. Oui, alors même qu'elle restait en sous-vêtements, la reine irradiait la sensualité et la perfection. Un magnétisme brut conjugué à ses yeux azurs achevaient le tableau d'une succube a laquelle nul ne pouvait résister ni même le vouloir. C'était d'ailleurs parce qu'il contemplait le corps d'une finesse exquise qu'il ne résista pas lorsqu'elle lui arracha son haut, marionnette volontaire entre les mains expertes de la maîtresse des lieux.
Ce coeur qui battait en elle le faisait a un rythme endiablé, au moins aussi fort et rapide que le sien. Peut-être même le faisait-il de manière synchrone avec le sien, comme deux êtres unis jusque dans le mouvement mécanique qui régissait toute vie. L'idée avait de quoi séduire il est vrai. La paume de sa main contre la peau de la belle, le coeur battant en-dessous, il lui offrit un sourire timide tout en caressant la peau.
Peu importe que vous ayez hésité, je comprend et ne condamne pas. Ce qui compte, c'est que maintenant vous êtes là, avec moi. Et moi avec vous. Je ne vous lâcherai plus jamais, je vous le promet.
Ensuite fut-il prestement forcé de s'allonger sur le dos dans le lit, plaqué par les bras de la reine qui le forçait ainsi à rester sous elle tandis qu'elle lui offrait le soin de prendre en main son sein encore protégé par le soutien-gorge. Cela ne durerait guère longtemps, d'autant que leurs ardeurs ne faisaient que s'intensifier. La langue de la belle cueillit la sienne tandis que ses cheveux longs lui chatouillaient le visage, formant comme une barrière les isolant de tout, comme si elle espérait ainsi le garder pour elle seule. Il lui donnait tout et elle le savait.
Soudainement toutefois elle s'immobilisa et le regarda de sa hauteur tout en caressant son torse. Avait-elle changé d'avis ? Hésitait-elle finalement ? Avait-il fait ou dit quelque chose qu'il ne fallait pas ? Il dégluti, légèrement inquiet. Il ne voulait pas que tout s'arrête en si bon chemin. Quand enfin elle lui exposa son plan, son soulagement fut tel qu'il en rit fort avant de se calmer, se souvenant qu'il valait mieux ne pas faire trop de bruit... Pour l'instant.
Souriant et prenant sa main tendue, il la suivit dans le couloir, légèrement déçu qu'elle remette la nuisette. Cela dit, cela ne faisait que rehausser sa beauté tandis qu'ils progressaient à travers les couloirs sombres du palais, sans oublier que cela lui donnerait une excellente excuse pour le lui enlever sous peu. D'autant que l'ensemble ne faisait qu'accentuer la démarche incontestablement charmante et tentatrice de la jeune femme. Il savait qu'elle en jouait également de son côté et laissait faire. Il savait apprécier.
Enfin furent-ils arrivés dans les quartiers de la reine, qui lui semblaient familiers alors qu'il n'avait pourtant jamais visité l'endroit. Il n'eut pas le loisir d'examiner les lieux plus avant que déjà elle venait se serrer contre lui, enlevant avec une lenteur calculée et atrocement délicieuse la nuisette. Ses yeux luisaient d'un éclat complice et sitôt que le tissu eut glissé au sol, il l'enlaça par la taille et la serra contre lui, exalté par son parfum.
Il a fallu que tu m'embrasses pour me tutoyer ? Il t'en fallait beaucoup tout de même !
Cette déclaration sonnait comme un étrange mimétisme de ce qu'elle-même avait pu dire lorsqu'ils s'étaient embrassés pour la première fois dans cette planque de Yaga Minor. Tandis qu'elle plongeait une main derrière son crâne, l'autre descendait toujours plus bas jusqu'à passer dans le caleçon et serrer ses fesses avec entrain. Lui jetant un regard espiègle, gloussant, il en fit de même. Son bras blessé l'enlaçait tant bien que mal à la taille tandis que sa main valide caressa le dos et descendit jusqu'à atteindre le royal séant qu'elle palpa sans vergogne avant de le pincer délicatement, sans faire mal.
Dans le même temps, il attrapa la bouche de la délicieuse créature et multiplia les baisers dans le but évident de l'obliger à ouvrir la bouche. Quand ce fut fait, il y glissa sa langue qui entra en contact avec la sienne, engendrant des vrombissements dans tout son corps qui le laissèrent tremblant. Sa main laissa en paix le fessier pour remonter jusqu'au soutien-gorge, qu'elle entreprit de détacher. La tâche était compliquée par l'impossibilité d'utiliser les 2 mains pour se faire et par leur incapacité mutuelle a se tenir tranquilles sous les assauts passionnés qu'ils échangeaient.
Toutefois, il parvint à force de ténacité et d'une certaine habitude à atteindre son objectif. Délicatement, le sous-vêtement fut enlevé et dévoila les charmes de la belle. Échangeant un regard complice et un sourire coquin avec la jeune femme, il la souleva, la forçant à enrouler ses jambes autour de sa taille tandis qu'il se penchait en avant, gourmandant la poitrine de ses attentions à coup de langue qui, bien qu'avide, n'en savait pas moins rester patiente et experte.
Restait maintenant à déterminer s'ils allaient encore rester debout un peu ou s'installer dans le grand lit royal tout de suite.
Ce post contient des scènes explicites ou de nature à choquer.
Pouvait-il croire l'idée qu'auparavant il avait pu être si dévoué et attentionné que ce qui se passait maintenant n'était qu'un juste retour des choses ? Difficile à dire, à ce qu'il comprenait de sa capture et des événements l'entourent, il avait fait son devoir et ce qu'on attendait de lui, rien de plus. Ou peut-etre était-il uniquement question du temps passé avec la jeune femme ? Dans ce cas, possible. S'il était aussi stupidement amoureux qu'il ne l'était présentement, il y avait des chances qu'il se soit comporté de manière collante avec elle.
Elle sembla soudainement portée par l'émotion et peina a trouver ses mots avant de s'excuser. Pour quoi ? On se le demandait parce qu'il n'y avait rien à pardonner au final. Ce qu'il avait pu faire n'avait pas mérité qu'en plus de le soigner, elle s'était efforcée de l'aider à se remettre et se retrouver lui-même. Il abandonna ses lèvres brièvement pour lui jeter un regard sévère.
Arrêtez de vous rabaisser, vous méritez le meilleur et c'est ce que vous aurez.
Avant de repartir de plus belle contre ses lèvres si désirables et délectables et de ne plus les lâcher cette fois, comme si sa vie en dépendait et comme si la laisser lui échapper serait définitif et sans retour possible. Sa main valide s'était appliquée à passer sous le tissu de la nuisette sous l'épaule avant de l'enlever lentement puis de passer à l'autre, dans le but évident de dévoiler tout le charme magnétique de la belle. Mais comme elle aussi cherchait à se saisir de lui, ils se génèrent involontairement. En éclatant de rire, ils convinrent d'une trêve le temps qu'il la déleste de ce vêtement à la fois très agréable visuellement et gênant dans leur lutte.
Enfin le corps féminin fut dévoilé en bonne partie et offrit-il un bel échantillon dont se délecter. Oui, alors même qu'elle restait en sous-vêtements, la reine irradiait la sensualité et la perfection. Un magnétisme brut conjugué à ses yeux azurs achevaient le tableau d'une succube a laquelle nul ne pouvait résister ni même le vouloir. C'était d'ailleurs parce qu'il contemplait le corps d'une finesse exquise qu'il ne résista pas lorsqu'elle lui arracha son haut, marionnette volontaire entre les mains expertes de la maîtresse des lieux.
Ce coeur qui battait en elle le faisait a un rythme endiablé, au moins aussi fort et rapide que le sien. Peut-être même le faisait-il de manière synchrone avec le sien, comme deux êtres unis jusque dans le mouvement mécanique qui régissait toute vie. L'idée avait de quoi séduire il est vrai. La paume de sa main contre la peau de la belle, le coeur battant en-dessous, il lui offrit un sourire timide tout en caressant la peau.
Peu importe que vous ayez hésité, je comprend et ne condamne pas. Ce qui compte, c'est que maintenant vous êtes là, avec moi. Et moi avec vous. Je ne vous lâcherai plus jamais, je vous le promet.
Ensuite fut-il prestement forcé de s'allonger sur le dos dans le lit, plaqué par les bras de la reine qui le forçait ainsi à rester sous elle tandis qu'elle lui offrait le soin de prendre en main son sein encore protégé par le soutien-gorge. Cela ne durerait guère longtemps, d'autant que leurs ardeurs ne faisaient que s'intensifier. La langue de la belle cueillit la sienne tandis que ses cheveux longs lui chatouillaient le visage, formant comme une barrière les isolant de tout, comme si elle espérait ainsi le garder pour elle seule. Il lui donnait tout et elle le savait.
Soudainement toutefois elle s'immobilisa et le regarda de sa hauteur tout en caressant son torse. Avait-elle changé d'avis ? Hésitait-elle finalement ? Avait-il fait ou dit quelque chose qu'il ne fallait pas ? Il dégluti, légèrement inquiet. Il ne voulait pas que tout s'arrête en si bon chemin. Quand enfin elle lui exposa son plan, son soulagement fut tel qu'il en rit fort avant de se calmer, se souvenant qu'il valait mieux ne pas faire trop de bruit... Pour l'instant.
Souriant et prenant sa main tendue, il la suivit dans le couloir, légèrement déçu qu'elle remette la nuisette. Cela dit, cela ne faisait que rehausser sa beauté tandis qu'ils progressaient à travers les couloirs sombres du palais, sans oublier que cela lui donnerait une excellente excuse pour le lui enlever sous peu. D'autant que l'ensemble ne faisait qu'accentuer la démarche incontestablement charmante et tentatrice de la jeune femme. Il savait qu'elle en jouait également de son côté et laissait faire. Il savait apprécier.
Enfin furent-ils arrivés dans les quartiers de la reine, qui lui semblaient familiers alors qu'il n'avait pourtant jamais visité l'endroit. Il n'eut pas le loisir d'examiner les lieux plus avant que déjà elle venait se serrer contre lui, enlevant avec une lenteur calculée et atrocement délicieuse la nuisette. Ses yeux luisaient d'un éclat complice et sitôt que le tissu eut glissé au sol, il l'enlaça par la taille et la serra contre lui, exalté par son parfum.
Il a fallu que tu m'embrasses pour me tutoyer ? Il t'en fallait beaucoup tout de même !
Cette déclaration sonnait comme un étrange mimétisme de ce qu'elle-même avait pu dire lorsqu'ils s'étaient embrassés pour la première fois dans cette planque de Yaga Minor. Tandis qu'elle plongeait une main derrière son crâne, l'autre descendait toujours plus bas jusqu'à passer dans le caleçon et serrer ses fesses avec entrain. Lui jetant un regard espiègle, gloussant, il en fit de même. Son bras blessé l'enlaçait tant bien que mal à la taille tandis que sa main valide caressa le dos et descendit jusqu'à atteindre le royal séant qu'elle palpa sans vergogne avant de le pincer délicatement, sans faire mal.
Dans le même temps, il attrapa la bouche de la délicieuse créature et multiplia les baisers dans le but évident de l'obliger à ouvrir la bouche. Quand ce fut fait, il y glissa sa langue qui entra en contact avec la sienne, engendrant des vrombissements dans tout son corps qui le laissèrent tremblant. Sa main laissa en paix le fessier pour remonter jusqu'au soutien-gorge, qu'elle entreprit de détacher. La tâche était compliquée par l'impossibilité d'utiliser les 2 mains pour se faire et par leur incapacité mutuelle a se tenir tranquilles sous les assauts passionnés qu'ils échangeaient.
Toutefois, il parvint à force de ténacité et d'une certaine habitude à atteindre son objectif. Délicatement, le sous-vêtement fut enlevé et dévoila les charmes de la belle. Échangeant un regard complice et un sourire coquin avec la jeune femme, il la souleva, la forçant à enrouler ses jambes autour de sa taille tandis qu'il se penchait en avant, gourmandant la poitrine de ses attentions à coup de langue qui, bien qu'avide, n'en savait pas moins rester patiente et experte.
Restait maintenant à déterminer s'ils allaient encore rester debout un peu ou s'installer dans le grand lit royal tout de suite.
Modifié en dernier par Zygmunt Molotch le mar. 16 juil. 2019 15:01, modifié 1 fois.