L'Astre Tyran

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Figurant parmi les mondes les plus connus de toute la galaxie, Corellia est pour beaucoup synonyme de technologie et de voyage spatial. Pour d'autres cette planète est le symbole des fauteurs de trouble et de tout ce que l'univers compte de hors-la-loi.
Gouvernement : Affinités avec Nouvelle République - Indépendantiste
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By Borsk Fey ' lya
#38177
De la cruauté temporaire,

Je dis moi-même que chaque personne aspirant au pouvoir doit désirer être tenue pour pitoyable et non pour cruel. Néanmoins il doit faire attention à ne pas mal user de cette pitié, Xim le conquérant était tenu pour cruel, néanmoins sa cruauté avait dressé son empire, l’avait unie, réduite à la paix. Si on considère bien ceci, on verra que celui-ci a été beaucoup plus pitoyable que les peuples collaborateurs impériaux qui pour fuir le nom de cruel préférèrent affliger la paix au nom d’une idéologie xénophobe humanocentré, l’alien comme source de tous leurs problèmes. L’un comme l’autre a cependant échoué.

C’est en cela qu’il faut distinguer la cruauté du gouvernant et celle du fanatique. Par conséquent celui qui aspire au pouvoir doit n’avoir cure du mauvais renom temporel de cruel, pour tenir les peuples unis, mais dans la démocratie. Le cruel est un état nécessaire, mais non permanent. Ainsi ceux qui par une pitié excessive laissent s’ensuivent les désordres dont il peut naître meurtre ou rapine parce que ceux-ci offensent habituellement l’ensemble tout entier des peuples ; et ces exécutions qui viennent de celui qui aspire au pouvoir offensent le particulier. Les circonstances difficiles et la nouveauté du règne obligent à prendre de telles mesures et à tenir les frontières avec une garde déployée.

Néanmoins celui qui aspire au pouvoir doit toujours être réservé dans ses mêmes mouvements et ne pas se faire peur lui-même de manière à ce que l’excessive confiance ne le rende pas imprudent et l’excessive défiance ne le rende pas intolérable.

- Extrait Numéro°3 de, ‘‘Bréviaires d’homme d’État’’, Borsk Feylya (pas encore paru)




CORELLIA – District 9

Aux abords d’un monticule métallique cerclant un lac artificiel, une mégalopole fumante. Les navettes et autres speeders formait des flux aux formes géométriques complexes dans le ciel. Au sol les phares des appareils flottants remplacés temporairement la constellation d’étoiles de la voûte céleste masquée par la pollution lumineuse.

Dans une intersection d’un des blocs industriels, le silence se faisait étrangement pesant. L’activité chaotique de la ville avait cessé en ce lieu précis. Le tumulte était comme aux aguets prêt à se déchaîner soudainement. À cette intersection se situe l’une des merveilles de cette mégalopole de Corellia, un imposant ascenseur atmosphérique reliant directement les fouleurs du plancher de Banthas à une section de chantier naval de la compagnie phare…

Au tréfonds d’une cantina situé à quelques embardées à peine de la base de l’ascenseur atmosphérique, les clients s’agitaient. L’ambiance était électrique, un éclairage néon particulièrement lumineux crachant ses couleurs criardes sur la figure bourrue de ses sinistres consommateurs. Des humains pour la majorité, puant le mégot et la gnole bon marché, au-dessus de leur table trônaient fièrement des affiches de mouvements politiques locaux. Un mauvais bougre à la bouche blafarde, les joues creuses, les cheveux bruns et frisés avec une corpulence généreuse, il se trouvait là, debout sur une table à beugler à une petite assemblée.

Parasite quelconque : Il est grand temps d’en finir avec toute cette foutue mascarade ! On fonce droit au mur j’vous le dis moi. La division à travers notre beau secteur sont qu’une sale manœuvre fédérale sur le long terme pour nous la mettre à l’envers ! Et vous savez tous très bien qui sont les responsables de ça ! Ce sont les foutus aliens !

La main de l’individu s’apposa sur une des holo-affiches du mur.

Parasite quelconque : La République n’en a rien à faire de nous, nos héros nationaux sont traités comme des chiens et personne ne réagit. Une preuve de plus que la ligue humaine est la seule à pouvoir être garante de la souveraineté de notre bon secteur !

Les mots de résidus de demi-terroriste en eux-mêmes importaient peu, ce qui comptait réellement sur ce monde était la simplicité des actes de défiance... Au sein du turboélévateur d'entretien numéro sept de l’ascenseur atmosphérique deux humains en bleu de travaille installé un boîtier noir avec l’aide de quelques droïdes de services.

Aux yeux froids et métalliques d’une caméra de surveillance, l’un des hommes laissa quelques instants son visage à découvert. Un visage d’albâtre carré, un tatouage représentant l’emblème d’une dague placé au niveau de l’oeil droit à quelques centimètres de l’arcade sourcilière. Son bras tenait un étrange appareil crachotant des lignages électriques, la transmission se coupa soudainement.






Bothawui, Drev'starn, capitale planétaire , Combined Clans Center [][][] Image

Dans une pièce loin de la crasse et de l’odeur de soufre omniprésente d’un monde changé en poudrière demeurait assis un groupe de sinistres individus. Toujours les mêmes têtes poilues, certains apparaissaient en hologrammes grésillant dans une bouillie infâme de pixels orangés, la faute du au nombre déraisonné de pare-feu et autres couches de cryptages tant superposés qu’elles gênaient la transmission.

L’ambiance était plus électrique, les rats du conseil préféraient murmuraient leurs bassesses dans leurs barbiches ou aux oreilles d’un complice. Pourtant le ton n’était pas aux complots habituels, les tons dépassaient les décibels habituels.

Bothan au pelage blanc : Nous allons trop loin !

Bothan au pelage noir : Si nous sommes découverts, ça sera la fin pour nous !

Bothan au pelage brun : Nous devrions annuler tout cela tant qu’il est encore temps !

Borsk Fey’l’ya : Trop tard, nous ne pouvons plus faire machine arrière désormais.

Bothan au pelage blanc : Tout ceci est une folie, si cela venez à se savoir nous som…

Borsk Fey’l’ya : Personne n’en saura rien.

Bothan au pelage noir : N’était-ce pas trop cette fois-ci ? Nous parlons de millier de victimes collatérales pour cette opération.

Borsk Feyl’y : N’oublions pas les millions que nous pourrons potentiellement préserver et de l’intérêt que notre peuple pourra en tirer.

Fey’l’ya qui avait pour habitude de ne pas monopoliser la parole durant les réunions du conseil ne tarissait pas dans ces verbes. Les réponses étaient sèches, bien décidées à assouvir l’autorité qu’il représentait. Les belligérants du conseil Bothan ne cessèrent pour le moins de couiner ou de piailler avec virulence face au mur argumentaire qui se dressait.

Bothan au pelage brun : C’était une folie nous n’aurions jamais dû voter pareille décision pour cette dernière opération et nous contentait d’observer les déroulements pour trouver une autre opportunité.

Borsk Fey’l’ya : Et pourtant c’est ce que nous avons voté unanimement hier en parfaite connaissance des retombés de nos décisions.

Bothan au pelage blanc : La nuit porte toujours conseil, nous avons agis trop pressement.

Les débats continuaient ainsi dans une pareille ambiance. Pourtant tous se turent à l’instant ou raisonnèrent un bruit strident.

Bothan au pelage noir : Cela signifie que…

Borsk Fey’lya : C’est fait.

Les différents membres du conseil se mutèrent dans un silence pesant. Les regards s’échangèrent, quelques glapissements. Tous avaient une mine atrocement sérieuse.

- Jusqu’à ou sommes-nous prêt à aller pour faire prévaloir les intérêts de la communauté sur l’individu ? Telle folie ne trouverait réponse en ces quatre murs, mais plutôt sur une planète lointaine… très lointaine … -





CORELLIA – District 9

Des alarmes de speeders raisonnait dans un brouhaha infernal, une épaisse fumée recouvrait les différentes strates d’un district industriel. Un bâtiment en polybéton avait sa façade éventrée par un anneau circulaire grésillant. Des flammes et des cries dansaient en coeur. Quelques instants au par avant, une immense boule de feu s’était embrasée dans le ciel, le souffle d’une explosion bleu pulvérisant sur le coup l’ascenseur atmosphérique déséquilibrant la partie des docks orbitaux qui étaient relayés par ce dernier. Les nombreux débris en hauteur retombèrent avec fracas à la surface engrangeant de nombreux dégâts matériels et humains. Les stations en orbitent durent se résoudre à évacuer en urgence.

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Des navettes d’évacuations finirent par arriver, les troupes de blanc casqué à la croix rouge logé sur leurs brassards brancard sortis se précipitèrent. Puis sur leur talon quelques vaisseaux de transports frappés de l’insigne de la Corsec. Des forces en armes se déployèrent sur les lieux de l’incident, un inspecteur humain au manteau d’onyx flottant au vent supervisé les fouilles minutieuses qui allaient s’en suivre.

Agent de terrain : Quelles sont les ordres ?

Inspecteur : Boucler la zone nous sommes à la recherche de deux dangereux individus, armés.

Agent de terrain : La ligue humaine ?

Inspecteur : Nous allons essayer de tirer tout ça au clair, fouiller les décombres.

Ainsi débuta une chasse à l’homme à travers Corellia frappé par une seconde attaque d’envergure. Les feux avant-coureurs d’une guerre civile s’embrasaient. Pourtant des gens semblaient tirés des leviers dans l’ombre pour tenter de maîtriser un brasier, le modeler pour le faire aller dans une direction. Le tout serait de savoir si les araignées n’allaient pas brûler leurs toiles dans leur opération, après tout jouer avec le feu a toujours consisté en un jeu dangereux.
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By Borsk Fey ' lya
#38273
CORELLIA – Atmosphère du district 9 – Station de construction de la CTC

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Comme toutes les compagnies qui avaient su imposer leur hégémonie sur la durée, les dispositifs de sécurité n’étaient jamais lésés au sein de la corporation technique corellienne. L’enfer de l’espionnage industriel pousse toujours à redoubler d’efforts et de vigilance. Ainsi celui qui aspirait à s’accaparer d’un fruit dans le jardin du voisin disposait toujours d’une largesse des moyens pour parvenir à ses fins selon les besoins du moment, les mesures de sécurité étaient uniquement là pour intensifier les coûts. De manière que la mise en place d’une opération crédible décourageait les plus petits poissons comme les plus gros. Tout cela n’était que théorie, cependant comme toujours entre théorie et pratique il y avait un monde.

Dans un espace bien réel des alarmes d’urgences discordaient tonitruante un son strident accompagné des lueurs des rétroéclairages de secours annonciateur d’une brèche dans la superstructure de la station reliée par l’ascenseur atmosphérique du district neuf. Quelques instants plus tôt, les techniciens chargeaient de la surveillance du bâtiment avait détecté depuis leurs panneaux de bords un pic d’énergie thermique en provenance de l’ascenseur atmosphérique. Les secousses qui accompagnèrent la déflagration bleutée déstabilisèrent l’équilibre de la station. La structure était chargée d’assembler des pièces précises des vaisseaux produits par la corporation technique corellienne et n’était maintenue plus que par des réacteurs de secours, mais peinait à se tenir en dehors de l’attraction planétaire. Il était temps de lâcher du lest…

Alors que l’évacuation d’urgence maintes fois simulée progressait dans la panique caractéristique d’un passage brusque de concept à la manœuvre en condition réelle. Dans ce parfait désordre, ingénieurs, agents de sécurité, têtes d’ampoules et technologues divers accouraient vers les zones d’évacuations. Une carpe de Naboo étrangement poilue semblait pourtant remonter le courant à contresens, alors que le grand chaos poursuivait son œuvre. Esquivant les masses coagulées de fuyards, un rat faisant fit du proverbe éponyme, semblait avoir décidé de ne pas quitter le navire …

La figure d’un Bothan s’adossant sur la surface métallique d’une paroi esquivant un énième groupe de techniciens à la poursuite des zones d’évacuations. Des doigts crochus griffèrent le panel d’un terminal de sécurité, s’ensuivit l’introduction d’un étrange appareil-espion au sein de l’interface.

Quelques grésillements plus tard une porte de haute sécurité s’entrouvrit pesamment, laissant découvrir une salle structurée en plusieurs étages composés d’ossature monolithique noire rectangulaire éclairaient de quelques faibles diodes éparses. Une salle des serveurs contenant de nombreux blocs de données plus précieuses que l’on ne pourrait le croire. De l’information brute, l’or numérique, inexploitable si on ne visait pas un pôle de renseignement précis. Au sein de cette salle à la colonne six deux huit deux agréât numérique, trop lourd pour pouvoir être piraté à distance, ces derniers attestaient des dernières innovations pour vaisseau de la corporation technique corellienne.

Deux fragments perdus dans un immense océan de donnée, une taupe avait permis de baliser les cibles. Ce condylure étoilé métaphorique fut déniché après un travail consciencieux en amont de plusieurs mois, un endoctrinement par les réseaux Bothans effectué par une banale application du protocole CEIG (crédits, ego, idéologie, chantage).

La basse besogne terminée un humanoïde poilu disparut, se fondant dans la marée vivante qui cherchait à évacuer la station déstabilisée par une si pittoresque explosion. Le ballet secret qui s’était accompli avait été méticuleusement planifié, malgré quelques accros bénins, la première phase de l’opération s’inscrivait comme une réussite pour la branche du Spynet mise en branle pour l’occasion. Leur rôle pour la suite ne consistera qu’à effacer les traces potentielles qu’elle aurait pu laisser. L’après se découvrirait aux yeux de tous, sous le feu des projecteurs.




Attentat sur Corellia, les mondes du Noyau soutien passif du foyer idéologique de l'ordre ancien ? Flash Spécial, C-Bothan-News [][][]

ImageJournaliste Bothan : Attentat à la bombe sur Corellia. Cinq milles morts et vingt-deux milles blessés, se sont les dernières estimations qui nous sont parvenues depuis l’attaque d’envergure perpétrée sur l’ascenseur atmosphérique d’une station de construction de la CTC sur Corellia. L’explosion a provoqué d’importants dégâts matériels et civils. Un attentat atrocement spectaculaire, bien qu’il n’a toujours pas été revendiqué, des images d’holosurveillance récupérées par les forces de la Corsec, montrant quelques minutes avant l’incident deux humains installant un engin explosif. C’est dans l’un des turboélévateurs de maintenance qu’a pu être identifié le visage des deux responsables, Thorr Kerbod Zaendrov Dyver. Deux corelliens, partisans reconnus par les services de l’ordre locaux comme des membres de la dangereuse organisation de la ligue humaine. Un groupement extrémiste se cachant derrière une volonté de prôner faussement l’indépendance du secteur Corellien. L’organe est responsable de la destruction récente de structures fédérales républicaines sur le sol Corellien. Ce nouvel acte de barbarie est un événement d’autant plus tragique qu’alarmants, les restes des explosifs trouvés dans les décombres de l’ascenseur atmosphérique semblent indiqués que ces derniers étaient manufacturés par les mondes du Nord. Énième conspiration des vestiges de l’empire ? Indéniablement la preuve que la ligue humaine n’est rien de moins qu’un jouet au service d’une force criminelle étrangère prônant la haine xénophobe et la déstabilisation de notre gouvernement au cœur des mondes du noyau. Se pourrait-il que les noyauteurs soient totalement impuissants face à toutes ces crises, à moins qu’ils ne soient volontairement laxistes quant à l’ensauvagent idéologique qui semble s’enraciner durablement, sinistre présage du retour d’un obscurantisme néo-impérial. Le gouvernement actuel de la Nouvelle-République va-t-il enfin se décider à intervenir ?

Propagande, manipulation de l’information, bouc émissaire, mensonges tout ceci se condensé parfois dans les médias. Les relais d’informations grand public sont de puissants vecteurs idéologiques.La figure du Bothan à la crinière d’or gigotant avec vigueur dans les petits écrans et autres projections holographiques commençait à être familière pour les habitués de Bothan News. L’éloquence et le verbe du présentateur phare soulignaient si justement toute la fougue de ce média d’opposition qui avait la fâcheuse tendance de prôner la division exacerbée plutôt que l’information.

Les médias Bothans n’attendirent bien sûr aucune confirmation officielle de leur version et crachèrent leurs doux venins de manière coordonnée, fallait-il croire que les élites qui tenaient en laisse cette meute de chiens Kaths médiatique avaient tout intérêt à ce qu’on mette en valeur ce point de vue sur cet événement précis.

Après tout les médias fonctionnaient que trop souvent en cascade, ce que le premier dictait était souvent recopié par son cancre de voisin. Médiocre manière diablement efficace dans les faits, si suffisamment de sources sois disant fiable ou bien suffisamment populaire dépeignaient la vérité d’une certaine manière le tableau médiatique avait de grande chance de prendre des couleurs voisines éclipsant totalement les autres possibilités du spectre du réel au grand damne de l’éthique journalistique.




CORELLIA – Bureau de la CORSEC – Pôle scientifique

Trois personnes cerclaient une table, l’ambiance de la pièce était similaire à l’idée qu’on pouvait se faire d’un laboratoire vu dans les holofilms, l’odeur de désinfectants qui prenaient aux narines, lumières blanches aveuglantes. Au centre de l’espace clos ce qu’on aurait pu confondre avec un billard d’opération sur lequel trônait une carcasse mécanique d’un étrange appareil. Vaste hyperbole qu’était l’appellation de carcasse, plutôt trace ou vestige, les restes posaient sur table n’étaient que quelques fragments noircis et brûlés de l’instrument d’origine qui avait détonné.Image

Scientifique : Une seconde inspection était-elle réellement nécessaire ?

Inspecteur : Je veux être sur que…

Un homme en imperméable noir se coupa, une retransmission holographique dans le coin de la pièce diffusant un extrait du journal de Bothan News, le présentateur brayait les dernières nouvelles sur l’incident du district 9. L’homme qui s’était interrompu, visiblement agacé, il s’avança pour couper l’hologramme.

Inspecteur : Niaiserie sans fondement crédible…

La femme en blouse blanche qui tenait un datapad redressa ses lunettes d’un revers de la main avant de continuer ses explications.

Scientifique : Les résultats sont inchangés quant à ceux que nous avons publiquement annoncés, les restes que nous avons proviennent bien d’une bombe à proton modèle VL-61/79, majoritairement employés par l’empire et produit par la compagnie des mondes du nord Armatek.

Inspecteur : Oui c’est effectivement préoccupant et ça demande à ce qu’on enquête activement là-dessus. Qu’on nous laisse au moins finir de travailler avant de désigner un coupable.

Se frottant machinalement le menton l’homme en imperméable semblait songeur.

Inspecteur : Ce que je trouve louche c’est aussi la cible de l’attaque, pourquoi vouloir s’en prendre à nos chantiers navals.

Scientifique : La Ligue désirait revendiquer l’indépendance de Corellia elle s’est dans un premier temps attaquée à des structures fédérales, puis à un symbole de l’indépendance qu’ils prônent…. Il y a effectivement quelque chose qui ne coïncide pas.

De bonnes remarques ... allaient-elles débouché sur quelque chose de concret rien n’était moins sur, cependant l’intrusion remarquée à l’avenir dans les salles de données de la station touchée par l’attaque était une anomalie troublante de plus à rajouter au panier… Les deux responsables de l’attaque eux restèrent in-trouvés comme volatilisé, comme ci ces derniers avaient été exfiltrés par un agent extérieur… Le Bothan Spynet était une pieuvre dont les tentacules étaient ancrés dans nombre d’organisations, tous ces appendices représentaient des cartes bonnes à soulever au bon moment pour la bonne opportunité... La Corsec avait quelques clefs en main, difficile de savoir si elle parviendrait à comprendre qui était l’exécutant de cette sordide opérette.


Conclusion :

    Subtilisation des blocs de données de la CTC, contient les dernières innovations en matière de générateur énergétique nouvelle génération, de la répartition de l’énergie au travers des différents systèmes d’un vaisseau, des derniers modèles de turbolaser et des innovations en matière de revêtement furtif pour vaisseau.

    Le Bothan Spynet se sert de deux de ses agents dormants, infiltrés au sein de la ligue humaine, pour déstabiliser une station de la CTC. Après avoir provoqué une fenêtre d’opportunité un agent tiers est chargé de subtiliser les données visées.

    La destruction de la station du district 9 à l’aide d’explosif normalement employé par les forces impériales. Le tout visait à décrédibiliser le mouvement de la ligue humaine pour qu’il ne soit vu que comme un pantin sous le contrôle du géant du Nord. Les médias Bothans se sont emparés de l’affaire pour forcer une Intervention du gouvernement fédéral par le poids de la pression populaire et proférer une critique sèche des mondes du noyau.

  • Obtention des (+) données de la CTC ?
  • La Corsec est-elle parvenue à (-) suspecter le Bothan Spynet ?
  • La Ligue humaine a-t-elle été (+) décrédibilisée ? La Nouvelle-République a-t-elle fini par céder au poids médiatique et à fini par (+) intervenir ?
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By Malice
#38347
Les choses sérieuses commençaient. Le grand plan du petit stratège poilu et moustachu démarrait sur des chapeaux de roue. Une attaque délibérée envers Corellia et un déloyal vol de données, c'était fratricide, c'était immoral... Mais, les résultats étaient également au rendez vous. Cet attentat avait été orchestré à la QUASI perfection ! Pourquoi quasi ? Eh bien d'une part car rien n'était jamais parfait, d'autre part car il y avait un léger détail qui ne collait pas dans cette opération. Des indépendantistes fiers de leur culture, de leur humanité et de leur héritage de pilotes émérites s'attaquant à l'un chantiers navals les plus célèbres de la galaxie ? Des racistes pro humains privant leurs frères humains de leur principale source de travail et de revenus ? Peut être que ce paradoxe ne ferait tiquer personne dans une bonne partie de la république, mais les Corelliens, eux, avaient le profond sentiment qu'on leur avait mise à l'envers.

Et cette campagne de communication extrêmement agressive de la part de Bothan News n'allait rien arranger. C'est presque comme si les Bothan avaient eu, par un immense coup de CHANCE, pile les bonnes informations pour discréditer la ligue humaine, à croire qu'ils pouvaient tout savoir n'importe quand ! Et, en effet, avec un réseau d'espionnage comme le leur, ils en avaient les moyens, et avec l'arrestation récente du célèbre Wedge Antilles, cela ne pouvait plus être une simple question de CHANCE, mais bien un coup monté. La Corsec ne pouvait rien prouver, mais elle en était persuadée. Et, lorsque le moment viendrait, elle ferait bon usage de ces informations.

Cependant, si l'on oubliait ce léger manque de CHANCE, une chose était sûre, le reste de la République était persuadée que la ligue humaine était une cellule terroriste mise en place par les impériaux, mettant donc cette organisation au rang d'ennemi à abattre, SURTOUT dans les mondes de la bordure. Le gouvernement fédéral, sentant le sol gronder sous ses sièges, fut forcé de s'intéresser à l'affaire pour ne pas subir les foudres de la vindicte populaire, et cela leur faisait serrer les dents. D'abord l'arrestation de Wedge, maintenant ça ?! Les Néo Républicains commençaient à trouver la ligne éditoriale de Bothan News plus que discutable, et, évidemment, un nom remonta dans les bouches des hauts placés : Borsk Fey'Lya. Ce petit rat opportuniste qui avait fait parler de lui à de moult reprises mais avait toujours réussi à se faire oublier lorsqu'il le fallait. Mais... Il n'y avait aucune preuve. Ils devinaient que ce mulot avait un rôle à jouer là dedans, maaaais... Aucun moyen de l'inculper. A la moindre erreur, ce souriceau serait remis à sa place.

Mais, en dépit de ces soupçons, Fey'Lya avait réussi son coup, et pendant que ses adversaires se mordaient les doigts de rage et attendaient le bon moment pour frapper, notre petit rat plein de malice pouvait continuer la suite de ses pérégrinations pleines de mensonges, de faux semblants et de couteaux dans le dos... Au nom du bien commun.

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