- sam. 15 mai 2021 18:36
#39461
Luna sauta de joie dans à son cou
« Oh merci infiniment Sasa c’est si gentil de m’accompagner. Je ne sais pas si j’aurais vraiment pu le faire sans toi »
En entendant qu’il l’a laisser venir avec lui, elle ne put s’empêcher de sourire implicitement au fait qu’elle pourrait avoir sa vengeance. Bien entendu, elle lui obéirait. Elle ne voulait en aucun cas briser sa carrière. Toutefois s’il advenait qu’on lui fasse du mal elle ne répondrait plus de rien. Mais, au fond, elle se demandait pourquoi il avait insisté sur le SURTOUT. Après tout, il ne savait rien de son entraînement avec Alayna et Ewilya. En fronçant les sourcils, Luna se demandait ce qui avait bien pu se passer pour que son avis pense qu’elle souhaitait tuer ses kidnappeurs…Peut-être l’expression de son visage était-il trop évident lorsqu’elle avait pensé à les torturer. Mais, elle n’était pas un monstre. Et elle n’était pas égoïste. Jamais elle ne ferait du mal à son ami d’enfance. Poussant un soupir, elle acquise doucement de la tête
« D’accord…Je n’attaquerais qu’en cas de légitime défense, je te le promets »
Baissant ces yeux vers le sol, elle prit une mèche de ces cheveux autour de son petit doigt. Elle devait se faire violence pour ne pas entendre la fureur de la noirceur qui se tenait au fond d’elle. Non ! Elle serait plus forte pour son ami. Elle voulait être quelqu’un de bien. La violence ne résoudrait rien pour ses…sauvages. Comme lui rappelait souvent Ewilya, elle devait agir en diplomate et en fine stratège sinon tout lui échapperait des mains
La maison de son enfance entra dans son champ de vision. Un soupir s’évanouit sur ces lèvres. Le passé lui faisait face. Luna tentait de se rappelait des souvenirs d’enfances qu’elle avait pu avoir ici. Des rires, des cris de joie lui parvenaient en mémoire si elle se concentrait. Mais tout se brouillait assez vite avec le kidnapping. Secouant sa tête et redressant les épaules, elle afficha un masque serein sur son visage grâce à son sourire qu’elle accorda à Sareth
« Allez, on y va ? »
Voyant que son tendre ami la suivait, ils avancèrent jusqu’à la maison silencieuse comme perdue dans un éternel sommeil. Sa main timide s’avança vers la porte pour l’entrouvrir doucement. Elle voulait passer la première dans cette maison. Inspira profondément elle entra dans la maison couverte de végétaux. La nature semblait avoir repris ces droits ici. La faible lumière du soleil éclairait par endroits les lieux. Des verres brisés jonchés le sol et se fracassait sous ses pas qu’elle voulait léger. Un couinement se fit entendre sous son pied quand il lui sembla traverser le salon. Enfin salon…il ne rester qu’un canapé cramoisi et des rideaux en lambeaux. Elle se baissa pour voir la source du couinement et découvrit un hochet en forme de lune, la couleur devait être bleu nuit mais elle avait viré au bleu gris avec la poussière et les années. Luna serra le hochet dans sa main légèrement accroupis et le visage caché par ses longs cheveux. Tant mieux cela empêcherait Sareth de voir à quel point elle était bouleversée. En retenant ces larmes, elle le cacha dans une poche et se releva sans un bruit. Elle retenait sa respiration qui devenait irrégulière et ses larmes qui voulaient sortir de ces yeux bleus et roulaient sur ces joues. Sauf que voilà, elle n’était plus une enfant. Elle ne devait plus pleurer ainsi. Ces parents étaient morts, elles ne les avaient pratiquement pas connus. Aujourd’hui elle était forte, entourer d’une nouvelle famille : un père adoptif, deux sœurs Alayna et Ewilya et Sareth. Elle devait passer à autre chose. Les oublier. Un escalier l’intrigua. Il menait sans doute à un étage. Se tournant vers Sareth elle fit un petit sourire timide mais une voix étouffée :
« Je reviens je vais monter, tu surveilles mes arrières ? »
Elle ne voulait pas que Sareth la voit aussi faible et misérable sous ses souvenirs. Les bruits de verres qui se brisaient faisaient écho à son cœur qui se brisait lui aussi. Aux cris de ces parents lors du kidnapping. Tout ces sons l’agressaient et lui donnait le tournis. Luna cru même sentir des affluences de sang de ces parents coulaient sur la prairie et sur la porte du vaisseau qui l’emporter déjà vers une vie d’esclave. Avant d’entendre la réponse de Sareth, elle grimpa quatre à quatre les marches. Oui, elle était en train de fuir. Elle se considérait comme lâche mais les larmes finirent par glissaient sur ces joues à peine eut-elle atteint l’étage. Les rayons du soleil éclairaient assez pour voir les larmes roulaient sur ces joues délicatement et finirent leurs courses sur le parquet. Se sentant nauséeuse, elle s’accouda à ce qui lui semblait être une commode, mais qui avec le temps avait fini par être user et se brisa. Soudain, sous le poids du chagrin, ses jambes la lâchèrent et cela fit tomber des petites fioles sans doute de parfums sur le sol qui se brisèrent. Elle tomba avec. Ses mains atterrirent directement par malchance sur les bouts de verre. Elle ne cria pas. La douleur lui faisait du bien. Malgré le sang qui coulait sur ces poignets elle redonna un coup de poing ferme dans le meuble à moitié brisé. Elle continua jusqu’à avoir les mains ensanglantées. C’était injuste. Cette chambre aurait dû être la sienne. Elle aurait dû avoir une vie ici à Naboo avec ces deux parents. En relevant la tête pour essuyer son visage, une image attira son regard. Une femme et un homme tenait dans leurs bras une petite fille avec des petites couettes. Ces yeux étaient les mêmes que les siens. Elle ne pu s’empêcher de sourire en murmurant :
« Maman…Papa…. »
Elle approcha le cadre en l’agrippant avec ces deux mains et le serra contre son cœur. Oh comme cela lui faisait mal. En fermant les yeux, elle se recrevilla entre les bouts de verre en serrant encore plus fort le cadre. Les cris et les pleurs de ces parents la tourmentaient. Elle n’arrivait presque plus à percevoir la lumière du soleil. Seulement la pénombre qui l’avait envahi. Paniquer elle tentait de sortir de cette boucle infernale. Sareth était là ! Lui ne l’abandonnerait jamais. Elle tenta de crier mais aucun son ne sortit de ces lèvres. Pitié ! Elle voulait sortir de ce cauchemar. Luna se sentie encore plus mal. De l’extérieur, on aurait simplement dit qu’elle dormait et qu’elle faisait un cauchemar mais c’était sa propre peur qui la maîtriser. Tentant de se raccrochait à l’idée que son fidèle ami était près d’elle, elle se frailla un chemin dans son propre cauchemar et réussi simplement à l’appeler lui. Lui seul pouvait la sortir de sa torpeur :
« Sareth…. »
En y mettant plus d’énergie elle réussit à crier plusieurs fois son prénom :
« Sareth…SARETH ! »
En entendant qu’il l’a laisser venir avec lui, elle ne put s’empêcher de sourire implicitement au fait qu’elle pourrait avoir sa vengeance. Bien entendu, elle lui obéirait. Elle ne voulait en aucun cas briser sa carrière. Toutefois s’il advenait qu’on lui fasse du mal elle ne répondrait plus de rien. Mais, au fond, elle se demandait pourquoi il avait insisté sur le SURTOUT. Après tout, il ne savait rien de son entraînement avec Alayna et Ewilya. En fronçant les sourcils, Luna se demandait ce qui avait bien pu se passer pour que son avis pense qu’elle souhaitait tuer ses kidnappeurs…Peut-être l’expression de son visage était-il trop évident lorsqu’elle avait pensé à les torturer. Mais, elle n’était pas un monstre. Et elle n’était pas égoïste. Jamais elle ne ferait du mal à son ami d’enfance. Poussant un soupir, elle acquise doucement de la tête
Baissant ces yeux vers le sol, elle prit une mèche de ces cheveux autour de son petit doigt. Elle devait se faire violence pour ne pas entendre la fureur de la noirceur qui se tenait au fond d’elle. Non ! Elle serait plus forte pour son ami. Elle voulait être quelqu’un de bien. La violence ne résoudrait rien pour ses…sauvages. Comme lui rappelait souvent Ewilya, elle devait agir en diplomate et en fine stratège sinon tout lui échapperait des mains
La maison de son enfance entra dans son champ de vision. Un soupir s’évanouit sur ces lèvres. Le passé lui faisait face. Luna tentait de se rappelait des souvenirs d’enfances qu’elle avait pu avoir ici. Des rires, des cris de joie lui parvenaient en mémoire si elle se concentrait. Mais tout se brouillait assez vite avec le kidnapping. Secouant sa tête et redressant les épaules, elle afficha un masque serein sur son visage grâce à son sourire qu’elle accorda à Sareth
Voyant que son tendre ami la suivait, ils avancèrent jusqu’à la maison silencieuse comme perdue dans un éternel sommeil. Sa main timide s’avança vers la porte pour l’entrouvrir doucement. Elle voulait passer la première dans cette maison. Inspira profondément elle entra dans la maison couverte de végétaux. La nature semblait avoir repris ces droits ici. La faible lumière du soleil éclairait par endroits les lieux. Des verres brisés jonchés le sol et se fracassait sous ses pas qu’elle voulait léger. Un couinement se fit entendre sous son pied quand il lui sembla traverser le salon. Enfin salon…il ne rester qu’un canapé cramoisi et des rideaux en lambeaux. Elle se baissa pour voir la source du couinement et découvrit un hochet en forme de lune, la couleur devait être bleu nuit mais elle avait viré au bleu gris avec la poussière et les années. Luna serra le hochet dans sa main légèrement accroupis et le visage caché par ses longs cheveux. Tant mieux cela empêcherait Sareth de voir à quel point elle était bouleversée. En retenant ces larmes, elle le cacha dans une poche et se releva sans un bruit. Elle retenait sa respiration qui devenait irrégulière et ses larmes qui voulaient sortir de ces yeux bleus et roulaient sur ces joues. Sauf que voilà, elle n’était plus une enfant. Elle ne devait plus pleurer ainsi. Ces parents étaient morts, elles ne les avaient pratiquement pas connus. Aujourd’hui elle était forte, entourer d’une nouvelle famille : un père adoptif, deux sœurs Alayna et Ewilya et Sareth. Elle devait passer à autre chose. Les oublier. Un escalier l’intrigua. Il menait sans doute à un étage. Se tournant vers Sareth elle fit un petit sourire timide mais une voix étouffée :
Elle ne voulait pas que Sareth la voit aussi faible et misérable sous ses souvenirs. Les bruits de verres qui se brisaient faisaient écho à son cœur qui se brisait lui aussi. Aux cris de ces parents lors du kidnapping. Tout ces sons l’agressaient et lui donnait le tournis. Luna cru même sentir des affluences de sang de ces parents coulaient sur la prairie et sur la porte du vaisseau qui l’emporter déjà vers une vie d’esclave. Avant d’entendre la réponse de Sareth, elle grimpa quatre à quatre les marches. Oui, elle était en train de fuir. Elle se considérait comme lâche mais les larmes finirent par glissaient sur ces joues à peine eut-elle atteint l’étage. Les rayons du soleil éclairaient assez pour voir les larmes roulaient sur ces joues délicatement et finirent leurs courses sur le parquet. Se sentant nauséeuse, elle s’accouda à ce qui lui semblait être une commode, mais qui avec le temps avait fini par être user et se brisa. Soudain, sous le poids du chagrin, ses jambes la lâchèrent et cela fit tomber des petites fioles sans doute de parfums sur le sol qui se brisèrent. Elle tomba avec. Ses mains atterrirent directement par malchance sur les bouts de verre. Elle ne cria pas. La douleur lui faisait du bien. Malgré le sang qui coulait sur ces poignets elle redonna un coup de poing ferme dans le meuble à moitié brisé. Elle continua jusqu’à avoir les mains ensanglantées. C’était injuste. Cette chambre aurait dû être la sienne. Elle aurait dû avoir une vie ici à Naboo avec ces deux parents. En relevant la tête pour essuyer son visage, une image attira son regard. Une femme et un homme tenait dans leurs bras une petite fille avec des petites couettes. Ces yeux étaient les mêmes que les siens. Elle ne pu s’empêcher de sourire en murmurant :
Elle approcha le cadre en l’agrippant avec ces deux mains et le serra contre son cœur. Oh comme cela lui faisait mal. En fermant les yeux, elle se recrevilla entre les bouts de verre en serrant encore plus fort le cadre. Les cris et les pleurs de ces parents la tourmentaient. Elle n’arrivait presque plus à percevoir la lumière du soleil. Seulement la pénombre qui l’avait envahi. Paniquer elle tentait de sortir de cette boucle infernale. Sareth était là ! Lui ne l’abandonnerait jamais. Elle tenta de crier mais aucun son ne sortit de ces lèvres. Pitié ! Elle voulait sortir de ce cauchemar. Luna se sentie encore plus mal. De l’extérieur, on aurait simplement dit qu’elle dormait et qu’elle faisait un cauchemar mais c’était sa propre peur qui la maîtriser. Tentant de se raccrochait à l’idée que son fidèle ami était près d’elle, elle se frailla un chemin dans son propre cauchemar et réussi simplement à l’appeler lui. Lui seul pouvait la sortir de sa torpeur :
En y mettant plus d’énergie elle réussit à crier plusieurs fois son prénom :